L’inopportunité, l’opacité des termes de référence et le doute sur la crédibilité des personnes désignées pour diriger les concertations nationales sont des raisons qui motivent la non participation du Font uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (Fdr) auxdites concertations. L’annonce a été faite par le Fdr au cours d’une conférence de presse tenue le samedi 10 novembre à la Maison de la presse.
Dans sa communication, Sidi Bocoum, secrétaire administratif du Fdr, dira que des concertations nationales nécessitent la participation de toutes les couches socioprofessionnelles. Or, argumente-t-il, tel n’est pas le cas de celles que certains veulent tenir. Il indiquera que les concertations ne doivent point mettre en cause les institutions de la transition, ni dépouiller de leurs prérogatives les institutions constitutionnelles, encore moins revenir sur les questions déjà prises en charge par l’accord-cadre ou la loi, notamment le Comité militaire de suivi de la reforme de l’armée et la loi de programmation militaire…
De même, pour le Fdr, la détermination des critères de sélection des participants constitue l’un des points les plus importants pour la réussite des concertations. Ainsi que la représentativité des populations. Sinon le contraire nous ramènerait à des consultations bamakoises et non nationales, estiment-ils.
Pour sa part, Fihouroun Maïga précisera qu’il est difficile de justifier la participation de l’ensemble des membres du Gouvernement alors que les députés qui représentent les populations ne sont pas tous conviés. Le Fdr ne saurait comprendre la mise en marge des présidents des Conseils de cercle, renchérira M. Maïga.
Pour le Fdr, il demeure important d’avoir l’ensemble des partis politiques qui sont créés pour conquérir et exercer le pouvoir. «Il serait difficilement compréhensible qu’un parti politique soit écarté pendant que des associations qui n’ont aucune existence officielle et point de représentativité soient retenues sans que l’on en sache les raisons profondes. A ce niveau, il y a lieu de nettoyer la liste proposée au titre de la société civile afin de maintenir le caractère crédible de l’évènement. A titre d’exemple, des associations historiques sont écartées (Adema Association, Cnid Association, Jld, Adide, Amupi, Cnj, Apdf, Fenacof…) au profit d’autres à l’existence et aux agissements douteux ou n’ayant aucun rapport avec les Concertations. Notamment les associations des exploitants de sable et gravier, Yéréwoloton, Réseau malien des consommateurs de téléphonie mobile, Laïdou Telecom…). Compte tenu de ces imperfections, le Fdr boycotte ces assises et ne reconnait pas sa légitimité», a déclaré le communicateur. Car cette démarche ne vise point la réussite de la transition, encore moins les intérêts du peuple malien a-t-il ajouté.
Oumar KONATE
j’ai la ferme conviction que le Premier Ministre CMD n’aime pas le Mali et qu’il a un agenda, celui de la liquidation du Mali, autre que celui de tout bon citoyen malien qui n’aspire qu’à la paix et la stabilité pour ce pays. Alors s’il n’arrête pas son cirque de pieds nickelés , il incombe aux forces vives de la nation de prendre leurs responsabilités, aux députés d’adopter une motion de censure contre le PM.
Mais ce qui est évident, à persister dans sa folle ambition de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle relève certainement de sa liberté, mais qu’il sache que le peuple souverain du mali est aussi jaloux de ses acquis démocratiques et républicains. Aucune dictature, aucune velléité tendant à faire sombrer davantage notre pays dans la déchéance ne passeront. Ce vacancier bon teint jouissant de sa double nationalité Américano-malienne n’a aucune pitié pour le peuple malien déjà meurtrie. Nous nous n’avons pas deux patries, nous n’avons que le seul Mali, alors de grâce qu’il nous épargne un autre K.O
Le temps par lequel le Tout puissant ALLAH a juré est le meilleur juge. Ce qui est sûre les masque vont tomber. Allah Ka bè sara ni dina ni haniya yé
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