En prélude à l’ouverture prochaine de négociations de paix entre le Gouvernement du Mali et les groupes armés du nord du pays, prévue à Alger le 1er septembre 2014, le parti Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE-AN KA WULI), a engagé le débat en son sein sur l’ensemble des questions liées à la problématique de la paix, la réconciliation, les réformes administratives et institutionnelles, le retour et la réinsertion des réfugiés et personnes déplacées, la justice, la protection et la promotion des droits de l’homme, en ligne avec le programme proposé par les FARE lors des dernières consultations.
I-Contexte et Justification
Du 16 au 24 juillet 2014 la rencontre d’Alger a abouti à l’élaboration d’une feuille de route devant conduire aux prochaines négociations de paix dans le cadre du processus d’Alger. La feuille nous est venue, en deux documents relativement identiques mais signés par des acteurs différents.
L’exigence d’inclusivité pourtant réaffirmée par toutes les résolutions des Nations unies et l’Accord préliminaire de Ouagadougou ne semble pas encore acquise.
Les points clé de cette feuille de route sont :
la réaffirmation des principes de base reposant sur la constitution du Mali et repris par les différentes résolutions des Nations unies et l’accord préliminaire de Ouagadougou ;
la désignation du médiateur Algérien ;
l’élaboration d’un chronogramme qui prévoit la fin de la négociation dans les trois mois avec la signature de l’Accord de paix au Mali;
les modalités d’organisation de la négociation et les thèmes de négociation.
Les pourparlers d’Alger ont aussi débouché sur un accord de cessation des hostilités.
II – Analyse et observations
La feuille de route signée le 24 juillet entre le Mali et les groupes armés est une étape à saluer, en ce qu’elle réaffirme les principes intangibles (le respect de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale du Mali; le respect de la forme républicaine et la laïcité; le respect des droits de l’Homme, de la dignité humaine, des libertés fondamentales et religieuses), identifie les acteurs, définit les thèmes devant structurer les discussions et les calendriers y afférents.
Cependant elle comporte un certains nombre de faiblesses, dont le manque d’harmonisation des positions des mouvements armés, ce qui pourrait augurer de difficultés à venir.
Il y a eu aussi dans les préparatifs des pourparlers un manque de concertation sur les négociations d’Alger, les difficultés du gouvernement à indiquer la direction appropriée à imprimer au processus de paix, au point qu’à la veille de la rencontre d’Alger c’est l’improvisation qui a dominé tout le processus de préparation des pourparlers.
Il faut donc regretter que le gouvernement n’ait pas jugé nécessaire de consulter les Maliens ni avant ni après les pourparlers d’Alger en vue de dégager une position nationale sur les grands axes de la négociation.
Les partis politiques et la société civile ont été écartés de toute contribution concertée à la solution de la crise. Les rencontres initiées par le président de la république n’étaient pas de véritables cadres de contribution à la recherche de solution à une crise qui engage le pronostic vital de la nation.
On note, à la veille de la reprise des négociations, une prolifération des groupes armés désireux de marquer leur présence sur le terrain et de participer au deuxième round d’Alger, un regain d’activités terroristes, pendant que l’Etat (administration, armée…) est absent de toute cette partie de notre territoire.
Tout ceci découle d’une absence de schéma, de stratégie, voire de vision claire du gouvernement par rapport à l’ensemble du processus de paix au Mali.
II Orientations et recommandations
Pour nous, il n’y a de solution véritable et durable à la crise du nord que globale et nationale.
Seul un pacte d’avenir est capable d’engager les mutations pour que la société de demain et d’après demain réponde à nos aspirations combien légitimes de progrès social. C’est ensemble et en confiance que nous ferons l’avenir du Mali entier dans son unité, sa diversité, sa dignité, sa sécurité et sa prospérité.
Pour les FARE, il s’agit de rassembler, d’être les initiateurs d’un véritable renouveau démocratique, les artisans d’une véritable refondation que mérite le pays ; le pays que nous aimons tous ; que nous avons vu vaciller et que nous voulons défendre. Parce que ce pays n’est pas un parti, un groupe, un clan, ce pays est un peuple, une nation, des Maliennes et des Maliens qui aspirent à la modernité, qui ont droit au meilleur et dont l’avenir ne se conçoit que si nous savons tous nous rassembler.
