Convoqué au pole économique pour «crime d’atteinte aux biens publics…» Modibo Kadjoké a démissionné de son poste pour laver son honneur

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Modibo Kadjoké
Modibo Kadjoké

Juriste de formation, Modibo Kadjoké, ancien militant du congrès d’initiative démocratique(CNID), s’en est avec le temps, créé un parti politique dont il est toujours président.

En politique, Modibo Kadjoké gravit très vite les échelons. Réputé « gros travailleur », il a occupé plusieurs postes de responsabilité. Directeur du Fonds auto-renouvelables(Fare) comme premier poste, puis Directeur Général de l’Agence pour la promotion de l’emploi (Apej) avant d’être ministre de l’emploi et de la formation professionnelle en 2011.

Après le putsch de mars 2012, Modibo est nommé Directeur Général de l’Office Malien de l’Habitat (Omh). C’est de ce poste qu’il a été, en mai dernier porté à la tête de la commission d’organisation du sommet France-Afrique prévu en 2016 à Bamako.

Alors qu’il est chargé d’organiser le sommet d’ici 2016, Modibo semble avoir des bâtons dans les roues. Car la semaine dernière, lui et deux autres anciens Directeurs de l’Apej se sont retrouvés au pôle économique et financier de Bamako. Il leur est reproché d’avoir détourné plus de 2 milliards FCFA au détriment de l’Agence au sein de laquelle ils se sont succédés. Une accusation qui selon ses proches, tendrait à porter atteinte à son honneur. Mais il ne se laissera pas faire, ajoute un connaisseur de l’homme.

Officiellement cité de même que les deux autres ex-Directeurs de l’Apej pour «crime d’atteinte aux biens publics, de délits de favoritisme et de fractionnement de marchés publics », lui Modibo, a décidé de rendre le tablier de son poste de président de la commission d’organisation du sommet France-Afrique de 2016, ce mercredi 11 août 2015. Certainement, pour faire face à la justice et laver son honneur dans cette affaire de détournement supposé de plus de 2 milliards FCFA dans laquelle il ne se reconnait pas.

Gageons que Modibo Gadjoké, en démissionnant de son propre chef pour se mettre à la disposition de la justice de son pays afin d’aider à la manifestation de la vérité, vient de poser un acte exceptionnel. Car ici, rare, voire inexistants sont des responsables publiques même dans les mailles de la justice qui acceptent de démissionner dans le but de se laver l’honneur.

Affaire à suivre…

Issiaka M Tamboura (maliweb.net)

Commentaires via Facebook :

93 COMMENTAIRES

  1. Moi qui croyait que l’impunité avait quitté ce pays comme le décrivait vite les déficitaires de la matière grise. IBK est un stratège. Quand tu bouffes l’argent du contribuable malien, tu réponds tôt ou tard devant la justice. Avis aux bandits de la république. L’impunité n’existe pas sous le régime IBK.

  2. Merci à la justice malienne. C’est ce qu’on attendait d’elle. Elle est à la hauteur de sanctionner les voleurs qui s’amusent à voler l’argent de l’Etat. Je la félicite d’avance.

  3. Une très bonne nouvelle mais que les journalistes de mauvaise foi n’évoqueront pas surement. Ils sont toujours présents quand il s’agit de nous rappeler des défaillances on les entend sur tous les toits mais pour ce qui est à saluer ils ne touchent pas à cela. Que c’est décevant ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

  4. Nous saluons tous cette action du Président IBK.Cela fermera la bouche à ceux qui disent qu’il est trop complaisant et que lorsqu’il dit quelque chose il ne le fait pas.

  5. Encore une preuve que le Président travaille pour le bien de sa population.Et n’imaginez pas que ça va s’arrèter là…

  6. Le Mali a mis en arrière l’impunité et l’injustice qui le rongeaient.Maintenant chacun repondra de ses actes.

  7. Ceux qui pense que le régime d’IBK serait un régime d’impunité pourront constater qu’il n’en est rien.Le gouvernement sévira toujours pour toutes actios similaires et ce partout au MALI.

  8. Désormais les maliens auront confiance en leur justice qui est en train de rompre avec les anciennes pratiques.Et cela est à mettre à l’active du Président de la République.Nous ne pouvons que saluer cette action.

