Chronique du vendredi : La douche froide de Ban Ki-Moon

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Une action militaire internationale rapide au Nord du Mali est-elle une simple vue de l’esprit ?  En tout cas, si Ban Ki-Moon a de l’audience, ce n’est pas demain que les paras nigérians sauteront sur Kidal. Le secrétaire général de l’Onu préfère la négociation et s’il n’est pas désavoué par le Conseil de Sécurité,  la Micema dépendra des contributions volontaires des Etats membres de l’Union africaine et pays occidentaux amis du Mali.

On sait ce que cela veut dire, l’Ua et la Cedeao, tant comme institutions que dans l’écrasante majorité de leurs Etats étant perfusées par la communauté internationale. La posture de Moon est troublante pour le moins. Car la requête d’intervention au Nord Mali dont il vient d’être saisi émane tout de même d’institutions africaines légitimes, autant briefées sur les enjeux que l’est Manhattan et sincèrement préoccupées par l’onde de choc possible de la crise malienne. Seules les insuffisances techniques de leur stratégie ou éventuellement le coût pharaonique de celle-ci peuvent, dès lors, susciter les réserves de New York encore qu’il y a  une tradition de prudence et de retenue à faire valoir ici. L’argument du Secrétaire général sur les conséquences humanitaires et  les droits de l’homme ne peut être ignoré d’aucun démocrate. Il faut l’expliciter : Moon parle ici de ce que beaucoup redoutent, à savoir les représailles aveugles de l’armée malienne mise en première ligne contre des civils Touareg, Arabes ou même Sonrais dans la mesure où certains de cette ethnie sont suspectés d’avoir servi de cheval de Troie de l’Occupation et aussi de fers de lance du néo-wahabisme professé par les jihadistes d’Aqmi-Mujao. Le risque mérite d’être pris en compte dans la stratégie de libération du Nord, c’est évident. Tout comme il est évident que l’armée multiethnique que nous a donné le Pacte National a permis de circonscrire aussi bien en 2006 qu’en 2012 le regrettable passif de la «guerre du faciès». Ce n’est pas parce que le risque de bavures existe que le Nord du Mali dit être abandonné aux mains de ceux qui l’occupent en violation du droit international dont l’Onu est la garante. D’ailleurs, si ce risque n’est pas le bon prétexte pour abandonner les communautés maliennes à leur sort, le principe aurait dû prévaloir en Libye dont tout le monde attend le bilan humanitaire des frappes légitimées par New-York. Il aurait dû en outre indigner davantage les 17000 casques bleus de la Rdc devant les femmes et les enfants fuyant, toutes langues dehors,  des forces d’occupation. Il aurait dû également justifier un engagement décisif aux côtés du peuple syrien qui n’a eu, pendant plusieurs mois que sa prière du vendredi et sa poitrine courageuse contre les balles d’une armée lâchée contre son peuple et qui n’aurait reçu de réponse internationale qu’en utilisant les armes chimiques, pas l’aviation. La posture du premier gendarme de la paix mondiale semble simplement ramener sur le tapis la sempiternelle question de la négociation versus la guerre que le Mali, en dépit de l’extraordinaire volatilité de sa gouvernance, a tranchée. Il l’a tranchée en disant oui et non. Oui à ceux qui font amende honorable mais non à ceux ne font pas machine arrière. Le bénéfice d’une action rapide au Mali est pourtant net. D’abord, c’est le seul qui permet d’éradiquer le narco-terrorisme – dont toutes les parties prenantes soulignent la gravité-. Ensuite, c’est lui qui réduit les risques de sanctuarisation d’un néo-fondamentalisme dont Aqmi n’est pas le responsable mais le terreau et qui est une passerelle plausible entre le Nord et bien des capitales sous-régionales dont Bamako, nous ne soulignerons jamais assez. Enfin, au lieu d’y faire face une fois pour toutes, négocier le statu quo ante, c’est-à-dire le crime organisé et son cache-sexe local relogés dans les contreforts de l’Adrar, c’est prendre le risque de reproduire au Nord du Mali -Att n’oubliait jamais de préciser que ce Nord était surtout le Sud de l’Algérie- un Polisario bis. On nous rétorquera bien sûr que la communauté internationale  -une autre nébuleuse avec laquelle personne n’a jamais dîné, selon une boutade connue, ne peut mettre ses billes dans un Etat aussi avancé dans l’autodestruction et la liquidation de ses acquis.  Nous ne saurions avoir d’autre réaction que de baisser la tête. En tout cas ceux pour qui ce pays veut encore dire quelque chose.

