Les organisations politiques maliennes qui ont mis en place le 8 janvier la « coalition pour les concertations nationales immédiates souveraines et pour le changement au Mali » pouvaient, dès le lendemain, citer déjà des actions à leur actif après avoir créé de sérieux ennuis aux autorités de la transition, notamment au Président de la République par intérim Dioncounda Traoré qui était visé principalement. Les acteurs de la coalition lui en veulent pour n’avoir pas tenu les concertations nationales qu’ils exigent immédiatement. Ils ont manifesté le mercredi 9 janvier à Bamako et à Kati, posant des barricades et brûlant des pneus, paralysant les activités. Le pont des martyrs et celui du roi Fahd ont été pris d’assaut par les occupants, rendant difficile la circulation entre les deux rives du fleuve Niger.
La cité administrative qui abrite les départements ministériels a été momentanément isolée par les manifestants. Le conseil des ministres n’a pu se tenir et a été reporté au lendemain jeudi, avec l’incertitude sur sa tenue, car la coalition a promis de remettre ça avec beaucoup plus de détermination. Des manifestants ont demandé la démission du Président de la République par intérim, Dioncounda Traoré. Parmi les manifestants des personnes armées en civil ont braqué et pris de forces des véhicules à bord desquels ils ont circulé toute la matinée, tirant en l’air sur la route du palais présidentiel. Des stations d’essence ont été pillées par ces manifestants pour se ravitailler et continuer de troubler l’ordre public. Ces manifestations ont fait des blessés graves dont un admis aux urgences de l’hôpital Gabriel Touré de Bamako.
Le soir, un communiqué du gouvernement a été lu en rapport avec ces évènements : « Face à la dégradation de la situation consécutive aux manifestations de rue, les risques de perturbation et les manœuvres subversives, le gouvernement décide à partir de ce jour de fermer tous les établissements d’enseignement, de l’éducation de base au supérieur, du district de Bamako et de la ville de Kati. Et ce jusqu’à ce que les conditions de sérénité et de quiétude soient réunies ». Le gouvernement a rappelé qu’au moment où le pays traverse l’une des périodes les plus critiques de son histoire, la nation tout entière doit s’unir, constituer un front derrière son armée engagée dans la reconquête des régions Nord du pays. Le gouvernement ne saurait tolérer l’instrumentalisation de l’école à des fins purement politiciennes et rappelle qu’il prendra toutes les mesures de fermeté nécessaire à la préservation de l’ordre public, selon le communiqué du gouvernement.
Le Front pour la sauvegarde de la démocratie et la République avait condamné les manifestations de la coalition pour des concertations nationales. Au moment où l’armée nationale se trouve au front, jouant la survie de l’Etat malien, est ce le moment de s’activer pour des concertations nationales, alors qu’il faut encourager et soutenir l’armée ? Depuis lundi 7 janvier, l’armée malienne était entrée en combat contre les extrémistes religieux d’Ansar Dine, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest. Les autorités maliennes devaient alors se battre sur les deux fronts ouverts par des politiques à Bamako et par les Jihadistes à Konna. Des enquêtes du nouvel Observateur ont permis de révéler l’existence d’une connexion entre les manifestants à Bamako et les Jihadistes du nord, dans le but de renverser le pouvoir intérimaire de Dioncounda Traoré.
Selon le journal, les 8, 9 et 10 janvier, les services de renseignement relèvent un fait troublant : « les groupes terroristes, et particulièrement Ansar Dine, sont en contact permanent avec les leaders des manifestants qui, à Bamako, exigent, depuis quelques jours, le départ du président Traoré. ” Notre analyse, dit un officiel, était que les djihadistes et les manifestants, contrôlés en fait par le capitaine Sanogo, s’étaient mis d’accord pour mener une action conjointe : les premiers prenaient Sévaré tandis que les seconds dénonçaient l’incapacité du pouvoir en place à empêcher la chute d’une ville si importante. “Résultat : le président par intérim, Dioncounda Traoré, chutait ” dans les quarante-huit heures “, et un nouveau pouvoir s’installait à Bamako. De mèche avec les terroristes, les putschistes n’auraient pas autorisé le déploiement de la Misma et encore moins une intervention militaire française… », a écrit Nouvel Observateur du 10 février 2013.
Le Républicain reproduit ici, cet article du Nouvel Observateur intitulé « Mali : histoire secrète d’une guerre surprise », où est abordé le processus politique qui a conduit à l’intervention française au Mali le 11 janvier, alors que deux mois avant, le 13 novembre, le président français, François Hollande, assurait qu’“en aucun cas” la France n’interviendrait au Mali. Un article à lire à tout prix.
La Rédaction
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Mali : histoire secrète d’une guerre surprise
Que s’est-il donc passé entre ce 13 novembre où le président assurait qu'”en aucun cas” la France n’interviendrait au Mali et le 11 janvier où il déclenchait l’opération Serval ? Les informations recueillies par Sarah Halifa-Legrand et moi-même auprès des responsables politiques et militaires dessinent un scénario assez différent de la version officielle (article publié dans le “Nouvel Observateur” du 7 février).
C’est un document historique, qui n’a pas encore été rendu public : le texte qui ” légalise ” la guerre française au Mali. ” Le Nouvel Observateur ” a pu le consulter. Il s’agit d’une lettre du président malien par intérim, Dioncounda Traoré, à François Hollande. Elle a été écrite le mercredi 9 janvier et communiquée le lendemain à l’Elysée par un télégramme de l’ambassade de France à Bamako. Dans cette missive si importante, le chef de l’Etat malien – ou de ce qu’il reste de cet Etat – appelle l’Elysée à l’aide. Mais sa requête est étrangement formulée.