Trouver en nous-mêmes l‘imagination, le courage d’apporter aux épreuves et défis nos propres réponses. Inventer les pratiques politiques et administratives démocratiques que nous serons en mesure de reconnaître spontanément comme nôtres.
Il n’y a de cohérence de notre système républicain et démocratique que par la refondation des institutions dans lesquelles chaque Malien doit pouvoir se retrouver. En lesquelles chaque Malien doit pouvoir se reconnaitre. Sur lesquelles chaque Malien doit pouvoir compter pour défendre ses valeurs, ses droits et faire prendre au pays les bonnes directions. Institutions qui doivent enfin inspirer à chacun l’envie de les servir. De les respecter. De les défendre.
Chaque fois que l’Etat organise la solidarité nationale, il contribue à ce qu’on le respecte, à ce que tous les Maliens trouvent naturel d’aimer leur Etat. Notre Etat a le devoir de maintenir l’unité nationale et l’intégrité du territoire et au besoin de mobiliser l’armée pour cet objectif.
Mais à terme, l’unité du pays ne sera durablement assurée que si les habitants de toutes les parties de la république savent pouvoir compter sur un Etat solidaire, efficace et juste.
C’est fort de cette approche que le Parti FARE, sans exhaustivité, évoque quelques pistes, recommandations ci-après.
La nécessité d’une véritable mobilisation
Le Parti réaffirme son appel du 24 mai 2014 au Président de la République lui demandant de créer un cadre de discussion franche à même de favoriser les conditions d’une mobilisation nationale pour la paix et la réconciliation ; mobilisation, qui n’est pas pour un parti, un groupe ou un clan mais pour notre pays, pour sauver notre nation ; d’engager résolument, sur la base de l’Accord préliminaire de Ouagadougou, un processus de dialogue lisible, cohérent et inclusif.
Le respect des principes républicains
Le parti FARE réaffirme sa position concernant le respect scrupuleux de la Constitution du 25 février 1992 dans toutes ses dispositions pertinentes prises déjà en compte par toutes les résolutions des Nations unies (2100 et 2164) et l’Accord préliminaire de Ouagadougou.
En outre le parti FARE réaffirme avec fermeté qu’en tout état de cause, les futures négociations ne peuvent conférer une quelconque spécificité à une partie du territoire national dans les reformes administratives et institutionnelles nécessaires à venir.
Celles-ci devront passer par « une rigoureuse équité de traitement entre toutes les parties du pays sans quoi les vibrants appels à la réconciliation ne sont que de vains mots ». L’équité qui sera la base de la reconstruction nationale vaut pour tous.
La décentralisation, vers de nouveaux paliers
Dans le cadre d’une régionalisation qui ne s’apparentera pas au régionalisme, un nouvel élan de la décentralisation rapprochera les citoyens de l’Administration et des ressources avec des attributions accrues aux régions et des contrats de programme entre l’Etat et les assemblées régionales. L’unité nationale trouvera un nouveau souffle dans cette dynamique qui favorisera l’égalité de toutes les régions, soutenue par un schéma d’aménagement et de développement des territoires.
Il nous faut doncredonner du sens à notre processus de décentralisation pour franchir de nouveaux paliers.
Ceci implique un développement équilibré du territoire: un maillage infrastructurel inclusif, des régions responsables du développement du potentiel économique régional (minimum régional administratif, sécuritaire, social, sanitaire, éducatif, économique …).
Rechercher un meilleur équilibre et une plus grande complémentarité entre les régions, dans le cadre d’une vision globale et stratégique de l’aménagement du territoire, visant à réaliser des opportunités égales pour tous et à préparer le pays au décollage économique.
Cette démarche, qui intègre la création de nouvelles régions et les mutations en cours dans notre sous région, exigent de nous une revue du schéma d’aménagement de notre territoire.
Un schéma d’aménagement équilibré du territoire
Il est opportun d’organiser un débat national dont les principaux résultats alimenteront une charte nationale d’aménagement du territoire et un schéma national d’aménagement du territoire en vue de relever les défis du développement économique, social et culturel, la préservation des équilibres environnementaux de l’augmentation de l’efficience économique de la gouvernance régionale et locale et de la compétitivité.