  9. Loi sur l’enrichissement illicite : fin de sursis pour les délinquants financiers ?
    Les mois et les années à venir seront durs, très durs, pour les délinquants financiers au Mali. Pour cause, la nouvelle loi portant ‘’prévention et la répression de l’enrichissement’’ qui sera bientôt adoptée par l’Assemblée nationale, semble fermer les issues aux ‘’mangecrates’’ qui ne pourront plus se la couler douce. Cette loi sur la prévention et la répression de l’enrichissement illicite découle de la ferme volonté du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, à mettre fin à la saignée de la caisse de l’Etat, définitivement.
    Bien que la corruption soit punie par plusieurs textes de loi, et malgré l’existence de nombreux instruments de lutte contre la corruption et la délinquance financière, aucune loi, à ce jour, ne réprimait l’enrichissement illicite, lequel a pris du galon, ces dernières années. Cela au détriment de l’Etat.
    Les nouvelles autorités qui se sont données comme priorité la lutte contre la corruption et la délinquance financière, sont en train de prendre toutes les dispositions pour prévenir et réprimer l’enrichissement illicite érigé en mode de gouvernance au Mali.
    Cette nouvelle loi qui est actuellement au menu du forum national sur la corruption et la délinquance financière (qui se tient du 23 au 24 janvier 2014 au CICB), met l’accent sur la déclaration des biens et les organes qui seront chargés de lutter contre l’enrichissement illicite.
    L’article 2 de ladite loi définit l’enrichissement illicite comme «l’augmentation de tout agent public, que celui-ci ne peut justifier par rapport à ses revenus légitimes».
    Panique chez les «mange…crates»
    En son article 9, cette loi énumère toutes les personnalités appelées, désormais, à faire la déclaration de leurs biens avant toute prise de fonction.
    Selon elle, sont assujettis à la déclarations de biens : les présidents et chefs des institutions de la République, les personnes ayant rang de ministres, le Vérificateur général, le médiateur de la République, les gouverneurs, ambassadeurs et consuls généraux, les préfets et sous-préfets, les élus nationaux et locaux, les directeurs nationaux ou généraux des services et entreprises publics, les Directeurs des finances et du matériels des départements ministériels et des institutions de la républiques, les chefs de juridictions et de parquet, les magistrats du siège et du parquet.
    S’y ajoutent les Chefs d’Etat- major, directeurs nationaux, chefs des services centraux et assimilés de l’armée, la gendarmerie nationale, de la police nationale et de la garde nationale, les directeurs régionaux des impôts, du trésor, des finances et des services rattachés, les directeurs régionaux des douanes, les régisseurs, les Directeurs régionaux du commerce et de la concurrence, les Directeurs régionaux des domaines et du cadastre, le conservateur des domaines et du cadastre.
    La loi précise que tout agent de l’Etat, des collectivités locales ou des établissements administratifs publics chargé de la fonction d’ordonnateurs ou de comptable public est assujetti à la déclaration de biens. Aussi, les personnes assujetties à l’obligation de déclaration sont également tenues de déclarer toute activité, temporaire ou permanente, exercée en concomitance avec leur fonction ou leur emploi.
    Ce n’est pas tout, les personnes concernées par la déclaration de biens sont tenues de donner des détails sur les biens de leur conjoint et de leurs enfants mineurs, que ces biens soient sur le territoire national ou à l’étranger. L’article 10 ajoute que la déclaration de biens est actualisée par l’intéressé à la fin de chaque année d’exercice budgétaire, au plus tard le 31 décembre.
    Rappelons qu’outre les structures statutairement investie de la mission de contrôle et de vérification de la gestion des services publics, un office central de lutte contre la corruption sera créé pour la prévention et la répression de l’enrichissement illicites.
    Comme nous pouvons le constater, cette loi, même si elle ne peut arrêter l’hémorragie financière que connait notre pays ; elle pourra contribuer à minimiser les dégâts. Si et seulement si, elle n’est pas mise dans les tiroirs, ce sera, peut-être, la fin du sursis pour les « sai…gneurs » de la République.
    A. Berthé
    C’est parti pour le balayage :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  10. Mais pourquoi chercher à défendre ce monsieur?Soyons tout de meme sérieux…Modiibo n’est tout de meme pas le seul malien qui occupe un poste de responsabilité.Qu’il réponde de ses actes devant les juridictions compétentes.

  11. La corruption en générale est l’un des luttes que le président IBK et son PM ont engagés une lutte acharné pour éradiquer ceux fléaux, qui touchent toute les différentes étapes de la société malienne, mais la population doit être aussi active car c’est la population qui est le plus concerner.

  12. Laver quel honneur ?
    Du moment qu’on vole la caisse publique, le seul honneur est de se rendre à la justice.

  13. Mais qui nous dit que le fait que Mr MODIBO démissionne de son poste et se mette à la disposition de la justice prouve qu’il est innocent???

  14. Si l’État ne met pas un terme à la corruption, la corruption, quant à elle, n’hésitera pas une seconde à annihiler l’État. Ce Modibo Kadjoké doit venir s’expliquer devant la justice. On ne peut pas se permettre de détourner l’argent de l’Etat sans en subir les cpnséquences.

  15. Petit à petit les tores que d’autres prédécesseurs ont causés dans le pays seront régler avec le président IBK, je suis sûr que la corruption prendra baisse au Mali.

  16. C’est tout simplement des irresponsables, apatrides, immatures qui s’a donnent à la corruption. Ils mettent le pays ne retard à cause de leur propre intérêt, c’est le comble puuuuffffffffffff. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡

  17. C’est tout simplement des irresponsables, apatrides, immatures qui s’a donnent à la corruption. Ils mettent le pays ne retard à cause de leur propre intérêt, c’est le comble puuuuffffffffffff.

  18. Pourquoi se donner à la corruption, une chose est sûre et certain, on peut échapper à la justice des hommes mais pas à celui du bon Dieu. La justice divine est irrévocable et juste, tous les personnes qui s’adonnent à la corruption le payerons jusqu’à la dernière franc.

