Laurent Bigot, responsable Afrique de l’Ouest au Quai d’Orsay prévient qu’il parle en son seul nom et pas en tant qu’officiel français. Et sans jeu de mots, le moins qu’on puisse dire est que le diplomate atypique ne donne pas dans la bigoterie. Arrêts sur certains de ses propos sur la crise malienne après le putsch du 22 mars et la chute des deux-tiers du territoire entre les mains de groupes armés : «seule la façade est tombée et les déterminants de la crise étaient là depuis longtemps: corruption impliquant toutes les sphères, au plus haut niveau, jusqu’au palais présidentiel de Koulouba ». Sur la classe politique, la charge est assourdissante : « le discours de la classe politique malienne est pathétique! Pas un homme ne sort du lot ». Et d’appeler à la rescousse « un conseiller de Blaise Compaoré » qui lui disait, assure t-il : « Le Mali peut s’effondrer, pourvu que Bamako reste, et ils vont tous se battre pour des parcelles de pouvoir à Bamako ».
Une puce à l’oreille de Dioncounda Traoré qui arrive pour essayer la formule du gouvernement d’union nationale ouvert à la classe politique et ce dans le but de juguler ce qu’on appelle la crise au Sud ? Une façon de dire que la potion du président intérimaire pourrait ouvrir une troisième crise sur fonds de Nord toujours occupé, de transition éternisée et d’élections impossibles ? Les propos du diplomate sont toujours très lourds d’implications. Et ne sont pas tous frappés au coin du bon sens car s’agissant de la crise électorale de 2002, l’ossature de l’argumentation du cartésien que paraît être Bigot, il a omis d’intégrer que Soumaila Cissé a eu plus de voix annulées qu’Ibk qui était selon lui le vainqueur écarté au nom de la cooptation au profit d’Att. Il reste vrai que valider un scrutin après avoir annulé plus de voix que celui du premier est troublant.
Et il est indiscutable que les dix-sept types de fraudes recensés par les juges à l’époque en disent long sur la perversion du processus électoral local. Le plus curieux cependant c’est qu’aucune voix politique ne s’est élevée du Mali pour répondre au diplomate qui, malgré quelques vérités crues ne se distance pas de schémas et clichés nihilistes toujours très insultants pour l’Afrique et plaçant l’occident dans la position de supériorité morale que l’orateur français pourfend pourtant. Le clientélisme, les passe-droit, l’opacité de l’administration publique et la garantie d’impunité participent, c’est évident, à la dérive du politique africain. Mais tout cela est un avatar de l’héritage jacobin et de ce point de vue, non seulement bien des politiques français sentent le soufre mais il est reconnu que le système de surveillance des gouvernants en Hexagone est totalement indigent par rapport à son homologue scandinave par exemple.
Et puis il y a les silences éloquents de Bigot qui traduisent soit un manque de courage soit une naïveté disqualifiante. Car il ne pipe mot du paiement des rançons contre la libération d’otages français en comparaison à la doctrine anglo-saxonne. Le Britannique Edwin Dyer est mort non pas parce que la reine est radine mais à cause du souci de ne pas fragiliser la sécurité collective en renforçant les moyens du terrorisme. Autre esquive du diplomate : sa lecture de la question Mnla et l’épouvantail d’affrontements intercommunautaires pouvant découler d’un traitement non adéquat -non français alors ?- de cette carte. Bigot a parlé et dépeint notre pays dans des termes qui font froid dans le dos. Ceux qu’ils mitraillent à bout portant font les morts. Mais toute l’Afrique francophone a visionné l’élément et entendu un procès repris par la rue.
A Bamako comme à Ouaga, la capitale d’un pays qu’il traite « d’élément perturbateur dans la médiation qui a aggravé la crise malienne ». Un Etat burkinabé qui sera le prochain à s’effondrer parce qu’il « n’y a pas d’armée, pas de classe politique » et que sa société civile est « plus ou moins organisée » que son économie est « en coupe réglée par le clan présidentiel ». Avec son corollaire ; une corruption qui « dépasse l’entendement » et « une implication dans les trafics de la sous-région jusqu’au proche entourage du président». Bigot dixit. Quand ceux qui doivent être ses contradicteurs font le dos rond.
Adam Thiam
Bigot est un âne. Un pervers qui oublie que c’est son pays qui fait sa loi en Afrique, tolérant ou châtiant le mal qu’on fait à nos peuples, au gré et à l’aune des intérêts français ou européens. C’est en voulant sauver des européens qu’ATT a côtoyé AQMI comme le fait Blaise aujourd’hui. Quelques gouttes de sang d’africains, quelques larmes d’enfants africains, rien que pour faire sourire une famille éprouvée de l’autre côté de la Méditerranée et dont le frère ou la soeur est retenu en otage. Détruisons nous, entretuons nous dépeçons nous et dévorons nous entre nous jusqu’au dernier que ça n’émeuve personne dans le pays de Bigot. Et tout ce qu’il a dit en ce moment précis de crise, c’est bien pour davantage nous diviser!
Voilà pourquoi nos pays en Afrique n’iront jamais de l’avant.Tout le monde voit la réalité, mais personne n’a le courage de dire la vérité.Vous voyez ce pseudo intellectuel qui prétend faire l’avocat du diable.Pour une fois que nous avons un diplomate qui n’a pas sa langue dans sa poche, Monsieur Thiam trouve que les politiciens font le mort, alors que lui est tout simplement ridicule dans son plaidoyer. Chirac avait dit en son temps que “le multipartisme était un luxe pour l’Afrique”ce sont ces mêmes pseudos intello autoproclamés qui ont “crié haro sur le baudet” comme on dit.GMT avait dit que le multipartisme n’était pas une “camisole de force”, tout le monde connait le sort qu’il a eu dans ce pays. Récemment Aminata Dramane a soutenu avec brio une thèse semblable sur le mauvais “modèle qu’on nous a proposé”, elle fut soit ignorée, soit vilipendée toujours par ces pseudos intellos autoproclamés; “gros foulards” disaient-ils!Mais qu’est-ce qu’ils nous veulent encore ces gens là? Mais nous savons, c’est le matériel(l’argent).Mais vous osez vous comparer aux intellos de l’occident! Eux c’est les idées d’abord, le matériel vient après, mais avec vous c’est le contraire, les prébendes!”Allah té dji to nônô là”:lol
Moi j’ai l’impression que les maliens veulent une chose et son contraire: avoir des institutions solides capables de bouter hors du pays ses bandits envahisseurs du nord et pour ce faire, refuser l’aide internationale de la CEDEAO par laquelle passent l’aide de l’union africaine et celle des nations unies, pour ne pas dire l’aide des pays capables de libérer le nord du Mali.
Malien, soyez humbles. Vous n’avez pas pu empêcher l’envahissement du Nord, vous ne pourrez par le libérer sans une forte aide internationale légitime du point de vue du droit international.
Accepter l’aide de la CEDEAO et autres, et mettez vous en rang serré pour aller libérer le nord au lieu de vous entredéchirer pour des futilités. En toute humilité, il faut savoir que dans le contexte internationale actuel, aucun pays, même s’il s’appelle le Mali avec une grande Histoire, ne peut lutter seul contre les terroristes du MNLA et AQMIS – aidés par je ne sais quelle puissances occultes-, même s’il est surarmé.
