Après l’échec cuisant des pourparlers de Ouagadougou pour la désignation des membres du gouvernement de la transition, les forces vives de la nation sont à nouveau appelées, au terme des 40 jours du Pr. Dioncounda Traoré, à choisir le président de la transition au cours d’une convention nationale selon toujours l’esprit de l’accord-cadre signé entre : le CNRDRE et la CEDEAO. Mais tout porte à croire que les différents protagonistes, notamment, le FDR, l’ADPS, la COPAM qui constituent une frange importante des forces vives de la nation, mènent une guerre « qui selon certains analystes ne privilégierait pas l’avenir du Mali mais plutôt, un combat visant à défendre leurs intérêts personnels ».
Au vu de l’atmosphère qui règne sur la scène politique actuellement, une convention d’avance est sans doute vouée à l’échec après l’annulation de la première convention pour une sortie de crise. Fort de constat, il serait important que le CNRDRE et la CEDEAO continuent avec les négociations afin de nommer un président de la transition, même sans l’avis des forces vives de la nation comme cela été pour la nomination du premier ministre et du gouvernement pour une sortie rapide de la crise politique dont dépend, la survie des populations du nord du pays. Car, nos forces vives ne se sont jamais entendues, même quant il s’agit d’éteindre le feu de la case commune qui brûle.
Déjà, la Coordination des Organisations Patriotiques du Mali (COPAM) regroupant des partis politiques comme, le SADI du Dr Oumar Mariko, le RDS du Pr. Younouss Hamèye Dicko et certaines associations de la société civile, ont clairement affiché leur position en pointant du doigt le Capitaine Amadou Haya Sanogo pour conduire la période transitoire. Contrairement à elle, le Front Uni pour la Sauvegarde de la Démocratie et de la République (FDR) composé aussi des partis politiques comme l’ADEMA, l’URD, le PARENA, le PDES et de plusieurs, associations, clubs et mouvements de la société civile a, quant à lui invité, les maliens à respecter les décisions de la CEDEAO qui, après un sommet extraordinaire des chefs d’Etat, le 26 avril dernier, à Abidjan, qui a porté son choix, sur le président intérimaire, le Pr. Dioncounda Traoré pour diriger la transition fixée sur une période de 12 mois. De l’avis de l’Alliance des Démocrates Patriotes pour la Sortie de crise (ADPS) qui regroupe également des partis politiques comme la CNAS-Faso Hèrè du Dr. Soumana Sako et le PACP de Yeah Samaké, tout comme de l’avis de la Copam et du CNRDRE, le choix du président de la transition doit se faire à la « malienne ».
En effet pour le Capitaine Amadou Haya Sanogo qui a invité le gouvernement dans ce sens, la convention nationale permettra aux maliens de designer un homme ou une femme de leur choix pour conduire la période transitoire. A regarder de près, cette convention nationale semble être naturellement la meilleure occasion qui s’offre aux maliens de trouver une solution définitive à la crise socio-politique que nous vivons depuis des longues semaines. Ainsi, elle permettra sans aucun doute au peuple de choisir un fils ou une fille du pays, capable de conduire les destinées de la nation jusqu’à l’élection d’un président de la République. Mais, compte tenu de la complexité de la situation, cette convention risquerait quelque part d’aggraver la situation et ce, pour plusieurs raisons.
Avec ces blocages de part et d’autre, rien ne garanti aujourd’hui, quant à la conclusion d’un accord entre les forces vives de la nation, qui devront mettre tout en œuvre pour s’entendre rapidement sur le choix de la personnalité qui devrait diriger la période transitoire. Par ailleurs si l’on doit aller à une convention nationale, pour le choix du président de la transition, l’on doit également la mettre à profit pour former un autre gouvernement car, l’équipe actuelle, à été mise en place sans l’avis de l’ensemble des forces vives de la nation.
