Lutte contre la corruption au Mali : Plus personne ne croit au slogan. La Justice accusée être le maillon faible dans le combat et la semaine nationale qui lui a été consacrée n’a mobilisé personne

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C’est une salle Djéli Baba SISSOKO du CICB presque vide qui a abrité le mercredi 9 décembre 2015 la cérémonie de lancement de la semaine nationale de lutte contre la corruption. Présidée par le Premier ministre,  M. Modibo Keita, la cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs membres du Gouvernement dont le ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Garde des sceaux, Mme Sanogo Aminata Mallé, des représentants du corps diplomatique et de la société civile ainsi que de nombreux experts.

 

Placée sous le thème : «la corruption, un frein au développement», cette semaine, selon les organisateurs, vise à informer et à sensibiliser l’opinion nationale sur les méfaits de la corruption et les actions engagées par les pouvoirs publics et les autres acteurs pour endiguer le phénomène. Mais, le lancement des activités et les autres conférences qui s’en sont suivis se sont déroulés dans des salles plutôt clairsemées de monde. C’est ce qui fera dire au PM Keita : «Je comprends une espèce d’hésitation, de désaffection de la salle. Les Maliennes et les Maliens peuvent se demander pourquoi nous réunir pour parler de la corruption et de la délinquance financière alors que des actions concrètes tardent à se manifester. Cela se comprend. Mais quand on mesure l’importance du phénomène, quand on prend la mesure d’une réalité dominée par une pratique qui se transmet de façon formelle et qui a tendance à devenir un critère de réussite sociale, nous devons nous convaincre qu’il faut aller toujours de l’avant et ne jamais se décourager. Quand nous étions dans d’autres positions, nous nous plaisions avec naïveté à dire qu’on affirme partout que notre pays est un pays corrompu, mais que cela se fait aussi ailleurs. Un interlocuteur m’a dit : ‘’ C’est vrai que cela se fait ailleurs. Mais quand on est capable de tuer un éléphant et que quelqu’un s’avise à en prendre un morceau de 10 kilos, cela ne se sent pas. Mais vous, vous n’êtes capables de tuer qu’un lapin. Si chacun veut prendre une cuisse alors qu’il n’y en a que deux. Qu’est-ce qui se passe ?» Comme quoi, les maliens ne voyant jamais des résultats de la lutte contre le phénomène, malgré que des milliards soient investis pour le combattre, accordent peu de crédit aux déclarations d’intentions et aux rencontres qui sont devenues plus  folkloriques.

 

Le Gouvernement préconise la démarche de la prévention   et   celle de la répression :
Le Chef du Gouvernement poursuivra en indiquant avoir mis désormais l’accent sur deux démarches, à savoir : la prévention et la répression. «Ces deux démarches sont complémentaires. Car il faut provoquer un effet de dissuasion, il faut que s’éloigne de nous l’impunité. En réalité, nous devons trouver les voies et moyens pour prévenir. Par quelle voie ceux qui se livrent à cette pratique passent? Comment faire pour obstruer cette voie ? Vous êtes propriétaire d’un potager. Vous remarquez que ce potager est détruit par des animaux en divagation. Vous confiez ces animaux à la fourrière. Mais avant votre retour, d’autres animaux sont rentrés. Que devriez-vous faire ? Boucher le trou par lequel les animaux passent. C’est ce que nous appelons la lutte par les moyens de la prévention».

Le PM a enfin lancé un appel au ministre de la Justice et aux magistrats pour faire en sorte que la parole puisse être suivie d’effet. Car dit-il, «c’est cela qui crédibilisera notre démarche. Le jour où l’on aura des exemples éloquents, vous verrez cette salle sera remplie ». «Mais en attendant, ne nous décourageons pas. Si le président de la République a transmis plus de 200 dossiers à la Justice, le chef du gouvernement rappelle avoir édicté lui-même plus de 80 recommandations en 2008, lors qu’il était le président du Comité préparatoire des états généraux sur la corruption et la délinquance financière. Alors la balle est désormais dans le camp de la justice pour ne pas compromettre l’avenir des jeunes générations.

