Les leaders de l’opposition sont formels : leur marche du samedi 8 décembre prochain restera dans les annales de l’histoire du Mali. Ensemble, le Front pour la sauvegarde de la démocratie (FSD), la Coalition des forces patriotiques (CoFoP) et l’association ADEMA comptent, à travers cette manifestation, se liguer contre les dérives (violences policières, dégradation de la situation sécuritaire au centre du Mali, découpage territorial, insouciance de l’Etat…) du régime d’IBK.
Le Front pour la sauvegarde de la démocratie (FSD), la Coalition des forces patriotiques (CoFoP) et l’association ADEMA appellent les Maliens (à Bamako, dans les régions et à l’extérieur) à une grande marche le samedi 8 décembre 2018. Ladite marche partira de la place de la liberté pour prendre fin devant la bourse du travail. Cette nouvelle manifestation de l’Opposition vise à condamner fermement les violences policières du 16 novembre dernier. « la dégradation de la situation au centre du Mali (au moins 1200 morts en deux ans), l’opposition à la division et à la déstabilisation du pays par les projets de « découpage territorial, l’insécurité grandissante, la cherté de la vie et les difficultés financières de l’Etat, résultats de la gabegie et de la mauvaise gouvernante, l’incapacité des autorités de fait à relever les défis, l’insouciance d’Etat (exemple: deux mois après sa formation, le gouvernement prend des vacances) », seront les autres thèmes de la marche, selon les organisateurs. Pour rappel, la dernière manifestation de l’Opposition, le vendredi 16 novembre 2018 a été violemment réprimée par les forces de sécurité devant la bourse du travail de Bamako. Le FSD, la COFOP et l’Adema Association, ensemble, ont condamné avec la dernière énergie une répression « barbare planifiée par les plus hauts responsables du régime ». « Dans son obsession à étouffer par la violence toute contestation même pacifique, le régime n’a pas hésité à ordonner à sa police de gazer des personnalités de dimension nationale et internationale comme Ali Nouhoum Diallo, Soumaïla Cissé, Mme Sy Kadiatou Sow, Djibril Tangara, Mohamed Ali Bathily, Choguel Kokalla Maïga, Housseinou Amion Guindo, Maîtres MountagaTall et Hassane Barry, Djiguiba Keïta, Oumar Mariko ou Coulibaly Kadiatou Samaké », expliquent les responsables du FSD, du COFOP et de l’Adema Association.
MKD
Laissez les marcher, c’est un droit, 3000 personnes dans la rue sur une population de plus d’1 million d’habitant, d’où vient cette légitimité, aigris, mécontents et égoïstes qu’ils sont, de toute façon BOUA élu à la majorité finira ses 5 ans IN CHALAW, les chiens aboient, la caravane passe
Si un président est légitime,ça se constate dans l’appel à la mobilisation de ses opposants.
Si le peuple est satisfait de la gestion du président de la république ,il va de soit qu’ il ne va pas répondre à la sollicitation de ses détracteurs.
L’acte qui est entrain d’être posé pour le samedi rentre parfaitement dans le cadre des démarches démocratiques pour permettre au peuple de s’exprimer.parfaitement afin que les autorités sensées être au sommet de L’ÉTAT démocratiquement puissent prendre en charge leurs doléances.
La démocratie exige aussi que si les doléances ne sont pas prises en compte,le peuple mécontent peut adopter d’autres méthodes que la marche comme bloquer les carrefours stratégiques de la ville .
S’il arrive à déborder les forces de l’ordre marque une adhésion forte de la population à ces doléances.
C’EST AU PRÉSIDENT,S’IL PENSE QU’ IL ÉMANE DU PEUPLE,D’ÉCOUTER LEURS VOIX ET AGIR EN CONSÉQUENCE.
Si le mouvement n’est pas suivi d’effets populaires,C’EST AUX FORCES DE L’OPPOSITION D’ACCEPTER LE FAIT ACCOMPLI ET LAISSER LE PRÉSIDENT TRAVAILLER.
Si le peuple ne réagit pas,la conclusion sera faite qu’ il est d’accord avec la gestion que nous sommes nombreux à dénoncer.
Mais laissons le peuple s’exprimer sans utiliser la violence.
Si le pouvoir utilise la violence ,il sera responsable des casses d’édifices publiques qui vont suivre.
La responsabilité de la sécurité des édifices est du domaine gouvernemental.
S’il pense qu’ il n’a pas assez de forces pour les sécuriser, il doit sécuriser la marche.
La démocratie doit se revivier par des marches afin d’éviter que notre pays soit basculer dans une violence permanente stérile comme en RDC.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE !
La lutte continue.
Les opposants au regime , AW BE’ KA SABALI!!! Evitez la fuite en avant!!!
Les maliennes et les maliens viennent de confier UN DEUXIEME MANDAT a’ IBK !!!! La decision du peuple doit etre respecte’e!!!
Cher LE ROI BITON DE SEGOU, Le second mandat de IBK a été usurpé sinon le peuple malien n’a pas voté pour IBK dans sa majorité, toi même tu le sait.
Dieu est au contrôle sachez que la dignité n’a de sens que lorsque la valeur de l’homme peut l’élever vers une conscience qui lui inspire respect. Tant que le tout et le très miséricordieux est avec toi, tous ceux qui s’attendent te voir échouer, te verront réusir InchAllah et nous lui demandons qu’il nous guide sur le droit chemin en nous assistant tous yarabi
Comments are closed.