Abdoulaye Diop, le nouveau ministre des Affaires Étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération internationale, était, à sa nomination, à Addis Abeba en Ethiopie où depuis janvier 2013, il était le directeur du bureau Afrique du Programme alimentaire mondial (PAM) et représentant auprès de l’Union africaine et de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA). Auparavant, il avait déjà travaillé trois ans pour le PAM (2009-2012) dont il était le représentant et le directeur des opérations pour le Malawi.
Le grand public malien, lui, s’est familiarisé avec Abdoulaye Diop lorsque celui-ci fut conseiller diplomatique des présidents Alpha Oumar Konaré et Amadou Toumani Touré (2000-2003) puis ambassadeur du Mali aux Etats-Unis. De ses bureaux à Washington, il couvrait aussi le Brésil, le Chili, le Mexique, le Pérou et l’Uruguay. Son mandat fut marqué par la signature d’un accord avec le Millenium Challenge Corporation (MCC) d’un montant total d’environ 461 millions de dollars (230 milliards de Fcfa) destinés à augmenter la productivité agricole (périmètre Alatona, etc.) et développer l’accès aux marchés régionaux et internationaux (nouvel aéroport de Bamako Sénou, entre autres). Abdoulaye Diop s’impliqua aussi fortement dans la réussite du Folklife Festival organisé en 2003 par le Smithsonian avec le Mali comme invité principal.
Titulaire d’une maîtrise, section diplomatique de l’ENA d’Alger (1989), d’un DESS en diplomatie et administration des organisations internationales de l’université Paris XI et d’un DEA en relations internationales de l’Institut international d’administration publique(IIAP) de Paris (1994), Abdoulaye Diop a été fait en 2009 docteur Honoris causa en service public de Chatham Université à Pittsburg aux Etats-Unis.
A la fin de ses études, Abdoulaye Diop entame une carrière de diplomate et travaille principalement à différents postes au ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale avec un intermède (1998-1999) comme conseiller à l’ambassade du Mali à Bruxelles.
Abdoulaye Diop parle couramment le français, l’anglais et le bambara.
Mamadou Hachim Koumaré: Mministre de l’Equipement, des Transports et du Désenclavement
Avec Mamadou Hachim Koumaré, c’est un spécialiste du transport et des infrastructures qui prend les rênes du département de l’Équipement, des Transports et du Désenclavement. A 64 ans, le natif de Ségou peut, en effet, se prévaloir d’un parcours éloquent au plan national et international et d’une expérience avérée. Après des études universitaires de mathématiques dans les années 70 à Dakar et Paris, Mamadou Hachim Koumaré s’inscrit à l’Ecole nationale d’ingénieurs de l’aviation civile de Toulouse en France et en sort ingénieur de l’aviation civile.
Il fait alors ses premières armes à Bamako comme conseiller à la direction de l’Aviation civile et directeur d’exploitation de la compagnie Air Mali. Son expertise lui ouvre les portes de l’international et d’une carrière riche de plus de 29 ans d’expérience de négociations multilatérales au niveau de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA) dans le domaine des infrastructures et de l’intégration régionale. De 1990 à 1995, il fut ainsi le responsable de la coordination des politiques des transports et du tourisme à Addis Abeba en Ethiopie.
Mamadou Hachim Koumaré a aussi assuré la supervision des fonctions d’orientation, de planification, de conception et de mise en œuvre du Programme de politique de transport en Afrique subsaharienne (SSATP). Pendant de longues années, il a représenté, le Programme dans les instances supérieures des partenaires, y compris les institutions internationales où il développait des plaidoyers pour la mise en œuvre de bonnes politiques de transport
De 2003 à avril 2010, il fut directeur pour l’Afrique centrale du Bureau sous-régional de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique avec résidence à Yaoundé. Il a travaillé dans le domaine du développement social, de l’intégration régionale, de la paix et la sécurité, des questions transversales de développement : les conflits, la mise œuvre des projets, la conception et l’exécution du projet E-emploi en Afrique centrale. De mai 2010 à nos jours, il est consultant international en infrastructure et intégration régionale. Une somme d’expériences dont il aura besoin dans ses nouvelles fonctions.
Il est marié et père de quatre enfants.
