Dans les temps où nous sommes, l’avenir du Mali s’écrit en pointillé. Pour deux raisons majeures.
La première est relative à l’envoi d’une force panafricaine soutenue par l’ONU pour libérer le nord du pays de ses occupants rebelles et terroristes. Si tout le monde s’accorde sur le principe de cet envoi, nul ne sait quand il pourra être effectif. Depuis hier lundi 26 novembre, les membres du Conseil de sécurité sont en possession du document fournissant les détails techniques et le coût financier du déploiement de cette force. Elaboré par les autorités militaires maliennes en étroite collaboration avec les experts militaires de la CEDEAO et de l’Union africaine, il a été adopté par la réunion d’Abuja du 10 novembre dernier, avalisé par l’UA avant d’être déposé auprès de l’exécutif onusien. Mais des sources proches du dossier nous indiquent qu’il ne faudrait pas s’attendre à une prise de résolution rapide de cette instance. Ses membres ont l’obligation de le soumettre à l’appréciation de leurs gouvernements respectifs, desquels ils recevront des consignes pour la conduite à tenir. Toute chose qui devrait prendre deux à trois semaines. Auquel cas, le vote de la résolution pour l’envoi des troupes ne devrait pas intervenir avant la mi-décembre, voire au-delà.
En espérant qu’il puisse se tenir à cette période, il faudrait sans doute compter avec la capacité de nuisance de la diplomatie algérienne qui fera tout pour retarder le plus longtemps possible, à défaut de pouvoir empêcher le déploiement de ces forces. Lorsque Romano Prodi, ancien président du Conseil italien et actuel Envoyé spécial de Ban-Kimoon au Sahel, situe ledit déploiement à septembre 2013, arguant de la nécessaire mise à niveau de l’armée malienne et du temps d’acheminement des équipements militaires sur le théâtre de l’opération, il ne lance probablement pas des propos en l’air. Mais un si long délai paraît suspect, surtout au sortir d’une visite à Alger.
L’autre raison qui entoure de flou l’avenir du Mali est liée à la gestion de la transition politique. Depuis le coup d’Etat militaire inattendu du 22 mars 2012, la classe politique reste profondément divisée sur les voies et les moyens à mettre en œuvre pour sortir de la crise politico-institutionnelle et restaurer la démocratie. Les partis et associations qui ont applaudi le coup d’Etat ne désespèrent pas de mettre à la retraite politique le président intérimaire Dioncounda Traoré ainsi que l’Assemblée nationale en qui ils voient une perpétuation du régime ATT, honni de toute leur âme. Les forces anti putsch perçoivent dans le maintien de ces deux institutions la matérialité de l’échec du coup d’Etat militaire et le symbole de la survie de l’Etat républicain et démocratique.
A ce jeu, huit mois se sont écoulés sur les douze que la transition est censée durer sans que les ’’forces vives de la nation’’ aient pu s’entendre sur les organes de gestion de cette transition a fortiori les modalités d’organisation des élections générales, l’une de ses deux missions essentielles, l’autre étant la reconquête du nord du Mali dont elle semble avoir été dessaisie par la communauté internationale.
Il faut espérer que les nouvelles dates annoncées pour la tenue des ‘’concertations nationales’’ seront les bonnes et que les protagonistes sauront faire preuve de dépassement pour mettre le Mali au-dessus des intérêts partisans, des appétits gloutons et des rivalités de personnes.
Par Saouti Haidara
Freres maliens, freres africains, freres humains, LE FRONT ANTI-NEGOCIATION EST NE. faites passer le mot: dans les villes, campagnes, hameaux et villages, contres et bougouda, les peuples du Mali ne pardonneront jamais a leur dirigeants de comparer et de compromettre L’AVENIR DE 14 MILLIONS DE PERSONNES POUR SAUVER 1500 (OU MOINS) PERSONNES.
