Alors que la signature le 20 juin dernier au Centre international de conférence de Bamako de l’accord pour la paix et la réconciliation par toutes les parties prenantes à la grave crise qui secoue notre pays avait suscité l’espoir, nos gouvernants tiennent, coûte que coûte, à organiser les élections communales, régionales et du District de Bamako le 25 octobre prochain. Mais, vu l’évolution de la situation sur le terrain qui s’est dégradée avec les récents événements d’Anéfis, ces élections pourraient être reportées, notamment faute de personnel administratif dans le Nord du Mali. Précisons qu’elles avaient été reportées à trois reprises depuis l’année dernière. Le dépôt des candidatures a été clos depuis jeudi, 10 septembre 2015, mais la polémique enfle dans le pays.
Après les ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma), c’est au tour des partis politiques de plaider pour un report de ces élections. Au sein de la classe politique, la tenue de ce scrutin fait de plus en plus débat. Côté opposition comme dans les rangs de la majorité, ils sont de plus en plus nombreux à estimer que ce scrutin ne peut pas se tenir, notamment à cause de l’insécurité au Nord, au Sud et au Centre du pays. La Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma), pour sa part, rejette d’ailleurs totalement la tenue des élections à cette date. Tenir ces élections dans les conditions actuelles revient à une violation politique flagrante des engagements pris par toutes les parties pour la mise en œuvre de l’accord d’Alger.
Mais, le porte-parole du gouvernement indiquait que des concertations étaient prévues vendredi dernier entre tous les acteurs concernés et le ministre de l’Administration territoriale en rendra ensuite compte au Premier ministre.
«Le gouvernement n’est fermé à aucune proposition, mais il ne bougera que si les partis politiques le demandent». Cette source au sein de la Primature pourrait bien être entendue.
Pour Soumaïla Cissé, président de l’Union pour la République et la démocratie (Urd) et chef de file de l’opposition, «dans la situation actuelle, les élections ne peuvent pas se tenir correctement». Il pointe le manque de personnel administratif dans les régions du Nord et s’emporte : «Même déposer les listes a été un chemin de croix !».
Même son de cloche du côté de Tiébilé Dramé, du Parena, qui dénonce une décision «irresponsable» et «un projet d’élections impossibles» à tenir sur l’ensemble du territoire. Il estime également que la tenue des régionales et des communales est «en contradiction» avec l’accord pour la paix signé en juin dernier.
Mais, cette grogne ne concerne pas uniquement l’opposition, puisque des voix au sein de la Convention des partis de la majorité présidentielle plaident également pour un report. Pour le président de l’Adéma-Pasj, Tiémoko Sangaré, «il ne serait pas indiqué de maintenir cette date, car les conditions ne sont pas réunies». Il explique que des discussions ont été engagées avec les autres partis de la majorité ainsi qu’avec les autorités. Aucun commentaire du côté du Rassemblement pour le Mali (Rpm), le parti du président Ibrahim Boubacar Keïta.
Si les partis, tant de l’opposition que de la majorité, crient au scandale face au maintien de cette date du 25 septembre 2015 pour ces joutes électorales, la Cma en a profité, une fois encore pour se radicaliser, comme elle l’a toujours fait pour nuire à la Nation malienne. En effet, la Cma, après voir menacé d’interdire «toutes mobilisation, sensibilisation ou campagne concernant les élections municipales dans le Nord», estime que le temps des élections n’est pas encore arrivé. Les responsables n’entendent pas laisser battre campagne dans les localités qu’ils occupent et exigent, avant toute tenue d’un scrutin, le retour des populations réfugiées. En tout cas, la Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma) reste campée sur le contenu de son communiqué en date du 25 juillet dernier sur l’organisation des élections communales, régionales et du District de Bamako.
Selon Moussa Ag Acharatouman, un leader de la Cma, «le moment n’est venu pour tenir des élections». À l’en croire, les conditions sécuritaires sont mauvaises. Et pourtant, au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, on rappelle que les élections qui doivent se tenir dans les 703 communes, ont déjà été reportées à trois reprises et qu’il va quand même falloir les organiser.
