Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :
– adopté des projets de textes et
– procédé à des nominations.
AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES
Sur présentation du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi modifiant l’Ordonnance n°2013-021/P-RM du 03 décembre 2013 portant loi des finances pour l’exercice 2014
Le budget d’Etat 2014 avait été arrêté en recettes à 1518 milliards 116 millions de Francs CFA et en dépenses à 1 559 milliards 440 millions de Francs CFA.
L’exécution du budget 2014 a lieu dans un contexte international de reprise économique malgré les risques de dégradation liés à l’augmentation des prix de certaines matières premières telles que le pétrole.
Au plan national, son exécution est marquée par les perspectives macroéconomiques favorables en raison du rétablissement de la sécurité et du retour des partenaires techniques et financiers.
Le cadrage de la loi des finances rectificative 2014 est bâti sur des hypothèses d’un taux de croissance réel du PIB de 6,5 % contre un taux de 6,3 % dans le cadrage initial, d’un taux d’inflation de 2,9 % et un objectif de solde budgétaire de moins 0,5 %.
La modification de la loi de finances initiale 2014, également appelé Collectif budgétaire vise :
– d’une part à ajuster les prévisions initiales de recettes budgétaires 2014 afin de tenir compte de la moins-value de recettes de 2013, à mettre à jour les annonces d’appuis budgétaires généraux, sectoriels et d’aides projets (BSI) des partenaires techniques et financiers et à prévoir des ressources suffisantes pour le remboursement des arriérés et du courant 2014 de crédits TVA ;
– d’autre part, à prendre en charge les dépenses nouvelles, les dépenses de remboursement des arriérés et du courant 2014 des crédits TVA et les ajustements sur une partie du Budget spécial d’investissement (BSI) pour tenir compte des nouvelles priorités.
Le budget d’Etat 2014 rectifié est arrêté comme suit :
– en recettes à 1660 milliards 087 millions de francs CFA contre 1 518 milliards 116 millions de francs CFA dans le budget initial, soit une augmentation de 9,35 % ;
– en dépenses à 1806 milliards 564 millions de francs CFA contre 1 559 milliards 440 millions de Francs CFA dans la loi de finances initiale, soit un taux de progression de 15,85 %.
Le budget rectifié présente un déficit de 146 milliards 477 millions de francs CFA.
AU CHAPITRE DES MESURES REGLEMENTAIRES
Sur le rapport du ministre des Domaines de l’Etat, des Affaires Foncières et du Patrimoine, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant affectation de la parcelle de terrain objet du titre foncier n°71 520 du Cercle de Kati sise à N’Tabacoro, commune rurale de Kalaban Coro.
L’Union des Ulémas d’Afrique a été créée lors de la rencontre des Ulémas d’Afrique tenue du 8 au 10 juillet 2011 à Bamako.
L’affectation au Ministère des Affaires Religieuses et du Culte d’une parcelle de terrain s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord d’établissement signé à Bamako entre le Gouvernement de la République du Mali et l’Union des Ulémas d’Afrique, le 13 octobre 2011.
La parcelle d’une superficie de 2 hectares 00a 00 ca sise à N’Tabacoro, Commune rurale de Kalabancoro, Cercle de Kati est destinée à abriter le siège de l’Union.
Sur le rapport du ministre du Commerce, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret fixant l’organisation et les modalités de fonctionnement de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali.
La Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali est un établissement public à caractère professionnel, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle est la plus ancienne des institutions consulaires et la plus sollicitée dans la mise en œuvre des politiques publiques du fait de la dimension transversale de ses missions.
Les difficultés rencontrées à l’occasion des élections consulaires de 2006 ont révélé l’ambigüité et l’insuffisance des dispositions relatives au régime électoral, en particulier les conditions requises pour être électeurs et éligibles dans les instances de la Chambre.
La relecture des textes d’organisation et de fonctionnement de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali prend en charge ces insuffisances. Elle vise également à renforcer l’établissement avec une plus grande adéquation entre le poids économique des acteurs et le pouvoir de décision ou de représentation au sein de ses organes dirigeants.
AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES :
Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes :
AU TITRE DU MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE :
– Conseillers techniques :
Monsieur Abdoulaye Mamadou DIARRA, Administrateur civil ;
Monsieur Abdallah FASKOYE, Administrateur civil ;
Monsieur Babahamane A. MAIGA, Administrateur civil ;
Monsieur Youssouf CAMARA, Administrateur civil ;
Monsieur Alioune Badara DIAMOUTENE, Inspecteur général de Police ;
Monsieur Idrissa Kabola CISSOUMA, Contrôleur général de Police.
