Dans un article en date du 27 avril 2014, le Mondafrique présente le Président du Haut Conseil Islamique du Mali comme «un homme» faisant «trembler les élites et les toubabs (blancs)». Le média n´a pas tort. D´autant que Daniel Amagouin Tessougué, ce digne fils du Mali, est parti de sob poste dans des conditions peu flatteuses pour la République et la Démocratie. Le disant, je me réfugie, moi-même, auprès de Dieu, Le Tout-Puissant, le Meilleur Maître, le Meilleur Protecteur et le Meilleur Défenseur!
Parce que mon bienveillant père a beau dire: «n’ayez crainte, je ne suis qu’un wahhabite», il «fait» effectivement «trembler». Et, jusqu´à Koulouba dont l´actuel locataire est pourtant un musulman. Lequel, normalement, ne craint que Dieu, Lui et Lui Seul, le Maître du Trône Immense, à Lui Pureté et Louange!
Mais nous savons aussi qu´IBK est homme d’État. Or, Gustave Le Bon dit: «les hommes d’État ont une crainte de l’opinion qui va parfois jusqu’à la terreur et ôte toute fixité à leur ligne de conduite». Et, dans ce pays encore titubant, gouverner c´est aussi et surtout s´exercer à la souplesse au quotidien. Ce que fait d´ailleurs le Président de la République, Sem IBK, particulièrement, dans le cas Mahmoud Dicko. Sauf que trop de souplesse tue le pouvoir, comme nous l´apprend d´ailleurs la chute du régime d´ATT.
Si nous n´en sommes pas encore là, le cas Mahmoud Dicko doit alarmer le pouvoir exécutif. Parce que l´Imam Dicko, depuis un certain temps déjà, sème à tout vent l´idéologie politico-religieuse. Un constat amer qu´illustrent quelques propos mémorables du chef religieux dont ces propos-ci tenus dans le rapport Fafo 2015:« le système politique a échoué. Les gens sont sortis pour demander la démocratie. Qu’est-ce que la démocratie leur a apporté? La corruption. Les gens se révoltent contre les valeurs de la mauvaise gouvernance».
De même, à Mondafrique, l´Imam Dicko soutient: «…il y a toujours un peu de religieux dans le politique. Sarkozy lui-même revendiquait le caractère judéo-chrétien de la République française… Pour le moment, la Constitution du Mali est complètement laïque. Cependant, les partis politiques sont déjà animés par les musulmans». Toujours à Mondafrique lui demandant s´il cherche «à être le représentant du peuple? L´Imam Dicko répond à Mondafrique: «Bien sûr que oui. Je suis là pour représenter la base face à une élite qui ne pense qu’à s’occidentaliser. Le seul souci des dirigeants africains, c’est le regard de l’Europe et des Etats Unis. Le regard du peuple lui, n’a pas d’importance. Comment le Mali a-t-il pu devenir le sanctuaire d’AQMI? A l’origine, il y a une mauvaise gouvernance. Notre Etat a laissé faire sans consulter le peuple.». Et, à la question de savoir si «les Maliens ont peur de voir l’islam entrer en politique», l´Imam Dicko répond: «Ceux qui ont peur, ce sont les élites. Ils ont peur du regard de l’Union Européenne et de la Francophonie. Je crois que nous sommes enfermés dans un carcan occidental. En Afrique nous échouons quand nous renions nos valeurs. On ne peut pas gouverner un pays à 98% musulman sans tenir compte de la religion. Cette séparation n’a pas de sens dans notre pays. Nous voulons une démocratie, mais faut-il exactement les mêmes textes que les Français ? On gère les Maliens sans eux…».
Là, nous sommes en plein «islamo-nationalisme» qu´il «continue à défendre», selon Mondafrique. Et, sa doctrine politico-religieuse le poussera à déclarer que le «djihadisme tel qu’on le vit au Mali est une pure création des Occidentaux, pour recoloniser le pays, à travers une présence militaire permanente».