Dieudonné Tembely

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86 COMMENTAIRES

  1. Je pense que la corruption sous l’ère du président IBK a beaucoup baissé et les indices en témoignent. Force est de reconnaître que beaucoup de mesures ont été prises quant à traquer les acteurs et à les punir. A mon humble avis, j’estime qu’il faut attaquer le mal à la racine c’est-à-dire UN CHANGEMENT DE COMPORTEMENT.

  2. La corruption, tous coupables !
    En effet, la corruption est un phénomène qui gangrène notre société. Pour lutter contre ce fléau, le président s’attèle à mettre des stratégies en place afin de lutter farouchement contre celui-ci. Tous ces moyens sont bons pour y parvenir, mais je pense qu’il faut un éveil de conscience et un changement drastique de comportement des uns et des autres. Faute de quoi, nous y irons de mal en pire.

  3. Pour ma part, je pense que l’Etat prendra toutes les mesures possibles pour éradiquer ce phénomène. Mais, j’estime que ces mesures à elles seules ne suffisent pas pour y parvenir. De ce fait, il faut un changement de comportement de tous.

  4. La lutte anti-corruption est une lutte très complexe car elle est le fait de tous sans exception. Pour ce faire, il faut une volonté commune sans laquelle nous ne parviendrons pas à bouter ce phénomène hors de nos frontières. Car, on aura beau prendre les mesures d’éradication sans une implication de tous, nous n’arriverons pas.

  5. Compte tenu de la situation actuelle du pays, le gouvernement d’IBK de son mieux pour que le Mali avance. IBK vise le bonheur des Maliens.
    Il est responsable, digne, humble envers son peuple.

  6. La corruption ne date pas d’aujourd’hui, depuis de régime précédant c’est adire celui d’ATT.
    Le régime d’ATT était basé sur la corruption et la mal gouvernance, c’est-à-dire la mauvaise gestion de l’administration et la désorganisation au sein de l’armée, et le détournement du dernier public.

  7. La corruption est un mal encré au sein de notre société depuis des décennies et le pouvoir actuel mets tout en œuvre pour éradiquer ce fléau. Nous devons tous nous impliquer dans cette lutte.

  8. Je pense que la lutte contre la corruption n’est pas le seul ressort du président de la république, mais de tous. Assurément, nous sommes tous coupables et en même temps tous coupables. De ce fait, chacun doit être la police de l’autre.

  9. Les populations sont les premières responsables de cette situation alors pourquoi accuser les autres? IBK ne peut pas être partout à la fois donc notre responsabilité à tous est engagé.

  10. Le président IBK, est un président légitime et légalement élu avec 77,61% de voie, cela prouve que la population est avec lui.
    Depuis l’indépendance jusqu’à nos jours aucun président n’a eu un tel pourcentage lors des élections et n’a jamais été comme IBK.

  11. A mon humble avis, je pense que la corruption, nous sommes tous coupables et tous victimes. Pour arriver à une éradication de ce fléau, il faut réduire les possibilités de la corruption. En effet, l’un des moyens de diminuer la corruption est de réduire les bénéfices et les coûts qui sont sous le contrôle des fonctionnaires à tous les niveaux de la hiérarchie administrative. La transparence des règles et l’introduction de la concurrence au sein de l’administration sont également d’autres moyens. En appliquant ces moyens avec de la volonté chez nos autorités d’ailleurs chose réelle, je pense que nous y parviendrons.
    ABAT LA CORRUPTION !!!

  12. La gestion chaotique de l’argent du contribuable est imputable à tous car qui dit corrompu dit corrupteur alors changeons tous de comportement car les autorités de ce pays et en particulier le président font tout pour redresser cette société en proie à la corruption.

  13. La corruption est un phénomène d’une importance cruciale que l’on peut comparer à une épidémie car elle se propage rapidement dans le système politico-économique du pays. Pour freiner ce système dans notre pays, il faut un remède très efficace sous formes de réformes qui doivent être durables pour réussir. Pour ma part, je pense que cette lutte est certes difficile, mais possible. Si et seulement si, il y a un changement de mentalité.

  14. Le président de la république ne peut pas faire la police et gérer les affaires de l’état en même temps c’est pourquoi chaque secteur à ses responsables alors ne lui demander pas d’aller faire le gardien dans des bureaux de trésors et autres changeons tous de comportement pour que le pays puisse vaincre ce mal.