Mettez vous debout comme Soudiata se mit debout sur sa canne qu’on a bien voulu lui donner, acceptez l’aide de la CEDEAO, et finissez la libération du Nord.
Du fond de mon cœur, il s’agit au premier chef d’un problème africain, et non pas uniquement d’un problème malien. Nous tous africains, nous nous sentons meurtris par ce triste sort qui remet en cause nos espoirs d’une Afrique forte capable de marcher comme les autres et non pas une Afrique condamner à quémander chaque jour de l’aide.
Le temps de la vérité sur les tenants et les aboutissants de cette ouvre cynique au nord du Mali arrivera bientôt quant les uns et les autres seront rattrapés par leurs propres histoires. En attendant, le Mali doit de nouveau se lever et se mettre sur ses deux pieds pour que l’Afrique toute entière continue à espérer.
ferme t’a guele THIAM si tu n’a rien a dire TRAITRE
Mr. Thiam, vous aussi journaliste vous avez failli a votre devoir et votre role pour la decadence democratie malienne qui est d’informer. Pourquoi vous n’aviez pas reagi quand Alpha organisait sa crime democratique contre le peuple malien en toute impunite?
Alors, le journalisme malien a t il mur pour informer dans une democratie plus ou moins reel?
M. Thiam,
Votre article en réponse a Bigot me laisse perplexe. Ce n’est pas parce que ces mêmes vices existent en France que l’on ne doit pas le décrier en Afrique et encore moins utiliser cet argument pour disqualifier M. Bigot. Le clientélisme, la corruption sont bien des mots qui caractérisent les régimes successifs au Mali. M. Thiam, est-ce que vous auriez accepte les critiques de M. Bigot s’il n’était pas Français? Soit vous manquez de rigueur intellectuelle, et vous contribuez a la désinformation de vos lecteurs, ou vous êtes de ceux pour qui la vérité dépend de la source, tous des caractéristiques de mauvais journalisme. Il est temps de dire la vérité aux Maliens et Maliennes et c’est ca votre responsabilité première. On a pas besoin d’analyses émotives, mais bien d’analyse critique. Le Mali a besoin de dirigeants, mais cette grande nation s’en sortirait non pas grâce a sa classe politique ou intellectuelle, mais par son courage, son humilité, son sens des bons rapports avec ses voisins.
Barry, EU
Lettre ouverte au président de la république par intérim .
Monsieur le Président de la république par intérim,
Je vous écris ces quelques lignes en tant que malien soucieux de l’avenir de mon pays face à la double crises actuelles(le Nord du Mali et la crise politique à Bamako).
Je vous souhaite bienvenu au pays Monsieur le Président et prompt rétablissement.
C’est suite à l’attitude perplexe, des mesures radicales du FDR (front anti-putsch) que la situation la tension monte de jour en jour au sud du pays ,mais vous le savez comme moi que sans la stabilité sociale et politique à Bamako toute tentative de récupération de l’intégrité territoriale est vouée à l’échec .
Je vous rappelle Monsieur le Président que le choix porté sur vous pour diriger l’intérim était légitime parce qu’il émane directement de la constitution suite à la démission du Président Amadou Toumani Touré, mais le prolongement de votre mandat au-delà des 40 jours de l’intérim pour une transition d’un an est une décision unilatérale de la CEDEAO sans consultation de l’Assemblée nationale du Mali ni la cour constitutionnelle .
Cette décision unilatérale de la CEDEAO est un affront au peuple Malien et une violation de notre souveraineté si vous convenez avec moi que l’ordre constitutionnel est rétabli .c’est ce qui a suscité la colère chez une partie du peuple malien .Mais Monsieur le président ,dans le soucis d’apaiser le climat politique et social le peuple malien a décidé de vous accepter mener cette transition .
Aujourd’hui le FDR demande la démission de Dr Cheick Modibo Diarra et son équipe sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de progrès dans le processus de sortie de crise politico-militaire. Mais Monsieur le Président ,pouvons nous juger un gouvernement nommé il y a juste trois mois sur un bilan d’une année dans un tel contexte ?
Vous le savez comme moi Monsieur le président que le Mali seul est incapable de combattre les irrédentistes conjugués aux terroristes parce que la situation géographie et climatique du nord nous imposent des contraintes et un besoin nécessaire de coopérer avec nos voisins à savoir l’Algérie, la Mauritanie ,le Burkina Faso et le Niger .Or Monsieur le Président ,sans être diplomatique nous savons que l’Algérie ,la Mauritanie ,le Burkina Faso jusqu’à présent ont adopté des positions floues dans la volonté de combattre les terroristes et les irrédentistes ( Un hélicoptère Burkinabé a exfiltré tout récemment un chef du MNLA blessé pendant des accrochages avec MUJAO à Gao .Donc si le Burkina Faso est attaché à l’unité du Mali comme il le prétend ,est il normal qu’il secourusse nos ennemies ?Les conditions de libération des diplomates Algériens sont floues et à en croire à des sources bien informées une rançon d’environ une dizaine de millions d’euros serait versée à MUJAO via Burkina Faso pour libération des otages occidentaux…Les portes paroles politiques du MNLA résident en Mauritanie …)
Les grandes puissances disent qu’il faut privilégier le dialogue pour dénouer cette crise .Donc Monsieur le président, l’enjeu diplomatique était une tache prioritaire que le gouvernement de Dr Diarra devait faire la mise au point ,raison pour laquelle nous avons suivi la tournée du voyage diplomatique de Dr Cheick Modibo Diarra.
Monsieur le Président ,vous savez comme tous les maliens que la chaine de commandement de l’armé a été détruite suite au évènement du 22 Mars 2012,à cela s’ajoute un manque d’armement et un traumatisme des solda
Le gouvernement de Dr Diarra avait comme mission prioritaire de restructurer l’armé et rehausser le moral des soldats.
Tout ce que j’ai énuméré dessus Monsieur le Président prend un minimum de temps et n’est pas visible comme effort consenti par l’actuel gouvernement .Si l’armé n’a pas déclarer une guerre actuellement les motifs relèvent de la fragilité diplomatique entre le Mali et ses voisins stratégiques et le conseil des sécurités des nations unies .
Ceux qui réclament alors la démission du gouvernement actuel ,ont-ils vraiment des motifs valables pour demander cela ?
Monsieur le président le déploiement d’une force étrangère à Bamako n’est pas bénéfique pour notre pays .Toute mission menée par l’ECOMOG depuis sa création jusqu’aujourd’hui a été échouée sans exception ,donc tenant compte de la complexité de notre crise le Mali n’a pas besoin d’une force militaire expérimentale .Le Sud de notre pays survit grâce à une magnanimité fragile ,si une éventuelle arrivée d’une force étrangère y crée des bavures notre pays serait paralysé et une voie de « Somalisation » va s’ouvrir .
Les demandes du FDR ne tiennent pas compte de toutes ces éventuelles bavures des soldats de la CEDEAO ,mais plutôt pour sécuriser quelques individus et leurs biens .Nous craignons que notre pays bascule dans une éventuelle guerre civile Monsieur le Président .