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES :
– Conseillers techniques :
Monsieur Oumar WAGUE, Inspecteur des Impôts ;
Monsieur Boncana MAIGA, Ingénieur sanitaire ;
Monsieur Soussourou DEMBELE , Inspecteur des Impôts.
– Chargé de mission :
Madame MAIGA Zaliha MAIGA, Administrateur civil.
– Directeur des Ressources Humaines du Secteur du Développement Economique et des Finances:
Monsieur Moussa MACALOU, Administrateur des Ressources humaines.
– Chef de la Cellule de Contrôle et de Surveillance des Systèmes financiers décentralisés :
Monsieur Samba SISSOKO, Inspecteur des Services économiques.
AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE L’INTEGRATION AFRICAINE ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE :
– Secrétaire Agent comptable à l’Ambassade du Mali à Malabo:
Monsieur Issa Bakary CISSOKO, Contrôleur du Trésor.
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERHCE SCIENTIFIQUE :
– Chef de Cabinet :
Monsieur Gallo BA, Ingénieur agronome.
– Chargés de mission :
Monsieur Amidou TOGO, Professeur,
Madame Djénéba Dème DIALLO, Journaliste.
AU TITRE DU MINISTERE DE L’URBANISME ET DE L’HABITAT :
– Chef de Cabinet :
Monsieur Gaoussou COULIBALY, Administrateur civil.
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION :
– Chef de Cabinet :
Monsieur Oualy Sékou TRAORE, Juriste.
– Chargés de mission :
Monsieur Abdoulaye Bekaye KEITA, Juriste ;
Madame Diadji SACKO, Juriste ;
Monsieur Demba COULIBALY, Gestionnaire.
AU TITRE DU MINISTERE DE LA CULTURE :
– Chargé de mission :
Madame Mariama BAGNA, Inspecteur des Services économiques.
AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES RELIGIEUSES ET DU CULTE :
– Chargé de mission :
Monsieur Yahia OULD ZARAWANA, Juriste.
Bamako, le 03 juillet 2014
Le Secrétaire Général du Gouvernement
Mme DIAKITE Fatoumata N’DIAYE
Commandeur de l’Ordre National
How neat! Is it really this sipeml? You make it look easy.
on n’en doutait pas , car le chpagmane est de9je0 au frais et n’attend plus que votre retour pour arroser cette magnifique aventure que vous venez de vivre.bravo NANCY ET MARJORIE.a l’anne9e prochaine.bisous tendrement de Patricia et Daniel.
Mon grand frere semble etre pris dans un engrainage. il est patriote. Il aime le Mali. Il ne detourne pas les derniers publics. Les personnes qui l’ont porte au pouvoir notament celles de son parti et les associations le Mali dabrd et autre en une large mesure ressemblent a des individus qui ont erre pendant quatre jours dans le desert sans provision alimentaire et subitement ils tombent sur une source d eau potable et de la nourriture. Imaginez un peu cette scene? Ils sont exactement comme ca>.
Mara pas un mauvais diable. l attelage Mara et ces gens ne peut duree. Eux ils veulent bouffer des deux mains, IBK et Mara veulent bien gerer ca ne peut pas aller.
je jure la masin sur le coeur que IBK au depart est loin du montage financier de ces histoires d avion et autre. Ces gens ont tout trame pour le mettre devant les faits accomplis parceque eux avaient des interets personnels dans ces affaires.
IBK reveille toi vite si non le reveil sera brutal pour le Mali
Toujours les mêmes personnes !
Quatres Communiqués du conseil des ministres, le même nom Madame DOUCOURE Dougoubarka SYLLA
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES :
Chargé de Mission :
– Madame DOUCOURE Dougoubarka SYLLA, Inspecteur des Services Economiques
Communiqué du Conseil des Ministres du 4 Août 2010
Communiqué du conseil des ministres du mercredi 16 janvier 2013
Communiqué Du Conseil Des Ministres Du Mercredi 26 Juin 2013
Communiqué du Conseil des Ministres du jeudi 27 mars 2014
J'aime bien le Conseil des Ministres, seulement il faut que le PM Chef du Gouvernement faites attention et lu bien les CV des personnes qui seront nommées, et je profite de cette occasion pour lancer un vif félicitation à Monsieur Demba COULIBALY, qui a commencé par le Ministère de l'Artisanat et du Tourisme, après le Ministère de l'Environnement et le voilà au Ministre de la Communication, c'est un Jeune dynamique et compétent le pays a besoin de jeunes talentueux pour le faire bouger
J’aime bien le Conseil des Ministres, seulement il faut que le PM Chef du Gouvernement faites attention et lu bien les CV des personnes qui seront nommées
Toi gafou tu ne sais pas aue Demba est la par relation politique plutôt par competence comme tu le pretends.En auoi il est competent par rapport aux auutres.
