Pourquoi ne pas le dire ? : Les cultures entre les concessions : la permissivité des autorités !

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Dès les premières pluies, des citoyens s’adonnent à des pratiques qui portent préjudices à notre santé et sécurité, comme la culture du maïs, du gombo et autres. Est-il nécessaire de rappeler que les cultures en ville deviennent des nids des bandits et sources de maladies ?
En cette période hivernale, il est impossible d’emprunter certaines artères de la ville à cause des cultures formant des buissons qui servent de refuges pour les bandits de toutes sortes. C’est pourquoi, il n’est pas rare d’entendre que les bandits ont dépossédé des citoyens de leurs  moyens de déplacement.
Avec les nouvelles autorités, on espère que les choses vont changer l’année prochaine. Il faut que le service en charge d’hygiène et d’assainissement s’assume. Car cette situation n’a que trop durer.

Aminata Sanogo

 

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1 commentaire

  1. mais et si les cultuvateur on quitte les champs pour la capitale
    oblige qu’ils adonnent a leurs activite de toujours lors des saison pluvieuse
    je vous un autre mali est possible mais les maliens doivent d’abort comprend que c’est pas tous le monde qui doit venir a la capitale
    le mali est un pays agro-pastastorale. s’ils desserte les champs ils seront oblige d’occuper les maison inacheve et autre parcelle vide de la capitale …..

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