Le mot mendiant est dénigrant surtout pour des personnes qui sont physiquement et mentalement bien portants. Donc des mendiants qui ne jouissent pas de la totalité de leurs facultés mentales et physiques peuvent être acceptés dans leur nécessité de quémander pour se nourrir et se vêtir. Le mendiant est la personne qui demande l’aumône, la charité.
Quand des grandes personnalités politiques et administratives d’une nation « libre » deviennent des mendiants chroniques à travers le monde, l’on doit s’inquiéter de l’avenir du continent africain. Un ambassadeur constitue la bouche et les yeux de sa nation dans un pays étranger. L’ambassadeur du Mali en Chine n’a pas hésité, au terme d’une rencontre internationale présidée par le vice-ministre chinois des Affaires étrangères, de mendier en Chine ainsi : « Nous souhaitons que la partie chinoise nous aide à asseoir notre autosuffisance alimentaire ». À l’indépendance du Mali, le 22 septembre 1960, la Chine n’avait pas atteint son autosuffisance alimentaire. Donc, à l’instar des présidents et ministres africains, cet ambassadeur n’a fait que conforter ce qualificatif de Dirigeants Mendiants d’Afrique que leur collent les pays donateurs.
Des hommes voilés aussi
Si certains prétendent que le port de voile est une recommandation coranique, il faut comprendre que ce tissu qui couvre les cheveux, le cou et la presque totalité du visage féminin, est fondamentalement commandé par la jalousie masculine. Autrement dit les hommes se sont appuyés sur la religion pour cacher leur « chose » fine afin qu’elle n’attire pas l’attention d’autres hommes. En Egypte, des femmes désormais animées d’esprit d’égalité entre hommes et femmes demandent aux hommes de porter eux aussi des voiles pour ne pas séduire d’autres femmes. Ainsi, des femmes fâchées d’Égypte ont exprimé leur ras-le-bol sur internet par la création d’une page facebook titrée « L’échos des cris» afin que le monde comprenne la discrimination sexuelle qui les accable. Ces femmes rebellées demandent aux hommes qui sont solidaires à leur cause de porter des voiles. Leur appel semble entendu, car plusieurs hommes voilés ont envoyés leurs photos sur la page de ces femmes offusqués par ces idées que défendent couramment certains hommes «Ils disent que le voile (hijab) est une affaire de choix personnel et qu’il n’est pas un symbole de l’oppression des femmes, qu’ils traitent comme des objets sexuels, une denrée disponible, des awrah (parties intimes), et pourtant, le mot hijab est injurieux dans leur bouche quand ils insultent des hommes qui portent le hijab », dénoncent-elles.
L’homosexualité en promotion au Cameroun
Que ça soit dans le concubinage ou le mariage, quand deux hommes entretiennent des relations sexuelles ou que deux femmes fassent ces mêmes activités intimes, ces personnes deviennent des homosexuelles. Elles constituent le contraire des couples hétérosexuels composés d’un homme et d’une femme ayant des rapports sexuels étant célibataires ou mariés.
Le Cameroun est maintenant un des pays africains très en avance dans l’expansion de l’homosexualité qui est pourtant socialement désapprouvée par la majorité des populations. Dans notre parution, numéro 33 du 25 janvier, nous vous avions annoncé le colossal don ainsi : « Décidément, par le biais de l’argent, l’Union européenne s’engage à populariser dans les pays africains cette pratique sexuelle entre deux hommes ou deux femmes. Pour ce faire l’UE a débloqué la somme de 300 000 euros ( 200 millions de fcfa) pour le « Financement des associations homosexuelles» du Cameroun. Le ministre camerounais des Relations extérieures, Henri Eyebe Ayissi et des responsables de la Société civile avaient désavoués ce don contagieux de l’UE. Le monde des homosexuels est considéré comme celui des personnes aisées facilitant la prospérité des nouveaux venus dans ce cercle. Ce facteur financier attire-t-il les gens vers l’homosexualité ? Eric Essono Tsimi qui trouve cet argumentaire faible souligne que « l’enrichissement rapide qui est le plus sûr indicateur de corruption et de détournement de fonds publics trouve subitement sa genèse dans l’homosexualité ».
Option