De rebondissements en rebondissements, l’actualité nationale de notre pays ne finit décidément pas de surprendre. Le Plus choquant aujourd’hui est qu’on donne beaucoup plus l’impression de se préoccuper plus pour la quête, le contrôle et l’exercice du pouvoir que plus la libération des 2/3 du territoire sous contrôle Djihadiste.
Au point où nous en sommes et si les choses restaient en l’état, c’est-à-dire la conquête du pouvoir au Sud, il est fort à craindre que les An sardines ne surprennent tout le monde ici à Bamako. Et si c’était le cas alors adieu au pouvoir et à son exercice De rebondissements en rebondissements, la nouvelle mode politique nationale tourne autour des concertations nationales, comme si elles détermineraient forcement l’avenir politique de ce pays. Mais peut – on parler de concertations nationales sans au préalable organiser des concertations régionales ? Et sur la brûlante question de la prolongation du mandat du président par Intérim, n’est ce pas le Premier Ministre Diarra qui avait saisi la Cour Constitutionnelle pour une prolongation de deux semaines par exemple, avec comme argument semblerait – il , que c’est le temps nécessaire pour déterminer l’autorité devant exercer la fonction de Président de la République à la suite de pourparler entre les
acteurs de la vie politique ” ?
Quand le Premier Ministre faisait cette saisine à la Cour Constitutionnelle, la CEDEAO n’avait –elle pas déjà décidé de la prolongation du mandat du Président pour un an ?
L’avis de la Cour Constitutionnelle date du 31 mai 2012 aurait semble t –il été notifié au Premier Ministre, mais le Premier Ministre et ses services l’ont –il publié ?
Le sachant comment Cheick Modibo Diarra s’est – il encore permis de donner son accord aux familles fondatrices de Bamako et à la COPAM quant à l’organisation d’une concertation nationale qui doit aboutir à la désignation des organes de transition ? Les maliens ne comprennent décidément plus rien à ce qui se passe dans leur pays ? Question qui fait qui dans ce pays ? A suivre
Sory de Moti
Tout ca c’est la faute a sanogo qui apres son maudit coup d’etat,nous amis dans ce petrain.a cause du pouvoir et l’argent ils sont capables de tout.Mais un conseil s’ils n’arretent pas a temps la chasse aux berets rouges,Sanogo va perir bientot par ce la prochaine revolte ne se limitera pas seulement aux berets rouges.Il ya beaucoup d’elements dans son rang aujourd’hui,prets a retourne leurs canons contre lui.Tous les tirs seront croises sur lui.le constat est que ce n’est plus le meme engouement,comme le 22 mars.
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