Ainsi, grâce à des « dorsales » ferroviaires, routières, fluviales, aériennes, énergétique et de communication moderne (TIC) et en jonction avec les infrastructures communautaires régionales, le schéma national d’aménagement ouvre la voie à l’émergence de pôles locaux et régionaux de croissance et de développement, viviers d’une économie pleinement compétitive dynamique et robuste.
L’Etat devra veiller à ce que les disparités entre régions se réduisent de telle sorte que la régionalisation contribue à l’unité nationale et ne s’égare pas dans des particularismes destructeurs.
La Réconciliation, la cohésion sociale
L’Etat ne peut renoncer à protéger la fraternité de tous les Maliens et à construire concrètement leur solidarité.
D’où l’importance de la cohésion sociale qui nécessitera la mise en place de cadres de concertations entre tous les acteurs de la société. L’unité du peuple et la justice sociale sont des conditions indispensables à la solidité de la société et de ses institutions.
La cohésion s’appuie sur trois axes : développer la citoyenneté ; assurer à chaque citoyen l’accès au savoir, aux soins de santé, à la création et à la distribution de la richesse nationale ; assurer l’accès à l’emploi et à la protection sociale.
L’Etat devra initier des actes de sensibilisation contre les préjugés liés à l’appartenance à telle ou telle communauté et pour la fraternité républicaine. Les citoyens égaux et respectés au Nord comme au Sud devront contribuer à l’ordre républicain.
Une charte de la cohésion sociale pourrait utilement soutenir cette approche.
De même, la bonne distribution de la justice est un facteur de cohésion sociale, alors que l’impunité détruit la société. C’est pourquoi le parti FARE ne saurait cautionner un accord prochain qui pourrait couvrir :
les crimes de guerre,
les crimes contre l’humanité,
les crimes de génocide,
les crimes de violence sexuelle
et les violations graves du droit international des droits de l’Homme et du droit international humanitaire.*
Le Désarmement, la Démobilisation et la Réinsertion
7- Pour le parti FARE, la réintégration des déserteurs qui ont pris les armes contre les soldats de l’armée régulière peut comporter des risques pour la paix et la cohésion sociale.
Aussi, pour le Programme de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion socio-économique, il faut d’abord procéder à l’évaluation de l’expérience malienne en la matière de 1992 à 2011.
La réorganisation des forces de Défense et de Sécurité doit se faire en fonction des nouveaux défis sécuritaires qui se posent au Mali, en particulier elle doit prendre en compte les changements intervenus dans la nature même des menaces pour notre pays.
Les menaces sont communes, les ripostes doivent l’être. Il nous faut réinventer solidarités et partenariats stratégiques entre et avec les pays du champ, la CEDEAO, l’Union africaine et, bien entendu avec les pays occidentaux.
Le Retour des refugiés et des populations déplacées
8-Dans le processus de paix au Mali, le retour des réfugiés, des populations déplacées, de même que la protection et la promotion des droits de l’Homme sont des facteurs déterminants de la réconciliation.
L’Etat doit diligenter toutes les démarches liées aux questions des droits de l’Homme pour l’ensemble des victimes civiles et militaires.
Les litiges fonciers, les violences faites aux femmes et aux enfants devront être examinés avec diligence et attention particulière. Il s’y ajoute la justice et la fin de l’impunité.
Pour la prise en charge de toutes ces questions, le Mali devra se donner les moyens de procéder à une évaluation de la situation dans son ensemble. Il devra également rationaliser les structures d’intervention dans la résolution des problèmes.
La capacité d’organisation et d’adaptation de nos structures administratives comptera beaucoup dans cette perspective, ainsi que la qualité de nos relations avec les partenaires extérieurs et les pays d’accueil des réfugiés.
Pour ce faire, la présence de l’administration publique est indispensable.
L’Etat devra immédiatement engager la reconstruction des infrastructures de vie.
La sensibilisation tant des populations refugiées que déplacées ainsi que celle des populations résidentes est un préalable au retour et à la réconciliation.
En tout état de cause, le parti FARE estime que le pays peut difficilement faire l’économie d’un débat national sur l’objet des pourparlers en cours.