Auparavant, en janvier 2013, l´Imam s´est confié à Laurent Larcher de La Croix en ces termes: «Nous la soutenons entièrement et sans réserve. Grâce à Dieu, elle est intervenue pour nous protéger de ceux qui voulaient nous conquérir, nous assujettir, nous imposer leur manière de vivre l’islam». Mieux, quand le journaliste lui demande s´il était pour une éventuelle «base militaire française au Mali comme au Tchad», l´Imam Dicko répond:« Pourquoi pas. La sécurité au Nord sera assurée. Sur qui d’autre pouvons-nous compter? La Cédéao? L’Union africaine ? L’Organisation de la coopération islamique (OCI)? Notre armée ? Nos politiciens? Non! Sur personne, sauf la France!».
Autant de propos très caractéristiques de la propagande politico-religieuse du Président du Haut Conseil Islamique qui doivent alarmer! Surtout que règne désormais un talibannisme ambiant, le climat internationnal infect sur fond d´indicible n´arrageant rien!
Et, l´exécutif malien doit d´autant plus s´alarmer que parmi les cibles de l´idéologue, on compte les foules, surtout les foules. Celles-ci étant, depuis Gustave le bon, connues pour «l’impulsivité, l’irritabilité, l’incapacité de raisonner, l’absence de jugement et d’esprit critique, l’exagération des sentiments…etc.» les caractérisant. Et, le psycholoque des foules ajoute: «Dans les foules, c’est la bêtise et non l’esprit, qui s’accumule»!
Qu´à cela ne tienne, notre pays reste un terrain très fertile à l´amalgame, en raison de la misère, de l´analphabétisme, de l´illétrisme et de l´inculture qui y règnent. Et, la méconnaissance de la politique et de nos cultures- dont la culture islamique- est telle qu´il suffit de deux ou trois glissements sémantiques pour «rendre le pay ingouvernable». Surtout si quelques associations politico-religieuses à visage caritatif ou humanitaire peuvent aider, avec quelques prébendes. Inutile d´ajouter que dans notre pays où 90 à 95% de la population se réclament de l´Islam, l´Imam est au début, au milieu et à la fin de la vie de l´Homme. Si bien que l´Imam fait plus peur que le Président de la République et est donc mieux écouté que lui. Là-dessus, l´Imam Dicko surfe!
Mais «le leadership religieux n’est pas à confondre avec la politique», avertit le Chérif Ousmane Madani Haïdara. Et le Chérif précise: «le chef religieux est en mission de Dieu, son rôle consiste à appeler les gens sur le chemin de Dieu et non chercher à accéder à un poste politique; celui qui le fait peut perdre à la fois le respect des hommes politiques et la confiance de Dieu. Or, on perd tout dès lors qu’on perd la confiance de Dieu…. ». C´est dire que «Politique et religion ne font pas bon ménage», clarifie le Chérif de Bamako. Ce confirme d´ailleurs le Dr Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris et ancien président du Conseil français du culte musulman (CFCM) en ces termes: «non, l’Islam n’est pas une politique». Maître Asif Arif du Barreau de Paris, membre de l’Association Musulmane Ahmadiyya de France, lui, soutient: «l’islam n’est pas un régime politique mais une religion avant tout, une spiritualité».
Partant, le respectable Mahmoud Dicko ne peut plus s´abriter derrière la religion pour propager l´idéologie politico-religieuse. Sur ce point, le Chérif de Bamako, Ousmane Madani Haïdara est clair lorsqu´il affirme: «le chef religieux musulman qui veut faire la politique doit s’assumer en officialisant son option». Ce que doit faire Mahmoud Dicko, en démissionnant, par conséquent, de la tête du Haut Conseil Islamique.