Les réformes institutionnelles sont perçues Monsieur le Président comme un espoir chez le peuple malien ,une chance pour vous de se racheter .Nous espérons que ces démarches continueront pour un Mali prospère de demain .
Monsieur le président ,je vous prie de faire un choix objectif au nom du peuple malien qui a placé sa confiance en vous .Vous avez déjà manifesté votre volonté de rassembler ce peuple en pardonnant officiellement et publiquement vos propres agresseurs ,alors j’espère que quelques individus ne vous conduiront pas dans l’erreur Monsieur le Président.
Que Dieu vous accompagne Monsieur le Président ,
L’expression de mes considérations les plus distinguées .
Que Dieu bénisse le Mali !
Adam THIAM, les destinateurs des propos de M.BIGOT sont totalement groggy, assommes par le coup.Que voulez-vous? Qu’ils disent que le soleil ne brille pas? Autant se taire.
Je suis vraiment déçue! Le PM m’a déçue!
Tout le monde court derrière le pouvoir. Personne ne pense au sort de la population du nord!
Et toi tu penses?
Mon implication dans la société malienne ne fait aucun doute mais je dois reconnaître que Mr Bigot ne manie pas la langue de bois et je trouve cela tout à fait honorable. Il est toujours difficile de faire son examen de conscience, mais c’est un “mal” nécessaire pour prendre du recul et voir les choses avec plus de lucidité, de façon moins partisane et, surtout, c’est le seul moyen pour avancer.
Les propos de Bigot ne touchent même pas leur conscience!
Ces politiciens, sans exception, sont tous dépourvus d’esprit.
En effet, simplevision, Bigot doit être remercié!
La vérité est amère!
Laurent Bigot où l’incarnation de la diplomatie pacotille d’une grande Nation.
“Rayonner sans agir sans se mêler aux affaires du monde pour une grande nation, c’est abdiquer”.
Voilà ce est dit par un éminent et brillant politicien français du 19ème siècle, Jules Ferry.
Et oui mes chers amis, la France est une grande nation, et malgré le poids de l’histoire elle garde encore des relations privilégiées avec la plupart des états d’Afrique quoi qui puisse être dit par les uns et les autres l’Afrique et la France ont des destins inextricablement liés.
Il suffit d’être lucide et regarder la langue, la monnaie, les relations commerciales, intellectuelles et scientifiques, pour ne citer que ceux-ci pour se rendre compte de la profondeur de nos partenariats.
Ces partenariats ne sont pas toujours équilibrés, raison de plus que nous devrons continuer ensemble à travailler nos liens pour le bonheur de nos peuples respectifs.
1990, à la Baule, le président Mitterand annonce que l’aide de la France à l’Afrique serait désormais liée à la démocratisation sur le continent noir.
Mars 1991, le peuple malien exprime son désir de démocratie et parvient par lui même au pluralisme démocratique sans l’aide de l’Onu ni de l’Otan.
Jusqu’en mars 2012, des élections sont régulièrement organisées conformément à la loi électorale en vigueur au Mali, sous l’égide des observateurs étrangers y compris les représentants de la France qui ont régulièrement validé les résultats des scrutins successifs organisés au Mali depuis 1992.
Mieux la France n’a jamais mis en doute ni officiellement ni officieusement la légitimité politique d’aucun élu durant 21 années de pratique démocratique.
Mieux encore, la France a continué d’accorder sa confiance aux gouvernements successifs du Mali de mars 1991 à mars 2012.
La manifestation la plus flagrante de cette confiance française est que le pays de Laurent Bigot est resté pendant toute cette période le premier partenaire du Mali en dehors de l’Afrique.
Laurent Bigot, sous-directeur pour l’Afrique de l’Ouest au ministère des Affaires étrangères de la France depuis 2008, dans un exercice maladroit d’exhibitionisme malsain ose affirmer que “c’est Alpha qui voulu ATT” comme président du Mali.
Mes chers amis, c’est une insulte grave de surcroit sans preuve tangible de 5 millions du corps électorat malien.
Cet apprenti diplomate qui jette du discrédit sur le système démocratique du Mali, n’a en aucun moment daigné démissionner du quai d’Orsay parce que son pays entretient des relations privilégiées avec le Mali dont les élections présidentielles seraient jouées d’avance.
Ah j’allai oublier, peut être que M. Bigot n’a aucun sens d’éthique et de vocation qui sont pourtant les marques de fonctionnaires émérites.
Nous avons une classe politique qui a de sacrés défauts.
Nous avions un système démocratique à parfaire.
Nous traversons une période difficile dans la vie de notre nation.
Mais nous sommes dignes et nous méritons le respect des peuples qu’on respecte.
Nul n’a le droit dans ce monde d’insulter 5 millions d’électeurs maliens.
Parole de Kassin.
Kassin comme tout bon malien qui se respecte tu nie une evidence qui depuis longtemps saute au visage de tout le monde !! Ce diplomate n’insulte nullement 5 millions d’electeurs ( d’ailleurs quand on se référe aux dernières elections ATT a été élu par 21% des electeurs ,ce qui est moins que peu ) D’ailleurs si l’abstention au Mali est aussi faible ,c’est certainement parce que les malienss n’ont aucune confiance dans la classe politique !!!Mais que ce soit reconnu par un diplomate français ça pertube ton orgueuil alors que si un noir avait dit ou ecrit ces mots ,tu n’aurais fait qu’approuver 🙄 🙄
dangandey!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors toujours pas de vie à l’horizon?
blabla la france ceci, blacble la france cela…
😳 CE DJELIKEBA SE PREPARE A ETRE LE DJELIKENI DE NOUVEAU POUVOIRS, C’ EST LE COMPORTEMENT TYPIQUE DU MALIEN DU SOLEIL DE ATTALPHATT AU MALI, ATTENTION CA POURRAI CONTINUER SOUS LES SOLEILS A VENIR, VIGILENCE , SI NECESSAIRE PUNISSEZ TRES FORTEMENT POUR QUE CA CESSE ❗
Je suis decue Mr. Thiam de lire votre analyse. Mr Bigot a dit la verite. Les problemes que nous avons aujourd’hui c’est que nous n’avons aucun civism ou patriotism. Quand tu ne voles pas pour ta famille, on te traite de maudit. Tout le monde pense a se faire voir dans sa belle voiture, maison, habits, bijoux. Ceux qui sont pauvres se reposent sur ceux qui “ont”. Non, disons le clairement, ce desordre malien ne peut pas continuer. Pour ceux qui vont dire que je ne suis pas au Mali, j’y travaillais. Le constat que j’ai fait est que tout le monde pense que l’argent que les contribuables des autres pays offrent doit juste leur etre donner. Tu deviens trop blanche quand tu essayes de faire avancer les choses. Tant que nous continuerons sur cette voix, les blancs nous cracherons aux visages. Apres tout, pourquoi nous respecteront-ils quand nous meme nous ne le faisons pas.Posez-vous la question “est-ce que je respecte le mendiant de la rue ou la personne qui vient toujours me demander de l’argent”.