  19. Parole du président IBK lors de la présentation des vœux pendant la fête d’Aïd El Fitre : « …Je le dis avec gravité et avec solennité, face au peuple malien : chacun répondra devant l’histoire de ce peuple de ce pays et devant nous de son degré d’engagement patriotique, de sa loyauté à accomplir parfaitement et totalement les missions assignées. Nous serons sans aucun état d’âme… Le temps du travail, bien fait, et honnêtement fait, pas au préjudice du Mali, parce que moi je veux des dividendes, je veux des rétro-commissions Non!!! Non!!! Je serais impitoyable désormais. Des rétro-commissions sur le dos du Mali? Dans un domaine où il y a un besoin avéré? Mais c’est criminel simplement, et ça mérite le traitement réservé à un criminel, à un criminel. Et ce sera ainsi, Monsieur le Premier Ministre, Inch’Allah. Je nous sais en accord parfait là-dessus. Trop de dérives, trop! Il suffit! Je pense tout a été dit, et l’on verra le maçon au pied de l’ouvrage, Inch Allah. »
    Ces mots ne serons pas seulement des mots…

  20. “Convoqué au pole économique pour «crime d’atteinte aux biens publics…» Modibo Kadjoké a démissionné de son poste pour laver son honneur”
    😆 😆 😆 Comme s’il en avait. Un voleur n’a pas d’honneur, il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais. Je pense que cela est assez clair.

  21. When you steal taxpayer money, you go to court and you will be judged and condemned by the evidence of your guilt !!! What the president said is clear and clean as spring water, it will most ruthless !!!

  22. Les détracteurs, les journalistes malveillants, les opposants mal intentionnés qui criaient sur tous les toits que la justice malienne surtout sous le régime d’IBK est une justice incompétente et corrompue. Maintenant que cette justice malienne sous ce même régime à commencer la chasse aux sorciers, ils ne le félicitent pas les actions du gouvernement. Ils ont l’habitude d’attaquer de critiquer mais ne prennent jamais le courage de remercier et d’accompagner même les actions les plus nobles du régime en place.

  23. This is to remind those who claimed that there was still impunity in MALI this is not the case !!! Even those who have been appointed by the president of the republic spend to justice !!! No one is and will be above the law !!! So do not talk of impunity in this country we still !!!

  24. Avec ce rythme le président IBK touchera forcement le cœur de son peuple. C’est tout ce qu’on attendait de lui, sanctionné les fautifs enfin de mettre fin à la corruption, à l’impunité et à l’injustice. Une chance que notre baba ATT ne nous a jamais accordée. Pis, il a même osé ouvrir sa grande gueule à la chaine nationale et dire qu’il n’arrêtera jamais un chef de famille pour motif corruption.

  25. Cette convocation de la justice malienne vient étayer les dires du Président lorsqu’il disait que plus rien ne serait comme avant.Cela tuera aussi toutes véléité de détournement de deniers publiques.Merci à notre justice…

  26. La justice malienne est irréprochable, 😯 😯 😯 😯 😯 😯
    L’ancien Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ) Issa Tièman Diarra, inculpé pour » atteinte aux biens, fractionnement de marchés publics et favoritisme » risque 20 ans de réclusion criminelle. Les ex-Directeurs généraux et anciens ministres sous ATT, Modibo Kadjoké (Emploi et formation professionnelle) et Sina Damba (Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille) ont été entendus par le pôle économique. L’un des deux anciens ministres pourrait, selon des indiscrétions, être inculpé durant ce week-end. 8) 8) 8) 8) 8) 8)

  27. Sachant que la promesse est une dette, la justice est en traîne de répondre aux exigences du président de la république, IBK en traduisant les malhonnêtes devant elle. Cela n’est-elle pas une très bonne nouvelle qui devrait réjouir les maliens ?

  28. Le slogan d’IBK prend de l’abondance à travers ces actes de tous les jours. Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi. Il a bien et bel dit, la lutte contre la corruption, l’impunité et l’injustice ne resteront pas en marge des objectifs de ce régime. Cette règle décrétée par son Excellence ne cesse de se présenter au peuple malien depuis son élection à la tête de la magistrature suprême. Il a su relevé le défi dont son prédécesseur n’a aucunement voulu accommoder. La poursuite de Modibo Kadjoké devant la justice est le signe de la bonne gouvernance. Jetez un coup d’œil dans cet article publié par Maliweb le 1 Aout 2015.

    Pour « atteinte aux biens, fractionnement de marchés publics et favoritisme » – L’ex-DG de l’APEJ Issa Tièman Diarra risque 20 ans de réclusion criminelle – En plus des ex-DG Kadjoké et Sina Damba , le comptable Séméga et le contrôleur financier dans le collimateur de la justice
    L’ancien Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ) Issa Tièman Diarra, inculpé pour » atteinte aux biens, fractionnement de marchés publics et favoritisme » risque 20 ans de réclusion criminelle. Les ex-Directeurs généraux et anciens ministres sous ATT, Modibo Kadjoké (Emploi et formation professionnelle) et Sina Damba (Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille) ont été entendus par le pôle économique. L’un des deux anciens ministres pourrait, selon des indiscrétions, être inculpé durant ce week-end.
    l nous revient que les anciens ministres et anciens directeurs généraux de l’APEJ avaient fait intervenir des personnalités influentes auprès de la justice pour que le dossier ne puisse pas aboutir. Sans succès. Car la justice a décidé de travailler en toute indépendance sans aucune interférence extérieure. Après l’inculpation de l’ancien Directeur général de l’APEJ, Issa Tièman Diarra, le mardi dernier, les autres anciens directeurs généraux Sina Damba et Modibo Kadjoké, non moins anciens ministres, ne seraient pas les seuls à être entendus dans ce dossier de plusieurs milliards de FCFA et qui défraie la chronique. En effet, le comptable de l’APEJ, M.Séméga et le contrôleur financier seront entendus très prochainement par le pôle économique en charge de l’enquête. Selon une source proche du dossier, ces personnes risquent gros dan cette opération d’enrichissement illicite qui a porté sur plusieurs milliards de nos francs.