  15. Le gouvernement d’IBK est impressionnant. Le Mali a connu la paix et le développement grâce à eux.
    La question est de savoir le but des es gens critiques à IBK dans l’exercice de ces fonctions
    Le Mali a été sauvée de l’indignation et du chao par IBK

  16. Moi je pense que la justice fait et fera toujours son travail. Les enquêtes peuvent piétiner mais elles donnent toujours des conclusions. C’est dans l’intérêt même de la nation que ceux qui commettent des fautes payent de leurs actes donc je crois que la volonté des autorités ne seraient nullement être que ces faits restent totalement impunis.

  17. Moi je pense que la corruption est un phénomène mondial qui touche même les pays dits développés.
    Ce n’est donc pas un cas spécifique à notre pays.
    Mais je pense que les chiffres avancés par cette institution pour notre pays sont un peu trop.

  18. Je pense que dans cette lutte contre la corruption, la volonté du président de la république de faire de la justice malienne une des plus crédible n’a jamais changé. Il l’a affirmé lors de la campagne et tient toujours à cette promesse qui était à l’ordre du jour des consultations du conseil de gouvernement. Il faut donc accorder le temps nécessaire pour que ces reformes engagées puissent aboutir à des résultats concrets.

  19. Avec l’arrivée de IBK au pouvoir,nous pouvons dire que la corruption a beaucoup diminué au Mali.
    Nous sommes conscients qu’il reste beaucoup à faire,mais les uns et les autre doivent savoir que le président a fait beaucoup et continue de faire ce qu’il peut. 👿 👿 👿

  20. Avec l’arrivée de IBK au pouvoir,nous pouvons dire que la corruption a beaucoup diminué au Mali.
    Nous sommes conscients qu’il reste beaucoup à faire,mais les uns et les autre doivent savoir que le président a fait beaucoup et continue de faire ce qu’il peut.

  21. La lutte contre la corruption est une lutte de tout le monde et de tous les jours.C’est pour cette raison que je demande l’adhésion de tous les maliens pour endiguer ce fléau.
    Le président IBK fait déjà sa part et nous devons tous le soutenir dans ce sens.

  22. Ce problème de corruption doit être compris sous un angle à deux composantes.
    Il faut comprendre que s’il y a corrompu c’est qu’il y a forcement corrupteur.
    C’est tout le monde qui doit donc prendre conscience pour éradiquer ce fléau dont nos sommes tous coupables.

  23. Lutter contre la Corruption est leitmotiv de plus d’un, mène les pays les plus corrompus la réclament.Le défi consiste donc à faire un ménage du système judiciaire afin de chasser toute trace de corruption et d’en faire un outil efficace de lutte contre elle. Un système judiciaire indépendant, compétent et propre est essentiel dans la stratégie de lutte contre la corruption.
    Dans cette perspective de combat sanglant, en vue d’éradiquer la corruption partout où elle est, le président Ibrahim Boubacar Kéita a lancé un appel solennel aux Magistrats et aux personnels judiciaires aussi de relever la qualité de la justice et de faire preuve d’une justice responsable.

  24. La société civile peut influencer les caractères relatifs à la corruption pour la bonne gouvernance, les organisations de la société civile, les groupes de citoyen, les organisations non gouvernementales, la presse et les médias, les syndicats, les associations de gens d’affaires, les groupes de réflexion, peuvent jouer un rôle important dans la lutte contre la corruption. En contribuant à l’argumentation de la sensibilisation, en exerçant les pressions sur les gouvernements en collaborant avec des organisations internationales en faveur de changement et en travaillant avec divers secteurs pour mettre en oeuvre des réformes novatrices en matière de lutte contre la corruption.

  25. Les Partis Politiques ont une grande responsabilité dans la lutte contre la corruption. Les principes établis dans les partis ont un effet dissuasif pour freiner les manœuvres frauduleuses. La responsabilité du secteur public, repose avant tout sur l’efficacité des sanctions et la capacité des institutions. les partis politiques qui ont leurs membres soit dans les gouvernements soit au Parlement ont intérêt à se lancer dans la campagne, par rapport aux structures mises en place dans les partis, exerçant un contrôle immédiat sur leurs membres.

  26. La corruption peut mettre en péril la réalisation des objectifs du développement durable. La recherche de pot-de-vin ajoute aux frais des entreprises, pèse sur les petits entrepreneurs et entraîne une mauvaise répartition du capital humain et du talent. La concurrence finit par jouer sur le pot-de-vin, ce qui prive le public des avantages de la concurrence.

