Il ne fait plus l’ombre d’aucun doute que la tête du secrétaire Général du RPM est mise à prix. Sorti du gouvernement après l’avoir vilipendé, Dr Bocari Tréta fait l’objet d’une cabale de la part de ses adversaires qui s’appuient désormais sur leurs positions administratives pour en découdre définitivement avec lui. Ses antagonistes dont les plus farouches sont Abdoulaye Idrissa Maiga, Amadoun Konaté et Abdramane Sylla, sont décidés à en découdre avec lui. Y parviendront-ils si facilement face à une force politique comme Tréta ? Mesurent-ils réellement les conséquences d’un départ prématuré de Tréta du RPM ? Sont-ils plus légitimes que le secrétaire Général ? Le président de la République IBK ne sera-t-il pas complice comme Alpha l’aurait été en 2000 ? Trois grandes hypothèses s’offrent désormais à Bocari Tréta pour sortir avec honneur dans une bataille dont ses chances pour renverser la tendance restent assez maigres.
Le prochain congrès du RPM, prévu pour la mi-juillet, pourrait être celui de tous les dangers tant les antagonismes sont exacerbés et les positions irréconciliables. Tout cela se passe sous le regard complice de celui qui fut pendant plusieurs années l’allié le plus sûr de Tréta à savoir, le président du RPM en l’occurrence le Président de la République IBK, qui conformément à la Constitution n’a pas daigné présenter officiellement sa démission à la tête de son parti, créant du coup l’une des inconstitutionnalités jamais commises par un président malien. IBK qui ne dit mot, consentirait-il à la descente de celui sans qui le RPM ne serait pas aujourd’hui ce qu’il est. Son silence face aux spectacles désolants que se livrent les deux tendances rivales laisse transparaitre sa préférence au camp Abdoulaye Idrissa Maiga au détriment de celui de Tréta. Sur le terrain les deux camps opposés s’adonnent à des pratiques dignes d’un cirque d’où cette boutade d’un internaute : « pour avoir une place au RPM il faut être Ceinture noire 4e dan ». De la commune II, à la commune V en passant par Ségou pour arriver à Mopti, ce sont les mêmes spectacles qu’on voit entre les partisans de Bocari Tréta et ceux d’Abdoulaye Idrissa Maiga. Le seul objectif pour chaque camp est d’avoir le maximum de délégués pour le prochain congrès, afin d’imposer sa volonté avec la majorité mécanique ainsi obtenue. A-t-on réellement besoin d’un tel combat pour contrôler le parti ? L’opinion publique nationale semble être sidérée par ces comportements malsains de la part du parti majoritaire et s’interroge à juste titre sur la capacité de ce parti à sortir le Mali de l’ornière. Pourquoi un tel procès à l’égard de Bocari Tréta qui peut bien se targuer d’être l’un des membres fondateurs du RPM, plus légitime que ses adversaires de la 25ème heure? IBK va-t-il trahir son compagnon de lutte qui a accepté de traverser le désert avec lui ? Un président de la République qui ne parvient pas à rassembler au sein de son parti peut-il le faire à l’échelle nationale ? Dans tous les cas de figure, trois hypothèses s’offrent à présent à Tréta :
1ère Hypothèse : Quand il se rendra compte que les dés sont pipés et qu’il ne pourrait plus renverser la tendance, comme son camarade IBK en 2000 à l’Adéma, il pourra tenir un discours mémorable face à l’histoire et en prenant à témoin l’opinion nationale, avant de claquer lui aussi la porte. Il pourrait lui aussi dire que le RPM qui profile à l’horizon ne correspond plus à l’éthique ni à sa morale politique. Cet acte fera oublier tous les errements qu’il a commis. Il pourrait ainsi comme IBK se rendre victime et avoir la sympathie du peuple malien sans créer son parti en attendant des lendemains meilleurs pour qu’un jour des militants RPM blasés ne lui fassent recours.