” Suite aux développements récents constatés sur le terrain et à la menace qui se précise contre nos premières lignes de défense, écrit Dioncounda Traoré à François Hollande, une intervention aérienne immédiate s’impose. Celle-ci consistera à fournir un appui renseignement et un appui feu au profit de nos troupes. ” Autrement dit, le président malien demande à la France de dépêcher sur-le-champ des avions et des hélicoptères afin de faciliter une contre-attaque de l’armée régulière malienne contre les forces qui menacent de prendre” la ville de Mopti “. Dans cette lettre censée fournir un cadre légal à l’opération Serval, il ne sollicite pas le déploiement de soldats français au sol.
L’affaire est d’autant plus étrange que c’est Paris qui est à l’origine de ce document. Ce même mercredi 9 janvier, le président Traoré a, en effet, écrit un premier courrier à François Hollande, qui l’a reçu au moment du conseil des ministres. Mais cette missive initiale, qui sollicite une ” intervention militaire “, a été jugée ” trop imprécise “par l’Elysée, qui en a demandé une autre, plus détaillée. La réécriture a pris du temps – faute de rédacteur. ” Pendant plusieurs heures, nous avions perdu la trace de Traoré, nous n’arrivions pas à le contacter, nous ignorions même s’il était toujours en vie “, explique-t-on dans l’entourage de François Hollande. Les raisons de cette disparition demeurent mystérieuses. Quand il est réapparu, le président malien a signé la seconde lettre sollicitée par Paris, qui appelle donc seulement à une intervention aérienne.
Il n’en a pas signé une troisième demandant des forces au sol, ce qui aurait ” légalisé ” de façon indiscutable l’ensemble de l’opération Serval. Pourquoi ? Probablement parce qu’au tout début de l’intervention française au Mali Paris ne pensait pas en avoir besoin. ” Le premier jour, nous ne prévoyions pas d’aller reprendre nous-mêmes Gao et Tombouctou, confie un haut responsable français. Nous n’avons décidé l’envoi massif de troupes au sol et leur montée vers le nord que le lendemain, le samedi 12, quand il est devenu évident que l’armée régulière malienne s’était volatilisée et que les djihadistes savaient éviter nos frappes aériennes. ” A ce moment-là, le Conseil de Sécurité des Nations unies avait déjà fait connaître son ” nihil obstat ” à une intervention antiterroriste française au Mali, et le président Traoré avait déjà remercié Paris pour son action. Il devenait alors inutilement risqué d’exiger de ce chef d’Etat par intérim, si fragile politiquement, qu’il demande – noir sur blanc – le déploiement de milliers de soldats français sur son territoire.
Mystères d’une guerre… Alors que la première phase de l’opération Serval s’achève, ” le Nouvel Observateur ” a cherché à comprendre comment François Hollande a été conduit à l’entreprendre, pourquoi il a décidé de faire intervenir l’armée française seule et sans mandat explicite du Conseil de Sécurité des Nations unies, alors qu’il s’était plusieurs fois engagé à ne pas agir de la sorte. Au fil de témoignages ” off the record “, des responsables français ont raconté les véritables origines de cette guerre inattendue.
Le compte à rebours commence dès le 15 mai, jour de l’investiture de François Hollande. Lors de son tête-à-tête avec Nicolas Sarkozy, il est beaucoup question du Sahel et des sept otages français qui y sont retenus. Les deux hommes parlent plus précisément du Mali, dont le Nord est occupé depuis quelques semaines par trois groupes djihadistes. Déjà, le 2 mai, au cours de leur débat télévisé, ils avaient évoqué le sujet publiquement. Que faire pour Bamako ? leur avait-on demandé. ” La France, ancien pays colonial, ne peut intervenir directement “, avait répondu le président sortant. François Hollande s’était montré moins catégorique. S’il était élu, il comptait ” œuvrer à la stabilisation de cette partie du monde qui pourrait risquer de devenir un foyer de terrorisme “. Comment ? Pour en décider, il attendait d’avoir ” toutes les informations ” nécessaires.
” Quand l’équipe sortante nous a transmis les dossiers, le Mali était sur le haut de la pile, raconte-t-on au ministère de la Défense. Les conseillers du ministre sortant, Gérard Longuet, nous ont dit : “Les Français ne le savent pas, mais les risques d’attentats en provenance de cette région sont très élevés.” Ils ont assuré que, depuis 2009, trois attentats sur le sol français et cinq infiltrations avaient été déjoués par les services de notre pays. ” ” En fait, précise-t-on à l’Elysée, les menaces d’attentats concernaient l’Europe, pas forcément la France spécifiquement. ” Quoi qu’il en soit, François Hollande et Jean-Yves Le Drian, son ami de trente ans devenu ministre de la Défense, décident de prendre le dossier Mali à bras-le-corps.
” Nous considérions que nos prédécesseurs l’avaient négligé, dit-on dans l’entourage du chef de l’Etat. Ils avaient adopté une stratégie à l’algérienne, qui consistait à essayer de diviser les groupes terroristes. “Selon la nouvelle équipe, cette méthode ” indirecte ” avait échoué : elle n’avait pas réussi à enrayer l’implantation des djihadistes dans le nord du Mali ni leur expansion dans toute la région. ” La situation devenait d’autant plus grave, ajoute un responsable français, que nous voyions bien que des armes et des hommes venant de Libye arrivaient en nombre au Mali et dans la région, rejoints par quelques jeunes Français attirés par le djihad.”