Bamako, le 30 août 2014
Dans le contexte actuel, Modibo Sidibe incarne la mesure, le juste milieu et le retour à la normal…
Il a été saboté par tout les vieux partis politiques car il allait tous les balayer et proposer quelque chose de nouveau pour la république.
Cet homme incarne la dignité du Mali. Je ne doute pas qu’il saura le moment venu se remettre au service du pays pour remettre le pays sur les rails. En attendant, on va subir les frasques du régime, continuer à être humilier, être la risée de la communauté internationale et supporter le crise économique et l’instabilité politique.
Où serions nous aujourd’hui si le coup d’Etat du 22 mars qui a été avant tout diriger contre cet homme par des militaires manipulés par des politiciens n’avait pas eu lieu…même les putschistes regrettent de s’en être pris à lui…
Le parti FARE est responsable et par ces propositions prouve qu’on peut un faire Mali juste ou tous les maliens ont les obligations et les devoirs. Oui les Fare je suis d’accord que peut pas continuer à dans la voie de l’impunité , tout crime doit être puni et on ne peut continuer à insérer des gens et les remettre des armes qu’ils retournent par la suite contre leurs frères. Aux lignes rouges d’IBK vous ajoutez 3 autres de taille (i) pas de specifité régionale une régionalisation accrue pour toutes nos régions, (ii) pas d’impunité rendre justice et punir tous les crimes pour enfin que la paix et la réconciliation ne soient de vains mots (III)!pas de réinsertion pour les déserteurs qui prit les armes contre leurs frères.
Oui, cet homme est valeureux et il connait bien l’administration et l’Etat du Mali. On peut lui faire confiance. Pour cela, il faut que les FARE assument leur différence et fassent connaitre leur projet.
Courage donc aux FARE et à leur leader.
Modibo a grande expérience du dossier du nord, s’il fait des propositions il faut prendre le temps de les étudier.
le président doit se méfié de ces propositions empoisonnées.
Tout est consigné en ces mots Monsieur le PM: ” l’unité du pays ne sera durablement assurée que si les habitants de toutes les parties de la république savent pouvoir compter sur un Etat solidaire, efficace et juste.”
Parait il que les les auteurs du coup d'Etat contre ATT avaient trouvé des preuves qu'il y avait des urnes dejà remplies par le specimen d'un candidat qu'ATT voulait faire passer plus de 50 °/° des maliens avaient cru en cela on a encore du chemin à parcourir
Merci, vive l’opposition malienne. Avec vois le Mali avance inchaallah
Quelle que soit la durée de la nuit, le jour finit tjrs par se lever! Le peuple est contraint de se rendre à l’évidence qu’il s’est lourdement trompé ou qu’il s’est laissé abusé par des vendeurs d’illusions. Ils n’avaient aucun programme sérieux et n’ont jamais eu de programme pour ce pays. Ils n’avaient que leurs pratiques maléfiques et des illusions à proposer aux Maliens. Dieu n’aime pas la fourberie, le mensonge, la calomnie, la méchanceté, l’hypocrisie, la médisance et toutes ces pratiques dont ils ont usé pour asservir le peuple. Aujourd’hui, ils en paient le prix. ce n’est que le début du commencement. Pitié pour le Mali pour avoir été trompé de façon si affligeante. Mais Dieu est Grand! ALla tè dji to nono la!
Modibo est le seul vraiment a avoir le niveau pour gérer ce pays. vive et vivement les FARE, on sait vraiment trompé sur son compte…
Je suis conscient maintenant que cet Monsieur peut apporter quelques chose au Mali. Il est temps qu’on arrête avec les calomnies et les méchanceté pour faire fasse aux problèmes sérieux. IBK est un échec notoire. Quand ça ne vas pas, il faut avoir le courage de le dire. C’est ce qui c’est passé en France l’autre jour avec Montebourg. Modibo l’alternative
MODIBO SIDIBE n’a rien dit d’extraordinaire. C’est son devoir de le dire parce qu’il est conscient maintenant que les faux critiques ne lui mènent nul part.Et c’est plus facile de dire tout ça en extra.S’il avait une solution pour le mali, qu’est ce qu’il faisait alors pendant toutes ces années à la primature. Quelqu’un qui n’a même pas pu gérer la fameuse initiative riz sous le régime d’ATT
Ce Modibo a vraiment été sous estimé et conspué pour rien. Il est le seul à faire des propositions constructives et cohérentes sans tomber dans la politique de caniveau…
On nous a trompé sur lui…vraiment c’est dommage pour ce pays.
