Le ciel nous tombe sur la tête. Et pour cause, l’acquisition d’un oiseau de malheur par le président Ibrahim Boubacar Keïta. Cet oiseau n’est autre que le Boeing 737, une véritable forteresse volante comparable à Air Force One du président américain, un Boeing 747, que le président IBK a acheté entre 17 et 20 milliards de FCFA pour son confort personnel, ignorant superbement l’ancien avion présidentiel.
En effet, en l’espace d’une semaine, le FMI et la Banque mondiale ont pris des sanctions contre le Mali. Ces deux bailleurs viennent respectivement de suspendre l’octroi d’un prêt d’un montant de 46 millions de dollars (pour le FMI) et le blocage du versement de 63 millions de dollars (pour la Banque mondiale).
« Nous avons appris cet achat après coup, en lisant la presse », s’est plaint le représentant du FMI au Mali, Anton Op de Beke. Son institution finance au Mali un programme de facilité de crédit, représentant 20 milliards de francs CFA (environ 30 millions d’euros), sur trois ans. Lancé en décembre dernier avec un premier décaissement de 4,4 milliards de francs CFA (plus de 6 millions d’euros), ce programme prévoit des missions de contrôle régulières, pour que le FMI puisse s’assurer que les engagements pris par Bamako sont respectés. Notamment en terme de bonne gouvernance.
Ainsi, la première évaluation a eu lieu en mars dernier. Aucune information n’avait alors été donnée sur l’achat du nouvel avion présidentiel. Le prochain décaissement du FMI était initialement prévu pour ce mois de juin. Mais, le FMI a convoqué le gouvernement malien à Washington pour lui poser des questions sur l’achat de cet avion, sur les procédures qui ont été suivies ; mais aussi sur un contrat d’armement passé avec le ministère de la Défense. Un contrat qui s’élève à 108 milliards de francs CFA (plus de150 millions d’euros). Envoyé par IBK pour défendre ces différents dossiers, la ministre des finances échoue lamentablement. Le FMI décale son décaissement jusqu’en décembre 2014. La Banque mondiale aussi ferme son robinet. Tous attendent d’y voir clair.
D’autres partenaires et organismes pourraient leur emboiter le pas. C’est dire que le Mali se retrouve dans le viseur de la communauté internationale à cause de la mauvaise gouvernance, érigée en système depuis l’arrivée au pouvoir d’Ibrahim Boubacar Keïta. Un système qui est entrain de mettre le Mali à genoux.
L’ire des bailleurs s’explique également par d’autres scandales qui ébranlent la République. Que dire par ailleurs de ce contrat de protection du président IBK signé avec une société française par l’intermédiaire d’un certain Michel Tomi. Toutes ces affaires sentent une forte dose de malversations financières impliquant des acteurs à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
En somme, la République du Mali n’a désormais rien à envier à une République bananière. Ce qui nous vaut actuellement les sanctions du FMI et de la Banque mondiale.
Mais, les princes qui gouvernent à Bamako tentent vainement de cacher la réalité, en optant pour le mensonge, la duperie et le mépris à l’adresse des Maliens qui ne savent plus à quel Saint se vouer. Eux qui espéraient le changement avec Ibrahim Boubacar Kéïta…
C.H. Sylla
C est un perver, un homme sale ne reeasctpnt pas les femmes ! Qu il reste en prison. C est une honte pour la France. Qu il assume ses actes! C est a vomir, honte a sa femme et a sa famille.
Salut Oli !Je me permets de te faire reqremuar qu il y a un petit proble8me orthographique dans ta premie8re phrase au e9lections pre9sidentiel Ceci dit, ca n enle8ve rien e0 ton dessin ! Je t embrasse
IBK est un maudit de paresseux, qu’il aille aux enfers, nous n’avons pas besoin d’un president voleur, menteur et noceur, un president qui ne se soucie que de soi-meme et sa famille, quelle bassesse humaine, quel manque de vertu et de valeurs morales?
Cher journaleux moi j’ ai boucler ce chapitre. trouve autres choses celui-la n est plus tendance.
Quel mouche a piqué ibkk pour qu’il est des relations avec Michel tout le monde dans le milieu de la haute sécurité connais tomi et ibkk étant responsable d’un pays ne devais pas fréquente tomi même moi qui est un simple malien je ses que Michel est un grand bandit comment notre président a osé dire devant tout le monde que Michel est un frère or en France Michel n’a pas de bonne réputation
c’est de la tautologie mon cher, parlez nous plutôt des nouvelles “oui des nouvelles, parceque vous étés des informateurs pas des choeuristes”.