  27. La corruption ternit la réputation des politiciens et encourage les gens à faire de la politique pour les mauvaises actions.
    Elle mine la confiance du public envers les politiciens et les processus et les Institutions Politiques puis mine la confiance de la communauté internationale au gouvernement.
    Elle encourage le cynisme et décourage la participation à la politique puis contribue à l’instabilité.

  28. la corruption minent la démocratie et nuisent au développement social, politique et économique.
    Elle freine le développement économique, accroît les coûts des entreprises, sape la légitimité du Gouvernement et réduit la confiance du peuple.

  29. La corruption emmène d’importants changements dans le système politique. Elle facilite l’émergence d’une classe de politiciens d’affaires et les partis politiques se livrent dans les activités illégales pour subsister.

  30. En effet pour réussir cette lutte contre corruption, il faut une justice avec des magistrats efficaces et dévoués pour cette cause. Nous voulons un pays sans corruption pour une économie forte pour le bien être du peuple malien.
    Il faut noter qu’elle est un frein au développement car elle n’encourage pas les partenaires à s’investir. Le système demanderait toujours des pots de vin avant de laisser les dossiers ce qui ralentit le déroulement des investissements.

  31. Si la corruption n’est pas rayée de notre système, nous ne pourrons jamais accéder à un vrai développement donc le pays compte sur vous car la corruption est un mal qui joue sur l’économie de notre pays dont nous devons tous faire l’éradiquer.
    IBK veut un Mali sans corruption et cela est possible si tout le monde s’y met.

  32. Cela ne doit pas nous étonner d’IBK. C’est un KANKELETIGUI quand il promet il le fait. Nous lui disons merci
    Les 25 magistrats doivent relever le défis celui de la corruption car c’est une vraie gangrène qui mine notre pays depuis la nuit des temps

  33. Nous remercions le président IBK d’avoir renforcer notre appareil judiciaire car on en avait besoin pour son bon fonctionnement. Merci président

  34. Le ministre des finances a déjà chassé des agents corrompus de la directions des impôts. Nous attendons plus de vous les magistrats

  35. Mieux vaut tard que jamais, prenons conscience et réalisons la situation. Il faut qu’on trouve un moyen d’érafler la corruption de notre pays. Ainsi, nous pourront vivre dans un Mali limpide et émergent. De toute évidence, la pauvreté est l’une des sources de la corruption. Sinon, en âme et en conscience la population est aussi concerné dans cette lutte contre la corruption tout comme le gouvernement.  

  36. La lutte contre la corruption est un combat de tous les jours. Puis que l’Etat est une continuité, il est normal que d’autres gouvernements œuvrent pour l’extraction de la corruption après le régime actuel.

  37. Le peuple malien doit agir sans attendre, c’est-à-dire prendre conscience et lutter contre ce fléau. C’est évident que depuis la nuit des temps, la corruption nuit au développement de notre pays. Le président Ibrahim Boubacar Keita n’a pas jamais caché sa volonté de lutter contre la corruption. Nous devons comprendre que seul il ne peut pas tant qu’on ne se donne pas la main pour l’aider dans cette lourde tache.

  38. Le Mali est victime de la corruption depuis l’avènement de l’indépendance jusqu’à nos jours. Sachez que ce gouvernement n’a rien à avoir avec la corruption, en jetant un coup d’œil sur la gestion des régimes précédents vous comprendrez tout. La corruption existe au Mali depuis des années maintenant, le régime actuel est venu trouver ce fléau dans notre pays. Donc, de grâce épargne-le de cette histoire.

  39. La corruption au Mali ne date pas d’aujourd’hui, au cas vous l’ignorez. Le gouvernement actuel n’y est pour rien dans cette histoire. Avouons que nos dirigeants ont la volonté de rebâtir un Mali uni et émergent. C’est à nous de le soutenir dans ses actions et de l’accompagner dans ses prises de décisions.

  40. En toute évidence, le président de la République a la volonté de refaire ce pays sous la base de la transparence et l’équilibre totale. Par contre il faut comprendre que le peuple est le cœur de l’Etat, c’est à nous de l’aider. Parlant d’un sujet comme la lutte contre la corruption, nous devons agir sans attendre.

