La Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Bamako doit rendre ce mardi 28 janvier son délibéré sur la demande de mise en liberté formulée par les avocats du Général Amadou Haya Sanogo et ses co-accusés, détenus depuis plus de 6 ans dans l’affaire dite des Bérets rouges, du nom des éléments du 33ème Régiment des Commandos Parachutistes de Djicoroni Para. Arrêtés suite à l’échec du contre-coup d’Etat du 30 avril 2012, ces parachutistes ont été sortis de leur lieu de détention, les yeux bandés et mains attachées au dos. Ils ont été froidement abattus par un peloton d’exécution avant d’être jetés dans une fosse commune à Diago, non loin de Kati, Quartier général du Comité national pour la restauration de la démocratie et le redressement de l’Etat (CNRDRE). Le Général Amadou Haya Sanogo et plusieurs personnes ont été inculpés par la justice et placés sous détention provisoire.
En novembre 2016, le ministre de la Justice de l’époque, Me Mamadou Ismaël Konaté, a organisé une session spéciale de la Cour d’assises de Bamako en transport à Sikasso pour vider cette affaire. Aussitôt ouvert, le procès a été renvoyé par la Cour d’assises à sa première session de l’année 2017 au motif que l’expertise des ADN devait être refaite.
Des difficultés à ce niveau qui puissent fonder un éventuel avis favorable de la Chambre d’accusation de la Cour d’Appel à la demande de mise en liberté ? Cette hautement probable liberté sera-t-elle synonyme de la fin de l’affaire ? Le Président de la République Ibrahim Boubacar Kéïta et son gouvernement sont-ils en mesure de vider ce dossier encombrant ?
Déjà dans son livre intitulé «Justice en Afrique. Ce grand corps malade. Le cas du Mali », l’ancien ministre de la Justice explique que le président IBK ne semblait guère emballé de voir ce procès se dérouler en la période envisagée. Dans le chapitre intitulé «heurts et malheurs d’un procès de putschistes», l’avocat fait quelques révélations croustillantes. «Les consultations des archives m’ont permis de savoir que ma prédécesseur avait pris les devants et saisi, elle aussi, les autorités hiérarchiques. J’en ai parlé au Président qui ne semblait guère emballé de voir ce procès se dérouler en la période envisagée….Finalement, après moult et moult péripéties, la date du 30 novembre 2016 a été retenue pour le procès. A l’arrivée de la date fatidique, les visages de mes collègues ministres se fermaient à mon passage et l’on me souriait de moins en moins. Certains me posaient des questions sur le caractère judicieux de l’ouverture d’un procès au regard de la situation du pays, etc. », confie-t-il dans son livre. Pendant le procès, «le téléphone portable du Président de la République ne répondait plus à mes appels, c’était un signe… ».
L’adoption de la Loi d’entente nationale semble avoir renforcé le doute quant à l’organisation d’un procès juste et équitable. Encore qu’on devrait s’interroger sur son opportunité au moment où s’avère pressant le besoin d’une armée plus que jamais soudée, requinquée à bloc pour combattre en première ligne les forces ennemies et obscurantistes avec l’appui désormais plus engagé de forces étrangères.
Chiaka Doumbia
Vive Amadou Haya sanogo et ses compagnos et vive la verite
Un pays corrompu ne peut jamais maintenir la justice… c’est toujours des arrangements socio-politiques. Sinon on a tous vu des pays qui ont un minium de devoir de justice comme le Burkina juger et condamner sans détour leurs criminels ( le putschiste Diendre et complices)… et le Tchad juger et exécuter des terroristes. Au Mali hélas la justice se moque plutôt de Dieu et les hommes! Comment un pays qui teinte sa justice avec la politique du jour pourra jamais s’en sortir? Le cas de Sanogo & co est un faux dilemme… on n’est simplement incapable d ‘y appliquer la vérité parce que le système est une farce maintenue par des profiteurs.