“Nous avons immédiatement décidé d’adopter une nouvelle stratégie, plus directe, indique la même source. Et dès le début, nous avons considéré qu’une intervention militaire serait nécessaire. ” Le 31 mai, soit deux semaines après l’investiture de François Hollande, un plan est approuvé en conseil restreint. Il consiste à la fois à tenter de mobiliser la communauté internationale sur la crise du Mali et à préparer une action armée, menée si possible par les Africains eux-mêmes.
L’affaire traîne. Malgré leurs multiples déplacements à l’étranger, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et son homologue de la Défense peinent à convaincre. ” Nous avons eu beaucoup de mal, pendant les premiers mois, à intéresser nos partenaires. Les Etats-Unis, en particulier, ne considéraient pas ces groupes terroristes au Sahel comme une menace pour leur propre sécurité “, explique-t-on au Quai-d’Orsay. Après la destruction très médiatisée de sept mausolées à Tombouctou, le représentant français à l’ONU, Gérard Araud, réussit tout de même, le 7 juillet, à faire adopter une première résolution coercitive sur le Mali. Mais le texte négocié est très prudent : le Conseil de Sécurité se déclare prêt à autoriser le déploiement d’une force africaine de stabilisation au Mali. Avant cela, il attend un plan d’intervention crédible et surtout… une demande des autorités de Bamako.
Car le capitaine Sanogo, l’homme fort du Mali depuis un putsch en mars, ne veut pas de troupes étrangères dans son pays : elles pourraient remettre en question son pouvoir. Le président par intérim, Dioncounda Traoré, que la communauté internationale a réussi à lui imposer, y est, lui, favorable. Mais, pour le faire taire, le capitaine a ordonné à ses sbires de le tabasser et de le désigner, lui Sanogo, président ” de transition “. Si bien que, depuis fin mai, Traoré soigne ses blessures en France. Il ne peut donc donner son feu vert.
A peine est-il remis sur pied que Paris le renvoie à Bamako, fin juillet. Après moult palabres et bras de fer avec Sanogo, il finit par prendre le dessus. Il écrit au Conseil de Sécurité pour demander une intervention armée internationale au Mali. Fortement inspirée par la France, la lettre arrive, comme par miracle, le 26 septembre, au moment même où se tient la réunion exceptionnelle de l’ONU sur le Sahel demandée par François Hollande. Dans la foulée, une nouvelle résolution est adoptée, le 12 octobre. Elle prévoit, à terme, le déploiement au Mali d’une force africaine dirigée par la Cedeao (la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest) : la Misma. Mais, là encore, le texte ne satisfait personne.
Paris peste : cette résolution de compromis appelle Bamako à négocier avec les groupes rebelles qui accepteraient de rompre avec Al- Qaida. ” Nous étions convaincus que ces discussions menées par Alger et Ouagadougou avec Ansar Dine servaient aux terroristes à gagner du temps. La suite a prouvé que nous avions raison “, dit un officiel français. Washington tonne. ” La représentante américaine à l’ONU, Susan Rice, ne cessait de hurler contre cette force africaine, elle n’y croyait pas, raconte un officiel français. Elle a tout fait pour ralentir sa création. ”
Susan Rice n’est pas la seule à être inquiète.” Après le vote de la résolution, François Hollande a reçu des coups de téléphone de plusieurs de ses homologues africains, raconte-t-on dans l’entourage du chef de l’Etat. Ils lui disaient que cette Misma, faite de bric et de broc, serait trop faible, trop mal équipée, qu’elle ne réussirait pas à reconquérir le Nord sans un appui aérien de l’armée française. Convaincu, le président a demandé à l’état-major de planifier un tel soutien. ” Fin octobre, la France change donc en secret de stratégie.
Jean-Yves Le Drian est ravi, lui qui milite depuis plusieurs semaines pour une action musclée de la France. Début novembre, le ministre de la Défense ordonne aux services de renseignement d’établir des “dossiers de cibles ” au Mali. Les satellites espions et les forces spéciales dépêchées secrètement sur le terrain repèrent les centres de commandement, les dépôts de carburant et de munitions des groupes terroristes. L’état-major, lui, prépare le plan opérationnel. Si bien que, lorsque le président de la République déclare, le 13 novembre, au cours de sa première conférence de presse à l’Elysée, qu'” en aucun cas, la France n’interviendra elle-même au Mali “, il ne dit pas la vérité : les militaires – sur son ordre – planifient bel et bien une intervention aérienne. ” Nous avons préféré ne pas rendre publics ces préparatifs, explique un responsable français. Nous ne voulions pas mettre en danger la vie des otages. Et puis François Hollande venait de prononcer son discours de Dakar, dans lequel il annonçait la fin de la Françafrique… De toute façon, aucune décision définitive formelle n’a été prise en conseil restreint sur cet appui aérien français à la Misma. ” Cependant, ” celui-ci était acquis “, ajoute cet officiel.
Fin octobre, alors que 2 000 soldats sont en train de rentrer d’Afghanistan, François Hollande demande la planification d’un second schéma d’intervention de l’armée française – seule, cette fois. Et avec des troupes au sol. ” Le président a dit : “Et si les djihadistes décident d’agir ensemble avant l’arrivée de la Misma, justement pour empêcher son déploiement, que ferons-nous ?”, raconte un responsable français. Un tel scénario nous paraissait peu probable puisque les trois groupes terroristes ne se parlaient plus depuis plusieurs mois. ” Le risque paraissait d’autant moins immédiat que l’un de ces groupes, Ansar Dine, venait d’accepter – ou faisait semblant – de négocier avec le pouvoir malien. ” En fait, dans la phase qui précédait le déploiement de la Misma, nous redoutions surtout des attentats contre les intérêts français en Afrique ou des prises d’otages à Bamako ou ailleurs, poursuit l’officiel français. Néanmoins, à la demande du président, nous avons planifié une riposte française, aérienne et terrestre, à une éventuelle descente des djihadistes vers le sud. ” Cette planification, dont les plus hautes autorités de l’Etat nient sur le moment l’existence, servira de base à l’opération Serval.