Mr Bigot n’a dit que la vérité. une democratie où un solde peut prendre le pouvoir.
Les hommes politiques maliens sont des crapauds nauséabonds car pleins d’urine et d’excréments! Des bestioles maléfiques car incapables de penser au-delà de leurs tanières. Comme le dit une affiche lue sur une voiture l’autre jour, “le politicien pense à la prochaine élection alors que le leader pense à la prochaine génération!”
Adam ,la classe politique malienne est tellement pourrie qu’il est impossible de l’autopsier
toi tu as ete autopsié: cerveau rien et visage kul de babouin!!!
😆 😆 😆 😆 😆 😆
M. Thiam vous faites l’avocat du diable et ca ne vous reussi pas.
M. Thiam vousfaites l’avocat du diable e ca ne vous reussi pas.
Mes respects Mr Thiam
Les hommes politiques sont préoccupés par le partage du pouvoir qui s’annonce.
C’est pour juste dire qu’ils n’ont plus le minimum de morale, de fierté et de patriotisme donc incapable de réagir.
Mon pays me fait pitié.
Mes respects
Vous savez… l’affaire n’est plus une comparaison entre les agissements de la classe politique Francaise et celle du Mali! Bigot a livre et courageusement sa part de verite! Polichinelle comme verite videmment!!!! car nous tous on la vecut … Nul n’est ignorant de l’ambiguite avec laquelle les politiciens Maliens agissent: Apparament garants de la democracie alors qu’en verite ils violent chaque jour les regles les plus simples de la pratique democratique…pire encore ils s’entraident a biaiser les valeurs de la republique…Dis moi si une des institution Malienne performe dans les normes…pourvus que ces malfiteurs se maintiennent au pouvoir et qu’ils se parasitent sur le sang du maigre budget du Mali! … Notre columnist a essaye de defendre l’indefendable! Pas une seule voix n’a denonce ces accusations franches venues toutes chaudes de la quai d’Orsai et ouvrant le feu sur notre voisin mediateur dont le president est cramponne sur un trone desequilibre… Bigot doit etre plutot remercie
Mr Thiam,pour une fois reconnaissons qu’il y a du vrai dans ce que Mr Bigot dit …Comme on dit: do be gna la,do be gna tche la kaw la.
Il y a rien de nouveau dans ce que ce Monsieur a dit et les agissements des politiciens maliens le montrent tous les jours. Le problème du Mali, c’est d’avoir la plus nulle classe politique d’Afrique.
M.Bigot n’est pas un quidam et ne saurait s’aviser à déclarer n’importe quoi!
L’orgueil et la fierté poussent beaucoup à s’aveugler. La vérité fait mal mais il faut l’accepter.
Halte à l’intox et au dénigrement. Ce français fait le lobby du MNLA. On est assez intelligent pour comprendre même la démocratie française a ses tares. Fous nous la paix. Bigot ne cherche qu’à déstabiliser davantage le Mali.
Les lecteurs qui se précipitent pour saluer les insanités de ce français me déçoivent ou bien leur subtilité est limitée.
Au travail, chers maliens
Acceptons que Mr Birgo a dit la vérité.
NOUs voulos une democratie comme celle du GHANA
John Atta Mils, le nouveau président ghanéen, est entré en fonction, ce mercredi, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée à Accra. Un succès pour lui et la démocratie au Ghana, un exemple pour les autres Etats africains. Pourtant, tout n’était pas gagné pour ce pays du Gold Coast qui a subi, depuis son indépendance en 1957, deux putschs militaires. Afrik.com s’est penché sur les raisons de la réussite du Ghana en matière de transition démocratique. Analyse.
Le nouveau président ghanéen, John Atta-Mils, a pris ses fonctions, mercredi, à Accra. C’est la deuxième fois, en dix ans, qu’un chef d’Etat élu au Ghana transmettra le pouvoir à l’opposition à l’issue d’un scrutin. A 64 ans, l’ancien leader du parti de l’opposition (le Congrès national démocratique), peut se vanter d’être à la tête d’une nation érigée en modèle de démocratie pour l’Afrique.
Le Ghana, l’un des rares exemples de démocratie en Afrique
Le Ghana sert d’exemple aux autres pays africains qui n’ont pas réussi cette transition démocratique. « C’est un exemple rare de la démocratie en Afrique », expliquait à l’AFP, Raila Odinga, le Premier ministre kényan, après l’annonce de l’investiture du président sortant. Si les dirigeants des pays africains saluent la victoire de John Atta-Mils, ils ne minimisent pas le rôle de l’ancien chef d’Etat (2001-2009), John Kufuor, et du candidat malheureux du Nouveau parti patriotique, Nana Akufo-Addo, dans la tenue exemplaire de ces élections.
Selon Alpha Oumar Konaré, l’ancien président malien, interrogé par RFI, le Ghana a bénéficié du « leadership incontestable du président Kufuor qui, par sa déclaration, a amené tous les partis à accepter le verdict des urnes et de l’attitude de Nana Akufo-Adda qui n’a pas non plus contesté les résultats ». John Kufuor , un démocrate tenace dont les efforts en matière de démocratie et d’économie ont été régulièrement salués par la communauté internationale.
L’éducation, un atout pour le Ghana
Si en Afrique, plusieurs Etats peinent à organiser des élections libres après des putschs militaires, le Ghana fait figure d’exception. La raison ? Pour Prince Ofori-Atta, rédacteur en chef de la version anglaise d’Afrik.com et de nationalité ghanéenne, l’installation de la démocratie dans les mœurs est passée par l’éducation des masses. « Après l’indépendance, en 1957, l’objectif principal du gouvernement était l’éducation nationale. Cette vision contraste avec celle des autres pays comme la Côte d’Ivoire. Au Ghana, les présidents voulaient éduquer le peuple, en Côte d’Ivoire ils voulaient les nourrir, c’est là toute la différence. Une phrase du chef d’Etat Ghanéen, Kofi Bozia (1972-1978) illustre la politique de ce pays du Gold Coast : ’Donne à manger à quelqu’un et il reviendra te redemander de la nourriture, donne-lui des outils de développement et il ira se chercher lui-même à manger ‘ », explique-t-il. Selon Amnesty International, le taux d’alphabétisation au Ghana s’évaluerait à 57,9 % contre 48,7 % pour la Côte d’Ivoire, par exemple.
Jerry John Rawlings : un président qui a marqué le pays
Pour Christian Chavagneux, le rédacteur en chef adjoint d’Alternatives Economiques, la démocratie ghanéenne a émergé grâce au personnage du président Jerry Rawlings (1981-1996). « Ces quinze années au pouvoir ont été une période charnière pour le Ghana. Il y a eu une réelle refonte économique sous l’impulsion de Jerry Rawlings, qui s’est converti à l’économie de marché avec le soutien des institutions financières. Cette nouvelle stratégie a participé au changement politique, par exemple, des élections locales puis nationales ont été mises en place », affirme-t-il.
Néanmoins, Christian Chavagneux se veut prudent sur l’ancien président : « Rawlings n’est pas le symbole de la démocratie, il a réussi à amener son pays vers la démocratie, ce qui n’est pas la même chose. Il ne faut pas oublier qu’il est à l’initiative du coup d’Etat de 1981 ! ».