    L’Agence pour la promotion de l’emploi a été épinglée par le rapport 2013 du bureau du vérificateur général pour des irrégularités à hauteur de plusieurs milliards FCFA. Il a été constaté, selon le bureau du vérificateur général, un écart considérable entre les stratégies de politiques publiques et l’atteinte des objectifs. » La non tenue de la comptabilité et le non respect des textes législatifs et réglementaires en vigueur ont altéré la sincérité des opérations effectuées « , explique une source proche du dossier.
    Abdoulaye DIARRA
    http://www.maliweb.net/politique/corruption-lutte-contre-la/lex-dg-de-lapej-issa-tieman-diarra-risque-20-ans-de-reclusion-criminelle-1084032.html

  29. Enfin une nouvelle ère pour la justice Malienne…Les détracteurs du Président fermeront un peu leurs bouches;du moins c’est ce que j’espère,s’ils ont un peu de bon sens.

  30. Qu’il ait rendu sa démission pour laver son honneur ou parce qu’il est coupable est autre chose, mais ce que je quand-même est qu’il n’y aura plus de corrupteur ou de délinquance financière sur laquelle les autorités fermerons les yeux !!! Tout sera mit en pleine lumière !!!

    • Je suis complètement d’accord avec toi, et d’ailleurs c’est ce qu’elles sont en train de nous faire comprendre par ces actes !!!

  31. S’il a démissionné c’est parce qu’il n’a plus le choix. Tout le monde est maintenant de son vol. 2 milliards on ne parle pas d’une petite somme là hein. Mais n’oublions pas que pour le voleur le pire jour de vol est toujours mieux que le meilleur jour de travail. Je plains les voleurs. Rien ne fait plus la fierté de l’homme que l’argent qu’il a gagné par la sueur de son front. Mettons nous au travail c’est mieux que de voler les autres.

  32. « Modibo Kadjoké a démissionné de son poste pour laver son honneur ». Mais sa démission ne peut pas laver son honneur, il a souillé non seulement son honneur, sa dignité mais aussi toute la crédibilité vis-à-vis de la population malienne. Il a trahi aussi la confiance d’IBK et de tous les leaders et dirigeants maliens.

  33. Le MALI est sur le droit chemin en matière de justice et d’égalité entre tous !!! Le président de la république essaye d’instaurer cela dans le social des maliens pas seulement théoriquement, mais par la pratique aussi !!! En voilà un exemple précis !!!

  34. 8) 8) 8) 8)
    La population doit faire confiance à leur justice. Le PM Modibo Keïta a assuré à la population malienne tout acte frauduleux et d’enrichissement illicite devront répondront de leurs actes devant la justice. Il a aussi incité la dessus que ces actes ne restera pas impuni.

  35. L’égalité et la justice entre tous, d’où ressortira le développement de notre beau pays !!! Tels sont les initiative du président IBK, qu’il est en train d’appliquer d’ailleurs !!! Je demande juste aux détracteurs d’arrêter de nous casser les oreilles avec la question d’impunité au MALI, car on a cessé d’emprunter cette voie il y a deux ans !!!

    • Dis-moi où est “l’égalité et la justice” dans ce pays .Les gens meurent de faim et végètent dans la misère, les pauvres croupissent en prison; d’autres vivent dans la rue parce qu’ on a detruit leurs biens immobiliers au nom d’une justice différentielle et sélectice.En même temps les grands criminels à col blancs intouchables ou privilégiés vident les caisses publiques et vaguent à leurs salles “businesses” et le tout dans l’impunité totale.
      OÙ EST VOTRE FAMEUSE JUSTICE?
      Regardez les écoles , les hopitaux et ces millions de jeunes chômeurs désœuvrés qui sans boulot constituent un potentiel reservoir de la criminalité ou cibles de recrutement par nos enemies les jihadistes.
      Montre moi l’Egalité et la Justice dans la République des camarades. ❓

  36. On comprend enfin pourquoi, le chiffre de dix milles jeunes diplômés qui étaient prévus pour suivre une formation professionnelle dans les services étatiques pour acquérir, n’a jamais atteint le record. Raison pour laquelle, les jeunes ont sollicité une nouvelle élection enfin de changer les têtes.

  37. 💡 💡 💡
    Un gros poisson qui a mordu à l’hameçon. Qui disait que la justice au MALI n’est pas compétente, dans tous les cas ce n’est pas sous le régime d’IBK. La justice malienne est à féliciter de sa compétence.
    😯 😯 😯 😯

  38. Quand tu voles l’argent du contribuable, tu passes devant la justice et tu seras jugé et condamné de par les preuves de ta culpabilité !!! Ce que le président à dit est claire et net comme l’eau de roche, il ne sera plus impitoyable !!!

    • L’impunité n’existe plus dans notre société grâce aux efforts du président de la république et de son gouvernement !!!

  39. En tant que victime de ce phénomène, je suis entièrement d’accord avec ces accusations. Ces ex-Directeurs généraux et anciens ministres sous ATT, Modibo Kadjoké (Emploi et formation professionnelle) et Sina Damba (Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille) ont été entendus par le pôle économique.

