Au sortir des élections présidentielles et législatives, le Premier ministre d’alors Oumar Tatam Ly a tranché net le maintien de la CENI actuelle. Parti comme un opprobre, c’est une nouvelle donne qui prévaut. Face à cette situation confuse, le président actuel de la CENI M. Mamadou Diamaoutani a rencontré la presse dans la salle de conférence de sa structure. C’était le mardi 24 juin 2014.
Il est vrai qu’au sortir d’élections (présidentielles et législatives) que soit posée la question du maintien de la CENI. Cependant, avec la donne actuelle, il n’est point aisé d’en débattre car le mandat des maires est presqu’arrivé à terme.
C’est ce mardi 24 juin que le président de la CENI a rencontré la presse dans la salle de conférence de la structure. Entouré de quelques membres de sa commission, Mamadou Diamoutani a expliqué à la presse la vie actuelle, la possible survie ou la dissolution de sa structure à des fins politiciennes.
Le Rpm au pouvoir n’entend rien laisser survivre. Alors, il met tout en œuvre pour créer la zizanie.
C’est dans quelques mois que prendront fin les mandats des conseillers communaux. Il faut alors des préalables surtout concernant la commission électorale nationale indépendante. C’est ainsi que le ministère de la Sécurité Intérieure, maître du jeu s’active.
Pour cette rencontre avec la presse, M. Diamoutani a tout d’abord planté le décor en rappelant le cadre juridique et les missions de la CENI. Avant d’aborder la situation de la prorogation de leur mandat. Avec cette sortie, il est clair qu’il n’a point besoin de revoir quoi que ce soit sur la CENI que de la laisser travailler. Mais, il ressort que le Général SaMais, il ressort que le Général SadaSamaké sous l’influence de la nouvelle majorité (Rpm et alliés) ont une autre approche de la CENI. Pourtant cette approche ne fera que sPourtant cette approche ne fera que saigner les caisses de l’Etat et il n’est même pas possible que la nouvelle CENI parvienne à jouer son rôle électoral. Car, le temps qui sera imparti ne pourra pas suffire.
Presqu’ayant tout mis son escarcelle, la CENI est encore et aussi la proie du Rpm qui n’entend rien laisser aux autres. Pour jouer ce jeu, le ministre sans réfléchir serait en train de prêter le flanc à la destruction.
Quoi qu’il en soit, au moment où tout semble décrié avec des dépenses exorbitantes, il serait mieux de s’abstenir de certaines situations qui ne serviront qu’à en rajouter.
G. KANTE
Stagiaire
Au milieu de l’échéance électorale il n’est pas opportun de changer la CENI surtout pour des raisons d’efficacité.
Mon frère on reste éternellement à poste une seule personne donc qu’on le change si il le faut il ya trop de malien et personne n’est incontournable, d’autre peut faire son boulot et c’est pas sorciée
son poste.
Mon frère on reste éternellement à poste une seule personne donc qu’on le change si il le faut il ya trop de malien et personne n’est incontournable, d’autre peut faire son boulot et c’est pas souciée
Ca se voit que tu as une vision mediocre du sujet. L`administration en elle seule est partiale et ne peut pas guarantir une gestion transparente et equitable des elections. C`est pour cela qu’il fut necessaire de creer une institution impartiale qui regroupe l`ensemble des couches sociales, d`ou la naissance de la ceni. Mais comme le RPM veut creer toutes le occasions afin de piller l`Etat et le laisser mourrir de sa propre mort, ils veulent coute que coute avoir la main mise sur la ceni afin de passer des faux contrats de plusieurs milliards comme ce fut le cas de l`achat de l`avion et des equipements militaires. Les maliens ne se laisseront pas faire. Laissez Diamoutani travailler. Ce Monsieur travaille trop et parle peux. Voila ce que nous avons besoin au Mali.
Eviter la médiocrité et l’aveuglement.Il n’y a pas d’impartial tous sont issu de partis politiques, le RPM n’a jamais pillé un franc de l’Etat pour le moment; détrompez vous Monsieur.
Une CENI est budgétivore pour un pays pauvre comme le Mali; et de surcroît en guerre , dois être dissoute et utiliser l’administration pour les élections sur toute l’étendu du territoire .
La grande majorité des Maires, est impliquées dans malversations et les détournements, les Maires doivent être audités pour assainir les comptes et mettre des délégations spéciales pour diriger les communes.
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