Le Ghana est l’exemple de la victoire de la démocratie en Afrique. Mais il aura fallu deux coups d’Etat, celui de Jerry Rawlings en 1981 et celui du colonel Ignatus Acheampong en 1972, pour qu’elle s’installe dans le pays.
Le nouveau president du Ghana est: “John Mahama” …
C’est pertinent ce que vous écrivez Mr Thiam. Ce qui me fait plus mal est que personne ne daigne contredire les dires de Bigot. Il s’en prend aux politiques mais moi je crois que c’est le Malien même qui a démissionné de la gestion de notre propre vie.
Cher Adam avec tout le respect que je vous dois pour la qualité de vos analyses, je pense que cette fois ci vous refusez d’admettre des vérités que vous journalistes maliens ont rarement le courage de dire. Vous allez jusqu’à attribuer le comportement pourri des politiciens à l’héritage de la colonisation française. Je vous dis que c’est faux, Adam va consulter toute les statistiques du monde, vous vous rendrez compte qu’a la date d’aujourd’hui la majorité de la population (jeune et adulte) est née après la colonisation, donc c’est dommage que vous soutenez vos propos contre Bigot à travers une histoire de complexe Blanc et Noir, mon cher, on est fatigué de ces accusations inutiles. De toute façon les occidentaux ne font que défendre leurs intérêts, c’est à nous africains de défendre les nôtres en âme et conscience. Vous dites que ceux qui doivent répondre font le dos rond, parce qu’ils savent ce qu’ils font sur le dos de leur peuple, ils savent la vérité tout court.
Cher Adam, pour une fois vous ne nous apprenez R-I-E-N.
Suis d’accord le malien a démissionné Mnla fustige sur les chaines internationales(TV)sans que le gvnmt ne riposte, la CEDEAO interprète notre constitution dans un accord cadre sans que nos juristes ne réagissent,je pense que le malien n’est plus rien ni intellectuel,ni politique,ni même bagarreur nous sommes devenus des chercheurs à manger,donc des animaux excusez moi du terme,mais le malien et le Mali ne sont plus que des fantômes.
Suis d’accord le malien a démissionné Mnla fustige sur les chaines internationales(TV)sans que le gvnmt ne riposte, la CEDEAO interprète notre constitution dans un accord cadre sans que nos juristes ne réagissent,je pense que le malien n’est plus rien ni intellectuel,ni politique,ni même bagarreur nous sommes devenus des chercheurs à manger,donc des animaux excusez moi du terme,mais le malien et le Mali ne sont plus que des fantômes
Mr. bigot a droit a son opinion,mais il ne connait pas le Mali mieux que nous. je crois que des personnes comme Iba N’diaye et autres , qui ont participe a la gestion politque doivent se retirer de la scene politique
je crois que le Mali de ce moment a besoin du style de Kagame, Paul. Je support l’actuel gouvernement.
John Atta Mils, le nouveau président ghanéen, est entré en fonction, ce mercredi, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée à Accra. Un succès pour lui et la démocratie au Ghana, un exemple pour les autres Etats africains. Pourtant, tout n’était pas gagné pour ce pays du Gold Coast qui a subi, depuis son indépendance en 1957, deux putschs militaires. Afrik.com s’est penché sur les raisons de la réussite du Ghana en matière de transition démocratique. Analyse.
Le nouveau président ghanéen, John Atta-Mils, a pris ses fonctions, mercredi, à Accra. C’est la deuxième fois, en dix ans, qu’un chef d’Etat élu au Ghana transmettra le pouvoir à l’opposition à l’issue d’un scrutin. A 64 ans, l’ancien leader du parti de l’opposition (le Congrès national démocratique), peut se vanter d’être à la tête d’une nation érigée en modèle de démocratie pour l’Afrique.
Le Ghana, l’un des rares exemples de démocratie en Afrique
Le Ghana sert d’exemple aux autres pays africains qui n’ont pas réussi cette transition démocratique. « C’est un exemple rare de la démocratie en Afrique », expliquait à l’AFP, Raila Odinga, le Premier ministre kényan, après l’annonce de l’investiture du président sortant. Si les dirigeants des pays africains saluent la victoire de John Atta-Mils, ils ne minimisent pas le rôle de l’ancien chef d’Etat (2001-2009), John Kufuor, et du candidat malheureux du Nouveau parti patriotique, Nana Akufo-Addo, dans la tenue exemplaire de ces élections.
Selon Alpha Oumar Konaré, l’ancien président malien, interrogé par RFI, le Ghana a bénéficié du « leadership incontestable du président Kufuor qui, par sa déclaration, a amené tous les partis à accepter le verdict des urnes et de l’attitude de Nana Akufo-Adda qui n’a pas non plus contesté les résultats ». John Kufuor , un démocrate tenace dont les efforts en matière de démocratie et d’économie ont été régulièrement salués par la communauté internationale.
L’éducation, un atout pour le Ghana
Si en Afrique, plusieurs Etats peinent à organiser des élections libres après des putschs militaires, le Ghana fait figure d’exception. La raison ? Pour Prince Ofori-Atta, rédacteur en chef de la version anglaise d’Afrik.com et de nationalité ghanéenne, l’installation de la démocratie dans les mœurs est passée par l’éducation des masses. « Après l’indépendance, en 1957, l’objectif principal du gouvernement était l’éducation nationale. Cette vision contraste avec celle des autres pays comme la Côte d’Ivoire. Au Ghana, les présidents voulaient éduquer le peuple, en Côte d’Ivoire ils voulaient les nourrir, c’est là toute la différence. Une phrase du chef d’Etat Ghanéen, Kofi Bozia (1972-1978) illustre la politique de ce pays du Gold Coast : ’Donne à manger à quelqu’un et il reviendra te redemander de la nourriture, donne-lui des outils de développement et il ira se chercher lui-même à manger ‘ », explique-t-il. Selon Amnesty International, le taux d’alphabétisation au Ghana s’évaluerait à 57,9 % contre 48,7 % pour la Côte d’Ivoire, par exemple.
Jerry John Rawlings : un président qui a marqué le pays
Pour Christian Chavagneux, le rédacteur en chef adjoint d’Alternatives Economiques, la démocratie ghanéenne a émergé grâce au personnage du président Jerry Rawlings (1981-1996). « Ces quinze années au pouvoir ont été une période charnière pour le Ghana. Il y a eu une réelle refonte économique sous l’impulsion de Jerry Rawlings, qui s’est converti à l’économie de marché avec le soutien des institutions financières. Cette nouvelle stratégie a participé au changement politique, par exemple, des élections locales puis nationales ont été mises en place », affirme-t-il.
Néanmoins, Christian Chavagneux se veut prudent sur l’ancien président : « Rawlings n’est pas le symbole de la démocratie, il a réussi à amener son pays vers la démocratie, ce qui n’est pas la même chose. Il ne faut pas oublier qu’il est à l’initiative du coup d’Etat de 1981 ! ».