Salut Chaka et Koura!
Vous avez tout compris!
Le vol des menteurs professionnels saute à l’œil nu.
Quand tu voles l’état la nuit, le jour le trou sera visible à des kilomètres carrés à la ronde.
Le trou en 10 mois de gouvernance d’IBK c’est ce déficit de plus de 100 milliards alors qu’il n’a rien fait pour le Mali.
Pas d’armée
Pas d’école
Pas de routes
Pas de ponts
Pas d’emplois
Pas d’électricité
Pas d’eau potable
Pas de nourriture
Pas d’université
Fraude généralisée dans nos examens DEF et Bac
Pas de pouvoir d’achats pour nos ménages
Pas d’hôpitaux ni de santé pour personne au Mali
Pas de justice
Pas de sécurité
Pas de souveraineté pour le Mali encore moins de paix
Le pays manque de tout et la bande d’incapables conduite par le mégalomane IBK et le mythomane Mara essaye de nous faire croire qu’elle travaille pour les maliens alors qu’elle agit pour elle même et sa famille et copains d’abord pour se goinfrer des deniers publics à satiété.
Le trou créé par ces bras cassés ventrus et nauséabonds, nullards de chez les nullards va faire plonger notre pays dans le noir absolu si les maliens ne se ressaisissent à temps pour leurs chasser comme de vulgaires malpropres.
Ils ont vendu Kidal par leur incompétence notoire en y laissant la vie de centaines de maliens innocents qui ne demandaient que de servir loyalement notre nation.
Ils ont volé à deux mains le peu d’argent que nous ont donné nos partenaires financiers pour nous reconstruire après les folies de 2012 et 2013.
Donc forcément ils ont fâché le FMI et la banque mondiale qui n’aiment pas du tout le théâtre et le folklore dans la gouvernance d’un pays pauvre qu’ils aident financièrement.
Ces charlots vont sortir par la petite porte de l’histoire voire la petite fenêtre de l’histoire et ce en courant.
Just wait and see!
Wa salam!
Chargé de mission :
Monsieur Yahia OULD ZARAWANA, Juriste.Félicitations!Le retour des “Vautours de l’AEEM” aux affaires se concrétise:après Tierno-Zarawana..il ne manque plus que Aguibou Koné.”Oser lutter c’est oser vaincre!L’opportunisme continue… 😉
franchement arrêtez de vous moquer des gens que des alcooliques dans ce ministère vraiment un peu de sérieux avec les cultes, un ministre que tous les bars de bko ont vu défiler, et maintenant un conseiller technique hé Allah qui ne connaît pas zarawana chivas, JB, ou Clan Campbell…. vivement le vendredi soir après la réunion de cabinet hé les gars le grin c’est ou ????
Décentralisation fictive oui, espérons avec ladji balla facéké national.
EN CE QUI CONCERNE LA DECENTRALISATION,FATES TOUT POUR QUE CHAQUE GOUVERNEUR SOIT ORIGINAIRE DE LA REGION DONT IL GOUVERNE, PUISQU’IL SERAIT CENSE’ DE CONNAITRE LES BESOINS DE TOUTES LES PREFECTURES ET SOUS PREFECTURES. LE GOUVERNEUR DOIT ETRE JUGEABLE PAR LA JUSTICE LOCALE EN CAS D’INCOMPETENCE DE SA PART, PUISQUE LES REGION N’ONT PAS D’ASSEMBLE’…
Renseignez vous un peu Bagadadji, il existe une Assemblée régionale ds chaque région. Ensuite, a t-on besoin d’être originaire d’une région pour en maitriser tous les besoins? Dans cette logique absurde, de quelle région le Président de la République doit-il être originaire?
Mes felicitation a’ tonton Gaoussou Coulibaly! Je lui souhaite une bonne chance dans sa mission!
Nous avons supporte’ IBK durant la campagne et nous voulons le supporter de nouveau mais a’ condition qu’il fasse un U TURN car la trajectoire sur laquelle il se trouve en ce moment, n’est pas bonne pour le Mali!
Au conseil de ministre avec un pays comme le notre doit parler des choses plus important que le problème de parcelle des ulémas le peuple n’a rien a faire de sa l’état doit rien a voir avec la religion surtout avec les religieux corrompu du mali qui sont en traint de bafouille la religion de notre grand prophète (musulman) un bon musulman est une personne intègre (qui ne ment pas.ne vole pas pas d’adultère pas de profit ne critiqué pas les gens derrière )ce qui n’est le ça au mali
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