  41. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Tous les fils de la nation sont égaux dans sa convalescence, de ce fait tous les maliens ont le devoir de contribuer à cette lutte fatidique. Donnons-nous la main pour l’extraction de ce fléau. 😆 😆 😆 😆 😆

  42. Le Mali ne se fera pas sans ses fils, personne d’autres ne viendra reconstruire ce pays à notre place. Cela étant, l’union et la volonté reconstructive doit être notre arme de combat surtout dans une lutte comme celle-ci.

  43. La lutte contre la corruption est un combat de nous tous. Par contre, tant qu’on ne se donne pas les mains pour aider nos dirigeants. cette lutte risque bien de rester vaine, donc agissons le plus vite possible.

  44. Le Représentant du FMI au Mali, a martelé haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé». Merci IBK et bonne chance pour le reste.

  45. Où sont les détracteurs d’IBK qui aboient chaque jour sur lui par égoïsme seulement sans raison valable ? Je pense que le FMI ne finance jamais les pays mal-gouvernés, ni les pays qui marchent la corruption. Ces gestes montrent que notre pays est bien gouverné et que la corruption est bien combattue comme l’avait promis IBK. Merci IBK !!!

  46. Où sont les détracteurs d’IBK qui aboient chaque jour sur lui par égoïsme seulement sans raison valable ? Je pense que le FMI ne finance jamais les pays mal-gouvernés, ni les pays qui marchent la corruption. Ces gestes montrent que notre pays est bien gouverné et que la corruption est bien combattue comme l’avait promis IBK. Merci IBK !!!

  47. La corruption dont vous parler est un fléau qui a pris de l’ampleur lors des régimes passés. Depuis l’investiture Ibrahim Boubacar a engagé une lutte infernale contre la corruption sous toutes ces formes, mais la corruption est un fléau qui ne peut être éradiqué du jour au lendemain. ➡ ➡ ➡ ➡ 💡

  48. IBK a dit qu’il ne couvrira personne et qu’il ne bloquera aucun dossier à son niveau, maintenant c’est la justice qui doit compléter le reste. Tous les dossiers au niveau de la justice doivent faire l’objet d’un résultat public.

  49. Les autorités seules ne peuvent pas combattre la corruption, il faut que la population aussi s’investisse dedans pour combattre ce fléau. Ensemble combattons la corruption.

  50. IBK a promis de combattre la corruption et les détournements des deniers publics. Sa lutte devient de plus en plus fruitive. Tous voleurs comparaîtront devant la justice, c’est une question de temps. La balle est dans le camp de la justice, puisse que la justice est indépendante alors tout le monde attend la justice.

  51. Il est temps que la justice malienne change de comportement, juger les personnes sans discriminations et sans compter la richesse. Tous les maliens doivent être jugés au même pied d’égalité.

  52. Oui, l’espoir est permis, parce que la lutte contre la corruption, qui anéantit tous les efforts du gouvernement, est bel et bien engagée. La volonté politique et la détermination du chef de l’Etat à combattre ce fléau ne font l’ombre d’aucun doute.

  53. Je soutiens le gouvernement malien dans sa lutte contre la corruption, j’ai remarqué depuis 2014, le gouvernement a fait de grand progrès dans sa lutte contre la corruption. Ce sont les régimes passés qui ont plongé le pays dans le tréfonds de la corruption, mais le régime d’IBK accomplit un travail remarquable pour le faire sortie de ce fléau appeler corruption.

  54. Il faut que les hautes autorités prennent leurs responsabilités. Quant il y’a trop de corruption c’est parce que ce sont les autorités qui sont complices sinon quand les autorités sont claires, la population sera claire aussi sans doute.

  55. La justice malienne n’épargne personne, elle ne favorise personne et cela sans exception et sans doute. Comme on le dit si bien « chacun à son tour chez le coiffeurs » à tour de rôle tous les voleurs de la République répondront de leurs actes ignobles. ➡ ➡

  56. Les magistrats doivent être les premiers exemplaires pour mieux combattre la corruption dans le pays. Mais quand les hommes de la justice sont les premiers corrompus, c'est très grave.

  57. L’exemple doit doit venir des autorités elles même pour qu’il ait du sérieux dans le pays. Nos autorités doivent se comporter comme les premiers responsables.