Le scénario improbable devient réalité fin décembre. Le 20, le Conseil de Sécurité vote une troisième résolution, qui prévoit, enfin, le déploiement effectif de la Misma au Mali. ” Tout de suite après, les écoutes montrent qu’Ansar Dine, le Mujao et Aqmi communiquent de nouveau. Ils préparent un mauvais coup, dit un officiel français. Dans le même temps, nos interlocuteurs africains commencent à nous décrire des regroupements de pick-up. Des chefs d’Etat de la région en parlent à François Hollande. “Pour en avoir le cœur net, les services de renseignement français demandent à leurs homologues britanniques et américains s’ils ont repéré la même chose. Leur réponse est positive.
Le dimanche 6 janvier, l’offensive des djihadistes vers le sud est imminente. L’état-major dépêche des avions espions Atlantic 2 et des forces spéciales au Nord, à Sévaré, pour suivre leurs mouvements. Les Français constatent qu’à l’évidence les groupes ont décidé d’agir. ” Ils étaient convaincus que nous les laisserions faire, que nous n’interviendrions pas, dit-on dans l’entourage de François Hollande. Ils avaient constaté que, quelques jours auparavant, en Centrafrique, nous n’avions pas répondu à l’appel du président Bozizé qui nous demandait de venir le défendre contre des rebelles. Nous avions dépêché des forces uniquement pour protéger nos ressortissants, pas pour sauver son régime. ” Les djihadistes croient la voie ouverte. Ils commencent leur avancée.
François Hollande décide d’intervenir le 10 janvier, après que les trois groupes, organisés non en une grande colonne comme on l’a dit mais en de multiples groupes d’une vingtaine de pick-up répartis sur 200 kilomètres, ont chassé l’armée régulière de la ville de Konna et franchi la frontière symbolique entre le nord et le sud du Mali. Les djihadistes veulent-ils descendre jusqu’à Bamako, situé à 650 kilomètres de là, et s’emparer de la capitale, comme l’affirmeront les officiels français ? Pas sûr. ” Par les écoutes, nous savions qu’ils voulaient prendre Sévaré, une ville très importante, notamment à cause de son aéroport, dit un officiel. Mais nous n’avions pas d’éléments probants concernant Bamako. ” ” En fait, même si nous ne pouvions l’exclure totalement, raconte un autre, nous ne croyions pas qu’ils voulaient s’enfoncer dans le Sud, en terres bambaras totalement hostiles. En fait, nous ne pensions pas qu’ils voulaient prendre eux-mêmes le pouvoir sur l’ensemble du pays, mais plutôt par procuration. ”
Les 8, 9 et 10 janvier, en effet, les services de renseignement relèvent un fait troublant : les groupes terroristes, et particulièrement Ansar Dine, sont en contact permanent avec les leaders des manifestants qui, à Bamako, exigent, depuis quelques jours, le départ du président Traoré. ” Notre analyse, dit un officiel, était que les djihadistes et les manifestants, contrôlés en fait par le capitaine Sanogo, s’étaient mis d’accord pour mener une action conjointe : les premiers prenaient Sévaré tandis que les seconds dénonçaient l’incapacité du pouvoir en place à empêcher la chute d’une ville si importante. “Résultat : le président par intérim, Dioncounda Traoré, chutait ” dans les quarante-huit heures “, et un nouveau pouvoir s’installait à Bamako. De mèche avec les terroristes, les putschistes n’auraient pas autorisé le déploiement de la Misma et encore moins une intervention militaire française. Toute la stratégie de Paris s’effondrait. Et le Mali devenait, de fait, un sanctuaire pour les djihadistes.
10 février 2013 | Nouvel Observateur (France) | Vincent Jauvert avec Sarah Halifa-Legrand
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À quel titre il n’est même pas deuxième vice président de l’assemble ,
Que seul le droit l’emporte sur tout.
Si les personnes accusées estiment que l’article est calomniateur, qu’ils portent plainte. A defaut de plainte, nous considérons que l’article dit vrai et dans ce cas les autorités doivent prendre les mesures qui s’imposent: arrêter et juger dignement les traîtres du Mali.
Cette traîtrise n’est que le bout de l’Iceberg des agissement d’Oumar Mariko et de ses amis opportunistes du MP22 et de la COPAM qui font tout pour arriver au pouvoir même contre l’intérêt supérieur du Mali.
Il faut les punir comme le droit l’exige car c’est une haute trahison.
IBK était sensé être nommé président de la transition…Vous voyez bien que Dioncounda TRAORE avait été séquestré déjà ❓ ❓ ❓
IBK, MARIKO, DICKO, GUINDO sont les traitres du Mali: Konna était attaquée depuis le lundi soir quand eux voulaient faire chuter les autorités de la transition en manifestant même le jeudi 10 Janvier quand Konna tombait aux mains des djihadistes; ce n’est pas fortuit!!
IBK était même parti en France et on allait l’appeler pour qu’il rentre triomphalement comme président de la transition!