SUR FACEBOOK, DANS VOS EMAILS, VOS CORRESPONDANCES, DANS LES SOTRAMAS, DANS LES BUS SUR VOS MOTOS ET DANS VOS VOITURES, DANS VIS GRINS DE THE, DANS VOS SALLES DE CLASSE DANS VOS CONVERSATIONS TELEPHONIQUES, DITES LE AVEC force et conviction : JAMAIS DE NEGOCIATION AVEC LE MNLA OU ANSAR DINE.
Les europeens ne doivent pas pousser le Mali a negocier avec des gens qui ont enleve leur compatrioteS pour le vendre a AQMI. L’Algerie ne doit pas se faire la voix d’apatrides et de trafricquants qu’elle a chasse de chez lui ET AU MEME MOMENT elle refuse la moindre concession a SES COMPATRIOTES DE LA KABYLIE.
QUEL HONNEUR ET QUELLE DIGNITE Y A-T-IL POUR UNE ETAT, UNE NATION A S’ASSOIR ET DISCUTER AVEC UN GROUPE QUI NE VEUT PAS VIVRE AVEC LES AUTRES.
Il est plus que temps, Associations des ressortissants du Nord, hommes politiques, societe civile, Religieux et athes, somas et donsos,paysans, eleves, Maliens du Nord, Maliens du Sud, maliens de l;Est et Maliens de l’Ouest,C’EST MAINTENANT LE MOMENT DE SE LEVER ET DE DIRE NON, NON, NON. NOUS NE VOULLONS PAS DE NEGOCIATION AVEC NI ANSAR DINE, A PLUS FORTE RAISON LE MNLA. C’est aujourd’hui que vous devz elever vos voix, crier haut et fort. Sinon demain il sera trop tard. Demain, vous serez mis devant le fait accompli.
DEMAIN, CE SERAIT COMME DANS CES ELECTIONS OU LES LENDEMAINS, VOUS VOUS REVEILLEZ AVEC QUELQU’UN QUE VOUS N’AIMEZ PAS, simplement parce que vous n’avez pas voter du tout.
UN ETAT, UNE NATION DIGNE ET RESPECTE N’A PAS PEUR NI HONTE DE NEGOCIER AVEC une communaute qui se sent marginalise, avec une region sujette a des difficultes, une partie de la population qui a un avis contraire, mais JAMAIS AU GRAND JAMAIS AVEC UN GROUPE DE PERSONNES, QUI POUR DES INTERETS PERSONNELS, ONT PACTISE AVEC DES TERRORISTES,LE CARTEL DE LA DROGUE POUR METTRE LE PAYS A GENOU ET QUI ONT COMMIS AU VU ET AU SU DE TOUS :viols, meurtres gratuits, destruction du tissu economique et provoque le deplacement des milliers de personnes, au nom desquels, ils pretendent commettre ces forfaits.
ATOUS LES REBELLES: VOUS NE VOULLEZ PAS VIVRE AVEC NOUS? ALLEZ AILLEURS
L’option militaire est mise en veilleuse et la médiation est décriée par bien de maliens. Que reste-t-il a faire que crier “L’avenir du Mali est en pointillé”?
Il ne faut pas avoir peur de le dire: il faut que les soldats se montrent vaillants et montent au front. Cela aura pour pendants de les racheter aux yeux du peuple puis de casser le moral des djihadistes. Du reste, la communauté internationale verra là l’urgence d’agir.
si le MALI n’a pas d’armée pour liberer le Nord, il reste au MALI de Recruter des Mercenaires pour le Faire en attendant d’avoir Une armée!!!.
L’ONU attend juste de voir si ce sont des opportunistes qui prendront le pouvoir à l’issue de la mascarade de concertations nationales.
Si tel est le cas, l’Onu ne bougera pas d’un iota, les états-unis et l’Europe non plus.