  58. Sous le régime d’IBK, la justice malienne est irréprochable,
    L’ancien Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ) Issa Tièman Diarra, inculpé pour » atteinte aux biens, fractionnement de marchés publics et favoritisme » risque 20 ans de réclusion criminelle. Les ex-Directeurs généraux et anciens ministres sous ATT, Modibo Kadjoké (Emploi et formation professionnelle) et Sina Damba (Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille) ont été entendus par le pôle économique. L’un des deux anciens ministres pourrait, selon des indiscrétions, être inculpé.

  59. La population doit faire confiance à leur justice. Le PM Modibo Keïta a assuré à la population malienne tout acte frauduleux et d’enrichissement illicite devront répondront de leurs actes devant la justice. Il a aussi incité la dessus que ces actes ne restera pas impuni.

  60. Tout d’abord la justice malienne est depuis très longtemps la justice fait face à toute sorte de problème et cela depuis les régimes passés qui n’ont d’ailleurs rien fait pour remédier le problème. Depuis l’avènement du régime d’IBK toutes les structures sensibles concernant la justice sont en train de prendre une très bonne allure. Félicitation à IBK pour sa bonne gestion, la justice est maintenant pour tous et à tous.

  61. La pauvreté est la souche de la corruption, la population est le noyau de l’Etat, la population doit être le plus active en matière de corruption. Nous devons enfin changer de mentalité. Ce régime est le régime de la lutte contre la corruption, la population doit aider le gouvernement dans sa lutte fatidique contre la corruption. 💡 💡

  62. La corruption en générale est l’un des luttes que le président IBK et son PM ont engagés une lutte acharné pour éradiquer ceux fléaux, qui touchent toute les différentes étapes de la société malienne, mais la population doit être aussi active car c’est la population qui est le plus concerner. En 2013 dès son n’investiture IBK a décrété cet année « l’année de la lutte contre la corruption ».

  63. La lutte contre la corruption est pénible et sans fin, IBK et son PM son conscient de cela. Le régime d’IBK fait du mieux pour combattre se fléaux. La mise en place d’un organe de control de service public et un control sur la paye des agents publics, les magouilles dans les fonctions publiques ont diminuées.

  64. Le premier ministre, Modibo Keïta, a bien fait de rappeller aux magistrats pour faire en sorte que la parole puisse être suivie d’effet. La lutte contre la corruption n'est possible que si les magistrats y sont impliqués.

  65. Ibrahim Boubacar Keïta a affirmé, à l’occasion des vœux d’Aïd-el-Fitr, qu’il serait impitoyable désormais. Ces propos montrent qu’il va entamer une guerre contre la corruption et ses auteurs. Et lors de la cérémonie de la rentrée des cours et des tribunaux il a invité les magistrats à agir dans le cadre de la lutte contre la corruption. 😀 😀 😀 😀

  66. Ibrahim Boubacar Keïta est un patriote. Son gouvernement est à la fois issu de la crise et le premier régime post-crise. La corruption est un fléau qui existe depuis bien avant le pouvoir que nous connaissons actuellement. Il ne ménagera aucun effort pour instruire la baisse du budget des institutions afin de faire avancer ce pays. 💡 💡 💡 💡 😛 😛 😛

  67. Secoué par la corruption depuis plus de vingt ans, le Mali doit maintenant tourner cette page brouillonne de son histoire. Ibrahim Boubacar Keïta est actuellement la première personne sollicitée par le peuple. Il se doit de faire en sorte que la corruption s’abaisse petit à petit jusqu’à ce qu’elle disparait totalement. Tout le Mali compte sur lui. Car il est la personne à qui de droit. 💡 💡 💡

  68. La corruption est devenue un phénomène social très répandu au Mali. Aux temps de Modibo Keïta et de Moussa Traoré elle n’existait pas. Même si elle existait, elle n’était pas aussi développée que ça. Le phénomène a pris de l’ampleur sous les deux premiers régimes démocratiques. Le président de la république, après ce constat, a jugé important de bannir ce fléau. Les maliens doivent l’aider dans cette lutte. 😆 😆 😆 😆