Cependant, même «en officialisant son option» et en démissionnant, Mahmoud Dicko ne rend pas service au Mali. Puisque l´homme, depuis 2009 qui a revélé le politicien au religieux, ne cesse de tisser sa toile. Un activisme politico-religieux qui suscite interrogations et réprobations, Et jusque dans les rangs des autres chefs religieux! A juste raison d´ailleurs! Parce que, dans un pays déjà instable, la politique mêlée à la religion, même à dose savante, le conduira à sa perte. Et, les risques fort élevés de collision avec la tendance chérifienne, depuis les dernières élections présidentielles du HCIM n´augurent rien de bon pour notre pays. A ce sujet, Chérif Ousmane Madani Haïdara n´a d´ailleurs pas manqué d´avertir nos Gouvernants.
A vrai dire, la seule alternative rédible qui s´offre à l´Imam Dicko c´est de prendre ses distances avec la politique. Alternative que l´Imam Dicko choisira difficilement. L´homme étant désormais versé dans l´idéologie politico-religieuse. Le saint homme va-t-il endosser la lourde responbilité de précipiter son pays dans l´abime?
En tout cas, l´heure ne doit plus être à l´hésitation. Le pouvoir doit s´assumer en prenant de sérieuses mesures contre la propagation de l´idéologie polico-religieuse. Laquelle est très corrosive pour l´unité républicaine et la paix déjà fort chancelantes.
Est-ce qu´IBK du peuple peut comprendre cela?
Certes, le Président de la République n´est pas au mieux de sa forme. Mais il peut faire l´effort d´écouter davantage ce peuple. C´est d´ailleurs le minimum qu´il puisse faire pour ce grand, brave et digne peuple. Lequel l´a tant comblé, le long de sa riche carrière d´homme politique.
De toute façon, lui, IBK, brillant homme d´État, sait à quel point les peuples peuvent être versatiles!
Hawa DIALLO
Dans ce Monde on ne peut rien faire sans etre dans la politique, quand les Religieux dans le Monde Arabe font la politique c’est normal, mais si nous en Afrique specialement au Mali nos Religieux font la politique c’est pas normal. Mahmoud Dicko a le droit de faire de la politique il est Malien.
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MAIS …..TOUT EST PERMIS AUX MALIENS !
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LA PREUVE ? …..Je me demande même si mon pote n’a pas indexé , le “super rabbin” dans un de ses derniers articles ….sous le titre “””Un guide religieux bénéficie des largesses d’un chef d’Etat de la sous-région pour le convaincre de ne plus se mêler de la chose politique ”””que tu retrouveras sur le net ….. 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
madame la journaliste, de surcroit Diallo, stp vas en formation, ta publication manque de niveau; elle est pleine de contradiction. Tu n’exhibe pas l’imam mais tu montre à suffisance ta méconnaissance face à l’islam authentique. Question: Qui est le Prophète Mohamed Paix et Salut sur Lui? Il est Maire, Juge, Législateur, Exécutif alors qui de plus politique que le Prophète Mohamed.
Pendant que nous y sommes, pourquoi ne pas faire une étude comparative du système politique de Medine en 600 avec le système politique du Mali en 2016? En espérant que la comparaison s’arrêtera là. Car vous vous n’allez pas comparer Dicko à un calife, ou bien?!
Mahamoud Dicko en tant que citoyen malien comme IBK, toi Hawa Diallo, moi, etc.. a le droit de s’exprimer publiquement sur la mauvaise gouvernance du pays. Ne déplaçons pas le débat. Il n’y a pas eu de prêche sur la politique.
l’imam dicko a parfaitement raison . la démocratie dit la loi de la majorité. or nous musulman nous sommes majoritaires . alors on devra avoir notre mot a dire. nous incarnons donc la légitimité ,puisque la démocratie vise a satisfaire les aspirations les attentes de cette majorité. forcément il faut que les préoccupations des masses soient prises en compte.
Le Mali a besoin d’une grande réconciliation nationale pour que la paix revient dans ce pays pour cela nous avons besoin de l’apport de les fils de ce pays qui peuvent nous apporte une aide dans la gestion cette crise.
C’est une très bonne initiative de la part du gouvernement malien de mettre en place ce genre de structure contre ces mauvaises comportements dans notre pays .Nous ne pouvons que vous remercier le président de la république de cette initiative.