Mais, dans les conditions actuelles, comment battre campagne ? Comment sécuriser les opérations de vote ? Ou encore, comment acheminer le matériel électoral dans les rangs de la classe apolitique? Les questions sont nombreuses et le sujet est au centre de tous les débats dans les lieux de causerie et des états-majors des partis politiques. Plus qu’un sujet de discussion, la tenue des élections communales, régionales et du District est devenue une préoccupation nationale.
Ce qui est sûr, c’est qu’avec ces divergences de vue sur la tenue du scrutin à la date indiquée, le risque d’un quatrième report n’est pas à écarter. Mais attention, il ne faudrait pas tomber dans le scénario de certains pays comme la Guinée Conakry où le gouvernement n’arrive toujours pas à organiser les élections municipales après plusieurs années de tergiversations. Un véritable débat national s’impose donc !
Samba KEITA
Suivons le gouvernement et arrêtons de nous posé au tend des questions. On doit avoir de la confiance à notre cher gouvernement. 😀 😀 😀 😀
Quel qu’en soit la décision du gouvernement, la population doit pour le bien être de la nation suivre ce gouvernement et ne cédant à aucune mauvaise conduite qui peut amener la population en des révoltes.
LE GOUVERNEMENT DU MALI A TOUS MES ENCOURAGEMENTS ET TOUS MES SOUTIENS DANS LE PLUS GRAND RESPECT. JE CHANGERAIS D’IDÉE LORSQU’IL CHANGERAIT AUSSI LA DATE DE CETTE ELECTION.
Que ces grands gueules se ferment maintenant. Eux ils croient que le gouvernement ne travaille que sous leur ordre. Le gouvernement va une fois de plus analyser la faisabilité de cette élection ensuite fera informera la population dans un communiqué spécial. Qu’ils sachent également que ce gouvernement rempli déjà hautement les missions qui les ont été assignées par le PM sous la plus confiance du président. Cette confiance est la seule qui le président à nous autres. Merci.
Calmons-nous, le gouvernement finira par trouver une décision qui sera favorable à tous les maliens. Nombreux sont les maliens qui croient que le gouvernement est une force contre le Mali et ses intérêts; alors que c’est loin d’être le cas. Sans la population le gouvernement n’aura aucune raison d’exister.
Je suis pour la tenue des élections communales comme l’a prévu le gouvernement. Seul le gouvernement peut décider en dernier ressort si cette élection sera tenue ou non le 25 Octobre 2015.
Il est vraiment temps que les élus communaux se ressaisissent et acceptent de céder le fauteuil à d’autres personnes qui seront plus utiles à la population. Parce qu’il a été constaté qu’ils ne font plus rien dans leurs communes respectives. Le cas du maire de la ville de Kayes en est une illustration. Et cela n’est pas tout.
Le comité de suivi de l’accord s’est réuni plusieurs fois et a pu adopter son règlement intérieur. Espérons qu’à partir de là, on pourra engager des mesures urgentes sur les plans sécuritaires (cantonnement, désarmement…), humanitaires et de réconciliation (retour des réfugiés notamment) ainsi que les actions de développement. Concernant ce dernier chapitre, la mission internationale d’évaluation des besoins de développement a travaillé depuis deux mois et ses résultats ont fait l’objet d’une table ronde internationale à Paris le 22 octobre à l’effet de trouver des financements pour engager ces chantiers.
Au niveau interne, le Gouvernement a mis en place une instance de coordination et de soutien à la mise en œuvre des actions de l’accord, notamment sur les plans institutionnels et de gouvernance. Il faut également savoir que la collaboration sur le terrain sécuritaire à travers des missions de patrouilles se met en place doucement. Par conséquent, on peut mieux faire mais on n’est pas statique.
Gardons confiance au gouvernement, la paix n’est pas perdu.
Tu as raison, nous devons attendre la décision du gouvernement et quel que soit la décision du gouvernement la population doit la respecter et même la soutenir. Car lors du conseil des ministres les ministres étudieront le problème d’une manière à ce que cela résume à une suite favorable pour le pays.
