Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, a présidé hier la première réunion de la nouvelle équipe gouvernementale restreinte. Au cours de la rencontre, il a décliné les grands axes de la mission.
Travailler au retour de la paix sociale en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale, est d’une urgence absolue. Le président de la République y accorde une place insigne dans la feuille de route qu’il a donnée, hier à Koulouba, à l’équipe gouvernementale restreinte du Dr Boubou Cissé. C’était à la faveur du tout premier conseil des ministres de cette équipe, dont la configuration a été édictée par les chefs d’État de la Cedeao lors d’un sommet extraordinaire consacré à la situation dans notre pays.
Ils étaient tous présents: Tièbilé Dramé (Affaires étrangères et de la Coopération internationale), le général de division Ibrahima Dahirou Dembélé (Défense et Anciens combattants), Boubacar Alpha Bah (Administration territoriale et de la Décentralisation), Me Kassoum Tapo (Justice et Droits de l’Homme), le général de division M’Bemba Moussa Keïta (Sécurité et Protection civile) et Abdoulaye Daffé (Économie et Finances). Alors que ces deux derniers découvraient pour la première fois l’exercice, les autres en ont l’habitude pour avoir déjà accompli les fonctions ministérielles.
Chacun de ces départements a des défis pressants à relever. Mais, en ces temps de crise sociopolitique, la mission première confiée à l’équipe par le chef de l’État est de travailler au retour de la normalité, en mettant les cœurs des Maliens à l’unisson en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale. Un tel gouvernement, de l’avis du président de la République, constituerait une «solide garantie» en ces temps d’épreuves. Il sera, a-t-il ajouté, « la vitrine du Mali rassemblé, réuni et remobilisé pour le seul combat qui vaille, celui pour la sécurité de l’intégrité du territoire, pour le bien-être du peuple et pour un avenir serein pour la jeunesse ».
La deuxième tâche à exécuter par l’équipe restreinte est de diligenter une enquête «minutieuse et crédible» sur les pertes en vies humaines et sur les atteintes aux biens publics et privés tant à Bamako que dans les Régions de Kayes et Sikasso. Les faits visés à Bamako sont ceux perpétrés les 10, 11 et 12 juillet.
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On dirait que Boua le ventru IBK n’etait pas le president depuis 2013, comme s’il redecouvrait qu’il est le president du Mali en 2020, quelle honte et quelle anerie? Meme sous influence on ne peut sortir des betises de ce genre, Boua mentir et les mots creux ne vont pas te sauver cette fois-ci, rendez-vous est pris pour le 11 Aout et tu verras la verite et tu vas faire face a la realite.
Quelle feuille de route peut il instruire à ce mini gouvernement ? Rien ! Ils sont tous confinés à Bamako et le reste du pays ? IBK a tout intérêt à rendre au peuple son pouvoir . Il ne pourra plus diriger le Mali .
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