Que le monde est beau ! C’est agréable que les individus ne pensent pas de la même manière. Elle est belle la liberté de pensée. J’observe que cet article du nouvel observateur fait le buzz sur maliweb et fait apparaître une certaine négation de la vérité. Si l’enquête du journaliste est fausse et met en cause des hommes politiques,militaires et djihadistes,qu’ils assignent le journal devant les Tribunaux.Nous sommes en démocratie.
Ces gens de la COPAM et leurs amis du MP22 sont les ennemis du pays qui seront mis au placard très prochainement.
Ces gens ont tout fait pour être au pouvoir d’abord en soutenant les soldats qui ont fait le coup d’état sans succès,en s’opposant à la CEDEAO sans succès aussi, en s’attaquant à la personne physique du président de la république toujours sans succès et enfin comme dernier recours ils sont allés lier amitié avec les jihadistes du nord un fait qui a sonné le glas pour eux.
Nous les attendons aux élections prochaines pour leurs livrer le bilan, d’ailleurs ils ne sont pas des candidats potentiels qui vont faire poids devants nos valeureux hommes candidats comme les SOUMI.
Rien à voir avec le sujet ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Je retrouve à l’instant un YOUTUBE de Andrey Vinogradov qui joue d’une vielle traditionnelle russe rafistolée …….Ce morceau je l’avais entendu il y six ans , j’étais à Bamako ,et il y avait peut etre eu 200 visites …… Extraordinaire …!http://www.youtube.com/watch?v=_DX08nQows0 (Uzh i ya li moloda, tonkopriaditsa byla)
941 847 VISITES A CE JOUR !
Je ressors çà spécialement pour les petits (es) camarades qui “intercepteront ” le post …. 😆 😆 😆 😆 et assez curieux pour chercher à écouter ……! ! ! !
COCO est d’excellente humeur ce soir ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
ETAT D’URGENCE ET DROIT DE CENSURE
Je ne suis ni un militant ni un pilier de parti politique, je suis un libertaire dans l’âme et pourtant je salue cette décision d’Etat d’Urgence prise par le gouvernement le 12 Décembre 2013 pour 10 jours et prolongée pour trois mois. Depuis je dors mieux !
Je suis comme presque tous mes compatriotes pour un MALI UN, UNI, INDIVISIBLE, mais je me rends compte en lisant la presse et en regardant la télé que si tout le petit peuple est uni dans la joie et l’espoir de la libération initiée dans notre pays, dans le monde politique, les vieux démons de la division et de la haine se réveillent et explosent dans les manipulations grossières de certains journaux.
Les articles qui incitent à la haine, à la vengeance et à l’humiliation de l’opposant, incarné en ce moment par l’Alliance de diverses associations et partis de la COPAM et de IBK 2012, fleurissent. Certains journalistes appellent au lynchage et les qualifient de djihadistes du Sud.
On démolit leurs dirigeants, en les traitant de tous les noms. Mais l’indignité, le manque de lucidité et de conscience civique et sociale des commanditaires de ces articles et des exécutants s’étalent dès les premières lignes. Ces articles diffamatoires sont farcis de mensonges et de mauvaise foi. Quand ils ne peuvent traiter leurs opposants de voleurs, ils s’attaquent à leur appartenance ethnique. Leur argument le plus grave pour discréditer certains, c’est l’appellation de Bella !
J’en suis outré : notre pays aurait engendré des démocrates ethnicistes ces dernières 20 années ? Pour avilir quelqu’un on s’acharne sur son appartenance ethnique, on dément, en un premier temps, ses vraies racines et on lui trouve une ascendance Bella… Ces personnes croient donc qu’un Bella est un homme méprisable ? Comment peut-on prendre la plume pour dire de telles insanités !
C’est pitoyable mais tristement parlant de la mentalité d’une classe d’arrivistes, arrogants et corrompus qui ont fait main basse sur les richesses de notre pays et dont la mauvaise gouvernance et le déni de la vraie démocratie ont converti le Mali de Modibo, le Mali de nos pères de l’Indépendance en une terre sans cœur et sans valeurs où la notoriété conférée par l’argent mal acquis est à la portée de n’importe quel politicien maffieux, de ceux qui commanditent ces articles dénigrants contre des hommes et des femmes dont le seul crime a été de croire que le Mali du Renouveau n’était pas une utopie, que la Concertation des Forces Vives était une solution à la crise, mais dont la maladresse a été peut-être, d’organiser un sit in au moment où les Fous de Dieu menaçaient Konna.
Comme la plupart de mes compatriotes, sans couleur politique, je suis pour la libération de mon pays et la Paix dans l’Union et la Fraternité.
Mais cela ne peut se faire en diffamant et en mentant, en incitant à la haine et en dénigrant les sentiments patriotiques de ceux qui ne pensent pas comme vous. Pour ce Mali de la Libération, de la Paix et de l’Union, nous devons laisser de côté nos errances politiques, faire le mea culpa de notre mauvaise gouvernance des régimes défunts, ouvrir les yeux sur l’impossibilité de réussite actuelle de putschs Sankaristes et redevenir frères dans la galère, tous unis dans cette guerre contre cet ennemi puissant qu’est l’Islamisme qui, profitant de la faiblesse de notre Etat et se greffant sur la folie des indépendantistes Touaregs, a asservi les deux tiers de notre beau pays.
Mais si, malheureusement, la haine de l’opposant ne peut s’empêcher d’inspirer des insultes dénigrantes et mensongères et incite à la vengeance, le devoir de l’Etat d’Urgence est d’exercer son droit de censure et de museler ces quelques journalistes égarés qui ne vivent que de l’injure d’autrui.