Je pense que le dernier mot appartient au gouvernement. Après le conseil des ministres prochains, le ministre de tutelle et ses homologues tenteront de trouver une suite favorable pour ce blocage.
Population du Mali, politiciens, laissons le gouvernement prendre la bonne décision. Ils sont les mieux placé pour organisé ou rapporter ces élections.
Le pays n’est plus au même niveau de condition des autres ans. Quel Qu’en soit, c’est à la population de comprendre le gouvernement et ses décisions. Il ne s’agit pas d’organiser des élections, Il s’agit de le protéger.
Soyons unis et soutenons le gouvernement, Vive le Mali.
Le gouvernement est à la quête du bien n’être du pays, si la tenue des élections peut porter atteinte à la stabilité du pays qui est déjà d’une manière ou d’une n’autre fragile. Malgré, les multiples reports le gouvernement doit accepter une fois de plus de reporter les scrutins.
Je pense que toutes les décisions possibles du gouvernement concernant ce scrutin doivent être soutenues par la population. Le gouvernement a besoin du soutien de sa population pour mieux gouverner le pays.
Je pense que c’est dans l’intérêt de tous, le gouvernement peut reporter les élections communale et régionale. Le gouvernement aspire donner à la démocratie et à la constitution toute sa valeur.
Pour l’intérêt général du peuple, le gouvernement peut revoir la situation et même reporter le scrutin. Le gouvernement essaie de tout mettre en n’œuvre pour le respect de la démocratie et de la constitution malienne.
la question du report n’est plus seulement une demande de l’opposition ou des groupes armés. La majorité s’y mêle aussi.
Population du Mali, soyons patient, soyons patient de la situation du pays. Le gouvernement doit être comprise et être soutenu par tous, ils sont là pour nous et nous devons leurs montré au tant de considération.
Si le gouvernement change la date des scrutins, c’est bien sûr dans l’intérêt de la nation…
Aussi, pour la Cma, un report de la date de ce scrutin permettra de donner un peu plus de temps, afin que les populations déplacées et/ou réfugiées du fait de la crise, regagnent leurs localités respectives et prennent part au scrutin, comme tous les autres Maliens.
Le moins que l’on puisse dire, est que le maintien de cette date n’est pas pour arranger les choses dans un pays où ce ne sont pas les difficultés qui manquent. Depuis un certain temps, ce sont les ex rebelles de la Coordination des mouvements de l’Azawad qui ont emboîté le pas à l’opposition pour solliciter un report du scrutin. La Cma, s’est, sans équivoque, démarquée de tout fétichisme des dates, en introduisant auprès du gouvernement une requête pour repousser un scrutin dont les enjeux sont bien connus.
Tous maliens conscients doivent soutenir le Président et son Gouvernement dans leur décision pour la tenue des élections. Ils prendront sans doute des décisions qui honorent tous les maliens.
Les élections communales, régionales et du district sont fixées au 25 octobre prochain. Mais dans le contexte actuel, beaucoup s’interrogent sur la tenue du scrutin, en particulier dans les régions du Nord. En plus de l’opposition, c’est au sein de la majorité que les voix se lèvent pour le report des élections communales d’octobre prochain. Un autre acteur, la Coordination des Mouvement Armés de l’Azawade après voir menacé d’interdire « toutes mobilisation, sensibilisation ou campagne concernant les élections municipales dans le Nord », estime que le temps des élections n’est pas encore arrivé.
Les élections ne peuvent pas avoir lieu, car une partie du pays est en crise. Pour la réussite de ces élection, il faut que l’accord soit mise en œuvre, et que tous le Mali soit libéré.
Depuis quelques jours ont vois parfaitement que tous les acteurs, civils et politiques, de la société sont contre la date du 25 octobre pour les élections. Il est nécessaire que le fasse un report de ces élections pour sauver la paix. Sinon les partis et les groupes signataires de l’accord sont capables boycotter ces élections. Cela n’est pas bon pour un pays qui traverse la crise. 😛 😛 😛 😀 😀 😀
Pour la paix et la stabilité de notre pays, nous devons tous soutenir nos dirigeants dans leurs décisions, nous sommes sure qu’ils prendront des bonnes décisions pour le bien du Mali.
