Le Gouvernement du Mali est fortement représenté à ce grand rendez-vous avec la présence de six (6) ministres :
Il s’agit des ministres :
– de la Promotion des Investissements et du secteur privé: Me Mamadou Gaoussou DIARRA;
– de l ‘Economie Numérique, de l’Information et de la Communication, Porte-Parole du Gouvernement, Dr Choguel Kokala MAIGA ;
– de l ‘Economie et des Finances : Mamadou Igor DIARRA ;
– de l’Equipement, des Transport et du Désenclavement : Mamadou Hachim KOUMARE;
– des Mines : Boubou CISSE.
La délégation comprend également le Ministre Secrétaire Général adjoint de la Présidence : Moustapha BEN BARKA.
Le thème retenu cette année est « Réinventer l’avenir de l’Afrique ». Pendant trois jours, des dirigeants du monde des affaires d’envergure internationale, de gouvernements, et des représentants de la société civile aborderont entre autres sujets, des questions relatives aux Perspectives économiques de l’Afrique à son développement. Il s’agira d’évaluer les progrès accomplis par l’Afrique jusque-là et de passer en revue les questions d’actualité
La participation du Mali à cette rencontre, témoigne une fois de plus de l’intérêt que porte cette institution pour notre pays et vise à renforcer la dynamique partenariale établie avec le Gouvernement de la République du Mali. En effet, le World Economic Forum s’est engagé à accompagner le Mali dans son processus de développement socio-économique.
Ainsi, la participation du Mali à ce Forum sur l’Afrique, offre l’occasion de présenter les principales actions et les défis du Gouvernement du Mali à promouvoir une croissance économique inclusive.
Les rencontres seront l’occasion de faire connaitre les opportunités d’investissement au Mali, et mobiliser des flux substantiels d’investissements pour financer les projets structurants publics et privés.
Il s’agira enfin d’exposer les besoins du Mali en infrastructures et en technologies auprès des potentiels partenaires dans les domaines clés de l’économie (l’agriculture, énergie, les mines, les infrastructures, les services financiers, les nouvelles technologies de l’information et de la communication). Le Mali pourra ainsi bénéficier de transfert de technologie et à long terme d’un accroissement de compétences techniques favorable au développement durable.
Bamako, le 3 juin 2015