Adam Thiam 

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20 COMMENTAIRES

  1. Ban ky moon est rentré dans l’histoire par la petite porte et il en sortira pour un trou de souris. Il a oublié qu’on ne peut pas faire des omolettes sans casser des oeufs.

  2. Mr Thiam, on t’a jamais lu entrain de condamné les ecxactions sur les civils touaregs et arabes. C’est une réalité horribles

  3. Chers frères et seours ne cherchons pas le poux sur le crane rasé.Notre frère KASSIN a tout dit et il a parfaitement raison.Il n’y a pas deux commandement dans un bateau.Pourquoi les règlement de comptes en cette periode?Ne dit-on pas qu’il ne faut pas courir derrière la souris qui a élu domicile chez vous?C’est cette rage de vengeance contre l’ancien regime (que j’ai jamais aimé)qui nous a amené là.Arrêter de critiquer les autres s’il vous plait,nous avons laissé ATT foutre la MERD-E,il faut récupérer et après le nettoyage total “le cocadjèèè” même s’il faut utiliser tous les “homo BARKA TIGUI ou CLEAN” à cet effet 😆 😆

  4. Crise et respect du droit, les États-Unis exigent, le Mali s’entête et l’Onu se rebiffe

    Je vais une fois de plus regarder le problème du Mali sous l’angle du droit même si je sais que dans ce pays le respect du droit et de la légalité est passé au second plan aussi bien pour les populations que pour les autorités et cela depuis belle lurette.

    En 8 mois d’analyse de la situation socio politique, économique, géo stratégique, sécuritaire et institutionnelle de la crise multiforme qui traverse le Mali de manière violente et inouïe, je crois avoir donné à travers plus de cent articles moultes propositions de solutions de sortie de crises toutes basées sur le respect de la légalité constitutionnelle.

    Et en 8 mois de crise, j’ai été traité de tous les noms d’oiseaux et le plus souvent dépeint comme étant à la solde du régime défunt ou d’un regroupement politique dissident, mais les spéculations et supputations autour de ma modeste personne ne comptent pas à l’heure où le Mali, ce pays que j’espère qu’on aime tous, est dans les profondeurs abyssales d’un tréfonds sans nom.

    Ce pays a besoin d’une fédération de toutes les énergies de tous ses fils pour relever les défis qui se dressent devant lui car dirigeants et citoyens se sont depuis trop longtemps égarés dans le faux pour espérer atteindre le bonheur absolu sans presque rien faire.

    La crise actuelle aussi complexe soit telle, est une crise de non respect de nos règles établies dans notre société (règles de gouvernance et de citoyenneté mais aussi règles de conquête du pouvoir).

    Pour la résoudre il faut qu’on accepte pour une fois de respecter les règles même si ce respect va bousculer nos habitudes, habitudes qui constituent nos tares et qui nous conduisent à nos pertes.

    En matière de règle, la constitution est la loi fondamentale du pays, et elle doit être acceptée comme telle car c’est tout un peuple qui s’est exprimé par vote pour l’adopter.

    Actuellement au Mali après la démission d’ATT nous n’avons plus de président en exercice élu au suffrage universel direct, et l’instrument juridique le plus légitime pour définir les modalités de conquête et d’exercice du pouvoir au Mali reste la constitution.

    Elle prime sur la classe politique et elle prime sur la junte militaire que je désapprouve depuis le 22 mars 2012 puisqu’elle est l’incarnation même du non respect des règles dans la société.

    Une armée et toutes ses composantes sont faites pour défendre un pays, ce n’est ni une police de la démocratie ni une institution judiciaire.

    A ce titre les soldats de la garnison de Kati ne peuvent ni être juge ni procureur de la république au moment où nous avons des institutions judiciaires sensées exercer le pouvoir judiciaire en république du Mali.

    Si celles ci n’exercent pas leur profession comme cela se doit, si justice n’est pas faite dans le pays, c’est aux citoyens de le dénoncer et les pouvoirs exécutif et législatifs (dans un système de poids et contre poids garanti par la constitution) doivent faire en sorte que les juges fassent leur travail.