Me MountagaTall: Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique
Le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mountaga Tall est un docteur en droit de l’Université de Dakar et avocat à la cour. Né le 10 décembre 1956 à Ségou où il fit ses études fondamentales et secondaires. Après un baccalauréat en série « philo-langue », il s’inscrit à l’Université de Dakar où il décroche, en 1980, une maîtrise en droit international public. De 1981 à 1982, il passe un DEAG en droit public, un DEAE histoire du droit et un doctorat en droit.
En 1981, Mountaga Tall s’inscrit d’abord sur la liste du stage au Barreau de Dakar. Deux années plus tard, il se titularise au Barreau du Mali et ouvre un cabinet d’avocat à Bamako. De 1983 à 2001, le jeune Me Tall occupera successivement les postes secrétaire général de l’Association des avocats en fleur de notre pays et de l’Union des Barreaux ouest africains (UBAO). S’y ajoutent les mandats de vice-président national de l’Association internationale des jeunes avocats, de secrétaire général de l’Ordre des avocats du Mali, de vice-président de l’Association des avocats de l’espace UEMOA et de parrain de la première promotion de la Faculté des sciences juridiques et économiques de l’Université de Bamako.
Me Tall fut aussi président de l’Association malienne d’études et de recherches juridiques (AMERJ), membre de l’Association malienne des droits de l’Homme (AMDH), président d’honneur de l’Association des diplômés, initiateurs et demandeurs d’emploi (ADIDE), président du Comité national d’initiative démocratique (CNID-Association).
En 1991, il devient le président du parti du Soleil levant (CNID-Faso Yiriwa Ton). Plus jeune candidat (malheureux) à la présidentielle de 1992, il sera néanmoins élu député à la première Assemblée nationale de la IIIème République. A l’hémicycle, il cumulera plusieurs fonctions : président du groupe parlementaire CNID, membre de la commission des lois constitutionnelles. Après le cafouillage électoral de 1997, il est membre du Collectif des partis politiques de l’opposition (COPPO) et coordonnateur du regroupement politique Espoir 2002. Il retrouve les bancs de l’Assemblée nationale en 2002 puis en 2007.
Candidat à la présidentielle de 2013, il termine 10è sur 27 avant d’être battu lors de la législative à Ségou.
Descendant en ligne directe du conquérant El Hadj Oumar Tall et d’Ahmadou Cheick (« Lamdjoulbé » ou Commandeur des croyants), Mountaga Tall a très vite choisi sa voie : le service du peuple.
Le nouveau ministre est marié et père de 4 enfants.
Abdoulaye Idrissa Maiga: Ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement
Ingénieur des sciences appliquées de son état, Abdoulaye Idrissa Maiga qui prend la tête du département de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement a un parcours qui parle pour lui. Il est né le 11 mars 1958 à Gao où il a occupé son premier poste en 1982 en qualité de chef de l’antenne pastorale du ministère de l’Elevage et de la Pêche, directement après sa sortie de l’IPR de Katibougou.
Son professionnalisme lui vaut la confiance de ses supérieurs qui lui confient en 1998 la charge de directeur général du projet « Elevage Mali Nord-Est Gao. Un an après, il prend du galon et devient coordinateur des projets d’élevage de la région de Mopti puis chef département « Etude et suivi des milieux » à l’Agence pour bassin du fleuve Niger (ABFN) de 2003 à 2008. Depuis cette date, il officie comme consultant auprès d’organismes internationaux après un bref séjour en qualité de conseiller technique au ministère de l’Elevage et de la Pêche.
Maitrisant l’outil informatique, le nouveau ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement gère donc un portefeuille répondant à son profil : développement rural intégré, systèmes d’évaluation des fonciers, projets agricoles et gestion des ressources naturelles.
Sur le plan associatif, il est très connu pour avoir été rapporteur de la coordination régionale des organisations et associations démocratiques de Gao entre 1991 et 1992 et secrétaire général adjoint de l’Association malienne des Droits de l’Homme (AMDH) de1990 à 1999. Plus récemment, il a accepté d’être le président d’honneur du Centre d’études, de formation et de recherches en développement participatif « Sony Ali Ber ».
Sur le plan politique, Abdoulaye Idrissa Maïga a été le directeur de campagne de Ibrahim Boubacar Keïta, lors de la présidentielle 2013.