Nous parlons aujourd’hui des élections communales du 25 Octobre prochain. Selon plusieurs observateurs, les élections communales d’octobre prochain auront du mal à se tenir à cause de la situation sécuritaire. 😛 😛 😛 😛 😛
Tout le territoire national est secoué par une insécurité totale. Tenir les élections dans cette situation sera le fait de violer les engagements pris dans l’accord d’Alger pour la paix. IL ne faut pas forcer l’impossible. 😆 😆 😆
Tous les maliens doivent soutenir le Président et ses ministres dans leur combat. Ils font tous pour sortir le Mali de la crise. Nous devons les soutenir dans leurs décisions. Si le report des élections est une solution pour une stabilité du pays, nous devons tous l’accepter.
La tenue des élections communales et régionales sera une violation de l’accord d’Alger pour la paix et la réconciliation nationale. Le gouvernement ne va pas aussi insister sur sa décision de tenir ces élections. 😛 😛 😆 😆 😆
On attend la décision du gouvernement, on sait qu’il ne fera rien, qui pourra nuire à notre pays
Vu la situation actuel du pays, le report de ces élections est sans doute une meilleure solution. Faisons confiance à nos dirigeants et soutenons-les dans leur combat.
La coordination des mouvements armés de l’Azawad sont contre la tenue des élections régionales et communales. La Plate-forme est elle aussi contre. Je pense aussi que le gouvernement ne prendra pas une mauvaise décision. C’est l’avenir administratif des régions, communes et du district de Bamako en dépendent. 💡 💡 💡 💡
Si réellement certaines dispositions de l’accord d’Alger sont contre la tenue des élections régionales et communales, j’invite le gouvernement tout entier à faire en sorte que les engagements pris dans le document d’Alger ne soient pas violés. Surtout qu’il une crise de personnels administratifs. 😛 😛 😛 😀 😀
Avec des critiques inutiles, nous n’avancerons d’un pas. Comprenez que nos dirigeants ne sont pas des inconscients. Ils sauront prendre la bonne décision pour le bien du Mali. Si le faite de reporter les élections est une solution pour que vive la paix et la stabilité du pays, nous devons tous aller dans le même sens qu’eux. Le Président et ses ministres ne visent que le bien du Mali, ils ne prendront jamais une décision qui qui déshonore les maliens. Nous devons mettre fin à nos critiques et les soutenir.
Attendons la décision finale du gouvernement, et arrêtez avec vos suppositions mes chers journalistes.
A mon avis il n’y’a rien de mal à ce qu’on fait les élections. Ce n’est pas maintenant que, les crises du Mali ont commencé. Et pourtant il y’a eu l’élection présidentielle dans cette condition et pourquoi pas les élections communales et régionales ?
Les élections communales et régionales prévues pour le 25 octobre 2015 ne peuvent et ne doivent pas non plus être tenues à cette date si toute la classe politique est contre cela. On constate aussi que les autres parties prenantes à la signature de l’accord d’Alger que sont la Cma et le Gatia sont elles aussi contre la tenue de ces élections. Nonobstant je demande au gouvernement de prendre la bonne décision. ❓ ❓ 😆 😆 😆 😆
Je ne sais pas pourquoi la population même s’oppose au développement du pays. Si le gouvernement a décidé de faire les élections le 25 Octobre ce qu’il a pris tous les précautions. Alors pourquoi s’opposer à ce qu’il soit lieu.
Si le gouvernement décide de changé la date des élections on va le soutenir. Mais que les journalistes arrêtent de nous embrouiller.
Pourquoi vouloir reporter la date des élections ? Personne ne pense aux dépenses qui ont été faite pour les organisations des élections du 25 Octobre. On ne voit jamais loin.