    Sinon ces mêmes pouvoirs, législatif (assemblée nationale) et exécutif (président et gouvernement) seront sanctionnés lors des consultations électorales.

    Les régimes Alpha et ATT ont mal géré le pays (corruption, débâcle de l’école, abandon de l’armée malienne…) mais ils devraient être sanctionnés par les citoyens à travers leurs votes voire par la justice à travers l’ouverture d’informations judiciaires à leur encontre et non par un coup d’état, encore moins par les militaires car ce n’est pas leur rôle, leur rôle se trouve au nord.

    Pour diriger la transition politique on doit s’en tenir à notre loi fondamentale et non aux conclusions de concertations nationales qui n’auront jamais autant de participants que le nombre de maliens qui ont voté la constitution de 1992.

    Pour le respect de cette même constitution nous devrons aller aux élections pour donner plus de légitimité au pouvoir exécutif (c’est un secret de polichinelle que le pouvoir de Dioncounda Traoré n’est reconnu par presque la moitié des maliens alors il le tient de la constitution).

    Mais ces élections en temps d’occupations des régions du nord posent le problème de la participation de nos compatriotes du nord.

    En même temps pour les libérer du joug des islamistes, nous n’avons pas une armée capable de le faire pour des raisons que chacun connait.

    Si nos partenaires internationaux qui doivent nous aider à récupérer le nord exigent les élections en échange de leur pleine participation dans la reconquête du nord nous devrons le faire sans hésiter car mieux vaut récupérer le nord avec un président élu par 90% des maliens que ne jamais le récupérer avec un président intérimaire dans une transition de chamailleries.

    Voilà la solution mère au problème du nord du Mali, mais elle a pourtant été balayée d’un revers de mains par les maliens, dans un sursaut de faux orgueil du genre de cet élu de Gao “Si le Mali va aux élections sans le nord je ne serais plus malien”.

    Mais mon cher, si le Mali ne récupère pas le nord tu seras élu où désormais?

    Absurde attitude malienne qui laisse pantois nos amis américains qui sont pourtant les seuls à mettre aux pas et algériens et l’Onu pour faire la guerre au nord et récupérer nos terres, et ils ont largement les moyens pour cela.

    Et les états-unis sont suffisamment amis avec le Mali pour ne pas se laisser prendre dans le jeu trouble et débile des touareg pour mettre à mal notre intégrité territoriale.

    Mieux ils ont une aversion totale du terrorisme et de l’islamisme puisqu’ils savent de quoi il s’agit, l’épisode de l’ambassade américaine de Libye après la sortie d’un film sur Mohamed, PSL, est là pour nous édifier.

    Donc mais chers amis, élections de pouvoirs légitimes au Mali et reconquête des régions du nord sont intimement liées et le Mali ne peut pas indéfiniment donner le mauvais exemple d’un pays qui régresse démocratiquement et espérer avoir toute la communauté internationale aux petits soins à son chevet (coopération financière, diplomatique et militaire).

    Nous devrons accepter les règles de la démocratie et abandonner l’opportunisme et le vagabondage politique et militaire (Copam, Mp22, IBK 2012, Yerewoloton, Cnrdre…) pour reconquérir le nord, et traduire devant la justice tous ceux qui ont abusé de la république et du Mali (anciens régimes et nouveaux voyous).

    C’est cela le droit chemin et pas autrement et c’est cela qui est demandé par les américains.

    Ceux qui s’y opposent à cela sont seulement tentés de s’éterniser dans les eaux troubles de cette transition incrédule pour leurs seuls desseins (soldats de Kati ,CMD et consorts et tous leurs supporteurs) et non pas la cause du Mali, encore moins ses régions nord sous occupation.

    Le Mali n’a rien à gagner dans cette transition, le Mali n’a rien à gagner dans des concertations ennuyeuses sachant qu’elles ne feront riens pour démultiplier les capacités opérationnelles de l’armée malienne car ce ne seraient que des guerres de positionnement et des querelles de chiffonniers pour rallonger la transition politique et voler sous une autre forme les maliens et rien d’autres.

    Donc je m’oppose catégoriquement aux “concertations nationales” comme je me suis toujours opposé au coup d’état du 22 mars 2012 puisque les deux sont sources de crises institutionnelles, les deux sont anticonstitutionnels, les deux enfoncent le Mali dans la crise au lieu de le sortir de l’ornière, les deux sont des voies sans issue.