Le ministre Maiga s’est également investi depuis 1983 à travers un processus de formation continue et de pratiques de management dans l’analyse des projets et des approches participatives. Fort de ses diplômes de maitrise, DEA et DESS en ingénierie, il est l’auteur d’une trentaine publications techniques. Il a collaboré à la rédaction de l’ouvrage collectif récent « Mali : entre doutes et espoirs » (Editions Tombouctou) sous la direction de l’historien Doulaye Konaté.
Père de 5 enfants, le ministre Maiga est passionné de lecture et de scrabble.
Ousmane Sy: Ministre de la Décentralisation et de la Ville
Le nouveau ministre de la Décentralisation et de la Ville a le profil de la tâche. Reconnu comme le grand concepteur de la décentralisation au Mali, Ousmane Sy est né à Bandiagara le 25 mai 1949. En 2000, après avoir piloté la mission de décentralisation, il est nommé ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales par le président Alpha O. Konaré. Il revient au service de l’Etat le 26 décembre 2012, cette fois comme secrétaire général de la présidence à l’appel de Dioncounda Traoré, alors président de la République par intérim de la transition. Quelques mois après la fin de la transition, le voilà ministre de la Décentralisation et de la Ville dans le 2e gouvernement de l’ère Ibrahim Boubacar Keita. Un parcours qui vaut reconnaissance des compétences.
Membre fondateur de l’Adema, Ousmane Sy a fait ses études supérieures en France où il a obtenu un doctorat en développement économique et social à l’Institut d’études du développement économique et social de l’université de Paris-I, un diplôme d’études supérieures spécialisées en développement agricole de la même université ainsi qu’un diplôme d’études supérieures de l’Institut supérieur des techniques outre-mer (ISTOM- Havre) en agroéconomie.
Ousmane Sy a été expert au Programme des Nations-unies pour le développement (Pnud), puis chef de la mission de décentralisation et des réformes institutionnelles du Mali. Il est le promoteur du Centre d’expertises politique et institutionnelle en Afrique (CEPIA) qu’il dirige depuis janvier 2004.
Il est également coordinateur de l’Alliance pour refonder la gouvernance en Afrique et vice-président de l’Institut de recherche et débat sur la gouvernance. Le ministre Sy est marié à Kadidiatou Sow, femme politique, ministre et première et seule femme gouverneur au Mali.
En décembre 2004, il est récompensé par le prix international Roi Baudouin pour le développement « pour la force de sa vision et le courage de ses idées au sujet de la gouvernance en Afrique, et pour l’originalité de ses actions au Mali où, par un processus participatif de décentralisation et l’organisation d’élections transparentes, il est parvenu à créer un cadre stimulant une meilleure gestion publique et une stabilité renforcée, deux conditions essentielles au développement ». Comme publication, il a à son actif : « Reconstruire l’Afrique, vers une nouvelle gouvernance fondée sur les dynamiques locales ».
Officier de l’Ordre national du Mali, il est aussi membre du Board international de la SNV (Pays-Bas) depuis 2008. La lecture est son passe-temps favori.
Mahamadou Camara: Ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication
Le nouveau ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication Mahamadou Camara est en terrain connu pour avoir été le fondateur et directeur de la publication en ligne « journaldumali.com ». En 2006, il fut aussi co-fondateur et directeur général des « Editions Princes du Sahel » et patron de Impact média conseil (agence de communication) et Mip Mali (régie d’affichage grand format).
De 2001 à 2003, Mahamadou Camara occupe le fauteuil de secrétaire général de Computec média France, éditeur de magazines de jeux vidéo. La même année, il travaille au groupe Coprosa (groupe de presse éditeur des publications : Journal de l’automobile, Nouvel économiste).
Au groupe Jeune Afrique, Mahamadou Camara travaillera successivement comme directeur adjoint de la publication écofinance, chef de cabinet de Béchir Ben Yahmed, le président directeur général du groupe, éditeur délégué de Jeune Afrique à travers les rubriques écofinance et guides écofinance plus et hors série. De 2007 à 2011, il se voit confier les charges de présentateur d’Afrique économie, une émission télévisée bimensuelle diffusée en Afrique francophone, d’éditeur délégué de « The Africa Report » et consultant pour le groupe Jeune Afrique au Mali.
Au titre de l’expérience politique, le nouveau ministre a occupé les postes d’assistant, conseiller puis directeur de cabinet du président du RPM. A sa nomination comme ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication, Mahamadou Camara était le directeur de cabinet du président de la République.
