Loin et très loin des regards de tout le monde, avec une passivité innocente, il ronge à fin la structure dont la lourde responsabilité l’incombe à gérer en toute transparence et aussi instaurer un climat de respect mutuel entre les travailleurs. Puisqu’il s’agit de l’instance de régulation de l’espace aérien au Mali, la nature des choses exige l’exercice des employés en fonction de leur compétence ; comme pour dire l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Mais aucun de ces critères n’est maître mot dans la gestion quotidienne du Directeur Général de l’ANAC, Issa Saley Maïga. L’homme dans sa course à l’aveugle, ravage tout sur son passage… et il ne reste qu’à voir l’ANAC s’effondrer après son départ.
Les faits macabres du Directeur Général, de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile remontent, du rapport de nos enquêtes à 2005. Avec à la clé entre cet intervalle 2005-2014 des recrutements ne respectant point les textes réglementaires de ‘ANAC. Le maître du jour recrute en fonction de ses humeurs et aussi ceux qui peuvent faire ses sales affaires. Pas de profil de formation correspondant à certains recrutements. Les catégories ne sont pas respectées et aussi nombreux parmi ceux qui étaient en mise en pied au tems de l’ancienne Directrice, Mme Sanogo Tinin Issabré, pour cause de malversation, reviennent aujourd’hui en maîtres absolus à des postes clés. L’organigramme de l’ANAC ? N’en parlons point. Il n’en sait pas du tout dans son vocabulaire et ses plans d’action. Le Bureau Affaire Sociale n’a jamais fonctionné depuis son accession à ce poste de DG, les agents ont de sérieux problèmes avec des avantages surtout ceux liés à l’INPS, Assurance maladie et que sais-je encore… Au constat, des faits lamentables, le cadre social n’existe plus. Il a mis dos à dos les travailleurs à telle enseigne qu’ils ne se parlent plus, que de clanisme. Dans une structure Etatique ? Allah Akkbar !
Ce climat tendu est uniquement dû à son plein pouvoir de jouer à son gré avec les postes des travailleurs, il nomme qui il veut, il relève qui il veut même parfois des cadres supérieurs se voient coiffés par des agents dont le diplômes est loin d’être égal aux leurs. Un technicien supérieur coiffé par un autre technicien en bas de l’échelle !
Dans ce canevas, celui qu’il vient de nommer, il n’y a même pas six, avec la lourde responsabilité de gérer le Bureau Infrastructure et Développement, est illustratif. Toute chose qui a irrité la moralité de certains ingénieurs de la navigation qui ont claqué la porte pour de nouveaux horizons. Certains à l’ASECNA ou aux instances de l’ANAC, dans la sous-région d’autres aussi dans les organisations internationales tout en laissant leurs postes vacants. Une lourde perte en terme humain d’expérience mais aussi de rendement. Ces ingénieurs-là, nombreux parmi eux sont des purs produits formés par l’argent de l’ANAC. Les raisons de leur départ ? Frustration, complaisance et injustices dont ils sont victimes de la part de leur chef.
Mauvaise gestion financière !
A tous ces faits déshonorants, s’ajoute une mauvaise gestion qui ne dit pas son nom. Pour preuve, certains marchés sont traités avec des cadres supérieurs de la structure sous fausse identité ; les salaires (montant) il se l’octroie sans aucune décision. Selon surtout ses besoins, tant tôt il est question de 900 0000 F et parfois de plus de 4 millions.
La Surfacturation, cela est sa spécialité. Et les preuves se trouvent dans les détails de certaines factures dont nous avions pu nous procurer des copies : Conception et Impression de cartes de vœux et aussi de calendrier Chevalet dont le montant global s’élève à plus de 400 000 milles Francs ; des portes soi-disant blindées (2) fabriquées à plus de 7.980.000 F ; des Armoires à clés (1) à 1.810.900 F ; fenêtre avec grille de protection (4) à 1.077.008 F ; des équipements de Sûreté Machine X-Ray pour traitement des bagages de soute (2) 84 230 400 F ; machines détecteurs de traces d’explosifs (2) 63 238 400 F ; portiques de détection de masse métalliques (3) 20 664 000 F ; magnétomètres portatifs de détection de masse métalliques (10) 4 198 400 F ; Transport (1) 20 336 000 F ; Installation (1) 22 304 000 F ; Formation à l’usine de deux techniciens de l’ANAC (1) 25 059 200 F ; Groupes Electrogène de 75 KVA type (1) 17 370 000 (il aurait acheté deux et amené un à son domicile) ; Inverseur Automatique (2) 677966 ; Frais d’installation (1) 2 966 102 ; Cartons de Bol à café (12) dont le prix unitaire est de 18 000f : 216 000 F ; Cartons de Bol à boire (12) prix unitaire : 144 000 F ; Cartons de verre à boire (12) prix unitaire 18 000 : 216 000 ; Paquets de cuillères à café (12) prix unitaire 12 000 : 144 000 ; Paquets de cuillères à Thé (12) prix unitaire 12 000 : 144 000 etc.
A suivre
Rédaction
ce journaliste doit demander à sa Mere s’il est le fils de son pere prendre 10000 FCFA pour publier des mensonges tu fais honte à ce metier
Tout ça parce que le dg a relevé certains de leur poste; parce qu’il a mis fin au clientelisme. Que le malien est faux
M.Issa Saley Maïga a servi à la délégation de l’ASECNA ici à Paris pendant de longues années.C’est un homme honnête.Le malien n’aime pas les
responsables qui les empêchent de détourner.Ce n’est pas une question de Sonrhaï ou de Bozo…Mais quelqu’un qui a eu à travailler aussi longtemps ici avec les européens sans problème ne doit pas être un mauvais cadre en soi.Les journalistes maliens font la honte de leur profession: ils écrivent des articles sur commande à tel point que personne ne les croit
plus. 😉
Le meilleur dg de l’anac de tous les temps
A vérifier, l’avenir jugera
Vous vous attaquez aux sonrhaïs pour faire de la place à vos frères. Vous êtes les premiers ennemis de l’unité nationale, pire que le MNLA que vous haïssez
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