2ème Hypothèse : Après avoir échoué à contrôler le RPM, il pourra créer son parti avec tous les frustrés, pas pour devenir président de la République en 2018, mais pour empêcher IBK d’avoir un second mandat. Comme ce fut le cas au Sénégal quand Abdou Diouf a préféré la carte Ousmane Tanor Dieng à la tête du PS au détriment des vieux briscards comme Moustapha Niasse et Djibo Léity Ka. Il sonnait ainsi le glas au règne d’un PS hyper puissant au profit des libéraux.
3ème Hypothèse : Il peut débarquer avec armes et bagages dans un autre parti avec tous ses partisans. Connaissant toutes les faiblesses du Président sortant, il pourra contribuer à la démolition du vaste dispositif mis en place et gripper du coup la machine électorale pour empêcher sa réélection et rendre IBK plus impopulaire que jamais.
En définitive, on a beau détesté le lièvre on doit reconnaitre qu’il court vite. Bocari Tréta est la mémoire vivante du RPM et son départ de ce parti laissera un trou béant qu’aucun autre militant, pas en tout cas ceux qui s’agitent aujourd’hui contre lui ne peuvent combler.
Youssouf Sissoko
Le Dr Tréta n’ira nul part et le président IBK ne prendra position pour personne.
Vous pouvez interpréter les choses à votre façon mais vous saurez avec le temps que la réalité est tout autre car les membres du RPM sont au dessus de tout ça et sauront mettre au dessus de tout les intérêts du parti pour le bien de celui-ci.
Ce n’est pas parce qu’il y a des bisbilles de part et d’autres au RPM qu’on va nous faire croire que le RPM est au bord de l’implosion. Il peut y avoir des petits problèmes mais le RPM reste et demeure cette famille uni que nous avons toujours connu avec le président IBK.
La vie d’un parti politique c’est une continuité tous les partis traversent ces moments difficiles dans leur histoire nous devons nous donner la main pour surmonter ces moments difficiles.
Ce genre de moments arrivent dans l’histoire chaque partis politique mais tout monde essaie de s en sortir avec la solidarité de tous ces membre du partis.Même la langue et les dents se heurtent souvent a plus forte raison que les gens.
Le parti du Rassemblement pour le Mali devrait mettre un terme à ce genre de conflit au sein de son parti politique car n’est pas une bonne image pour eux.
Certes,dans un partis politique il peut y avoir des discordes pendant un moment mais cela ne signifie pas que c est la division entre les membres ce parti politiques.
Plus que jamais le RPM doit rester soudé derrière le président IBK afin qu’il puisse atteindre les objectifs qu’il s’est fixé pour notre pays. Comme le vice-président l’a souligné suite à la polémique suscité lors du limogeage de Tréta du gouvernement nous devons “rester vigilants, soudés et mobilisés autour du projet de société et du programme du Parti” qui s’inscrit dans la droite ligne du président IBK afin que le Mali puisse sortir de la crise et aller vers le développement.
Tous les problèmes au sein du RPM aujourd’hui sont dus à des questions de leadership. Chacun veut avoir une autorité pendant qu’il ne l’a pas mérité. Ce qui est à la base de divergences et de clanisme. Il faille que les uns et les autres fassent fi de cette situation et de concentrer l’essentiel sur le soutien à apporter au président IBK.
Le problème au RPM c’est que chacun se bat pour ses intérêts personnels pourtant tout le monde devrait mettre en avant la vision du parti. S’il s’agit d’être dans un parti et avoir différents clans; autant ne pas y être. Un parti politique; c’est une famille et une famille est soudée, se soutien et travaille ensemble pour atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés. Le bureau national doit rapidement mettre fin à cette situation.
Les circonstances qui ont fait partir le président de l’ADEMA sont différentes à celles qui se présentes au Rpm aujourd’hui. Nous avons besoin de solidarité pour la survie du parti. Tréta doit écouter les militants pour éviter la division au sein du parti.
Monsieur le journaliste arrêtez de nous raconter des balivernes Monsieur Boubacar Treta ne partira nul part c est le secrétaire général du partis RPM et le restera aussi longtemps possible
Il faut toutefois noter que les militants sont des bords différents pour former le parti. Si le parti a atteint ce niveau c’est grâce aux efforts de Tréta. Je ne vois pas la raison qui pousseraient les militants à le limoger de ce poste.