Le nouveau ministre qui a 37 ans, a effectué ses études secondaires entre 1992 et 1995 au Lycée Michelet de Vanves en France (baccalauréat en série économique et social). Inscrit à la Sorbonne à Paris, il passe 2000 un DESS en gestion et commerce international et l’année suivante un master en entreprise.
Le nouveau ministre qui parle français, malinké, anglais et espagnol, est marié et a un enfant.
Housseini A. Guindo: Ministre des Sports
Le président de la Convergence pour le développement du Mali (Codem), Housseini Amion Guindo, le nouveau ministre des Sports est l’un des cinq chefs de parti membres de l’équipe gouvernementale actuelle. Il est né le 21 avril 1970 à Bandiagara. C’est à Bamba dans le cercle de Koro, en 5ème Région, qu’il effectue ses études primaires entre 1976 et 1982. Il poursuit ses études à Sikasso où il fréquente le second cycle entre 1983 et 1986 puis le lycée Monseigneur Montclos de la même ville de 1986 à 1991. Housseini Amion Guindo s’inscrit ensuite en histoire et géographie à l’Ecole normale supérieure de Bamako (1992 à 1997).
Diplômé de l’ENSup, il devient professeur d’histoire et géographie au lycée Mgr Montclos de Sikasso puis consultant au compte d’un ONG dénommée « Fonds d’investissement local ». Il se met alors à son compte et ouvre le lycée Amion de Sikasso.
Président du club de football du stade malien de Sikasso en 2004 et 3èmevice président de la Fédération malienne de football, Housseini Amion Guindo renoue avec une famille sportive qu’il connaît bien.
Connu dans le monde associatif, Housseïni Amion Guindo, communément appelé Poulo, l’est encore plus en politique. En 2005, élu député à l’Assemblée nationale comme candidat indépendant, il rejoint ensuite le Rassemblement pour le Mali (RPM) avant de claquer la porte deux ans plus tard.
Il est depuis 2008 président de la Convergence pour le développement du Mali, un parti qui se veut une organisation politique à vocation africaine qui vise la construction au Mali d’un Etat républicain et démocratique doté d’une économie de marché, à visage humain, dont il sera le porte drapeau à la dernière présidentielle où il se classe 5è au premier tour. Il est battu lors des législatives suivantes à Sikasso.
Marié, père de quatre enfants, le nouveau ministre des Sports a pour loisir le football et le cinéma. Il parle dogon, peul, bambara et français. Il a également des notions de sénoufo, sonrhaï et anglais.
Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo: Ministre de la Culture
L’ancienne directrice générale de l’agence de communication Star Com, Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo, est désormais en charge du département de la Culture. Titulaire de nombreux diplômes supérieurs acquis entre 1993 et 2009 (3ème cycle professionnel (Master II) en management stratégique et intelligence économique, Ecole de guerre économique, EGE Paris 2012 et d’autres aux USA), Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo entend mener le combat contre la piraterie. Avant de parcourir le monde en quête du savoir, elle a fait ses premières armes dans nos écoles jusqu’au baccalauréat en 1993.
Le nouveau ministre de la Culture qui a aussi créé une société de vente de produits et équipements médicaux avant de dispenser des cours d’intelligence économique dans plusieurs universités, n’est donc pas en terrain inconnu.
Agée d’une quarantaine d’années, Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo va user d’une grande expérience acquise dans les domaines du lobbying et plaidoyer, de la communication et du management au service de l’économie culturelle de notre pays. Ses atouts ne se limitent pas à sa maitrise de l’environnement économique et social du pays. Et encore moins ses aptitudes informatiques. Ils résident surtout sa capacité à concevoir et exécuter des projets. De 2009 à 2013, parallèlement à ses activités ordinaires dans le domaine de la communication, le ministre Diallo a effectué des missions de haut niveau en collaboration avec l’Union européenne, Mali challenge account ou encore avec le projet « Rempart ».
Entre deux voyages, elle dispense des cours à Sup’Managment. Active, elle créé en 2007 l’opération « Citoyen jusqu’au bout » destinée à inciter les différentes couches de la population à prendre activement part aux élections de 2007. L’année d’avant, elle dirigeait déjà la Foire régionale du développement organisée par la Banque mondiale.