  40. A chacun son tour chez le coiffeur. Qu’on ne se presse pas sinon on risque de rater le gros lot. Le cas de Modibo est une petite affaire. Le tour des autres viendra sans plus tarder.

  41. C’est dire que l’APEJ était devenue une mafia qui ne disait pas son nom. Certains n’hésitent pas à la considérer à » une banque qui finance les activités politiques du pouvoir en place « .

  42. Officiellement inculpés de » crime d’atteinte aux biens publics, de délits de favoritisme et de fractionnement de marchés publics « , les trois ex-directeurs généraux de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ), à savoir les deux anciens ministres Modibo Kadjoké et Sina Damba, et l’ancien préfet Issa Tiéman Diarra sont, depuis, dans les couloirs de la justice pour détournement présumé de plus de 2 milliards FCFA au détriment de ladite agence. Seulement, voilà que depuis la mise sous les verrous, le 28 juillet 2015 de l’ex-DG de l’APEJ, Issa Tiéman Diarra, de fortes pressions sont exercées sur dame justice afin de desserrer l’étau sur cet autre ancien DG de l’agence, Modibo Kadjoké, nommé il y a peu président du Comité d’organisation du sommet Afrique-France. Alors que l’ex-ministre Sina Damba, dont la santé serait fragile, est aujourd’hui même convoquée au Pôle économique et financier de Bamako. Qui veut alors couvrir des présumés délinquants financiers dans ce Mali tombé plus bas que terre à cause de la mauvaise gouvernance ? La vieille recette de deux poids deux mesures sera-t-elle appliquée dans la même affaire ? Le temps nous le dira. En tout cas, le doyen des juges d’instruction en charge de ce dossier au Pôle économique et financier, Broulaye Kéïta et le Procureur général près la Cour d’appel, Daniel Tessougué, sont interpellés sur la question.

  43. Je parie que des centaines de jeunes, se réjouit de cette nouvelle. Croyant qu’il était le seul maitre de l’APEJ, Modibo Kadjoké et ces complices ont passés tous leurs temps à bouffé les fonds publics. Au lieu, de résoudre le problème de chômage, il a préféré s’enrichir avec les fonds de l’Etat.

  44. Voir Modibo Kadjoké au beau milieu des résultats de ses actes, n’est pas surprenant. Puis que l’Agence pour la promotion de l’emploi a été épinglée par le rapport 2013 du bureau du vérificateur général pour des irrégularités à hauteur de plusieurs milliards FCFA. Il a été constaté, selon le bureau du vérificateur général, un écart considérable entre les stratégies de politiques publiques et l’atteinte des objectifs. ». Car la non tenue de la comptabilité et le non-respect des textes législatifs et réglementaires en vigueur ont altéré la sincérité des opérations effectuées.

  45. Si ce n’est pas le bon travail qu’est en train de mener la justice malienne comment est-ce qu’un homme peut renoncer à ce si bon poste?
    Cela servira de leçon pour ceux qui croie que l’impunité est toujours en train de prendre marche au Mali.
    😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  46. Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi, la lutte contre la corruption et l’impunité ne font que commencé. Quiconque s’en prend aux biens publics, sera traduit devant la justice. Modibo Kadjoké a toujours eu ce qu’il voulait sous le régime d’ATT. Mais tout règne à une fin, avec IBK c’est tout à fait le contraire.

  47. Avec la mise sous mandat de dépôt suivie de son transfèrement à la prison centrale de Bamako et l’audition des anciens ministres, Modibo Kadjogué et Maiga Sina Damba, il faut dire que la Justice a tout simplement décidé de réaliser un grand » nettoyage » car, chaque année, ce sont des dizaines de milliards de FCFA qui sont mis à la disposition de l’APEJ pour la promotion de l’emploi des jeunes. Beaucoup de ces jeunes, leaders associatifs ou politiques, ont inventé des projets pour puiser dans les caisses de l’APEJ avec, naturellement, des complicités internes. C’est pourquoi, dans les années 2011, le taux de recouvrement de ces crédits accordés pour l’exécution des projets financés était seulement de l’ordre de 2%.

  48. Notre principe au MALI actuellement est que quiconque s’approprie quoique ce soit illicitement passera devant la justice pour répondre de ses actes !!! Personne ne sera plus privilégié encore dans ce pays, tout le monde sera au même pied d’égalité devant la justice !!!

  49. Voilà ce qu’il fallait, pour rendre justice à ce peuple, à sa jeunesse et à ses patriotes. A l’époque ce Monsieur, a fait de l’APEJ un héritage familiale, rare sont les jeunes qui ont bénéficié des biens patrimoines. Pis, il a toujours recueilli l’appui de notre cher père de la corruption ATT.

  50. Ce monsieur n’est pas le mieux placé pour piloter le Sommet France –Afrique de 2016. Il est officiellement inculpés de » crime d’atteinte aux biens publics, de délits de favoritisme et de fractionnement de marchés publics «. Il n’est pas le seul, les ex-directeurs généraux de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ), à savoir Sina Damba et l’ancien préfet Issa Tiéman Diarra sont, depuis, dans les couloirs de la justice pour détournement présumé de plus de 2 milliards FCFA au détriment de ladite agence. Cette accusation n’est pas informelle, Modibo est le fils du père tuteur de la corruption au Mali, il s’agit d’ATT.