De toutes les façons, le CNRDRE et la CEDEAO devraient aller jusqu’au bout de leur logique afin de trouver un terrain d’entente conforme à l’accord cadre. S’il est vrai que le capitaine Amadou Haya Sanogo n’est pas venu pour le pouvoir et que Dioncounda est prêt à partir après les 40 jours, comme il l’a déclaré, le 1er Mai dernier ; le CNRDRE et la CEDEAO peuvent designer un président comme ce fut le cas pour la nomination du premier Ministre. Une telle entente permettrait d’éviter tout problème d’intérêt personnel. Il n’y a pas lieu de traîner pour choisir un président, alors que nos parents des trois régions du nord souhaitent une résolution rapide de la crise à Bamako, car leur survie y’en dépend.
Ainsi, que le CNRDRE et la CEDEAO choisissent un président en écartant les forces vives de la nation paraîtrait discriminatoire pour beaucoup, mais entre : « La peste et le cholera, le choix à faire ne pourrait être que le moindre mal ».
Par Mahamane Touré « Hamane »
A Monsieur le premier Ministre par intérim, nous t’observons de près .
Vous êtes choisi pour conduire les affaires du pays et non le désir d’un
clan.Epargne nous de conflit d’intérêt familial.Nous scrutons avec
gourmandise les nouvelles relations entre le GMT, votre beau père, et la
junte militaire.Ai à l’esprit l’intérêt supérieur du pays, de vos concitoyens et de l’amour pour l’unité nationale en ce moment difficile
que traverse la nation.Que rien ne vous détourne de la confiance placé en vous. Il faut dissocier les affaires de l’Etat de vos affaires de famille
Votre nomination aux affaires doit être le moment où le GMT doit prendre
ses distances avec vous et avec les putschistes.De la France, nous entendons les rumeurs.Ne vous salissez pas pour quelques mois.
5jours avant le second coup d’etat irreflechi du Soldat Rate…
LE FANFARON N’A PAS LE CHOIX QUE DE RESTER AU POUVOIR MEME SI C’EST AU DETRIMENT DU MALI…TROP DE BETISES…TROP DE BETISES…TROP DE BETISES…C’EST UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT POUR LUI ET SA CLIQUE
LA CDEAO ET LE MONDE EXTERIEUR N’ONT PAS LE CHOIX QUE DE DEMANDER AU FANFARON DE DEGAGER…
DONC…CA VA CHAUFFE..Ca va chauffe…tot ou tard…
Que Dieu veille sur nos populations…surtout au nord
AU FRONT OU AU DIABLE
Moussa Ag
un maudit bandit qui circulait il y a pas longtemps sur une moto qui maintenant est bien véhiculer et escorter vous croyiez qu’il partiras de son plein grée? 👿 😈 😥 ❗
—-LA LIBERATION SANS LES SOLDATS DE KATI—
LE CAMP SOUNDJATA DE KATI EST UNE PLAIE QUI EST EN TRAIN DE RONGER LE MALI,CHERS MALIENS LEVONS NOUS POUR RASER CE CAMP,CA NE FAIS QUE DETRUIRE LE MALI,LES SOLDATS DE KATI ONT CLAIREMENT MONTRER QU’ILS NE SONT PAS LA POUR DEFENDRE CE PAYS QUI LES NOURRIT,LE MALI N’A PLUS RIEN A ESPERER DE CES SOLDATS.MIEU VAUT PERDRE LE CAMP DE KATI QUE DE PERDRE LES 2/3 DU PAYS ET DE TOUTE SA POPULATION,TANT QUE LES SOLDATS DE KATI SERONT LA,LA VRAIE LUTTE DE LIBERATION N’AURA JAMAIS LIEU PARCEQUE AUCUNE PUISSANCE ETRANGERE N’OSERA DONNER DES ARMES A DES SOLDATS QUI N’ONT DE RESPECT POUR PERSONE,NI POUR LES MALIENS NI POUR LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE,DONC AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD TOUS LES AUTRES REGIMENTS DE L’ARMEE MALIENNE DOIVENT S’UNIR POUR MARCHER SUR KATI,RASER CE CAMP ET ENSUITE LA LIBERATION DU NORD COMMENCERA AVEC L’AIDE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE.