Elle a publié un livre sur les « Enjeux géoéconomiques et stratégiques dans la bande sahélo-saharienne » et conçu le projet « DEFIS », un projet solidaire pour lier économiquement le nord et le sud du pays. Avec sa bonne maitrise du français, de l’anglais, du bambara et du peul, Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo va s’attacher à donner un coup d’accélérateur à la promotion de la culture ici comme à l’étranger.
Elle est mariée et mère de quatre enfants.
Qu’est ce que Ramatoulaye peut faire pour la culture. On ne sait même pas dans quel domaine elle s’est spécialisée. Et Poulo, qu’est ce qu’il a fait comme gestion pratique ? D’enseignant de lycée à député puis ministre. On ne voit cela qu’au Mali
Son portrait evoquait la communication et l’intelligence economique… Est ce que c’est suffisant pour sortir la culture de son marasme? l’avenir nous le dira
EHééé ????
A chaque nomination, son lot de Ministre bardé de Diplômes fantaisistes.
Je viens de lire qu’il y a une école de guerre économique à Paris.
On doit certainement sortir de cette école comme CAPITAINE ou Lieutenant en économie.
Si le journaliste sait bien compter, il verra qu’il y a un Bac+16 dans ses ministres vénérés.
BRAVO pour tout ce beau monde.
J’attends avec gourmandises le reste des diplômes.
En cherchant, on doit bien trouver un Ministre avec 5 Doctorats, 9 licences 12 Masters tout en parlant 14 langues en dehors du Bambara
Euh beaucoup d’africains disent qu’ils ont 1,2 ou 3 doctorats alors que c’est faut. Pour tous ceux qu’ils veulent vérifier, il suffit d’aller sur http://www.theses.fr. En saisissant le Prénom et le Nom du ministre ou de la personne, vous aurez la vérité sur son affirmation. Si il ou elle ne figure pas dites vous qu’il ou elle a menti. Ce site n’est valable que pour la France. 😛
Mes chers Amis,ayons
plutot pitie du sieur Tomi! En lisant ses insanites qu’il pretend être des commentaries il semble être un aigri vendicatif de la societe des hommes equilibres! Seul DIEU peut aider une telle personne a revenir a un niveau minimum du respect de l’AUTRE !!
Vous savez à chaque nomination on entend diplômé de ;;;;;;;;;;;;
On na pas vraiment pas besoin de tous ces diplômes pour diriger ce pays.
Bakary TOGOLA n’est pas aussi instruit que ça mais il dirige l’APCAM avec sérieux.
Ce n’est pas en quittant fraichement les Nations Unies,la Banque Mondiale qu’on peut se rendre compte des réalités de la commune de Fama dans la région de Sikasso,de Sitakili dans le cercle de Kéneiba.
LA FILLE DE LALA SY Véritable “Suzanne profit”, l’opportunisme habillé en ******** aussi *******. Nous avons atteint le seuil de ********* comme dirait l’autre en son temps; Djibril DIALLO du BEC quand il a dit en 91 que l’UDPM a atteint son s*********. Quel déshonneur pour le Mali! Décidément IBK n’a pas le sens tragique de l’histoire comme Pétain avec le déclin français en 40.
Tchêêêêê!!! i té sabali! celle là est quand même une femme mariée; vous avez une épouse, une sœur? Vous n’aimerez certainement pas qu’on les traîne ainsi dans la boue, non? Respectez vous, on vous respectera!
Je suis toujours sidéré par ce verbiage enfantin déguisé en critique.
” l’opportunisme habillé en corps de midinette aux mœurs aussi légères que ses strings” quelle grossièreté qui démontre à souhait le respect que vous avez pour nos institutions. Vivement une loi sur le numérique pour qu’il soit possible de poursuivre de tels auteurs de diffamation sur internet dans ce pays.
je vous suis parfaitement dans cette démarche . Nous confondons liberté de parole et manque de respect envers les autres . il faut pouvoir poursuivre ses auteurs de propos malveillants … J’ai toujours dénonce ce manque de courtoisie de certains intervenants qui dénaturent la discussion dommage … on peut donner un point de vue contraire sans être grossier et autre…
Tomi, honte a toi de t’acharner a une femme de cette façon vitriole. Ramatoulaye, vas y faire ton travail qu’on t’as confié pour le service de ton pays!…les gens vont toujours critiquer avec mauvaise foi.
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