La sécurité dans ce pays est l’un des principale probleme actuellement donc le pays a besoin être renforcer dans le domaine de la sécurité sur toute l’étendue du territoire nationale.
Nous sommes déjà a une année de la signature de l’accord de paix et réconciliation nous pouvons dire que le bilan médiocre parce que qu’ après la signature de cet accord les choses se sont calme un peu mais zéro dans l’application de cet accord.
Ramener la paix et la réconciliation nationale dans un pays n’est pas quelque chose de facile du tout donc admettons que le gouvernement est entrain de fait tout son possible pour pouvoir ramener la paix au pays.S’il plait à Dieu nous brulerons le timbre de désaccord.
Un pays ou la majeur partie de la population sont des musulmans si il faut supprimer tous musulmans des partis politiques il aurai presque plus de politiciens dans ce pays là.
l´Imam Dicko ne connait rien de la politique il parle pour ne rien dire s’il pense que sa popularité lui permet de devenir président. sa popularité vient du faite de la religion et aussi le mali restera un pays laïque et non musulman dont il pense.
Le Mali est un pays laïque nous le savoir tous donc toutes les religions ont leur place chez nous ici.Mahmoud Dicko a aussi le droit de dire ceux qu’il veux sur la politique malienne parce c est son pays.
Être le chef de tous les musulmans du Mali c’est une grande responsabilité donc il est le leader de tous les musulmans maliens.C est tout a fait le droit défendre les convictions religieux.
Monsieur le journaliste j aimerai savoir si tu es un chef religieux tu n as peut-être pas le droit d’intervenir dans la politique de ton pays.Il a les droits que tous les maliens a savoir.
Le président du Haut Conseil Islamique du mali a bien le droit d’exprimer sur l’actualité du Mali.Donc cela n’est pas quand même crime qu’un religieux intervient dans l’actualité de son pays.
Je pense qu’un chef religieux ne doit se mêler de la politique mais de se contenter à prêcher la parole de Dieu. Si Dicko veut qu’il démission et continue dans la politique mais qu’il sache que le fait de remplir un stade va lui permettre d’être président il se trompe car les musulmans se suivent à cause de l’islam et non pour la politique.
je demande à ce Mahmoud Dicko que s’il veut faire la politique qu’il le fasse et il quitte la tête du du Haut Conseil Islamique du Mali soit il reste religieux du Haut Conseil Islamique du Mali et arrête de faire la politique. un politicien ne peut pas être un guide religieux.
il faut dire que la religion et la politique sont diamétralement opposées cela dire qu’n religieux comme Mahmoud Dicko se doit de se taire lorsqu’il s’agit de la politique sinon il perd automatiquement l’honneur.
L’imam ne fait pas un bon homme politique selon les imam pieux désintéresser du pouvoir politique ont affirmer que l’islam n’est pas un régime politique mais a ce je sache de l’imam DICKO affirme que selon sarkozi il y a toujours un peu de religieux dans le politique mais c’est honteux qu’un homme aussi respecté prend l’exemple sur le diable
Je pense que si l’imam troque son boubou de prêche pour le veste de politicien,il sera certainement rabaissé.Les politiques et la religion sont deux choses à ne pas mélanger car ayant des objectifs très différents.La politique est pour ce monde hors la religion vise l’eau delà.
Maître Asif Arif du Barreau de Paris, membre de l’Association Musulmane Ahmadiyya de France, lui, soutient: «l’islam n’est pas un régime politique mais une religion avant tout, une spiritualité». Avec tout ces conseils donnés par ces hommes, je dis à l’imam de voir le nom de l’islam et de laisser la politique aux politiciens, quand il y aura querelle ce sont eux les hommes de religion qui vont intervenir.