    Le Mali n’a pas de problème de système politique ni de problème de textes juridiques, mais nous avons un problème d’application des textes et un problème d’hommes intègres et totalement dévoués pour le pays.

    Et cela est ressenti jusqu’à l’Onu, c’est pour cela qu’elle hésite et regarde par plusieurs fois ce dossier malien pour ne pas être comptable d’une quelconque faute de droit malgré l’imminence de la menace islamistes qui va largement au delà du Mali et des maliens.

  5. Quand des militaires massacrent leurs propres frères d’arme alors qu’ils sont deja faits prisonniers, quand on sait que certains contingents qui composeront la force de la CEDEAO comme le contingent nigerian massacrent leurs propres frères dans leur propre pays au nom de la lutte contre boko-haram, quand les maliens eux-mêmes supposent que ce qui les interesse c’est surtout de laver l’affront, je ne vois pas comment la communauté internationale agira autrement. Cette reaction de l’onu est tout a fait logique car il ne faut pas qu’en voulant sauver les populations du nord mali d’entre les griffes des groupes armés que l’onu se retrouve avec d’autres massacres entre les mains et qu’elle aura cautionnés, planifiés et même financés sans le savoir. Donc prudence.

  6. C’est un complice du mnla et des barbus!
    D’ailleurs son vrai nom est BANKI AG MOON. Ha ha! Il ne reste que ça!

  7. Pour nos armes, depuis quelques jours je pose cette question sur des réseaux sociaux mais actuellement, je ne sais pas si elles sont entre “nos” mains ou si elles sont toujours sous contrôle de la CEDEAO. Ce qui est impressionnant, c’est que tout d’un coup, personne ne réclame (je fais allusion aux manifestants anti-cedeao) qu’on débloque les armes et que les militaires fassent leurs boulots (ou qu’ils commencent à faire semblant au moins).
    Pour le reste, je pense qu’on ne devrait pas accuser (même à raison) les pays qui ne veulent pas nous aider maintenant; car, à mon avis perso, tout le monde cherche son intérêt avant tout. Donc si l’intérêt du Mali actuel doit leur causer des problèmes ainsi qu’à leur population, à leur place j’aurais agit de la même sorte.
    Le jour où nos dirigeants (et nos militaires-dirigeants) comprendront qu’au 21è siècle chaque nation cherche son intérêt avant de secourir “ses amis”, en ce moment là on pourra avancer, soit par nos propres moyens, soit avec l’aide internationale en nous pliant à leurs 4 volontés.

  8. J’ai une seule question: les armes bloquées par la CEDEAO ont-elles été libérées oui ou non? Si oui, l’armée malienne doit engager la libération du Pays. Ce que la grande majorité des Maliens ignorent ce que tout le Mali est sous occupation, pas seulement le Nord.Ce n’est pas facile à comprendre. Le Mali n’a aucun moyen de pression sur ses partenaires. Un pays qui ne dispose d’aucune marge de manoeuvre au plan géopolitique.

    La seule pression qui existe c’est de dire aux partenaires bilatéraux, nous allons engager la guerre contre les terroristes soit vous nous aidez à gagner cette guerre soit nous la perdons et que vos intérêts seront menacés au sud du Mali et dans toute la région. Toutefois, le Mali a deux ennemis:

    1- Il y a des pays qui souhaitent garder le statu quo actuel pour ne pas disperser la menace terroriste. Donc c’est le Mali le dépotoir final selon eux. Preuve: Vous vous rappelez bien qu’au début de la crise, la CEDEAO voulait venir sécuriser les institutions, en clair, il s’agissait de venir protéger les chancelleries étrangères au sud contre la percée des islamistes. Et que depuis que la forme d’une vraie s’est dessinée, certains pays de la CEDEAO font volte-face. On montre du doigt l’Algérie qui n’en est pas membre, mais c’est trop facile.

    2- Certains responsables politiques de la transition excepté le Premier Ministre Cheick Modibo Diarra ne se plaints pas trop de la situation. Que la situation dure aussi longtemps que possible cela les arrange fortement pour rester. En effet, Cheick Modibo Diarra sera probablement candidat et il sait que la gestion rapide et efficace de la transition permettra de lui assurer la confiance des Maliens pour les futures élections.