Les maliens doivent rester toujours derrière nos dirigeants, car ils savent pertinemment quel chemin emprunté pour sauver l’honneur et la dignité des maliens. De retour nous devons les soutenir et sans arrêt.
VIVE LE PRESIDENT DE LA TREPUBLIQUE
VIVE LA PAIX ET RECONCILIATION
VIVE LES ELECTIONS COMMUNALES ET REGIONALES
ABAS LES DETRACTEURS
A bas tous ceux ou celles qui sont en contradiction de la tenue de ces élections communales. Rien ne sert de s’opposer au gouvernement. Tous ont intérêt d’accompagner l’action gouvernementale afin que les forces étrangères et autres forces de ce genre sache que nous sommes unis.
Je demande à tous les opposants, pas que Tièbilé ou Soumaïla, mais tous ceux qui sont contre de bien vouloir accepter ces élections.
Nos gouvernants sont conscient de ce qu’ils font, mais de tout compte fait on demande à la de rester population de rester toujours patient jusqu’à ce que les élections soient faites.
Si pour d’autres les élections ne peuvent pas se tenir, ils ont leurs idées a eux. de toutes manières restons derrière le gouvernement et tout ira bien.
Nous demandons toujours à la population de rester toujours le président de la république et son gouvernement, si la date du 25 octobre est reporter, cela se fait au beau respect de la loi Malienne et plus précisément l‘article 116 de la constitution de la république du Mali.
Tous les Maliens savaient que nous sommes en période de circonstance exceptionnelle, alors le gouvernement Malien fait tout pour le bonheur des Maliens et la tenir des élections.
L’opposition et la majorité sont en train de faire juste de la propagande. Pour reporter les élections, il suffit qu’un parti politique dépose une requête demandant l’annulation ou le report du scrutin pour que la CENI étudie pour finir. Mais aucun parti ne l’a fait parce qu’ils savent qu’il n’y a pas de raison valable. Ils veulent seulement plus de temps pour se structurer du mieux qu’ils peuvent
Nous demandons à la population de rester toujours dernier le gouvernement car il est en train de faire tout pour que le pays soit stable et que les élections soient faites de façon transparence.
Nous demandons aux différents partis politiques et aux opposants de soutenir toujours IBK et son gouvernement pour la bonne organisation de l’élection communale et régionale.
Détendez-vous cher Keita, nos dirigeants sauront entreprendre le meilleur chemin. Quand même une chose est sure, si la tenue de cette élection municipale mettra impacte plus la situation du pays. Le gouvernement n’hésitera pas à l’annulé.
Grace à la signature de l’accord de paix et la réconciliation signé le 20 juin dernier a été un moyen efficace pour que le pays retrouve la paix et la stabilité, compte tenu de cela la situation sécuritaire du pays devenu stable, mais certains individus mal intentionnés veulent seulement nuire à la gouvernance d’IBK, concernant les élections communales et régionales le gouvernement fera tout son mieux pour que ces élections soient faites.
Quelque soit la distance qu’on parcourt, on finit par s’arrêter. Les partis politiques doivent savoir que même après le report, le Mali aura toujours cette épine au pied. Sans les élections municipales, la gouvernance n’est pas complétée. Personne n’arrive à sortir de bons raisonnements qui valent le report des scrutins.
Vous ne voulez pas que cette élection soit tenue, cela va faire près de deux ans pour cause d’insécurité. Mais à quand voyez-vous le pays totalement en sécurité ? Si vous craignez de votre échec, personne n’est obligé de participer, vous pouvez renoncer.
Soutenons seulement les décisions de notre gouvernement. Tout ce qu’il entreprend c’est pour le bonheur de tous les maliens. Les partis politiques doivent faire preuve de patriotisme en aidant le gouvernement à tenir cette élection. A force de repousser les dates, nous allons écouler un mandat de cinq ans sans pouvoir tenir cette municipalité.
Si le gouvernement se laisse trainer par ces opposants qui n’ont point de pitié pour ce pays, il va échouer et après ce sont les mêmes opposants malhonnêtes qui le critiqueront qu’il a échoué. Donc j’invite le gouvernement à tout faire pour que cette date soit maintenue.