L’imam sa place c’est dans la mosquée et non dans les bureaux mamoud dicko veut changer son chapelet contre la politique mais ce qu’il oublier la science politique est différent de la science religieuse
Si l’idéologie politique domine la mentalité d’un imam se sont ces genres de propos qu’il tient dicko a toujours eu un penchant vers la politique il est meme aller a dire que l’état doit créer un ministère pour les religieux donc c’est pas la première fois qu’il s’adonne a des propos de ce genre
L’islam sert pour certain hommes un moyen de se faire une place dans la classe politique
ces deux entité qui ne vont pas ensemble dans un pays qui se dit laïc dicko doit se limiter a son chapelet et ses prêches
L’islam sert pour certain hommes un moyen de se faire une place dans la classe politique
ces deux entité qui ne vont pas ensemble dans un pays qui se dit laïc dicko doit se limiter a son chapelet et ses prêches
L’islam sert pour certain hommes un moyen de se faire une place dans la classe politique ces deux entité qui ne vont pas ensemble dans un pays qui se dit laïc dicko doit se limiter a son chapelet et ses prêches
Je pense que l’imam sa place est dans la mosquée.Il faut donc que l’imam reste dans la mosquée c’est là qu’il sera grandi et respecté.Sinon si l’imam quitte la mosquée pour la politique il risque d’être dépaysé.
Mamoud dicko a une idée derrière la tete qui tend vers la politique ce qui s’avère un tournant dans la scène politique du mali et qui va engendre une division au sein de la société qui est sensible aux questions religieuse
Je pense que religion et politique ne font pas bon ménage.Les religieux et les politiciens ont des objectifs très différents.Il faut que chacun reste dans son champs d’action c’est mieux pour eux même et pour toute la solidarité.
En vérité, nous sommes devant le plus grand marché de dupes de toute l’histoire de l’humanité: les francs maçons croient avoir pris les religieux dans leurs pièges! la situation leur a déjà échappé; ils seront les premières victimes de la marée islamiste qui saisira le Mali comme ça a été le cas en Algérie.
Le Mali est un Etat démocratique laïc et non Etat islamique. Les chefs religieux qui se croient pouvoir porter un imam à la tête de ce pays se trompent gravement. Le président de la république étant un musulman ne veut pas qu’une religion se montre plus influente et puissante que toute autre au risque de ne pas faillir à sa mission de conserver les caractères démocratique, républicain et laïc de notre Etat.
Je suis du même avis qu’Ousmane Chérif Madane Haidara qui disait que l’islam et la politique ça fait 2. Si l’imam devient politicien qui va prêché Allah, je pense que l’imam doit se ressaisir un peu et mettre un peu d’eau dans son vin.
Un leader religieux qui fait de la politique peut perdre à la fois le respect des hommes politiques et la confiance de Dieu. Or, on perd tout dès lors qu’on perd la confiance de Dieu…. ». Je conseille à Imam Mohamoud Dicko de s’écarter de la scène politique.
Les religieux doivent moraliser les populations maliennes.Si les religieux se mettent à faire de la politique les musulmans maliens seront perdus.Il faut donc que les religieux restent à la mosquée et ne s’invitent pas sur la scène politique.
le leadership religieux n’est pas à confondre avec la politique, avertit le Chérif Ousmane Madani Haïdara. Et le Chérif précise: «le chef religieux est en mission de Dieu, son rôle consiste à appeler les gens sur le chemin de Dieu et non chercher à accéder à un poste politique.
Il ne faut vraiment pas mélanger politique et religion.Les deux choses sont diamétralement opposées.Les politiques aux politiciens et la religion aux religieux.Je pense que les religieux doivent prêcher la religion et laisser la politique aux politiciens.
Les gens aiment déplacer les débats. L’Imam apporte sa contribution à la reconstruction du pays. Les personnes de mauvaise foi veulent faire porter le chapeau du limogeage du procureur de la république. Ce qui est faut car le procureur n’a rien fait des dossiers qui lui soumis depuis l’arrivée du président.
Il n’y a pas de tension possible entre les deux pouvoirs. Le régime d’IBK a toujours su respecter la religion et les leaders religieux, les musulmans de leur côté ont fait la même chose. C’est la paix et le respect qui unis les deux pouvoirs.