  69. La manière dont la corruption a gagné du terrain dans notre pays, elle doit être combattue avec force, sérénité, et solennité. Lors de son passage à l’occasion de l’Aïd-el-Fitr, IBK a promis aux maliens une bonne gouvernance sans corruption. Son peuple l’encourage et l’accompagner sur ce chemin. Nous comptons aussi sur les magistrats pour l’aider dans cette tâche difficile. 💡 💡 💡

  70. Après 20 ans de démocratie, le pays est toujours confronté à un problème de gouvernance. Les dirigeants ne sont plus des patriotes. Le gain individuel est prioritaire. Assez !!! Assez !!!! Le chef de l’Etat est sur ses nerfs. Non à la corruption, non au laisser-aller. Il n’est plus question de tolérer les malversations. Malheur aux hommes corrompus! Les enquêtés ayant affirmé avoir versé des pots de vins sur des agents publics sont des personnes qui encouragent la corruption. 💡 💡 💡 💡 😀 😀

  71. La Transparency International vient de publier son rapport des enquêtes sur la corruption en Afrique. Il est apparu qu’au Mali il y a toujours des agents de l’Etat qui encouragent des pratiques encourageant la corruption. Donc de ce fait l’Etat malien doit prendre toutes les précautions pour démasquer ces criminels. 💡 💡 💡 😆 😆 😆

  72. L’incrimination de tous les criminels doit être au rendez-vous maintenant. Les peines seront désormais proportionnelles, c’est ce qu’a dit IBK. Celui qui vol l’Etat aura une peine ou un traitement convenable à son acte. Avec IBK le Mali ira de l’avant seulement si les magistrats répondent à son invitation. 🙄 🙄 🙄 😈 😈 😈

  73. L’un des maux dont souffre le Mali, depuis le régime de Moussa Traoré jusqu’à celui d’ATT, est la corruption encouragée par l’impunité. La corruption est un obstacle au développement. Car les biens publics volés seront obligatoirement remplacés. On peut chasser la corruption de notre pays si nous unissons nos forces pour en faire une seule. 💡 💡 💡 💡

  74. Qui aime la pluie doit forcément accepter la boue. Qui dit développement dit lutte contre la corruption. IBK veut coute que coute faire avancer ce pays quelles que soient les conséquences négatives de la lutte dans laquelle il va s’engager. La transparency international a fait de son mieux Il reste maintenant que nous nous unissons pour accompagner le chef de l’Etat dans cette lutte. 💡 💡 💡

  75. Sachons garder nos raisons, et reconnaitre que la corruption a pris le dessus de tout au Mali. Je rappelle que ce n’est pas aujourd’hui que ce fléau existe au Mali, donc ce n’est pas facile de lutter contre.

  76. A mon humble avis, la justice fait de son mieux et le gouvernement pareillement. Il faut juste reconnaitre que notre pays est victime de ce fléau depuis des années maintenant.

  77. Si nous voulons lutter contre la corruption, nous devons commencer par limogés tous les personnels des services privés et publics du Mali. Aussi, de bien surveiller de près tous ceux qui monteront au créneau.

  78. La corruption est un fléau généralisé, et aucun pays ne peut affirmer qu’il a pu mettre terme à son existence. Certes, on est contraint de lutter contre mais on ne peut pas refaire notre pays à nouveau sans la moindre trace de la corruption.

  79. Le Mali est un pays parmi tant d’autres où la corruption est au cœur des débats. Tout comme nos dirigeants, tous ces pays aussi cherchent les voies et moyens pour éradiquer ce fléau. Donc, ne baissons pas les bras.

  80. Ne tenons coupable personne sous prétexte de corruption, chacun de nous fait de son mieux. ON a juste besoin du maximum de temps qu’il faut pour en finir avec la corruption à jamais.

  81. La lutte contre la corruption est une lutte fatidique, j’invite tous les maliens à contribuer corps et âme à l’extraction de cette décadence dans notre pays. C’est ensemble que nous pouvons mettre fin à cette calamité.

  82. La justice malienne n’est coupable de rien, elle fait tout son possible dans cette lutte. C’est plutôt au peuple malien de poser des actes allant à l’encontre de la corruption. Chose qui n’est pas le cas, chacun fait ce qu’il veut.

  83. Il est très facile d’accuser l’Etat ou encore la justice d’être neutre dans la lutte contre la corruption. Mais personne ne se pose la question ou encore ne réfléchit à comment jouer également son rôle pour l’extirpation de ce déclin.

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