Le Ghana est l’exemple de la victoire de la démocratie en Afrique. Mais il aura fallu deux coups d’Etat, celui de Jerry Rawlings en 1981 et celui du colonel Ignatus Acheampong en 1972, pour qu’elle s’installe dans le pays.
Excellent . Mr Bigot devrait aussi dénoncer l’implication des autorités de son pays dans cette histoire de faire revenir ATT en 2002. lionel Jospin s’est entretenu avec ATT à Bko sans remettre un petit mot à la presse. On savait que c’était pour le faire revenir
Excellent . Mr Bigot devrait aussi dénoncer l’implication des autorités de son pays dans la cette histoire de faire revenir ATT en 2002. lionel Jospin s’est entretenu avec ATT à Bko sans remettre un petit mot à la presse. On savait que c’était pour le faire revenir
Adam.L’on peut aimer ou détester ce qu’a dit M.Bigot MAIS C’EST DE LA PURE VÉRITÉ!A ce que je sache, il n’a jamais dit que la France est blanche comme neige dans la crise!Il a d’ailleurs dit qu’il ne parle pas au nom de la France.Il ne faut pas qu’on se trompe ni de combat, ni d’adversaire!Quand je vois certaines voix s’élever contre Sarkozy qui est même arrivé à combattre AQMI au Mali en aidant la Mauritanie!Nous n’avons qu’à nous en prendre en nous mêmes, à notre classe politique en général et à la CEDEAO QUI A TENDANCE A ABANDONNER LE NAVIRE-MALI alors que c’est elle en tant que médiateur avait “obligée” la junte en son temps à rendre le pouvoir à une représentation légitime!Par cette attitude de la CEDEAO, le pouvoir risque de se retrouver dans la rue et c’est la guerre civile assurée.Nous sommes tous avisés. 😉 😉
Merci Mr Thiam pour ton analyse des propos de Bigot. Mais je pense qu’il n’a revélé rien de nouveau dans la gouvernance du Mali qui soit caché aux maliens. Il n’a fait que renforcer les informations officieuses dont personne ne détient les eléments de preuves. A t-on coutume de dire chez nous “Que si ton ami a honte de dire la vérité, paye ton énnemi pour te le dire”. La preuve nous avons tous suivi avec intérêt le débat télévisé d’hier soir ou l’ex majorité présidentielle ne veut jamais reconnaitre sa responsabilité dans le ko actuel que traverse le pays. Qu’en ce vendredi sain de Ramadan que Dieu dans sa miséricorde sauve mon pays et bienvenu à Dionkounda sur notre territoire. La solution des problèmes est et démeure nous mêmes et pas d’autres ingérences mais assistances.
Mr THIAM vous analysez bien seulement on sent votre fibre patriotique débordée par moment.
Toutefois,vous faites des éfforts pour rester professionnel.Ce n’est pas le cas de Serge DANIEL vantant les mérites du FDR sur FRANCE24. Son commantaire est en contradiction flagrante avec le petit nombre manifestants que nous renvoit les images de la télé.C’est vrai que le public de la bourse du travail était insignifiant avec, en majorité, des gamins pas encores en âge de voter.
Merci frere Thiam pour ton analyse pertinente et ton honnetete intellectuelle.Chapeau au Dr Bigot pour son courage comme dirait l’autre tard vaut mieux que jamais.Les maliens sont edifies au jour d’aujourd’hui.
Vote sanction le Senegal a deja ouvert le bal.
Puisque Comme nous au Mali on est trop lâche de dire que le pet de nos dirigeants sent mauvais depuis deux décennies,
un certain Bigot l´a dit haut et fort, même s´il cache la face de sa France,
Eh oui c´est ca.il aime son pays, nous pas
Le dirigeant malien n´aime pas le Mali:
lA PREUVE COMBIEN D´ANCIENS DIRIGEANTS DE L´EQUIPPE ATT VIT AUJOURD´HU AU MALI?
C´EST D´AILLEURS EN CELA QUE LE RETOUR S´IL SE RÉALISE DE PROF DIONCOUNDA SERA UNE MARQUE DE PATRIOTISME ET D´AUTOCURE PSYCHIQUE!
BJR PENSEZ VOUS K VIVRE HORS DU MALI APRES LES EVENEMENTS DU 22 MARS C EST D ETRE APATRIDE VOUS VOUS TROMPEZ ILS AIMENT PLUS LA REPUBLIQUE K LE PAYS ,A MEDITER,
Merci Thiam,
Ce que notre cher ami diplomate français a oublié de dire c’est la part de responsabilité de la France de Sarkozy dans cette histoire. Il faudra que ces français reconnaissent leurs bêtises quand ils ont voulu soutenir le MNLA pour lutter contre les preneurs d’otages. Non seulement le MNLA a échoué et de surcroît ils ont renforcé les positions des bandits aventuriers qui vont continuer à prendre des otages car sur ce marché il y a toujours des acheteurs.
Deuxième bêtises de ces français c’est le fait de faire une guerre contre la Lybie à la va vite sans mesurer les tenants et aboutissants. Une guerre mal préparée dans la précipitation qui a eu des effets collatéraux sur la partie nord du Mali.
Il a volontairement oublié également de dire que l’UMP avait déjà choisi son camp à la faveur d’un candidat libéral pour les élections de 2012. Certes un oubli volontaire car la façon qu’il pense connaitre le dossier malien me fait dire qu’il doit forcement être au courant et qu’il fait sciemment de l’omettre.
De toutes les manières, tant que nous ne prenons pas les choses dans les deux mains, la France ne nous laissera jamais tranquille car l’Afrique est encore et toujours son gagne pain. Toute chose qui qui pousse à la revolte.
Thiam, t’es très sincèrement le journaliste qu’il faut pour le Mali, tes analyses m’ont permis de mieux comprendre ce que voulait dire Dr Bigot qui à mon avis n’a dit que la vérité et rien que la vérité. Inchala les maliens sauront désormais sur quel pied dansé après cette crise car les politiques nous ont fatigués. Merci encore à Monsieur Thiam qui brosse mieux que ce débat à la Télé entre des médiocres qui nous a pas servi car ils n’ont même pas su décortiqué le contenu du message du Dr afin de proposer aux Maliens un véritable issu favorable de sortie de crise.
Où étais Monsieur Bigot quand tous cela ce passait, il me semble qu’àprès le changement de pouvoir il ne craint que pour sa place. S’il dit vraie pourquoi n’a t il pas relévé depuis que son patron (sarkozy) étais au pouvoir? ils veulent encore mettre le baton dans nos roues chers compatriotes maliennes et maliens. réfléchissons avant d’agir.
Vous avez peur de quoi mr Keita.Bigot adonné des arguments combattez les en apportant la contradiction.Vous faites une fuite en avant.Et vous semblez accuser sans fournir de preuve
Frere Thiam, nous venons bien dans les mois a venir.
Adam Thiam, regardons la verité en face, ce n’est pas la France qui s’effondre c’est le Mali.Les francais ont le devoir et le plein droit de defendre leur interet partout ou le besoin se fait sentir.les maliens devront en faire autant face aux leurs.
L’angle de vue: la crise au Mali et un petit cours de stratégie
“Si les États-Unis veulent la guerre, alors nous nous retrouverons en enfer”.