Je pense qu’on doit donner à César ce qui appartient à César. La politique doit être animée par les leaders politiques et la religion doit être animée par les leaders religieux, chacun est mieux de son côté. La politique est domaine très dangereux pour la religion, les deux domaines ne rimes point ensemble, la politique malienne est l’art de mentir.
Le monde de la politique est un monde parallèlement opposer à se celui de la religion. L’aventure de leaders religieux dans la politique est une très mauvaise idée. Les maliens font confiance au leader religieux parce qu’ils font circuler plus ou moins les messages de Dieu, mais la politique est plus ou moins l’art du mensonge, de la trahison et de mauvaise foi.
La religion ne doit pas être confondue à la politique. On ne peut pas être un bon religieux et bon politicien à la fois. Les deux missions ne peuvent et ne doivent pas aller ensemble. Donc je demande aux chefs religieux de ne pas trop se donner à la politique pour ne pas faillir à leur mission prêcheurs.
Certes, la population malienne croire le plus aux religieux qu’aux politiques, mais la politique et la religion sont des domaines très différentes. Je pense que les religieux et les politiques doivent travailler ensemble car leurs objectifs plus ou moins commun restent la bonne marche du pays.
Le Mali est un pays laïc, les leaders religieux pour la grande considération que la population malienne garde toujours en eux, ils ne doivent jamais être le plus vues sur la scène politique, sinon surement la population finira par croire encore plus au politique qu’aux religieux.
Avec tout le respect que j’ai envers les religions et envers les chefs religieux, je les demande de prendre leur écart vis à vis de la politique. Je crois pas que ce soit une bonne image pour leur réputation religieuse de se faire des idées politiques. Je les trouve biens dans leur mission de prédicateurs.
Ne faites pas appel aux citoyens à l’amalgame, s’il vous plait? Les politiciens et les chefs religieux ont tous des missions à accomplir. Les musulmans sont, certes, des citoyens et ils doivent se soucier de leur pays. Mais se soucier de son pays est différent de faire la politique en abandonnant sa mission religieuse. Donc que les religieux restent dans leur lot et laisser les politiques dans leur lot. Ils peuvent faire des propositions dignes sans pour autant faire la politique.
La situation du pays interpelle tout le monde. Nous pouvons souvent expliquer certaines choses aux gens. Tout cela concourt à la stabilité et à la cohésion du pays. Alors qu’on arrête de voir le mal partout.
C´est dire que «Politique et religion ne font pas bon ménage», clarifie le Chérif de Bamako. Ce confirme d´ailleurs le Dr Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris et ancien président du Conseil français du culte musulman (CFCM) en ces termes: «non, l’Islam n’est pas une politique». Maître Asif Arif du Barreau de Paris, membre de l’Association Musulmane Ahmadiyya de France, lui, soutient: «l’islam n’est pas un régime politique mais une religion avant tout, une spiritualité». Avec tout ces conseils donnés par ces hommes, je dis à l’imam de voir le nom de l’islam et de laisser la politique aux politiciens, quand il y aura querelle ce sont eux les hommes de religion qui vont intervenir.
toutes mes félicitations à ce journaliste pour ce brillant mensonge irréfutable pour ceux qui ne savent pas faire des analyses dignes de ce noms et ceux qui sont gogos, naïfs je voulais dire. Donc vraiment, je ne sais pas le pourquoi de cet article en ce moment?
Que l’Imam laisse la politique aux politiques. Il faut savoir faire la part des choses. Je pense que c’est ce qui a fait naître chez le Guide Haidara qui prétend élire un président musulman à la tête de notre pays.
