Il y’a un peu plus d’une semaine, la junte militaire de Kati mettait aux arrêts le président de la république ; une arrestation qui, par la suite, a provoqué sa démission puis, la dissolution du gouvernement et celle de l’assemblée nationale. Une grande partie de la population a acclamé et salué ce coup de force qui intervient dans une condition sociale et sécuritaire très difficiles. Si la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a, dans un premier temps haussé le ton et exigé la réinstallation du président déchu dans ses fonctions, elle a fini par opter pour la voie du dialogue. L’option du retour d’IBK semble être rangée dans le tiroir puisque ce dernier aurait dit ne plus vouloir revenir aux affaires.
Depuis cette annonce, les choses commencent à prendre forme et les contours de la transition se dessinent. Si au départ des interrogations demeuraient sur le portrait-robot de celui qui dirigera cette période transitoire, on a appris qu’elle sera dirigée par un militaire et que le gouvernement sera majoritairement composé de militaires pour une durée de 3 ans. Dès l’annonce de l’information sur la radio France Internationale (RFI), chacun y est allé de son commentaire. Même si elle a été démentie par la junte, on ne parle plus que ça. Si certains trouvent la proposition parfaite, d’autres par contre soutiennent le contraire. Pour les premiers, cela permettra aux militaires de mettre le pays sur les rails et poser les fondements d’un nouveau Mali. Donc, les 3 (trois) ans sont nécessaires voire insuffisant pour faire ce travail. Pour ceux qui soutiennent la deuxième thèse, une longue période de transition est loin d’être une solution et pire risquerait d’aiguiser le goût du pouvoir chez les mutins d’où la nécessité de vite tourner la page de la transition.
Cependant, il faut éviter le piège d’une longue période de transition. La transition aura pour principale mission l’organisation des élections qui permettront le retour à l’ordre constitutionnel. Il faudrait déjà penser à l’organisation des élections transparentes et passer le flambeau à un président démocratiquement élu. Quoi qu’on dise, un régime de transition a toujours des limites. Il ne peut contrairement à ce que pensent certains apporter une réponse à toutes les préoccupations soulevées ça et là.
Le Mali est en guerre. Les menaces sont de plus en plus pressantes. Pour doter le pays des institutions fortes, qui auront la légitimité nécessaire de sortir le pays du chaos dans lequel il se trouve, il faut l’accompagnement des partenaires traditionnels du pays. Le pays doit vite et impérativement trouver sa stabilité et cela ne saurait se faire sans l’accompagnement des partenaires. Or la plupart de ces partenaires se méfient des régimes issus des coups de force. Plusieurs bailleurs comme les États États-unis, OIF…ont déjà suspendu leur aide vis à vis du Mali jusqu’à un retour à la normalité. A cela s’ajoute l’embargo sur le pays même si les conditions ont été assouplies ces derniers temps.
A. Sagara
Pour une durée de transition raisonnable
” … Éviter à tout prix que les choses traînent… ” … ///…
:
Exactement… !
C’est, ce qui est en train de se passer. On a, à tort ou à raison ( parce que on ne sait pas ce qui se passe ), l’impression que les choses trainent.
Une semaine après le ” Putsch “, on n’a toujours pas de Gouvernement, ni de Premier Ministre ni de Chef ( officiel ) de l’Etat.
Or quand on connait un peu les Politiciens Maliens, c’est pas bon que ça traine. ça va être comme pour les élections quelles qu’elles soient…, plus on en parle, moins il y a de solution satisfaisante pour tous les Partis. Et ainsi il y a risque d’enlisement.
Trois ans de transition c’est pas long, vu la situation du pays en ce moment…
Aussi, ce qui inquiète les Maliennes et les Maliens, c’est pas que les Militaires prennent le Goût à l’exercice du Pouvoir Politique… !
Ce qui inquiète les Maliennes et les Maliens, est que les Politiciens civils finissent par corrompre les Militaires. Et là, c’est la cata… !
Les Populations comptent sur les militaires, pas seulement pour le maintient d’Ordre, mais aussi pour une gestion saine des affaires de la ” Cité “. Pour plus de JUSTICE Sociale… !
Avec les Civils, il y a trop de magouilles. La Gestion des Affaires de l’Etat et celles des Mairies ont tendance à devenir une ” chose familiale ou Clanique ” par celui qui a été élu. Il en a vite fait, un bien familial ou un bien de son CLAN Familial… !
Vivement que les Militaires ne se laissent pas corrompre… !
Vivement le Mali pour nous tous.
” … Éviter à tout prix que les choses traînent… ” … ///…
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Exactement… !
C’est, ce qui est en train de se passer. On a, à tort ou à raison ( parce que on ne sait pas ce qui se passe ), l’impression que les choses trainent.
Une semaine après le ” Putsch “, on n’a toujours pas de Gouvernement, ni de Premier Ministre ni de Chef ( officiel ) de l’Etat.
Or quand on connait un peu les Politiciens Maliens, c’est pas bon que ça traine. ça va être comme pour les élections quelles qu’elles soient…, plus on en parle, moins il y a de solution satisfaisante pour tous les Partis. Et ainsi il y a risque d’enlisement.