  51. L’entente et le bonheur au sein d’une organisation, d’une équipe, d’une nation, sa longévité, reposent sur l’existence et l’application rigoureuse, d’une justice juste, équitable et loyale. C’est pourquoi le président IBK a décidé de désormais sévir pour ne plus laisser un crime impuni. Comprenons par là que désormais nul n’est au dessus de la loi.
    Le problème avec les politiques maliens est qu’ils ne pensent qu’à se remplir les poches au lieu de travailler. Ils font la honte de leur généalogie tout simplement.

  52. C’est pour rappeler à ceux qui prétendaient qu’il y avait encore l’impunité au MALI que ce n’est plus le cas !!! Même ceux qui ont été nommé par le président de la république passent devant la justice !!! Nul n’est et ne sera au dessus de la loi !!! Alors ne nous parlez plus d’impunité dans ce pays encore !!!

  53. La lutte contre la corruption et l’impunité doivent commencés par des individus malsains comme Modibo Kadjoké et ces bandes d’incapables. A cause de son ingérence, ce cher monsieur a suscité des scandales financiers. Nombreux sont les jeunes qui ont été victimes de cette intrusion.

  54. Comment le pouvoir d’ATT peut-il lutter contre la corruption, l’incivisme si l’impunité est érigée en mode 😥 😥 😥 😥
    de gestion du pouvoir, et si les personnes trempées dans les eaux troubles des affaires ont l’assurance
    qu’aucune sanction ne peut les frapper ?
    « L’impunité face à la corruption, la malversation, le trafic d’influence, et toutes ces pratiques néfastes,
    ont le vent en poupe au Mali depuis 2002. Tout ça en si peu de temps. Dire que l’homme sous le
    mandat duquel ces maux sont en train d’empirer pourrait rempiler en 2007. Le Mali à vau l’eau ? On ne
    s’y interroge plus, on le constate dans la vie de tous les jours, tant ce qui se passe aujourd’hui dans
    notre pays dépasse l’entendement… sous le regard impuissant d’Amadou Toumani TOURE, le
    Président élu en 2002 pour réconcilier, moraliser la vie publique en combattant les tares censées être à
    l’origine de nos malheurs. » (Le Challenger, N°193 du 4 Août 2005)
    – Comment lutter contre l’impunité et l’incivisme si les personnes supposées donner le bon exemple de
    civisme, à savoir les forces armées et de sécurité, s’illustrent tous les jours dans le non-respect des
    textes en agissant dans le sens de leurs seuls intérêts personnels ?
    A la question de savoir si le président ATT a peur de ses frères d’arme, on est tenté de répondre par
    l’affirmatif. Sinon, comment comprendre le refus de certains officiers militaires, bénéficiant du soutien
    d’ATT, de dédouaner leurs véhicules contrairement aux directives du Ministre de l’Économie et des
    Finances ?
    Par ailleurs certains officiers et sous-officiers ont refusé d’aller de façon réglementaire à la retraite aux
    dates administratives indiquées sous prétexte qu’ils ne sont pas prêts.
    Pire, les officiers militaires maliens et certains notables du Nord-Mali impliqués dans la vente d’armes
    provenant des stocks de l’armée malienne au Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat
    (GSPC) n’ont jamais été inquiétés. L’armée serait-elle devenue aujourd’hui une zone de nondroit ? Le
    Président ATT a-t-il peur des hommes en uniforme ?
    – Comment lutter contre l’impunité et l’incivisme si les policiers en charge de la circulation routière
    rançonnent à longueur de journée les transporteurs comme les SOTRAMA, les Taxis, les Bus sans être
    inquiétés ?
    Dans le cadre des états généraux de la sécurité et de la paix organisés par le Ministère de la Sécurité
    Intérieure et de la Protection Civile avec le soutien du PNUD du 21 au 23 novembre 2005, le Président
    ATT était fier d’affirmer que nos forces de sécurité ont été dotées de 50 véhicules, 130 motos, et engins
    d’incendie, 3 ambulances et 2 zodiacs pour un montant total de plus de 1 milliard de F CFA, oubliant
    par ailleurs qu’une structure en charge de la sécurité ne vaut que par la qualité, le professionnalisme
    des hommes qui l’animent.
    Les services de sécurité n’étant pas dirigés selon le principe de « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut
    » ne peuvent pas produire les résultats escomptés. En effet, contrairement à ce qui se passe dans
    d’autres pays, les responsables en charge de la sécurité sont nommés sur instruction du Président
    ATT. Le comble est que la plupart d’entre eux sont soit des amis de « grin » du Président, soit des
    hommes trempés dans des affaires de corruption, ou des cadres ayant déjà donné la preuve de leur
    incompétence.
    Il est donc évident qu’un responsable, dont la corruption est connue de ses subalternes, ne puisse pas
    s’actionner ses propres agents corrompus. C’est le cas des agents de police chargés de la circulation 7
    routière qui est devenue le service le plus prisé de la Police. Et cela à cause de la facilité dont les
    agents bénéficient pour se remplir les poches en rançonnant les usagers de la route en l’occurrence les
    transports en commun.