Mais «le leadership religieux n’est pas à confondre avec la politique», avertit le Chérif Ousmane Madani Haïdara. Et le Chérif précise: «le chef religieux est en mission de Dieu, son rôle consiste à appeler les gens sur le chemin de Dieu et non chercher à accéder à un poste politique; celui qui le fait peut perdre à la fois le respect des hommes politiques et la confiance de Dieu. Or, on perd tout dès lors qu’on perd la confiance de Dieu…. ». Je conseille à Imam Mohamoud Dicko de s’écarter de la scène politique.
Le Mali est un Etat laïc dans lequel la liberté de religion et de culte est reconnue aux citoyens. La démocratie n’interdit pas les musulmans de se marier selon les exigences de l’islam, à ce que je sache. Donc dire que l’Islam et la démocratie sont incompatibles est un peu démodé. Ce sont seulement certains chefs religieux qui font usages des deux, tout en voulant le beurre et l’argent du beurre à la fois. Les imams de ce pays sont influents, voire très influents même mais ils ne peuvent rien contre les décisions des autorités.
Le président d’Ançardine international, Cherif Ousmane Madani Haïdara et le président du Haut Conseil Islamique pensent que le Mali est un Etat islamique. Alors que c’est le contraire. Ils veulent que les autorités obéissent à leur volonté. Ce qui n’est pas digne d’un croyant. Un bon musulman est aussi celui qui respecte la croyance des autres. De ce fait sans les offenser, je demande à ces hommes de se méfier de la politique. Juste un conseil de concitoyen.
Je suis du même avis qu’Ousmane Chérif Madane Haidara qui disait que l’islam et la politique ça fait 2. Si l’imam devient politicien qui va prêché Allah, je pense que l’imam doit se ressaisir un peu et mettre un peu d’eau dans son vin.
Le Mali est un Etat démocratique laïc et non Etat islamique. Les chefs religieux qui se croient pouvoir porter un imam à la tête de ce pays se trompent gravement. Le président de la république étant un musulman ne veut pas qu’une religion se montre plus influente et puissante que toute autre au risque de ne pas faillir à sa mission de conserver les caractères démocratique, républicain et laïc de notre Etat.
Le fait de parler de politique ne veut pas dire l’Imam a perdu sa vocation. Les guides religieux sont écoutés dans notre pays. Ils peuvent intervenir sur certains choses du pays pour mieux élucider le peuple.
Vraiment en matière de politique les imams n’ont pas leur place la bas, c’est dans la mosquée qu’un imam est sensé retrouver, si non les gens vont être coupés de toi, l´Imam Dicko doit prendre ses distances avec la politique.
Si Tessoungué est parti de son poste, cela est dû à son incompétence et incapacité à gérer les dossiers qui étaient sur sa table. L’Imam n’est aussi actif sur la scène politique comme vous le dites et si cela était le cas je ne pense pas s’il aurait le temps pour aller à la mosquée. Menteur et intoxicateur
Je pense que l’imam n’a pas ça place dans la politique, la politique n’est pas fait pour les hommes religieux, la religion et la politique c’est deux choses qui ne vont pas ensemble.
lakadette-jolie, RAMADAN MOUBARAK!!!!!
Sais-tu que les premiers dirigeants du monde musulman etaient a’ la fois des dirigeants politiques et religieux? Le prophete Mohamed et les KHOULAVA RACHIDOUN (Abou Bakr, Oumar, Othman et Aly) etaient des dirigeants politiques et religieux. Plusieurs dirigeants du monde musulmans ont porte’; le titre d’EMIR AL MOUMINOUNE (le prince des croyants)!!!! L’ACTUEL LOI DU MAROC EST TOUJOURS OFFICIELLEMENT LE DIRIGEANT POLITIQUE ET RELIGIEUX DE SA COMMUNAUTE’!!!
Meme dans le monde chretien, le pape etait aussi un dirigeant politique.
Je suis pour la separation entre la religion et l’etat parce que dans plusieurs etats du monde, nous avons des peuples qui ont des religions differentes.
AUX USA, LA SEPARATION ENTRE L’EGLISE ET L’ETAT EST REELLE. LE GOUVERNEMENT AMERICAIN NE PEUT NI IMPOSER UNE RELIGION NI ENCOURAGER UNE RELIGION AU DETRIMENT DE L’AUTRE!!!