  9. que dieu est pitie des populations du nord mali.notre seul espor est le gandakoye qui pourra nous liberer notre territoire.tous derriere gandakoye en avant pour la lideration de nos terres.allah ka hinee fantaw na.le pauvre na pas d amis

  10. les maliens doivent faire l’union sacrée pour la libération par la guerre de leur territoire; il faut que nous disions à la communauté internationale que nos populations du nord ne peuvent rester sous occupation jusqu’en fin 2013.
    tous les maliens doivent s’unir pour demander à la CEDEAO et à la communauté internationale de nous donner nos armes bloquées dans des ports africains. si cela est fait, nous n’avons besoin de personne pour faire cette guerre.
    le peuple tout entier s’alignera derrière son armée; nous sommes des milliers, des millions qui sont prêts à monter au front. nul sacrifice n’est au dessus de la restauration de notre dignité.
    Et cette guerre se fera, avec ou sans la communauté internationale.

  11. BAN KI -MOON EST UN CORROMPU DES ÉTATS UNIS ET DE L’ALGÉRIE .LA POSITION DE TOUT LE MONDE EST CONNU .L’ALGÉRIE ENTRETIEN LES ISLAMISTES DONT AQMI QUI SONT EN MAJORITÉ DES ALGÉRIENS , LES MAURITANIENS ENTRETIENT LE MOUJAO QUI SONT EN MAJORITÉ DES MAURITANIENS LE CONSEILLER SPÉCIALE DE BAN KI MOON POUR LE SAHEL EST UN ALGÉRIEN .LE MNLA SONT DES TOUAREG DE PEAU BLANCHE . LA PEAU BLANCHE SE TOUJOURS SUPÉRIEURE A LA PEAU NOIRE .DONC SUR TOUTE LA LIGNE LES NOIRES SONT MAL BARRES ENCORE MOINS S’ILS DES NOIRES MUSULMANS . JE CROIS QUE C’EST A NOUS MALIENS DE FAIRE NOTRE GUERRE .AIDE TOI LE CIEL T’AIDERA .UNE CHOSE EST CLAIRE ;POUR QUE LE NORD SOIT UN PAYS A PART IL FAUT QUE BAN KI MOON ET SES COMPLICES MARCHENT SUR LE CORPS DU DERNIER MALIEN ET CA SERAIT LA FIN DE L’HUMANITÉ.CHERS FRÈRES MILITAIRES MALIENS QUELQUES SOIT VOTRE ATTITUDES DÉSOLANTES VIS A VIS DE LA NATION VOUS RESTEZ TOUT DE MÊME TOUJOURS NOS FRÈRES .OUVREZ LES YEUX ET REVENEZ SUR TERRE . LA PATRIE EST A L’AGONIE . PRENEZ CONSCIENCE CESSEZ D’AGRESSER VOS PROPRES PARENTS. ON TOUS A UN ENNEMIE COMMUN .SANOGO SI TU VOIT MON ÉCRIE FAITES A CAUSE DE VOS MAMANS ET PAPA POUR OUVRIR LES YEUX POUR NOUS UNIR ET COMBATTRE L’ENNEMIE .ON VA GAGNER CAR L’ENNEMI N’EST PAS FORT . QUE DIEU SAUVE LE MALI . AMEN

  12. Nous disons que tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté que depuis la nuit des temps jusqu’au dernier conflit de la semaine dernière Israёl Hamas aucune guerre n’est propre et ne sera jamais propre

    Nous disons aux maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali de faire bloc avec Dioncounda le 1er ministre le gouvernement et l’armée car cette libération de zones occupées est d’abord celle des maliens et maliennes ayant 1amour profond pour leur pays le Mali

    Nous disons que les commanditaires et maîtres sous régionaux d’Europe et d’Arabie de ces « ramassis de voyous » ou « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » vont user de toutes les astuces et malices sataniques pour faire avorter toute intervention militaire visant à faire passer de vie à trépas leurs bras armés

    Nous disons et l’avions toujours dit que le complot contre le Mali est 1complot inimaginable de part les noms des personnes et des pays impliqués Nous disons que le complot fut savamment préparé depuis des années et devait aboutir à la formation de 2états

    Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie ont eu la tâche facile car ils ont se sont servi des comportements laxiste insouciante cupide ingrat égoïste des lettrés mutants politiques et consorts de l’ex mouvance et des comportements ingrat égoïste paresseux assisté permanent criminel narcotrafiquant des « ramassis de voyous » des faux islamistes Suppôts de Satan Satan faits humains adeptes et fidèles de Dajal ou de l’Antéchrist d’Ansar Eddine Mujao et consorts des bandits sans foi ni loi de touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciale et tribale de MNLA

    Nous disons qu’ils les ont ainsi manipulés à leur guise pour atteindre leur objectif à savoir la partition en 2 du Mali et pour plus tard occuper la zone Nord pour des raisons de stratégie économico-militaires pour les uns et pour des privilèges égoïstes primaires pour les autres

    Nous disons grâce à DIEU Le Tout Puissant Le Tout Miséricordieux le « puzzle malien » se dévoile progressivement et continuera à se dévoiler ainsi tout le monde entier saura les pays sous régionaux d’Europe d’Arabie et les personnes à l’intérieur et à l’extérieur du Mali impliqués

    Nous demandons à DIEU Le Tout Puissant Le Miséricordieux d’Etendre Sa Protection sur le Mali qu’Il anéantit le grand complot contre le Mali qu’IL retourne le complot contre les ennemis internes et externes du Mali et qu’IL fasse

    1) que l’armée malienne expédie au plus vite en Enfer leur Paradis tous ces Suppôts de Satan Satan fait humains adeptes et fidèles de Dajal ou l’Antéchrist ou « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » d’Ansar Eddine Mujao MNLA et consorts

    2) que le Mali retrouve la paix l’unité

    3) que les gouvernants actuels établissent 1liste électorale crédible acceptée par tous les partis

    4) que ces gouvernants organisent des élections libres transparents crédibles démocratiques dans 1Mali unifié non bâclées non truquées des démocraties bananières ou des tropiques dont si friands ces soit disant faux démocrates de lettrés politiques mutants africains usurpateurs sans vergogne du titre « d’intellectuels » encouragés en cela par leurs soit disant amis les «Autres » qui avec mépris disent que l’Africain n’est par mûr pour la vraie démocratie et qu’il est mieux de faire des élections bâclées truquées mêmes si le pays est divisé déchiré que de ne pas en faire

  13. Il faut que les maliennes et maliens prennent leur destinée en main. Personne ne viendra libéré notre pays à notre place. Aqmi, Mujao, MNLA, et consorts sont des protégés de l’Algerie. L’Algerie n’est pas Dieu et même avec sa soit disante puissante armée ne pourra rien contre le peuple malien si nous restons unis et solidaires.

  14. Effectivement et malheureusement le secrétaire général de l’ONU exprime la position américaine qui exige une stabilité politique passant par la légitimité en imaginant que Sanogo&Co se soucient de la légitimité.Mais Ban Ki-Moon exprime aussi les craintes de la communauté internationale. Quand, à Bamako même, on enlève des commissaires de Police, des hauts fonctionnaires etc et quand l’armée est aux mains de ces cow-boys de malheur qui flouent impunément la loi comment ne pas s’ interroger sur ce qu’il adviendra quand ces mêmes cow-boys auront des armes et devront collaborer avec des forces étrangères? Qui mettrai des fonds de son pays aux mains de ces gens-là?

  15. L’alternative qui nous reste aujourd’hui est claire maintenant. On ne peut compter que sur Dieu et Nous mêmes. La solution aujourd’hui est que le peuple entre en phase avec ce qui reste de l’armée et commençons la guerre. Seule les populations maliennes et son armée pourront libérer dignement le Mali. Tout acteur qui le fera le fera pour son compte. Donc je demande aux agitateurs de tous les bords qu’ils soient civiles ou militaires de se mettre d’accord sur une seule chose NOTRE MALI.Si on ne fait pas vite demain ça sera le tour d’une autre partie du Mali et ainsi de suite….

  16. Partageant une part de l’analyse faite, on revient au dictat américain sur les institutions onusiennes. Ban Ki Moon n’a fait que transcrire le sentiment américain doublé d’une position algérienne sur cette question. Yayi Boni a bien réagi et mieux on fait le lit du terrorisme par la complicité aujourd’hui active de certains états, les uns pour sauvegarder leur source d’approvisionnement en énergie, les autres pour empêcher une possible retombée sociale avec le retour des enfants bannis.

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