Trois ans de transition c’est pas long, vu la situation du pays en ce moment…
Aussi, ce qui inquiète les Maliennes et les Maliens, c’est pas que les Militaires prennent le Goût à l’exercice du Pouvoir Politique… !
Ce qui inquiète les Maliennes et les Maliens, est que les Politiciens civils finissent par corrompre les Militaires. Et là, c’est la cata… !
Les Populations comptent sur les militaires, pas seulement pour le maintient d’Ordre, mais aussi pour une gestion saine des affaires de la ” Cité “. Pour plus de JUSTICE Sociale… !
Avec les Civils, il y a trop de magouilles. La Gestion des Affaires de l’Etat et celles des Mairies ont tendance à devenir une ” chose familiale ou Clanique ” par celui qui a été élu. Il en a vite faite un bien familial ou un bien de son CLAN Familial… !
Vivement que les Militaires ne se laissent pas corrompre… !
Vivement le Mali pour nous tous.
Avant , pendant et après le 18 Aout 2020, une date mémorable dans l’histoire du Mali. Les vrais patriotes maliens et maliennes de l’intérieur et de la diaspora , bebouts comme un seul homme , ont chassé du pouvoir le despote et le tyran IBK et son regime . Cet acte commun a restitué au peuple malien sa dignité et son honneur . Maintenant , je demande au CNSP et au M5 RFP la vigilance . Ils sont les deux vrais acteurs avec la majorité des maliennes et des maliens . Certains ne sont pas content, c’est leur droit, parcequ’ils voulaient même avec le sang des maliens sauvegarder leurs intérêts personnels et sordides avec IBK le représentant de l’impérialisme français au Mali. Jamais un homme normal ne peut dire que ce renvoi IBK est un coup d’État. Depuis l’élection présidentielle de 2018 , le monde entier savait qu’il n’a jamais été réélu par les maliens mais plutôt nommé par le gamin MACRON , pour qu’il défend les intérêts français sur le sol malien . En plus du bourrage des urnes à Bamako et ailleurs à cout de plusieurs milliards , mais tout le monde que dans les régions du Nord et du centre il n’y a pas eu d’élection. IBK sait très bien à combien de milliards de francs CFA il est parvenu à faire rallier les groupes armés à cause . Depuis 2013 , cet despote n’a fait que gaspiller l’argent du contribuable malien , inutile de les citer ce qui fera plus mal encore aux pauvres maliens qui ont souffert durant les 7 ans de dictature féroce de cet homme mégalomane sans dignité . Il ment comme il respire , dit lors de son retour de Chine avec fait une bonne moisson de plus 5 mille milliards , jusqu’à son renversement personne n’a vu 1 centime . Dans le monde entier l’Afrique francophone est la plus maudite . A la conférence de la Baule (France ) où cette fameuse démocratie a été imposée, des traîtres Presidennts qui défendaient les intérêts français de part et d’autre se sont prononcés par le oui et ceux qui étaient hostiles à cette camisole prête à porter dont le notre a l’époque le General Moussa TRAORE ont été diabolisé et combattu par tous les moyens jusqu’à sa chute . Bientôt 30 ans , je ne vois rien de meilleur maintenant que sous cet autre régime dit dictateur . Et pourtant à cette époque la dignité, le respect et l’honneur étaient aux maliens à travers le monde . Au Mali, tout le monde mangeait à sa faim . L’impérialisme est venu déverser chez nous des voleurs , des brigands et autres , sachant bien qu’ils sont assoiffés de pouvoir et d’argent la suite est connue. La France parle de démocratie pour sauvegarder ses intérêts. Les cas Kaddaffi de la Libye et Laurent GBAGBO de la Cote d’Ivoire en sont les parfaites illustrations. Le premier a été assassiné par Nicola SARKOZI à cause de son pétrole, le second a été renversé par l’armée française pour son cacao et installé cet autre traître Alassane Dramane OUATTARA qui a ses mains entachées de sang . Cet déporte à marché sur des cadavres pour accéder au trône à Abidjan . Il vient d’être investi pour une 3 eme mandat en violation de la Constitution ivoirienne . La France fera la sourde oreille au cri de cœur du peuple ivoirien jusqu’au jour où celui ci sera appréhendé comme un lapin. C’est en ce moment que les charges de mission de la france (syndicat des Chefs d’Etat) de la CEDEAO se rendront dans cet autre pays pour brandir des menaces de sanctions . En Afrique de l’Ouest les exemples sont nombreux. Ce que je demande au CNSP et M5 FRP, c’est être à l’écoute du peuple malien. Il faut maintenir en prison tous , rechercher activement ceux qui ne sont pas encore appréhender, mettre en place les organes de la transition . Pour moi trois (03) est même peu . Il faut refonder l’État malien . Aussi ces gens (Generaux, Ministres et parents d’IBK particulièrement ses fils Karim et Bouba KEITA) ont volé presque tous les biens immobiliers , mobiliers et argent liquide et les ont investi soit dans le pays mais à l’étranger. Les maliens ont accepter de mourir alors ils ne doivent plus avoir peur de pourrir.
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