Rassurez-vous mes chers amis, la phrase n’est pas la mienne, mais celle de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Comité central du parti communiste de l’URSS au coeur de la crise des missiles de Cuba.
En installant des missiles à tête nucléaire sur l’île de Cuba de Fidel Castro en 1961, pointées sur le sol américain à quelques heures de vol d’oiseau des côtes de la Floride, le dirigeant soviétique venait de mettre le jeune président américain John Fitzgerald Kennedy dans une situation inédite de dilemme sauvage de l’existence.
Comment assurer la sécurité intérieure des États-Unis sans prendre la responsabilité de déclencher une guerre nucléaire (qui conduirait sans nulle doute l’humanité à sa perte) tout en gardant la tête haute en temps que superpuissance mondiale?
Quatre options s’offraient au président Kennedy:Invasion, Embargo sur l’île ou Blocus, Bombardement et négociation.
Les conseillers du président Kennedy analysent de long en large les pour les contre de chacune des quatre options et le président Kennedy choisit le blocus.
Les sous marins nucléaires russes se dirigèrent vers Cuba pour faire sauter le Blocus américain, l’Amérique de Kennedy ne bougea pas d’un iota, finalement Khrouchtchev renonce et fait demi tour.
En contrepartie l’Amérique prend l’engagement (qu’elle tient encore) de ne pas envahir Cuba et Moscou retire ses missiles.
Kennedy venait de gagner la bataille décisive de la guerre froide.
Cette épilogue de la crise des missiles de Cuba est enseignée dans les grandes écoles de stratégie car elle était la seule porte de sortie et Kennedy ne l’a pas loupé.
Chapeau maître!
C’est pour cela qu’il est considéré comme l’un des plus grands présidents des États-Unis.
En effet il a subtilement glissé sous les pieds de Nikita Khrouchtchev la responsabilité de déclencher la guerre nucléaire.
Et croyez moi mes chers amis cette responsabilité est très lourde même pour un vieux russe flanqué de l’armée rouge et du KGB.
Mes chers amis souvent il y’a des décisions qui changent le cours de l’histoire et il faut des hommes d’envergure pour les prendre.
La crise que le Mali traverse n’est pas la seule crise que les hommes ont connue sur terre, mais sans la bonne décision nous ne rentrerons jamais dans l’histoire.
Cela fait près de quatre mois que le nord de notre pays est coupé du sud, je n’ai pas vu de décisions d’envergure à la hauteur de notre nation millénaire.
Mais j’ai vu un président tabassé par des manifestants escaladant nos bâtiments officiels comme des fourmis magnans.
J’ai vu des soldats de l’armée malienne s’entretuer à balles réelles dans les ruelles poussiéreuses de Bozola, Samè et Djikoroni.
J’ai vu la bourse de travail et Koulouba en feu, des manifestants couchés sur le tarmac de l’aéroport Bamako Senou.
J’ai vu une classe politique divisée, des députés élus par les maliens empêchés d’accéder à l’assemblée nationale du Mali.
Et etc. etc.
Alors que, comme Kennedy en 1961, les options qui s’offrent à nous en 2012 dans cette crise, sont claires et sont les suivantes:
1. S”unir et se renforcer au sud pour ensuite aller conquérir le nord,
2. Se diviser au sud et créer une crise institutionnelle inopportune et laisser pourrir la situation au nord.
3. Tendre la main la communauté internationale pour nous aider à libérer le nord en respectant toutes ses conditions.
4. Renoncer carrément au nord et répondre devant l’histoire.
Mes chers amis, point n’est besoin d’aller étudier à Harvard ou à Yale pour savoir que l’option 1 est la meilleure pour le Mali, mais les acteurs politiques maliens, la société civile malienne et l’armée malienne ont une la prouesse technique de choisir l’option 2.
Impressionnant! Non vous ne trouvez pas?
C’est pour cela que j’ai appelé à former un gouvernement d’union nationale en incluant toutes les sensibilités politiques du Mali, une sorte de “Mali Famille” qui regroupera tout le monde autour de l’essentiel:
LE MALI.
Et ce malgré les fautes antérieures de la classe politique, voire de la société civile.
Dans cette optique, malgré les erreurs de départ du Docteur Cheick Modibo Diarra, j’ai appelé à son maintien comme premier ministre.
Mais un premier ministre qui doit écouter les autres membres du ” Mali Famille”.
J’appelle aujourd’hui à libérer tous les militaires en détention et organiser une prière géante de réconciliation dans l’armée à la coupure du jeûne pendant ce mois béni du ramadan en regroupant tous les grands imams du pays dans le stade du 26 mars avec tous les membres de l’ex CNRDRE, des membres du 33ème bataillon du régiment des commandos parachutistes de Djikoroni et des familles des victimes de cette sale guerre.
Mes chers amis si nous faisons cela, ne soyez pas étonnés que les islamistes libèrent le nord avant même qu’on ne livre bataille.
Parole de Kassin.
Merci, kassin, c’est bien dit et tout le mérite te revient que nous t’entendons amen tout le monde est fatigué de cette situation
8)
méfiez de ses blancs c’est avec leur complicité que nos dirigeant font tout!
sassou guesso au congo
bongo au gabon
mobutu au zaire
etc
après pour se redorer leur blason par rapport à l’opinion ils font des déclarations fallacieuses et tendancieuses
le mali n’a pas besoin de telle déclaration maintenant
regardez les regimes soutenus par la France en Afrique même actuellement(faure au togo, blaise au Burkina,aziz en mauritanie). je vous jure que le mali était mieux que tous ses pays
donc méfions nous et faisons confiance à nos dirigeant la solution viendra petit à petit au fur et à mesure que la démocratie va se forger
merci
Bigot is the best, la verité tue les corrompus qui veulent que le pauple reste toujours dans l’obscurité.
Bonjour,
J’approuve l’essentiel de l’analyse de Thiam. Car soyons clairs et sérieux :
1. Mr Bigot ne dit rien que l’on ne sache déjà sur la situation passée et actuelle du Mali (les élections, le dévoiement de la démocratie, les petites combines et arrangement pour se filer le pouvoir…). Arrêtons donc d’enfoncer des portes ouvertes.
2. Trop d’omissions dans l’analyse de Mr Bigot (la situation de Cissé lors des élections de 2002, la politique de la France vis à vis des otages, les paiements de rançons, les accords occultes pour les libérations…)
3. C’est bien gentil Mr Bigot de nous faire cette analyse (intéressante par ailleurs), mais qu’avez-vous dit et fait lors des scrutins passés truqués au Mali. Mieux vous avez accueilli avec enthousiasme et encouragements les résultats.
4. Mr Bigot parle en son nom personnel ? Non cela n’est pas possible. Il fait partie d’une administration (Ministère des affaires étrangères) qui a des règles de fonctionnement assez strictes avec devoir de réserve et obligation de solidarité
5. Mr Bigot ne dit pas un seul mot de la position et des déclarations françaises au lendemain de l’attaque perpétrée par le MNLA au nord du Mali. Se désolidarise-t-il des déclarations de son Ministre d’alors Alain Juppé, du point de vue développé par sa patronne Mme Le Gal ?
