Une série d’incendies de marchés et de sociétés remet au goût du jour le bon vouloir du grégaire, babare des temps modernes. Que veut cet infâme énergumène ? L’indépendance des mécréants du Nord ? Son double jeu relève encore de l’illégitimité. Il sera d’ailleurs toujours en porte-à-faux avec la Charia, la loi de la religion de Dieu. Son modus operendi est inadmissible, impensable. Sauf lui ! Mais, Tant que le feu restera immuable et ne représentera jamais l’Enfer du Tout-Puissant sur terre, il perd son temps. Qu’est-ce à dire ? Depuis des lustres, des maisons, des êtres vivants et autres objets de valeurs prennent feu sans être réduits en cendres. Naturellement, ils restent intacts. Tel est et sera la volonté de Dieu. C’est justement pour rappeler aux mécréants, aux Franmaçons, à toute cette masse athée qui abuse à souhait de la religion du Créateur, pour s’enrichir, que l’eau de pluie connaît son chemin. Même un mur en acier trempé ne peut lui barrer la route. C’est le cas du feu. C’est la vérité !
La braise met toujours en exergue sa force de destruction massive à la moindre maladresse humaine et au rythme de sa propre musique. La musique que connaît IBK. Il le connaît très bien ! Il a frappé plusieurs fois au Mali. IBK le sait mieux que n’importe quel imbécile. Cependant, il le reconnaît, malheureusement, de manière détournée, dans le petit journal des éternels chasseurs de primes africains basés en France. Lesquels rapportent à coup de pognon, injustement ou justement, dans leur feuille de chou, sans réserve, sans scrupules -ô pognon oblige- les quatre vérités du 5e président du Mali touché dans son amour propre. Lequel, sans tenir compte de l’évolution des évènements dramatiques qui taraudent la carapace pourrie de la populace du Mali, met en cause, sans détours, sa cellule de communication qui gère maladroitement ses excellents rapports fraternels douteux avec Tomi, l’enfant terrible de la France d’Outre-mer. Bof ! IBK refuse catégoriquement de s’exprimer sur la raison pour laquelle les Maliens, dignes de Kankou Moussa ou Soundiata Kéïta, s’interrogent à propos de la série des marchés en flammes et des sociétés industrielles pourvoyeuses de mort et calcinées sous la houlette de Satan. C’est encore, comme toujours, suivant le système de fonctionnement des menteurs invétérés, mystère et boule de gomme made in Mali, savamment entretenu par le roi de Sébénincoro. Ce bonhomme-ci, loin d’être sénile, sans sébile, alors guaribou, oublie qu’un microbe ne tue pas un sale nègre. IBK est un negro de souche. Sébénincoro ou Negresco. C’est selon !
Mister NO
n’importe quoi !
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