Focus : Un Mali abîmé

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Processus de paix : Un chef touareg hisse le drapeau malien dans la région de Tombouctou

Jusqu’où le régime en place va-t-il continuer sa politique systématique de destruction du Mali ? Quand est-ce-que le président Ibrahim Boubacar Keïta se rendra-t-il compte que sa gouvernance (calamiteuse) est en train de conduire le Mali vers le chaos ? Comment un grand pays comme le nôtre peut-il atteindre un tel seuil de déconfiture sous les yeux d’une élite indifférente, et d’une population impuissante ?

Ce sont là, entre autres, questions que l’on ne peut pas s’empêcher de poser au vu de la situation à la fois désastreuse et inquiétante d’un Mali couplement abîmé par les actes de destruction quotidiennement posés par le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta.

En effet, les maladresses politiques, le pilotage à vue, les tâtonnements répétitifs, les scandales politico-financiers, l’ingérence de la famille dans les affaires publiques : voilà les principales identités de la gestion désastreuse des affaires publiques depuis septembre 2103.

Conséquence ? La majorité naguère silencieuse parmi les populations traumatisées commence maintenant à pousser des cris à cause des coups de Jarnac à elle assenés par des gouvernants à l’amateurisme éprouvé. Pour beaucoup de nos compatriotes, le plus grand mal du Mali actuel est sans doute son chef de l’Etat.

C H Sylla     

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3 COMMENTAIRES

  1. En effet, IBK constitue le “Mal” actuel du Mali. S’il pouvait faire preuve d’intégrité intellectuelle, de rigueur et surtout d’esprit patriotique, le Mali pourrait devenir le Grand Pays qu’il aime lui-même évoqué ! Vivement, qu’IBK se reprenne, en “bon Malien” qu’il devrait être !

  2. En effet, le plus grand mal du Mali c’est I.B.K et sa façon calamiteuse de gérer le pays. Comment est-ce possible, qu’un homme qui est passé par tous les stades de la hiérarchie dans la gestion des affaires publiques et de l’administration, peut être aussi nul, incapable de prendre en charge les destinés du pays? Voilà quelqu’un qui aurait dû être une chance pour le pays, s’il avait acquis suffisamment de connaissances en matière de gestion de l’administration. Les Maliens, pour ses prétendues qualités, avaient votés massivement cet homme qui, à l’arrivée, les a complètement déçu. Certains disent avoir honte de s’être trompés de cheval. Ce que nous voyons sous nos yeux en est la preuve. Jamais le Mali n’est tombé aussi bas. Au sommet, aucune vision, aucune initiative, rien qui puisse améliorer les conditions d’existence des populations, rien que le chaos, la mort et la désolation. C’est triste! Alpha Konaré ne s’était pas trompé, lorsqu’il mettait les Maliens en garde contre une éventuelle accession de cet homme au pouvoir. Ce serait la plus grande catastrophe pour le pays avait-il ajouté. Il dit encore, qu’I.B.K est un bon second, mais pas un chef, car c’est un irresponsable. Et nous voici devant la triste réalité. Corruption, vol, gabegie, détournements, surfacturation, népotisme, immixtion de la famille dans les affaires de l’état, la navigation à vu, autant de maux, qui ont plombé le pays, depuis l’accession de cet incapable au sommet de l’état.

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