6. Mr Bigot est bien gentil, mais en analyse politique et commentaire diplomatique, il est d’usage d’être prudent et de relativiser son point de vue. Ses prédictions sont trop péremptoires, trop affirmatives, trop tranchées pour un diplomate.
Conclusion : j’ai vu beaucoup de Maliens (notamment des intellectuels) applaudir la sortie de Mr Bigot. Je me permets simplement une petite suggestion. Relisez bien cette sortie et posez-vous la question : que nous apporte-t-elle de nouveau ?
Enfin, j’ai personnellement essayer de rencontrer Mr Bigot (29 juin 2012) en lui adressant une demande. J’attends toujours la réponse malgré l’accord de principe téléphonique de son secrétariat.
Ne nous emballons pas. Mr Bigot est bel et bien un officiel de la diplomatie française.
Merci
vous avez le sens de la prudence et de l’analyse… Cela manque beaucoup aux maliens, qui ne font qu’écouter quand un bmanc parle.
Merci Issa Diawarra, Bigot n’a absolument rien dit que les maliens n’ont déjà dit et regrettés. Ils ne nous reste plus que “An ka willi ka an Djoyoro Fa mali ko la”. Sinon tout a été dejà dit.
je suis totalement d’accord avec vous Monsieur Diawara. Non seulement ce qu’il raconte n’est pas un scoop; mais il a volontairement esquiver certains détails comme le rôle de son pays depuis le début de la crise…A mon avis, à moins qu’il ne soit aussi limiter que d’autres…,il doit avoir le courage de faire une analyse beaucoup plus large et détaillée puisqu’il tient bien à son indépendance d’esprit.
Va,tu racontes des bobards et de toute façon tu vas dire quoi à Bigot?D’abord dit la vérité?
Tu n’as même pas honte,à ta place je me cacherais mais j’espère qu’il lit nos posts sur maliweb et qu’il prendra contact avec toi afin qu’il te réduise en bouillie une fois pour toute(intellectuellement parlant).
Espèce de voleur génétique que vous êtes
Tout ce qu’a dit Monsieur Bigot est en grande partie véridique .à part l’histoire d’une élection truquée de ATT 2002 et sa réélection en 2007 ?La corruption ?la faiblesse de l’école ?affaire « air cocaine » ?l’accord d’Alger 2006 qui consistait à démilitariser le nord du Mali ?
Pouvez vous Mr Thiam contredire tout ce que j’ai mentionné comme question ?
Le Mali était fini bien avant 22 Mars ,ça sert à rien de se voiler la face .Si Mr Bigot tient des propos peu diplomatiques et condescendants c’est parce que notre classe politique a failli à sa mission !c’est ça la réalité et que cela nous plaise ou pas !
le problème n’est pas que ce soit véridique.
Le problème était-il quand tout ce la se passait?
On le savait dejà: la corruption, la justice… ne fonctionne pas au Mali…
Ce blanc ne donne aucun document de ce qu’il avance!!!
Où sont ces documents sur les tricheries de 2002?????????????????
Ce n’est aps parce que c’est un toubab qui parle que je l’écoute. J ne suis pas ce genre de noir, de malien, complexé.
Toi tu parles de complexe ,peut ètre que tu l’es !je juge pas son opinion en fonction de sa couleur de peau mais sa véracité…il faut ètre réaliste !J’ai bien mentionné qu’à part cette histoire de fraude électorale .La faiblesse du Mali provient de sa classe politique et non de la société civile parce que “le poisson pourri par sa tète” !Ps:Mr Bigot connait mieux la politique malienne mieux que vous !Dit on pas “qu’il y a pas de fumée sans feu”?
Mr Bigot a fait un excellent diagnostic. Maintenant, à nous de soigner notre pays. Merci Laurent.
Quant à Adam Thiam, le titre de son article est un lapsus significatif : “la classe politique est morte puisqu’on fait son autopsie”.
Tu me surprends Monsieur Thiam en disant que Soumaila cissé a eu plus de voix annulées qu’IBK. Je ne sais si tu parles du deuxième tour Mais au premier tour tout le Mali sait que c’est IBK qu’on a écarté en 2002 ET D’ailleurs ce sont les mêmes qui se trouvent dans le même camp . Tu fais par conséquent exception de penser ainsi contre QUELQUE CHOSE qui était la réalité en 2002;
Mr Thiam ,le diplomate n a rien dit que la verite, vous les journalistes vous etes lesplus grands demaguogues au monde, vous ne serez jamais grands excuse moi du therme en tant que grand frere .
Je suis sur que ce monsieur est un politologue et il ne fait pas la meme lecture que les demaguoges, c est ce que vous oubliez.
Il n a rien dit que la verite.
Quand est ce que les africains arreteront de se comporter comme des enfants
Quand est ce qu ils apprendront a etre responsable ?
Quand est ce qu ils ne se laisseront plus apporter par le fatalisme ?
Quand est ce qu ils accepteront les critiques pour s ameliorer ?
Quand est ce qu ils accepteront de parler de corruption qui est le mal ddu continent?
moi je suis sur d une chose , tant la jeunesse malienne ne leve pas pour montrer a la classe qu elle est responsable de l etat actuel du pays , et montrer qu elle n est plus prete laisser les choses comme ca , ces vuatours la reviendront encore,et commencer a se tirer pour les postes ministeriels.
Au lieu de s unir au gouvernement actuel et stabiliser le pays avant de faire la politique , non ils preferent se battre pour des postes.
Le Mali merite ce qui l arrive, et je suis sur que nous sommes partis pour une longue crise.Je ne vois pas de solution a l horizon car le sursaut national n apparait pas jusqu a present. Et vous les journalistes vous passez tout votre temps a commenter , a flatter et a critiquer, et a soulever des problemes.
Mais en relaite vous n avez jamais de solutions a proposer.
Je te pose la question suivante,quant est ce toi aussi tu auras ton sursaut d’orgueil pour venir aider que le Mali soit sauvé?
Le Mali a aujourd’hui besoin de tous ses enfants pour le sauver.On t’attend aussi.
Pourquoi pas? c est une obligation, car c est le mali qui m a vu naitre, qui m a permi d apprendre a acrire et a lire sans payer un seul sous , je dois tout a ce pays. Étre d un pays c est pas un bout de papier seuelement, il y a des choses qu on ressent dont on ne peut pas les expliquer.
Mr Bigot a dit tout ce que les autres refusaient de dire, et d’ailleurs, tous les maliens sachent que le mali est tellement corrompu que la majorite de la population s’en fou de la politique ou meme qui est president. Ca fait 20 ans que l’adema dirige ce pays, qu’est ce qu’ils ont pu faire pour le Mali? Mr Bigot, thanks for telling the truth. I wish we had leaders who can speak the truth exactly as you stated.
Je te pose la question suivante,quant est ce que toi aussi tu auras ton sursaut d’orgueil pour venir aider que le Mali soit sauvé?
Le Mali a aujourd’hui besoin de tous ses enfants pour le sauver.On t’attend aussi.Ne continuez pas à parler de loin.
Comments are closed.