L ETAT N A RIEN A VOIR DANS LE FONCTIONNEMENT D UNE SOCIETE PRIVEE MAITRE BASSALIFOU SYLLA !
L ETAT , FUSSE T IL LE MALI N A RIEN A VOIR DANS LE FONCTIONNEMENT DE LA BMS SA !
LA BMS SA , COMME LA BHM SA C EST PAREIL …MEME CHOSE !
APRES SEPT ANS …DE SILENCE IMPOSE A NOS AVOCATS …NOUS AVONS EU RAISON A LA CCJA …DES QU ILS ONT PU REOUVRIR LEURS DOSSIERS ! ( ET LE PRESIDENT DE LA CCJA S EST RETROUVE LUI DEVANT UN JUGE , SUR PLAINTE DE LA MEME CCJA …)
VOUS AVEZ TENTE DE FAIRE PASSER VOS ETATS DE CREANCES ISSUS DE LA LOI PRIVILEGE COMME DES ETATS VENANT D UNE INSTITUTION …LA COUR SUPREME DU MALI VOUS A DEBOUTE ….EN 2015 LORS DE SON ARRET 073 DU 5 MARS …..
C EST LA MEME CHOSE POUR LA CCJA !
ET ….VOUS VOUS SOUVENEZ DE VOTRE SAISIE DES HALLES DE BAMAKO …DE VOTRE FAUSSE SAISIE ? …EH BIEN IL VA VOUS FALLOIR LES RENDRE …A LEUR VRAI PROPRIETAIRE …10 ANS APRES ….
VOUS ALLEZ MAINTENANT CONNAITRE LA VRAIE SOUFFRANCE MAITRE ….LA VRAIE …CELLE DES VOYOUS REJOINTS PAR L HISTOIRE !…..AVOUEZ QUE CE N ETAIT PAS TRES FIN DE VOTRE PART , APRES NOUS AVOIR FAIT IMPOSER UNE ARNAQUE DONT VOUS AVEZ LZ SECRET …DE CLABAUDER DANS TOUT BAMAKO VOTRE VICTOIRE QUE VOUS AVEZ PENSE DEFINITIVE …EN 2017 DANS L ESSOR !
ET VOUS ALLEZ TOUS TOMBER MAITRE !
MAINTENANT …SUR NOTRE LISTE IL Y A :
VOUS …..
VOTRE SOEUR ….MADINA DEME COULIBALY NOTAIRE …ITOU …
VOTRE AUTRE SOEUR ….AOUA SYLLA BARRY AU MINISTERE DU BUDGET …ITOU …
AWA BA TOUMAGNON …CONTROLEUR D ETAT …ITOU …
ISSOUFI TOURE ….EX PRESIDENT DE LA COUR D APPEL ..ITOU …
SIDI SOSSO DIARRA ….EX VERIFICATEUR GENERAL …ITOU ….
ET ….COMBIEN D AUTRES ….
TOUS ! TOUS ! TOUS !
ET NOS TRENTE HUIT PLAINTES PENALES ….QUI ONT QUITTE LE POLE ECONOMIQUE SELON LE COURRIER DE COLONEL NIANAN DEMBELE DU 27 AVRIL 2009 SOUS REFERENCE 080 / 2 PEF BEF …ELLES SE SONT ENVOLEES AUSSI ?
IL Y EN AVAIT QUAND MEME POUR PLUS DE 3. 8 MILLIARDS ….! ! ! !
ALORS ?
….QUELQUES EXPLICATIONS SUR LES MAGOUILLES DONT NOUS AVONS ETE VICTIMES …
https://www.maliweb.net/societe/histoire-dune-grande-magouille-rebondissement-dans-un-scandale-enterre-84442.html
Att qui a trahi alpha pourquoi vous ne parlez pas de leur jugement le gouvernement Malien est mécénat la moitié du malien aussi sont corumpu sinon l’aise Sanogo occupons nous du mali Sanogo est la se un guerrier ona besoin de lui on ne en guerre
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