  55. Voici une preuve pour ceux qui pense qu’au Mali il y’a de l’impunité….
    personne n’est au déçu de la loi.

  56. Comme toujours la justice malienne est en train de passé à l’action. La justice malienne sait frapper quant il le faut. La justice est malienne est certes lente main agir toujours. Que tous les vagabonds financier se prépare pour rendre ce qui doit à la justice malienne.

  57. L’Agence pour la promotion de l’emploi a été épinglée par le rapport 2013 du bureau du vérificateur général pour des irrégularités à hauteur de plusieurs milliards FCFA. Il a été constaté, selon le bureau du vérificateur général, un écart considérable entre les stratégies de politiques publiques et l’atteinte des objectifs. » La non tenue de la comptabilité et le non respect des textes législatifs et réglementaires en vigueur ont altéré la sincérité des opérations effectuées «.

  58. Après leur forfait, des présumés délinquants économiques et financiers, au lieu d’être purement et carrément mis à la disposition de la justice pour ensuite être conduits en prison, se voient, en dépit de toute logique et sans aucune enquête de moralité, promus à de hautes fonctions de l’Etat. Où va le Mali avec cette prime à la mauvaise gouvernance ? Ne cessent de se lamenter les cadres honnêtes de ce pays.

  59. L’ancien Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ) Issa Tièman Diarra, inculpé pour » atteinte aux biens, fractionnement de marchés publics et favoritisme » risque 20 ans de réclusion criminelle. Les ex-Directeurs généraux et anciens ministres sous ATT, Modibo Kadjoké (Emploi et formation professionnelle) et Sina Damba (Promotion de la femme, de l’enfant et de la famille) ont été entendus par le pôle économique. L’un des deux anciens ministres pourrait, selon des indiscrétions, être inculpé.

  60. Dans cette affaire de détournement présumé de deniers publics, sont également dans le collimateur de la justice l’agent comptable Abdoulaye Séméga et le contrôleur financier Mohamar Agalou. Tous les deux sont supposés » avoir procédé à des paiements non justifiés et ordonnés » par ces ex-directeurs généraux de l’APEJ désormais mis en cause.

  61. En effet, dans ce dossier relatif aux conclusions du rapport de vérification de la gestion financière et comptable de l’APEJ pour les exercices 2010, 2011, 2012 et 2013, le Bureau du Vérificateur Général a épinglé la gestion de ces trois anciens directeurs généraux qui se sont succédé à la tête de la structure.
    Inculpés et suspectés de détournement de plus de 2 milliards FCFA au détriment de l’Etat du Mali, ces trois ex-directeurs généraux de l’APEJ devraient, en effet, être logés tous à la même enseigne. Cela, si toutefois les multiples engagements des autorités pour un Etat de droit étaient réellement sincères, pas factices et si la justice, qui se dit jalouse de son indépendance, s’assumait comme cela se doit dans un Etat normal, démocratique.

  62. Ce n’est qu’au prix d’une ardente patience que nous pourrons conquérir la cité splendide qui donnera la lumière, la justice et la dignité à tous les maliens. Ainsi on peut croire que le président Ibrahim B Keïta n’a pas fait des promesses à l’aire.

  63. Officiellement inculpés de » crime d’atteinte aux biens publics, de délits de favoritisme et de fractionnement de marchés publics « , les trois ex-directeurs généraux de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (APEJ), à savoir les deux anciens ministres Modibo Kadjoké et Sina Damba, et l’ancien préfet Issa Tiéman Diarra sont, depuis, dans les couloirs de la justice pour détournement présumé de plus de 2 milliards FCFA au détriment de ladite agence. Seulement, voilà que depuis la mise sous les verrous, le 28 juillet 2015 de l’ex-DG de l’APEJ, Issa Tiéman Diarra, de fortes pressions sont exercées sur dame justice afin de desserrer l’étau sur cet autre ancien DG de l’agence, Modibo Kadjoké, nommé il y a peu président du Comité d’organisation du sommet Afrique-France. Alors que l’ex-ministre Sina Damba, dont la santé serait fragile, est aujourd’hui même convoquée au Pôle économique et financier de Bamako. Qui veut alors couvrir des présumés délinquants financiers dans ce Mali tombé plus bas que terre à cause de la mauvaise gouvernance ? La vieille recette de deux poids deux mesures sera-t-elle appliquée dans la même affaire ? Le temps nous le dira. En tout cas, le doyen des juges d’instruction en charge de ce dossier au Pôle économique et financier, Broulaye Kéïta et le Procureur général près la Cour d’appel, Daniel Tessougué, sont interpellés sur la question.

  64. ” Il leur est reproché d’avoir détourné plus de 2 milliards FCFA au détriment de l’Agence au sein de laquelle ils se sont succédés. Une accusation qui selon ses proches, tendrait à porter atteinte à son honneur.” 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

    Effectivement! 😆 😆 Quand on se retrouve publiquement suspecté d’avoir détourné 2 milliards, le moins que l’on puisse dire c’est CA TEND quelque peu à porter atteinte à son honneur! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    • les anciens ministres et anciens directeurs généraux de l’APEJ avaient fait intervenir des personnalités influentes auprès de la justice pour que le dossier ne puisse pas aboutir. Sans succès. Car la justice a décidé de travailler en toute indépendance sans aucune interférence extérieure. Après l’inculpation de l’ancien Directeur général de l’APEJ, Issa Tièman Diarra, le mardi dernier, les autres anciens directeurs généraux Sina Damba et Modibo Kadjoké, non moins anciens ministres, ne seraient pas les seuls à être entendus dans ce dossier de plusieurs milliards de FCFA et qui défraie la chronique. En effet, le comptable de l’APEJ, M.Séméga et le contrôleur financier seront entendus très prochainement par le pôle économique en charge de l’enquête. Selon une source proche du dossier, ces personnes risquent gros dan cette opération d’enrichissement illicite qui a porté sur plusieurs milliards de nos francs.