Pour que le peuple malien accompagne moralement son armée et ses alliés dans cette guerre juste de libération de notre pays et pour que la paix revienne, nous n’avons pas besoin de ressasser les mêmes histoires sur les Patriotes de la COPAM et de IBK 2012 que le FDR, rassemblement de ceux qui ont mené le Mali si près du gouffre, sème à tout vent. Y EN A MARREEEEEEEEEEEEE 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈
Pour que le Printemps Malien revienne, pour que les élections soient crédibles, nous n’avons besoin ni de FDR ni de Coalition de Patriotes, nous avons juste besoin d’hommes et de femmes sincères et honnêtes dont les seuls objectifs seront la paix, le bien-être du peuple, la justice sociale et le respect de l’autre.
C’est seulement ainsi que nous recoudront la trame sociale de notre pays si meurtri.
TOUS UNIS POUR UN MALI NOUVEAU, EN PAIX ET PROSPERE. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Incroyable que beaucoup de gens défendent un homme qui a déjà trahi sa nation par son putsch, cet élément n’est qu’une tache de plus a son dossier. Ne préférez vous pas un homme élu par vous plutôt qu’un jeune militaire putschiste totalement incompétent lorsqu’il s’agit de diriger un pays? Sa place n’est-t-elle pas plutôt au front(ou en prison)?
Merci je demande seulement de faire l’audit des biens de Mariko et consorts vous saurez la réalité merci.
Et de tous les autres ? Non? Qui a ete au pouvoir ces dernieres années Mais quel aveuglement !!!
? si toutefois ces revelations sont vraies , Sanogo, Mariko et tous leurs complices doivent etres pendus
Ce que je vous dis c’est inimaginable mais j’avais dis à des amis que les nombreuses visites de Mariko à ansar dine à Nianfunké et Tombouctou n’étaient pas gratuites et que quelque chose se tramait entre Mariko Sanogo et les autres, parce que mariko se faisait garder par des militaires de Kati ce qui n’est pas normal et sur quels fonds il vivait?
après la conquête du nord il est imperatif de mettre ces documents à la justice malienne et la CPI pour enquête et arreter et traduire les personnes pour atteinte à l’integrité d’un pays assasinat etc. s’il s’avere que IBK, Oumar Mariko et Sanogo sont complice des djihadistes qu’ils soient arretés et transferés a la CPI
A quand des journaux dignes de ce nom qui respectent les valeurs et principes essentiels d’un journalisme éthique : vérité, indépendance et souci de ne pas nuire” ? Se baser sur un article d’un confrère pour en conclure pompeusement dans son titre à des “connexions entre manifestants du 9 janvier et les jihadistes du nord” et à un “coup d’Etat déjoué” (sic!) sans investigation ni enquête complémentaires? On balance son “scoop” et on pense avoir fait son job, sans penser aux conséquences dramatiques que cela pourrait avoir. J’invite les lecteurs de Maliweb à la mesure, à la prudence et à la retenue. Si cette enquête du NouvelObs a le mérite de fournir un éclairage autre que le discours médiatique officiel bien rodé, l’allégation de collusion entre jihadistes et putschistes en fin d’article a été largement critiquée car très grave et pourtant non étayée En Côte d’Ivoire, nous avons pu observer les dégâts de nos “journaleux”, aujourd’hui si difficiles à réparer. A bon entendeur salut.
Vous avez peut-être raison mais il est troublant d’observer que le même schéma se reproduit en janvier-février puis mars 2012 avec les conséquences multiples observées et en décembre 2012 puis début janvier 2013. Sana oublier les événements qui se sont succédés entre mars et décembre 2012 dans les villes du nord, parallèlement avec les troubles soigneusement organisés à Bamako (parmi lesquels oui, l’agression à Koulouba).
Autre fait troublant: les événements meurtriers du vendredi 8 février à Bamako (après d’autres incidents violents quelques jours auparavant, notamment dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 janvier) coîncident (j’ose dire, encore) avec les attaques de Gao au cours du week-end des 9 au 11 février .
Au moins, une analyse méthodique des enchaînements, des disoours, des divers protagonistes, s’impose.
En géométrie, une droite passe par deux points et c’est suffisant. Ici, la succession de points alignés est trop visible pour ne pas être signifiante.
Mr mose tu nous laisse respirer tu dois quand même savoir que sans ces journalistes et ces journaux toi tu n’allais jamais payé un ordinateur à plus forte raison écrire sur le net. Tu dois quand même savoir que si Mariko était ton papa tu dois lui dire la vérité comment des responsables peuvent faire sortir des enfants et des pillards dans la rue ainsi que des bandits armés casseurs des biens d’autrui qu’on les laisse se promener comme si rien n’était.
Comment un journaliste peut à ce point de laisser manipuler, l’intervention française au Mali décidée pcq leaders de l’opposition en contact avec jihadistes!!! C’est une ignominie de livrer ainsi à la vindicte des gens qui ont toujours été au service de leur pays. Qu’il y en ait un qui se soit levé pour aller négocier ne fait pas des autres des traitres ??? Dc ts les officiels qui négocie à Ouagadougou st des jihadistes cachés aussi ? Et ceux qui ont tjrs dénoncé l’occupation et exigé des actions concrètes sont devenus des jihadistes
Honte à ces journalistes ces politiciens diplomates agents des renseignements manipulateurs qui réécrivent la vérité et jettent en sacrifice des personnes qui gênent par leurs opinions différentes
Ouvrez vos yeux et regarder en face. Ne soyez pas omnibulé par votre ignorance. La presse française sait à quoi elle s’expose en diffamant.