Tréta restera au Rpm pour toujours, les militants ne savent bien que le moment n’est pas propice pour des règlements de comptes car c’est dans l’union qu’on peut se construire.
c’est par ce que RPM est une famille qui se sont ensemble dévouer dans tout les circonstances de rester unis c’est l’esprit d’équipe qui anime le parti
Le RPM, IBK et Treta, c’est la même famille politique et leur union ne date pas d’aujourd’hui. IBK et Treta resteront toujours unis par des liens plus forts. Le RPM est le point d’union de plusieurs leaders politique au sein du parti.
Le RPM, IBK et Treta, c’est la même famille politique et leur union ne date pas d’aujourd’hui. IBK et Treta resteront toujours unis par des liens plus forts. Le RPM est le point d’union de plusieurs leaders politique au sein du parti.
si vous mélez le fait que tréta a quitter le gouvernement va lui poussé a créer un nouveau parti vous trompez RPM c’est TRETA et c’est une famille soudée
TRETA au regard de son expérience et la façons dont il a gérer le RPM depuis qu’il fut proclamer secrétaire général a la compétence de résoudre ce petit incident au sein des partisans
les habits sales se lavent dans la maison le problème qui existe au sein de RPM n’est un simple mal attendu le président n’a pas a intervenu dans çà
TRETA au regard de son expérience et la façons dont il a gérer le RPM depuis qu’il fut proclamer secrétaire général a la compétence de résoudre ce petit incident au sein des partisans
les habits sales se lavent dans la maison le problème qui existe au sein de RPM n’est un simple mal attendu le président n’a pas a intervenu dans çà
Ce journaliste n'a vraiment rien à dire.Toutes ces hypothèses pour ne rien dire.Le RPM est un parti responsable avec des chefs raisonnables.Tout ce que ces journalistes essaient désespérément de faire c'est de créer une dissension entre les cadres du parti au pouvoir.Cela n'est pas prêt d'être arrivé car le RPM aujourd'hui a un seul objectif qui est la réélection du président IBK en 2018.
ce journaliste parle selon son raisonnement la réalité différente de ce qui est écrit dans cet article tout va bien au sein du RPM et TRETA demeure a sa place
Le RPM, IBK et Treta, c’est la même famille politique et leur union ne date pas d’aujourd’hui. IBK et Treta resteront toujours unis par des liens plus forts. Le RPM est le point d’union de plusieurs leaders politique au sein du parti.
Le RPM doit canaliser toute son énergie au soutien du parti au Président de la République dans le cadre de la mise en œuvre de son programme.C’est le plus important.Les problèmes de postes ne sont pas à l’ordre du jour.
IBK,Treta set les autres leaders du partie ont su toujours resté unis malgré la situation difficile et maintenant, je remarque toujours que telle est le cas. IBK et Treta resteront toujours unis car ils ont tout vécu un passé politiquement pénible et ils se sont soutenu jusqu’au bout.
Les militants du RPM ont compris la situation car ils doivent faire bloc autour du président de la république pour les futures échéances électorales. Tréta demeure le secrétaire conformément aux textes du parti.
En conclusion le journaliste souligne qu’une querelle pour la tête est engagé et Tréta déjà favori est en train d’être trahir. Loin de là, le RPM sera très bien se concerter et choisir qui sera nommé à la tête du RPM.
Les militants du RPM ont compris la situation car ils doivent faire bloc autour du président de la république pour les futures échéances électorales. Tréta demeure le secrétaire conformément aux textes du parti.
Il faut penser à consolider les acquis de la gouvernance et à se préparer pour les prochaines élections, notamment les régionales et les communales. C’est pourquoi les militants doivent prôner la cohésion au sein du parti et à cesser les querelles de positionnement et de leadership.Je pense donc que pour cela il est préférable que TRETA reste secrétaire général.
Diviser pour mieux régner, le RPM doit rester plus unis que jamais. Treta et ses compatriotes doivent tout faire pour ne pas tomber dans le piège des détracteurs.