Ils vont au contraire aider le Mnla qui sera plus crédible que les guignols de bamako qui auront par une mascarade de concertations tué notre constitution du 25/02/1992 et enterré le Mali démocratique.
Cela serait un motif valable pour que la communauté internationale tourne le dos au Mali.
Elle le fera en donnant la main aux touareg pour combattre les islamistes.
Ainsi les touareg auront gagné leur pari sans combattre vraiment ( première mi temps: l’Aqmi joue pour eux; deuxième mi-temps: la mascarade de concertations nationales leur donne la coupe).
Le concert national ou concert géant est en réalité le bal des opportunistes qui tentent par tous les moyens de substituer une mascarade de concertation à la constitution du Mali du 25/02/1992.
Après le coup d’état du 22 mars 2012, l’accord cadre anticonstitutionnel du 6 avril 2012 cette concertation de Kati et copain qu’on veut faire croire que c’est “Nationale” alors qu’elle n’est même pas locale est une troisième violation flagrante de la constitution du 25/02/1992 que tous les maliens démocrates doivent combattre par tous les moyens et avec la dernière énergie puisqu’elle n’a d’autre objectif que de légitimer le pouvoir illégal des spadassins de Kati et de leurs cohortes du Copam, de leurs apôtres du Mp22 et de leurs hordes du Yerewoloton.
Ces hommes lige de l’anarchie bon marché et des règlements de comptes sauvages dont les éléments encagoulés sèment déjà la terreur partout à Bamako, après avoir battu à mort le président Dioncounda jusque dans son bureau, escaladant nos bâtiments officiels à Koulouba comme des fourmis magnans, cherchent seulement un brin de légitimité pour leur permettre de sevrer encore plus nos compatriotes du sud car ils ont juré de ne plus aller au nord malgré leur serment militaire.
CMD, le grand troubadour de la transition sait plus que tout le monde que l’accord cadre qui est à la base de sa nomination n’est plus valable l’une des partie signataire (le Cnrdre) ayant disparue juridiquement le contrat signé avec la Cedeao n’est plus valable et à tout moment Dioncounda et même l’assemblée nationale du Mali peut valablement lui débarquer de la cité Kadhafi.
Alors il cherchent, en vrai patriarche de l’opportunisme mal placé avec ses copains de circonstance, un stratagème pour contourner la constitution malienne du 25/02/1992 qui seule est aujourd’hui l’émanation de la volonté populaire clairement exprimée (par référendum) du peuple souverain du Mali car on à plus de président en exercice élu au suffrage universel direct des maliens.
Donc peuples du Mali, je vous exhorte à plus de vigilance sinon vous allez dire adieux à la liberté et à la justice pour au moins 20 ans encore si jamais vous leur laisser vous imposer une mascarade de concertation.
À bon entendeur salut!
Le Mali d’aujourd’hui est la conséquence d’un coup d’état stupide qui n’est ni légal ni n’a de motif valable.
Alpha et ATT ont mal géré le pays surtout la défense nationale et l’éducation nationale mais nous avions un cadre de droit tracé par la constitution qui nous permet de les traduire en justice.
Il faut faire confiance à la justice dans un espace de droit et de liberté.
Si elle ne fait pas son travail nous avons tout le cadre juridique pour l’obliger à le faire.
Faire un coup d’état et plonger un pays en guerre dans une crise institutionnelle très grave et dans une transition incertaine est le comble de la bêtise des soldats fuyards des combats qui ne comprennent même pas le sens du serment qu’ils ont fait au Mali.
Le pays est bloqué de partout et ces inconscients fuyards terrés à Kati comme des poules mouillées trouvent encore à dire des choses.
Il faut avoir vraiment le culot pour des gens incapables d’aller au delà de Sevaré et Diabali alors que quelques centaines de bandits font la loi dans les deux tiers du pays.
Pour débloquer cette situation, la rue doit s’exprimer en marchant sur Kati et la communauté internationale fera le reste.
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