Ben non justement !!! Qui va le poursuivre ce journaliste? Av quels moyens et quel argent ? vs voyez un mariko du fond de sa geôle le faire et les autres leaders? J’en connais un personnellement et je peux vous garantir que c’est pur mensonge !!! Je suis tellement déçue que la France de Hollande puisse avoir recours à de telles manipulations indignes déjà vues dans le passé…
Cet article fait plus que peur. Si ces informations s’avèrent vraies, le Mali est encore très loin de la libération. La démocratie est plus que ménacée. Une nouvelle guerre civile pointe à l’horizon. Le seul chemin au retour de la paix au Mali passe par le retour définitif des putchistes ( Sanogo et ses compagnons) aux camps militaires tout en s’effaçant de la scène politique. Ce bounker de Sanogo à Kati est plus qu’un danger pour tout le pays. Le plus grand bien que la France et tous les autres pays amis qui sont venus nous aider à combattre ces terroristes serait de trouver une solution définitive à ce super pouvoir des putchistes de Kati. L’existence de deux pouvoirs dans un pays est plus dangéreux que la ménace des terroristes.
«Car le capitaine Sanogo, l’homme fort du Mali depuis un putsch en mars, ne veut pas de troupes étrangères dans son pays…»,
CAPITAINE, LES TROUPES ETRANGERES SONT LA, ET APRES? COPAM, MP22,
YEREWOLODENWS,…, LES TROUPES ETRANGERES SONT LA ET APRES?
Étant donné que nous sommes de nature de mémoire courte, il convient de rappeler, comme nous n’avons cessé de le faire, que le Gros problème du Pays est CAPI. En compagnie de toute cette racaille citée plus haut sans oublié certains leaders religieux, la bande de CAPI en complicité avec les djihadistes du nord ont œuvré pendant 9 mois dans le seul but de préserver mutuellement leurs intérêts, lesquels intérêts consistent à gouverner le sud pour les premiers et à appliquer la charia pour les seconds.
CETTE ANALYSE DU “NOUVEL OBSERVATEUR” NE ME SURPREND GUERE, BEAUCOUP S’EN DOUTAIT DEJA DE LA POSITION DE CES INDIVIDUS.
c’est Sanogo qui a dit à l’armée de réplier que le problème du Nord n’est rien et que quelques heures il réglera le problème.
A une meeting de Haidara sanago a dit la reconquête du Nord c’est tout de suite, un journaliste lui a dit bluffeur merci le journaliste , ce petit militaire pense que nous sommes aux années 1900
^bande de minable journaliste, vous navez pas cerveau pour imaginer quelque chose un tout petit peu proche de la réalité? c’est vraiment îdiot de penser qu’un malien du sud en plus un Bamabara va negocié avec ces malades après tous ce que nous venons de voir?? un conseil: change de metier, ou bien va rexercer ton metier de journaliste au près du mnla qui est un vrai champion dans ton genre 😈
Aucun malien du sud !!! Toi tu est naïf les maliens du sud onts la perte du pays
Mon frère, pour le pouvoir et pour l’argent le Malien est capable de tout, même les basses oeuvres. Au moment du coup d’État, il a été dit que ATT était en intelligence avec l’ennemipour sauver son pouvoir. Souvenez vous de ce qu’à ditle capitaine Sanaogo,qu’il jouera le premier rôle au Mali.
n’importe quoi cet article. une merde de chien vaut mieux.
journaleux à deux balles, arrêtez de nous écrire des vomis pareils.
vraiment, il est à radier de la profession.
pfffff!!!!
ce qu’il faut pas faire et écrire pour vendre.
j’ai tellement cherche a comprendre l’affaire de béret rouge et vert. je comprendre maintenant que les verts cherchent leurs têtes maintenant.
ils ont affamés du pouvoir, si non je pense que sanogo a suivi les mêmes formations que beaucoup d’entre les terroristes il est très utile actuellement sur le terrain.au lieu de nomme les gents dans les désordres.je crois que les bérets rouge ne sont aussi têtu que ça pour plonger le pays dans la guerre et leurs spécialité c’est surtout kidal.
il y a des unités spéciale bien former près a partir au nord, mais il faut qu’on se disent la vérité ils ne peuvent pas accepter les commandements des faux militaires assis dans le bureau pour dire des bobard à la télé. d’après les infos il faut les rouges forment une unité délite impénétrable qu’ils, je crois qu’ils sont sur le terrain comme des fantassin ou autre qui non pas habitué a ça , c’est pour se faire de la boucherie.
Qu’est ce qui me fait crois qu’il ya même 400 rouges sur le terrain.
Un tissu de mensonges les infos sur la manif, tout faux ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ! ces journaleux y ont assisté depuis la Tour Eiffel ou quoi ? Que des amalgames entre les débordements et le contenu et comportement des militants de la Coalition. Intox pure et simple. C’est honteux 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 ! Je pensais que le Républicain valait mieux ! 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
Vous n’avez pas trouvé d’autres bluffs moins tirés par les cheveux pour justifier l’intervention de la France !!! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 C’est de la paranoïa. Donc vous affirmez que finalement l’intention avouée de la France de ne pas envoyer des hommes au Mali était fausse, car la préparation de l’intervention se faisait depuis longtemps… Que de mensonges alors !!! 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 Sanogo – affirme le Nouvel Obs – a fait tabasser Dioncounda !!! Bravo la Justice malienne qui a fait condamner des innocents à sa place 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 et la France qui, au parfum d’un complot, a laissé faire. Pour finir, les Français ont la preuve de communications téléphoniques entre les membres de la Coalition et les rebelles et jusqu’à présent tout ceci reste dans l’ombre !!! 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 N’importe quoi!!! : 😈 😈 😈 😈 😈
Ne nous prenez pas pour des canards sauvages 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 … Une telle trahison se tissait dans l’ombre et personne n’a été alerté ? ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ Moi, je dirais que ce mythe et ces histoires farfelues ont été inventés et suggérés dans la fameuse lettre, pour convaincre les Français de venir à l’aide à ce fragile Président qu’ils « renvoient chez lui » après guérison …. L’expression est parlante… 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 Les amis de ATT et les Dioncounda’s fans ont l’imagination fertile .