Rien ne me surprend sous IBK car nous nous avons dit ici haut et fort que IBK n’est pas le Président idéal pour le Mali.
IBK n’a pas la tête fraîche pour penser aux problèmes des maliens et il ne peut pas du tout faire avancer un Pays.
Même la jeunesse malienne a soutenu IBK dans son projet chose que je n’ai pas du tout compris.La même jeunesse se plaint de la gestion d’IBK alors qu’elle a été prévenue.
Merci kassim. Il faut e tels éclaircissements au MALIENS
Il était une fois l’idiot IBK qui ne comprenait pas ce que veut dire Institutions de Bretton Woods!
Il faut que les maliens sachent qu’il y a les ACCORDS DE FINANCEMENTS et il y’a les DÉCAISSEMENTS (versements effectifs des fonds dont le financement est accordé).
Il y a bien SUSPENSION des DÉCAISSEMENTS au profit du MALI jusqu’en septembre 2014 dans l’attente des résultats de l’audit promis par les autorités maliennes au FMI et dans l’attente d’une visite des experts du FMI en septembre 2014 au Mali pour évaluer l’audit promis par le Mali.
Il est clair que le FMI est la tête de fil de la majorité des bailleurs de fonds, parce qu’il est beaucoup plus réactif que la banque mondiale dans la SURVEILLANCE régulière des finances PUBLIQUES des états membres.
Le Mali est un état membre du FMI.
Celui-ci a été créé en même temps que la banque mondiale en juillet 1944 à Bretton Woods une ville américaine de l’état de New Hampshire pour réguler le système monétaire international en mettant le dollar au centre du système qui était la seule monnaie internationale convertible en or (au cours de 33 dollars l’once).
Toutes les autres monnaies (livre sterling, franc français, Deustch Mark, etc..,) était d’abord convertibles au dollar c’était la période du “Gold exchange standard”: étalon de change or en remplacement de l’étalon or “Gold standard” qui mettant le dollar et la livre sterling au centre du système monétaire international dans la période d’entre deux guerres.
C’était l’architecture mise en place pour éviter des dévaluations compétitives entre les différentes monnaies et stabiliser du coup les paiements internationaux après la deuxième guerre mondiale, afin d’éviter une inflation trop grande comme l’économie mondiale a du connaître pendant la période d’entre deux guerres dans les années 20.
Le négociateur américain de Bretton Woods était Harry White et John Maynard Keynes était le négociateur anglais de cette conférence qui a consacré le dollar “as good as Gold” (c’est à dire aussi bon que l’or) puisqu’il était devenu la seule monnaie convertible directement à l’or.
Mais très vite avec la reconstruction rapide de l’Europe et du Japon dans les années 50, la balance des paiements des l’Etats-Unis (l’état émetteur du dollar) va devenir déficitaire et beaucoup de dollars en circulation (appelés des euros dollars) se trouvent un peu partout dans le monde dès les années 60 jusqu’au début des années 70.
Face à des demandes incessantes des banques centrales des pays développés de convertir leurs “euros dollars” en en or (au cours fixé par Roossevelt en 1934 à 33 dollars l’once), le Fort KNox, l’institution qui gère les stocks d’or aux États-Unis a tiré la sonnette d’alarme depuis 1968 pour signaler qu’elle ne pourrait pas échanger tous les dollars en circulation dans le monde, en or.
Le président Nixon en 1971 suspendit la convertible or du dollars et mît fin au système de change fixe mis en place à Bretton Woods en juillet 1944.
Le monde rentra donc dans un système monétaire de flottement généralisé entre les monnaies et le FMI redéfinit complètement son rôle et s’intéresse à l’aide aux économies qui connaissent des problèmes graves de balance de paiements.
Autrement dit elle devient le conseil et le soutien financier et technique des pays membres qui ont des déficits chroniques de leur balance de paiements et de leurs comptes publics.
Tous les pays en développement ou presque et la quasi totalité des pays africains sont dans cette situation de problèmes structurels de balance de paiements (c’est à dire qu’il y a plus d’argent qui sort du pays par rapport à l’argent qui rentre dans le pays).
