Des libérations d’otages, nous en avons vu de toute sorte ici au Mali ; nous en avons vécu de toute sorte. Nous avons vu ici de dangereux prisonniers terroristes libérés de nos prisons contre des otages étrangers. Ici, au Mali, on a jugé presque nuitamment des détenus pour les livrer à des organisations criminelles contre la libération d’otages qu’ils détenaient durant des années.
Qui ne se souvient pas des conditions dans lesquelles Pierre Camatte a été libéré et tout le folklore qui a entouré cette libération ? Sans oublier, les conditions et les échanges qui ont entouré sa mise en liberté. Nous ne reviendrons pas ici sur l’escale «forcée» du président Nicolas Sarkozy, à l’époque, aux affaires, pour venir, en personne, récupérer cet encombrant otage pour la libération duquel le Mali et ATT ont consenti d’inimaginables sacrifices.
Le cas du jeune Wadossène, aussi, les Maliens l’ont en mémoire comme si c’était hier. Àchaque fois, pour sauver la vie d’étrangers, le Mali a consenti d’énormes sacrifices et presque personne n’a eu à en redire.
Pour une fois qu’il s’agit de libérer des otages maliens des griffes des terroristes, c’est une levée de boucliers incompréhensible à l’intérieur comme à l’extérieur. Tout le monde essaye de trouver les raisons et la manière dont nos deux compatriotes, Makan Doumbia et IssiakaTamboura, ont recouvré la liberté. C’est à peine si on ne réclame pas leur retour entre les griffes de leurs anciens ravisseurs ; à commencer par une certaine presse internationale qui, foulant aux pieds toute confraternité, rien que pour faire du sensationnel, ne cesse de remuer le couteau dans la plaie. Nous ne nous attarderons pas sur le cas de nos confrères nationaux.
Pour notre part, ce que nous retenons, essentiellement, de cette affaire, c’est que, pour une des rares fois, la vie de nos compatriotes a été mise en valeur par les plus hautes autorités du pays, surtout le président de la République. C’est lui, qui, en son temps, avait donné des consignes et des instructions (pour ne pas dire des ordres) fermes pour la libération de nos compatriotes retenus en otage. Ses consignes ont été suivies à la lettre et le résultat est là : ils sont désormais libres, MakanDoumbia et IssiakaTamboura.
Makan Koné
Pourquoi nos “hautes autorités” n’ont pas fait libérer le juge Soungalo Kone et Diawara… eux qui étaient pris bien avant?
Il faut voir comment nos media vendus et mensongers avaient pu maquillé les circonstances: “bonne novelle de libération héroïque du journaliste et le préfet” suivie de la “mauvaise nouvelle” de mort par maladies du juge et du commandant!
La mauvaise nouvelle est celle qui aurait obligé la bonne nouvelle de venir l’accompagner devant l’opinion nationale. Un pays absolument soumis où on décide rarement pour nous-mêmes, même dans des circonstances de la vie et la mort.
La seule panacée pour mettre hors d’état de nuire les djihadistes, il faut les mettre à mort dès leur capture afin d’éviter toutes formes de libération sous condition. Ce qui reste certain ils sont malades ces djihadistes donc ils doivent disparaitre car il n’y a aucune école dans ce monde ici bas pour les rééduquer pour le bonheur des autres maliens; étant donné qu’ils sont minoritaires, combattons les rapidement pour les faire disparaitre tout de suite, car personne ne peut les changer positivement, ce sont des fanatiques écervelés qui resterons invariables dans ce monde ici bas.
Bonjour
Qu’attend le gouvernement français pour se préoccuper de Sophie Petronin !
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