AVIS AUX EGARES POLITIQUES ET AUX ORPHELINS POLITIQUES, SANS OUBLIER LES DECUS ET LES INDECIS. JE PENSE QUE LE PARTI FARE DE MODIBO SIDIBE INCARNE LA VRAIE OPPOSITION, IL EST SELON MOI LA VRAIE ALTERNATIVE.
LES PARTIS POLITIQUES QUI ONT PACTISE AVEC IBK DE BONNE FOI OU SUIVANT LES INTERETS VOILES DES DIRIGEANTS DOIVENT SE RETIRER POUR LES INTERETS DU MALI.
ON LE SAIT, C’EST CONFIRME, IBK N’A PAS ET N’A JAMAIS EU DE PROGRAMME POUR LE MALI. SON SEUL PROGRAMME C’EST SA FAMILLE.
LE POPULISME A SES LIMITES..IBK A ATTEINT SES LIMITES APRES DEUX MOIS DE REGNE. IL N’A JAMAIS LIVRE LA MARCHANDISE A PART REALISER SON REVE DE FAIRE REGNER SA FAMILLE SUR LE MALI.
MERCI FARE, POUR TOUT CE QUE VOUS FAITES POUR LE MALI
VOILA UN PARTI, UN HOMME QUI EST PREPARE, PRET A GERER. IL A UN PROGRAMME BIEN ELABORE, IL N’A JAMAIS ARRETE DE TRAVAILLER, MALGRE TOUTES LES ATTAQUES DONT IL A FAIT OBJECT.
LES MALIENS IGNORENT TOUT DE LA RENCONTRE D’ALGER.
ON ASSISTE A UNE SERIE DE LIBERATIONS DES CRIMINELS, SANS CONSULTATIONS, NI AUTORISATIONS JUDICIAIRES. UNE VRAIE IMPROVISATION.
CE MONSIEUR NE FAIT PAS D’IMPROVISATION, COMME L’EMPEREUR ET SA FAMILLE IMPERIALE AUX COMMANDES DE CE QUI RESTE DU MALI, .APRES LE PILLAGE SYSTHEMATIQUE DES BIENS.
JE DEMANDE A MALIWEB DE LAISSER CET ARTICLE SUR LE SITE, AFIN QUE LES DIGNES FIILS ET FILLES DU PAYS SOIENT EDIFIES SUR LES VALEURS DE CET HOMME.
CE N’EST PAS DU PILOTAGE A VUE.
JE GAGE QUE CET ARTICLE NE FERA PAS PLUS DE 48 HEURES, SANS QUE LE MINISTRE MAMADOU CAMARASME DE LA DEMAGOGIE, DE LA DESINFORMARTION, DE L’INTIMIDATION DES MEDIAS, NE FASSE PRESSION POUR L’ENLEVER.
LA PREUVE, L’INTERVIEW DE MODIBO N’EST PAS SUR LE SITE DE AFRICABLE, A COMPARER A D’AUTRES.
Je commence à voir clair dans affaire de Modibo sidibe ce Mr est valeureux et du talent c’est grace à lui qu ATT a pu bien gerer ce pays .La verite verra le jour bientot
Félicitations aux FARE. Voici ce qu’on attend d’un parti responsable et sérieux. J’ai personnellement voté et mobiliser pour IBK. Mais face à la deception et à la frustration de sa gestion du pays (calomnies, népotisme, arrogance, corruption, etc), Modibo Sidibé sera bien l’alternative crédible pour les élections prochaines.
Modibo: ils avaient menti sur toi de corruption, d’associable mais nous commencons à te connaitre davantage. C’est dommage que les maliens n’ont pas pris le temps de bien te connaitre. On t’a jugé sur du faux.
IBK, Anfilila !
s’il y a un role a jouer ce parti de l’opposition joue le sien et c’est en cela qu’il pourra certainement cree une alternance. Mais il faut elargir la communication et l’étendre sur d’autres espaces.
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