Donc forcément les États ont des difficultés pour payer les fonctionnaires et tenir leurs engagements financiers à court terme.
Le FMI depuis les années 1982 avec la crise de la dette mexicaine vient en soutien aux économies “malades” de la planète mais en contrepartie il demande une orthodoxie financière par des mesures drastiques de réduction des déficits budgétaires appellées “ajustements structurels” ou “facilités de caisse”.
Il s’agit de réduire les dépenses publiques et d’accroître les recettes publiques.
Quand à la Banque mondiale, elle a 4 institutions dont l’IDA, International Development Association, qui aide les pays pauvres comme le Mali avec des prêts à long terme (30, 40 ou 50 ans) à taux d’intérêt proche de zéro (prêts concessionnels) pour financer des projets de développement dans les secteurs divers (éducation, santé, transport, énergie, agriculture, environnement, mines, etc).
Donc le FMI finance le court terme et la Banque mondiale, le long terme.
Mais leur philosophie est la même c’est la bonne gestion des fonds prêtés et un contrôle strict et régulier.
Le Mali d’IBK en s’adonnant à une délinquance financière qui consiste à acheter avion et motos à coup de dizaines milliards, à offrir des marchés publics de gré à gré à coups de centaines de milliards sans aucun contrôle, va à contre courant des institutions de Bretton Woods alors que le Mali est totalement sous assistance financière internationale.
Le problème est que, ces institutions ont une longue expérience et expertise dans le financement des économies malades et du financement du développement.
Cette expertise fait que les autres bailleurs de fonds multilatéraux et mêmes bilatéraux les suivent presque automatiquement dans leurs orientations.
Si elles larquent le Mali en septembre 2014 faute d’audit crédible et de mesures de transparentes adéquates dans la gestion des finances publiques au Mali, tous les autres suivront!
Il ne s’agit donc pas de faire de la politique d’autruche en voulant tromper les maliens que la Banque mondiale nous a accordé des financements alors que les décaissements du FMI sont suspendus jusqu’en septembre 2014.
Il faut plutôt prendre des mesures de transparence budgétaire et mettre un terme à la gabegie des dépenses inutiles dont le mégalomane IBK et son Mara menteur ont le secret et convaincre les partenaires de la bonne gestion des fonds publics, sinon le pays va péricliter “once again”!
Wa salam!
Reposez vous un peu car 5 ans c’est encore long, IBK reste jusqu’en Aout 2018. Economisez vos forces pour cette date car IBK est et restera le président de la république du Mali. Et prier le bon dieu pour qu’il ne réussisse pas son mandat.
63.8 milliards de FCFA
La Banque mondiale a annoncé samedi avoir approuvé un financement de 63 millions de dollars, soit 37 800 000 de francs CFA en appui au programme d’éducation et de formation visant améliorer les perspectives d’emploi et de débouchés pour des jeunes au Mali. Destiné au « Projet pour les compétences et l’emploi des jeunes au Mali », le financement va aider de jeunes Maliens à acquérir les compétences dont ils ont « vraiment besoin pour décrocher un emploi ». Source: starafrica, 29 juin 2014
63.8 milliards de FCFA
La Banque mondiale a annoncé samedi avoir approuvé un financement de 63 millions de dollars, soit 37 800 000 de francs CFA en appui au programme d’éducation et de formation visant améliorer les perspectives d’emploi et de débouchés pour des jeunes au Mali. Destiné au « Projet pour les compétences et l’emploi des jeunes au Mali », le financement va aider de jeunes Maliens à acquérir les compétences dont ils ont « vraiment besoin pour décrocher un emploi ». Source: starafrica, 29 juin 2014
Reposez vous un peu car 5 ans c’est encore long, IBK reste jusqu’en Aout 2018. Economisez vos forces pour cette date car IBK est et restera le président de la république du Mali. Et prier le bon dieu pour qu’il ne réussisse pas son mandat.
Fasos
” IBK reste jusqu’en Aout 2018″
Là mon vieux, tu te lances dans ce qu’on appelle “l’affirmation gratuite”! ou pire: “l’affirmation hasardeuse”!
Au point où Ibk nous amenés en A PEINE QUELQUES MOIS, je suis prêt à prendre le pari qu’il ne terminera même pas sa 2ème année de mandat! 8) 8) 8) 8) 8) 8)
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