    • @ nfp, est ce que le mot HONNEUR existe dans la vie le language de nos dirigeants?
      A suivre…

  65. Il a intérêt à démissionner de son poste afin de ne pas jetter l’honneur des “Juristes” aux chien, noblesse oblige. 🙄

  66. Courage Vane, vous avez fait ce que bons nombres de vos compatriotes ne peuvent pas faire, à commencer par votre ancien mentor Me Tall qui refuge toujours de se mettre à la disposition de la justice.
    Courage Vane même si vous êtes coupable vous avez posé un acte exceptionnel.
    Courage Vane!!!!!!!

    • Quoi de neuf que de normal dans tout cela, à moins que l’on ne soit en retard sur la compréhension des principes de la démocratie qui n’exclu pas par extension l’objection de conscience!

  67. Courage Vane, vous avez fait ce que bons nombres de vos compatriotes ne peuvent pas faire, à commencer par votre ancien mentor Me Tall qui refuge toujours de se mettre à la disposition de la justice.
    Courage Vane même si vous êtes coupable vous posé un acte exceptionnel.
    Courage Vane!!!!!!!

  68. Publiez tant que vous y êtes sa lettre de démission, et le débat est clos sur son courage ou son appartenance au grand groupe du malien.

  69. Un cas d’école au Mali . L’acte est grandiose quand bien même il est
    interpellé pour détournement de fonds public .

  70. Foutaise ouais !!!!… Vous imaginez une seconde que ce Mr a démissionné de gaité de cœur ? Ce type traine un container de dossiers sales… On élabore une correspondance ou un article taillé sur mesure par lui-même pour nous faire avaler des bobards sur un courage virtuel. On est au 21ème siècle, il y a moins de co—ns maintenant sauf les éternels 👿 👿 👿

    • Ahhh !!! Je retrouve l’enfant de Kignan!!! 😆 😆 :mrgreen: :mrgreen: C’est comme on s’était concertés !!! On lui a ouvert la porte en lui disant : « tu sors ou on te pousse pour te mettre dehors ! » 😀 😀 😛 😛

  71. Je pense plutot qu’on la fait demissionner. Je vois mal la France accepter qu’une personne citee dans un dossier de detournement de fonds puisse avoir les qualities morales requises pour presider le Comite d’organisatoon du Sommet….Afrique-France. N’oublins pas que la France finance l’organisation du sommet!!!

    • Merci Cousin pour ton intelligence!!! Je suis fier de mon petit cousin… Salut 😆 😆 😆 😆 😆

  72. la balle est dans le camp de la corrompue justice malienne qui ne peut jamais épingler mm les vrais coupables et fossoyeurs de la nation
    courage et bravo à modibo pour cet acte de refus du mangement
    on verra ou on devrait voir qui a raison

  73. il n’avait pas le choix l’affaire est serieuse. il a été contraint à la démission je vous le confirme. La création de son parti au detriment du CNID qui lui a tout donné était pour se mettre à l’abri de ce scandale qu’il sentait venir. Ce Monsieur un pur et dur délinquant financier qui mérite la rigueur de la loi. Et voilà qui pose la lancinante question du choix des responsables de ce pays : aucune enquête de moralité ne se fait avant leurs nominations à des grands postes. Tout se fait sur la base du copinage politique et le résultat c’est toujours la catastrophe. C’est nul !!!!!!!!! tout ça pour notre pays

  74. Si monsieur kadjoke est convoque au pole economique et il sait ce qu il a fait il est oblige de demissioner ce n est pas un acte de bravoure de sa part màis une obligation parce que la justice a besoin de lui.Une honte pour les cadres de notre pays.a voir son diplome et son acte.Ils sont tous des delinquants financiers.Il faut nettoyer 🙁 u l ecurie.A commencer par l entoùrage du president du pm en passant par les ministres.Le Mali a besoin des hommes integres et travailleurs

  75. Un acte de bravoure à saluer.je ne l’aime pas ( pour avoir quitté son parti d’origine qui lui a tout donner) pour autant ,mais un autre TATAM LY en herbe. vraiment bravo.

  76. Incroyable dans ce pays. Démissionner d’un si bon poste relève seulement de l’imagination. Mais pourtant, c’est vrai. Par cet acte, le gogono digne de ce nom vient de montrer qu’on peut si on veut, faire acte de bravoure et de dignité.Nous ne pouvons pas faire le lien entre cet acte et sa formation pour le justifier. Combien de bombardés de droits, dans la même situation, n’ont pas eu le courage de KADJOKE. Courage Modibo et vous en aurez plus que ça, votre ignité.

    • Si l’ex-ministre de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, Sina Damba, a rendez-vous aujourd’hui même avec dame justice au Pôle économique et financier de Bamako, tel est encore loin d’être le cas de Modibo Kadjoké, pourtant inculpés tous les trois (avec Issa Tiéman Diarra qui séjourne depuis la semaine dernière en prison) dans la même affaire.

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