Tout à fait d’accord avec toi Moussabis. Arrêtez de nous distraire Mrs les journalistes. on est en état d’urgences, et vous pondez que des inepties. qui vouas a payé aussi cher pour mettre des âneries pareilles. vos accusations ne sont que le fruit du mensonge. vraiment arrêtez, on n’en a marre de torche culs pareils.
on sait qui vous manipule Mr le journaliste de toutes les manières le FDR et clique. mais vous ne convaincrez personne, sachez-le!!!
vous devrez traduit pour calomnie.
Nouvel Obs il faut te mettre d’accord avec Charlie Hebdo 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 . Il va te dire que Hollande a demandé à Vivendi de ne pas vendre pour le moment ses parts de Maroc Télécom qui va se retirer de notre groupe Malitel, d’attendre la fin de la guerre du Mali. Pourquoi ? Tout simplement pour pouvoir écouter ces crétins 👿 👿 👿 👿 👿 de rebelles sur leur petits téléphones mobiles et pour mieux les pister mais ils n’ont pas parlé des gens de la Coalition !!!
Nouvel Obs il faut te mettre d’accord avec Charlie Hebdo 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 . Il va te dire que Hollande a demandé à Vivendi de ne pas vendre pour le moment ses parts de Maroc Télécom qui va se retirer de notre groupe Malitel, d’attendre la fin de la guerre du Mali. Pourquoi ? Tout simplement pour pouvoir écouter ces crétins 👿 👿 👿 👿 👿 de rebelles sur leur petits téléphones mobiles et pour mieux les pister mais ils n’ont pas parlé des gens de la Coalition !!!
Décidément, la ligne éditoriale du journal a changé. Avec Adam THIAM comme conseiller à la Présidence, il faudrait désormais s’attendre à ces coups fourrés. En réalité, cet article n’est rien d’autre qu’un des faux rapports de la sécurité d’État versus Boubeye MAIGA.
Comment est ce que des pseudos journalistes peuvent se laisser emballer par des histoires à la CON comme ça. C’est nous faire injure en publiant de telles anerie.
Ouvrez vos yeux et regarder en face.
Pauvre Mali, voici encore un article qui ne dit pas son nom. En réalité, cet article n’est rien d’autre que les fadaises d’un journal en faillite. Un ramassis d’incongruité condensé de niaiserie, rien d’autre que ça!
Avez vous en mémoire la visite de Mr.Mariko à Niafunké pour
Contacter le leader d’Ansar Eddine ,Iyad.
Si tout ça est vrai, il faut aussi un mandat d’arrêt de notre justice contre sanogo et co impliqués dans cette histoire. Qu’ils soient jugés comme les autres bandits armés
Comment est ce que des pseudos journalistes peuvent se laisser emballer par des histoires à la CON comme ça. C’est nous faire injure en publiant de telles aneries.
Si invraisemblable que soit cet article, il a une cohérence interne et s’articule avec la réalité que nous avons vécue depuis le 22 mars 2012. Il y a comme une entente entre les djihadistes et le CNDERRIERE depuis le coup d’état. Tous les deux groupes s’opposent à l’arrivée des troupes internationales. Tous les deux s’entendent pour se pas s’attaquer. Tous les deux terrorisent les uns au Nord (amputations, lapidations, brimades en tout genre des populations civiles, trafics de drogues et enlèvements), les autres au Sud (arrestations arbitraires, coups de marteaux du Président, fractures du dos de Soumaila et du bras de Saouti, brimades en tout genre des populations civiles, etc.etc.) LES DJIHADISTES ET LE CNDERRIERE SERAIENT-ILS DU MEME BORD DE NARCOTRAFIQUANTS ET DE PIRATES. EN ATTENDANT LES PREUVES, TOUT PORTE A LE CROIRE.
“il faut fusiller oumar mariko et le mp22 le plus rapidement possible entre konna et douentza” pour que vive dionkoudacratie après attcratie qui a fait du Mali la rusée du monde et la honte de l’afrique.
Qui peut dire mieux !!
Il faudra bien que les services de renseignements français mettent à la disposition du Mali les enregistrements ou les preuves concrètes des agissements de ces leaders des manifestants du 9 Janvier 2013. La lumière doit etre faite sur tous ces évenements. C’est une chose d’avoir la certitude de la culpabilité de quelqu’un mais une autre de pouvoir la prouver. De toute façon, Dieu qui voit tout sevira bien assez tot. Tout vient à qui sait attendre !!! Laissons donc le temps au temps !!!
Apres avoir cru qu’en renoncant au Nord on pouvait eviter une guerre,la junte de canailles a trouve bon de livrer tout le pays pour ne plus avoir a deffendre quoi que ce soit.les autres ne veulent que le pouvoir a tout prix,donc ils en profitent.Maintenant il est evident que le Mali ne devrait pas compter sur ses propres fils pour s’en sortir, sinon son compte est regle.QUE DIEU ET LA PROVIDENCE VEILLE SUR LE MALI.
il faut fusiller oumar mariko et le mp22 le plus rapidement possible entre konna et douentza.
ils ont trahis votre pays
uuuuunnnnh
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