Les ennemis du RPM sont en train d’user de tous les moyens pour créer de fausse tension entre les leaders du RPM. Les militants du RPM sont conscient de cela aucune fanfaronnade des détracteurs ne pourrait les séparer.
C’est inadmissible et impossible qu’il ait de tels problèmes au sein du RPM. Le président de la république ne peut pas personnellement se présenter pour régler ce problème mais il est invité à employer des manœuvres pour y trouver une solution adéquate et équitable
La gestion de la partie présidentielle n’est pas facile, j’en suis que Tréta sortira la tête haute RPM et ADEMA ne sont pas les mêmes, il faut que le RPM se donne la main, pour le parti puisse résister après ce congrès ordinaire.
Un parti politique est celui dont les militants sont solidaires. Ce n’est pas en travaillant solitairement que ses membres arriveront à vaincre les autres partis politiques plus solidaires.
“Le président de la République IBK ne sera-t-il pas complice comme Alpha l’aurait été en 2000 ?” Youssouf la difference ici est un “ocean”. Alpha a fait IBK, mais Tereta a toujours ete.
La gestion de la partie présidentielle n’est pas facile, j’en suis que Tréta sortira la tête haute RPM et ADEMA ne sont pas les mêmes, il faut que le RPM se donne la main, pour le parti puisse résister après ce congrès ordinaire.
Les cadres du RPM doit faire preuve de retenu pour ne pas gâter le nom et du RPM et du Président de la république. Le parti ne se limite pas à un seul jour. La gestion d’un parti au pouvoir est difficile. Mais, il dépend tout d’abord de l’objectif réel du parti. Et nous pouvons affirmer qu’au Rpm, chacun semble avoir son objectif à lui et non à aider et soutenir le président de la République qui est seul face aux problèmes de la Nation.
Je vois ce que les détracteurs veulent, ils veulent que Tréta part du RPM pour qu’il puisse avoir leur souhait, mais une chose est claire si jamais Tréta les écoute, il va regretté tôt ou tard.
Les détracteurs veulent que Tréta quitte le parti présidentielle c’est ça qui les pousse à écrire ces genres d’article sur lui, Tréta ne tombe pas dans leur piège, ce sont des imposteurs, les pseudos politiciens qui se cachent derrière leurs articles.
La gestion de la partie présidentielle n’est pas facile, j’en suis que Tréta sortira la tête haute RPM et ADEMA ne sont pas les mêmes, il faut que le RPM se donne la main, pour le parti puisse résister après ce congrès ordinaire.
Une chose est claire les détracteurs veulent tout faire pour mettre de la zizanie au tour des membres de la famille présidentielle, c’est leur compréhension qui va leur permettre de sortir la tête haute. Il faut qu’il donne la main et rester souder à jamais derrière le président de la république.
Le RPM doit savoir que la vie de ce parti n’a de sens que si ses militants arrivent à s’entendre. Donc ces petits problèmes ne servent a absolument rien du tout. Cher journaliste, si un tel cas doit arriver, IBK y serait pour rien car il est différent d'Alpha Oumar Konaré.
C’est inadmissible et impossible qu’il ait de tels problèmes au sein du RPM. Le président de la république ne peut pas personnellement se présenter pour régler ce problème mais il est invité à employer des manœuvres pour y trouver une solution adéquate et équitable.
Le Rassemblement Pour le Mali (RPM) est le seul parti à qui le président de la république peut se fier. Mais pour que ce parti réussisse cette mission, il faut que les problèmes internes cessent dès maintenant.
Un parti politique est celui dont les militants sont solidaires. Ce n’est pas en travaillant solitairement que ses membres arriveront à vaincre les autres partis politiques plus solidaires.
Sans la solidarité entre les militants d’un même parti politique, celui-ci est dans l’impossibilité de gagner toutes élections sur les autres partis qui sont solidaires. Pour le bien du parti et les carrières des différents militants.
Si le RPM veut survivre et remporter les élections présidentielles à venir et encore rester parmi les partis politiques, il doit rester aux côtés de son élu en formant une sorte de fil d’acier autour de celui-ci contre les attaques qui visent seulement à déstabiliser son pouvoir. Cela n’est possible que dans la solidarité.
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