C’est une interrogation qui est aujourd’hui sur toutes les lèvres au grin. Les membres se demandent si toutefois les autorités de la transition pourront organiser le scrutin référendaire dans tout le Mali. Selon eux, la situation sécuritaire dans certaines zones du pays prouve à suffisance l’impossibilité de tenir ces élections sur toute l’étendue du territoire.
En effet, les membres font allusion à certaines zones du centre du pays et surtout de Kidal dont les populations semblent moins concernées par la situation à Bamako. En tout cas au grin, les membres voient mal la tenue de ce référendum. Car, disent-ils, à Bamako, la majorité de la classe politique se dresse déjà contre sa tenue. Certains religieux aussi montrent leur refus. Cela ajouté à l’insécurité qui règne dans une bonne partie du pays, les membres se disent pessimistes quant à sa réussite.
Par ailleurs, à entendre les membres du grin, la constitution est l’identité même d’un pays, elle est très importante pour qu’une portion des Maliens soit privée de son adoption ou pas. Ils restent convaincus que la constitution n’a pas pour unique objet de déterminer la forme de l’Etat, d’organiser les institutions et de déterminer les règles de production des normes. Ils pensent aussi qu’elle est un acte fondateur par lequel une société se constitue une identité et décide de l’ordre sociétal voulu.
En particulier, la constitution consacre des droits et libertés fondamentaux et définit les modalités de leur protection et se présente comme un acte de limitation des pouvoirs.
Ibrahima Ndiaye
De mon humble point de vue d’un vieux malien hyper nationaliste, j’estime que, pour contourner les difficultés le “Par ailleurs, à entendre les membres du grin, la constitution est l’identité même d’un pays, elle est très importante pour qu’une portion des Maliens soit privée de son adoption ou pas. Ils restent convaincus que la constitution n’a pas pour unique objet de déterminer la forme de l’Etat, d’organiser les institutions et de déterminer les règles de production des normes. Ils pensent aussi qu’elle est un acte fondateur par lequel une société se constitue une identité et décide de l’ordre sociétal voulu.”, les Colonels, qui ont pris le Maliba en otage, vont orchestrer une mascarade de vote référendaire – sur base de tout papier identitaire, y compris l’ancien carnet du dernier vote de IBK, en 2018 – dans les casernes militaires – sauf celles de Kidal, Tessalit, Aguel’Hoc, Ménaka – et les principales villes , ce qui donnerait un taux de participation entre 10 et 20%. ce qui s’était vu, en 1997 lors de la présidentielle qui renouvela le mandat de AOK qui, seul candidat – Maribatrou Diaby (le peaucier des crocodiles) – obtient 97% des voix (score de Brejnev, dans l’URSS) et Maribatrou obtient 3% des suffrages; le taux de participation à cette réélection de AOK à peine de 12%.
Moralité “politicailleuse” dans la république, bananière du Mali: la junte militaire, qui voudrait refonder le Mali, en 2023, reproduit le modèle de gouvernance dit “de dictature militaire”, monarchique, autocratique et autarcique à la Duvalier de Haïti, dans les années … 1970; rien moins que cela qui va se passer le 18 Juin 2023, si et seulement si, ???
Sincèrement
Ce sont des ignorants. Notre armée a sécurisé le pays comme jamais. Les attentats sont quasiment inexistants et les terroristes se cachent alors que nos braves soldats les traquent et vont leur faire regretter leurs actes.
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