L’Islam est un projet de societe’.
Nous avons plusieurs interpretations de cette religion comme des autres religions. L’essentiel est d’etre tolerant et d’etre capable de se mettre a’ la place des autres pour voir la situation sous leurs angles respectifs!
“… En Afrique nous échouons quand nous renions nos valeurs. …” Nous ne sommes pas d’une culture arabe. Adopter la culture musulmane revient a tronquer la culture occidentale a la culture arabe. Si nous voullons vraiment revenir a notre culture, la vraie, l’africaine? On va devoir revoir tout. Peut etre devenir KAMIT En parlant ainsi, Mohmoud Dicko emontre qu’il ne connait meme pas sa propre culture.
Comment definissez-vous la culture ou les cultures?
Est-ce qu’une culture peut evoluer/ se developper?
QUELLE EST LA PLACE DE LA RELIGION DANS UNE CULTURE?
EST-CE QUE LES PEUPLES PEUVENT CHANGER DE RELIGION SANS CHANGER DE CULTURE?
EST-CE QUE LES PEUPLES, EN ADOPTANT DE NOUVELLES RELIGIONS, CREENT DE NOUVELLES CULTURES?
Est-ce que THOMAS EST UN NOM AUTHENTIQUEMENT AFRICAIN? Je pense qu’il peut l’etre mais je doute que vous voyez sous mon angle!!!!
Foutez-nous la paix. Religion, religion est ce une culture malienne? Non!! Ce n’est autre qu’une monnaie d’échange pour certains, tel que les adeptes de tijaniya, anecardine, Wahabite, mouride, kadre, laye etc…Continuer a suivre ces gurus…Vous ferez bien leurs affaires. Dicko, Haidara, Moussa de Bagadadji, Bandjougou bref…, Ils n’étaient d’autre que des saisonniers venus a Bamako (Suruka) et aujourd’hui avec l’aide des naifs ils se sont enrichis…Réveillez-vous maliennes et maliens car les religions sont des importées. Notre religion c’est l’agriculture, l’élévage et la peche. Mettons-nous y.
L iMAM DICKO ne connais mème pas la religion musulmans.Demande à Dicko quel es le de famille de Bilal et quel les musulmans lui a donné.Bilal a fais toute en arabie saoudie sans pouvoir se marié car il es noir.
Mahmoud Dicko est un semeur de zizanie de la même catégorie qu’ Yad.
Mamoud Dicko est un politicien qui a introduit la politique politicienne dans les mosquées du Mali ,ceux qui mangent grace a dicko peuvent faire semblant d’oublie Mais la verité c’est ça, sabati 2012 est crée par Dicko pour exerce le Rôle de parti politique au Mali ,Et les élections de 2013 l’ont montre Enfin Dicko et ses camarades veulent vivre sur le Dos de l’Etat ce fait ils utilisent l’Islam comme fonds de commerce et encore le soutien aux politiciens donne lieu a un paiement de prestation de mobilisation
Le plus inquiétant est que une fois que l’islam se politise nul ne serait assez musulman pour être épargné. Quel que soit l’islam que tu pratiques, il y existe un autre musulman pour qui tu n’es qu’un infidèle qui mérite d’être tué et s’il te trouve tu es mort. C’est ce qui explique les bombes récurrents dans les Mosquées du monde Arabo-musulman. Nos leaders religieux le savent bien mais ne semblent en tirer aucune leçon !
En vérité, nous sommes devant le plus grand marché de dupes de toute l’histoire de l’humanité: les francs maçons croient avoir pris les religieux dans leurs pièges! la situation leur a déjà échappé; ils seront les premières victimes de la marée islamiste qui saisira le Mali comme ça a été le cas en Algérie.
Il n’ y a pas plus politique que Haïdara. Si DIEU nous prête longue le mouvement Ansardine internationale se transformera en parti politique c’est l’intention non avouée.
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