Dans tout ça pourquoi continuer à faire le con? Au moment où les présidentielles avaient lieu, le Mali n’était pas plus endossé qu’aujourd’hui? Mis j’ai l’impression qu’on attend que la France nous dicte quoi pour que tout le monde s’exécute rapidement. Si les présidentielles étaient sensées ramener la paix et la stabilité comme l’avait prétendue la France, les communales n’en feront que concrétiser. Alors où passée cette France qui se tient garante de la démocratie? Où cette minusma qui est sensée construire la paix au Mali, vu que la CMA s’oppose unilatéralement à toute activité électorale dans les zones du nord? Les maliens auront bien fait d’ouvrir les yeux
SOUMAÏLA CISSE si vous êtes conscient de ce que vous dénoncez, vous n’auriez pas dû aller à la présidentielle et à législative. Toutes ces deux élections précédentes ont été ténues sous l’insécurité dans les mêmes localités que vous citez.
La menace fait par la CMA ne peut en aucun cas faire revenir le gouvernement malien sur sa décision. Par contre, c’est le fait de mettre en danger l’avenir de la population malienne qui lui fera changer d’avis. De toutes les milles et une façon c’est l’opinion de l’ensemble des maliens qui comptent.
TIEBILE et SOUMI CHAMPION, taisez-vous. Nous savons tous que vous voulez seulement l’échec du régime d’IBK. Les élections présidentielles et législatives ont été tenues ici, on disait les mêmes mots l’insécurité dans le pays. Actuellement c’est comment ? Si on se tenait à ce que vous disiez est ce qu’on n’allait pas faire dix ans de transition présidentielle et repousser les mandats des députés de l’ancien régime. Ce que je dis à mes frères seulement ne suivez pas ces opposants, ils crient pour leurs intérêts personnels, ils s’en fichent de notre sort.
L’heure n’est pas aux critiques mais plutôt de se porter conseil, il n’y a plus rien à dire. Figurez-vous que le gouvernement malien a déjà reporté de nouveau l’élection municipale. Après tout c’est le Mali d’Abord qui compte.
Plutôt le ridicule pari de la presse contre le gouvernement. Le report des élections n’apportera rien de mieux au Mali, cela rentre au contraire dans l’intérêt des partis politiques qui ne veulent pas perdre leur élus locaux. Le gouvernement ferrait bien de maintenir la date prévue.
Soyez sans crainte cers maliens nos gouvernants sont conscients de la situation qui prévaut actuellement. Raison pour laquelle ils ont décidé tout d’abord de s’entretenir avec les acteurs de la société civile enfin de tirer une conclusion quant à la tenue de cette élection.
Le report du scrutin du 25 Octobre coutera beaucoup de CFA à l’Etat du Mali. Et après c’est cette même opposition qui reviendra en hypocrite pour demander des comptes. S’ils ne sont pas bien structurés pour aller aux élections, ce n’est pas la faute au gouvernement. Même après les prétendus 24 mois de période de je ne sais quoi, la situation restera toujours la même à Kidal
Oui aux élections municipales et régionales, comme l’a prévue notre gouvernement. Les autres élections ont été tenues sous ces mêmes tensions, donc on ne va pas passer nos temps à repousser la date de cette élection. La tenue de cette élection est un défi majeur du régime d’IBK aussi.
Arrêtez de raconter des balivernes nos gouvernants savent ce qu’ils font. S’il s’agit de tenir cette élection ils le feront mais au cas contraire ils sauront aussi prendre la bonne décision. Faisons les confiances et soutenons les.
Ces élections seraient sans équivoque reportées pour le bonheur de la paix et de l’équité pour Kidal.
Il n’y a pas jusqu’à preuve de contraire de paix à Kidal. Cela fait presque 90 jours après la signature de l’accord mais aucune mesure prise dans le document n’a été effectuée, pas de redéploiement de l’administration et de l’armée malienne à Kidal, pas de désarmement des ex combattants. Pourtant la seule porte de sortie du Mali vers la paix, c’est cet accord.
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