Bien parler Samba Konipo il faut vraiment pas donner le temps a cet inbecil de Sanogo a travers la convention nationnale c’est un grand piece son seul et unique ambition c’est de presider.
LA CEDEAO venez a notre secours FAITES DEGAGER SANOGO DE GRE OU DE FORCE.
S’IL NE VEUT PAS QUITTER TUER LE ET QU’ON EN FINISSENT§§§§
je pense que MR Sanogo cede le pouvoire au civil.
mon chois se fait face a Mr ZOUMANA SACKO,POUR LE 12 MOIS.
Avec une telle decision; le mali va avoir sa liberte total et la bon fonction de l’economie du mali, ET QUE SANOGO SOIT LA POUR JOUER LA PARTIE MILITAIRE MERCIE POUR VOTRE BON COLABORATION./.
chérs maliens(nes)notres problemes est un conflit d’intere sinon dioncounda à dit que il serras pas un probleme pour le mali et sanogo il n’est pas attire par le pouvoir qui dit vrais? ma proposition est simple car l’accord entre la CDEAO et le CNRDRE est claire dit le premier ministre detien le plain pouvoire de la transition dont comme ils nons pas puent trouve un accord pour le choix de l’home qui doit dirigent la transition et ils sont pas la pour le pouvoire mais pour le mali le premier ministre peut dirige les deux
Ce que Sanogo et ses supporteurs ignorent: les rebelles sont entrain de plaider tous les jours au pres de la communaute internationale pour justifier leur cause, pendant que l’attitude des maliens envers la meme communaute qui a toujours reiterre son soutient, se degrade.
C’est grace a la cooperation avec leurs allies que les rebelles ont su realise autant de succes.
Pourquoi mes confreres s’obtinent a saboter cette cooperation internationale qui nous a ete toujours offert par nos allies.
Je vous en prie Sanogo, laisse Dioncounda dirriger et gagnons du temps. Nos parents souffrent au nord. Penser seulement aux sacrifices de ceux qui ont donne leur ame,donc ce sacrifice qu’on vous demande ne vous serait pas trop contraignant.
A l heure actuelle, le besoin n’est plus a rappeler aux uns et aux autres que la situation est chaotique dans notre pays. Le pays est revenu sous le joug de l’esclavage et les citoyens plus particulierement nos parents du Nord en subissent les effets les plus horribles. Nous sommes tous humilies.
Tous, nous devrions etre soucies de liberer le Nord, et pronner pour le retour de la quietude sur toute l’etendue du territoire.
Cependant, on remarque que le bateau qui est le Mali demeure sans capitaine depuis le depart de ATT malgre sa mediocrite que certains evoquent jusque la pour justifier un acte anti-democratic (le coup)
Nous avons besoin d’une solution effective a ce probleme du nord.
A cet effet nous avons besoin de l’appuie de toutes les bonnes volontes, notament la CEDEAO, L UA, L’ONU, les USA, L’UE.
Mais n’oublier pas que tous ces partenaires potentiels demandent le retour a l’ordre constitutionel, le respect des intitutions republicaines, en passant par l’observance des principes democratics.
Notre pays s’est toujours illustre par des exemples qu’il a donne dans ce sens depuis le temps de nos ancestres. Nous etions parmi les plus sages de l’Afrique, pour ne pas dire que nous etions les plus avances democratiquement.
Il est temps de preserver ces acquis en se rappelant biensure a des sacrifices effectues par nos martyres de la resistance anticoloniale, du 26 Mars 1991, et des vitimes Ag Hellog( nos freres abattus sauvagement dans cette crise dans leur camp).
Si reellement nous, maliens avons apprecie ces sacrifices, je pense que le choix d’un president de la transition n’allait pas faire l’object d’une divergence.
Tous nos partenaires suggerent le choix de Dioncounda.
Jusque la, tous ont reiterre leur soutient a notre pays. L’aide nous arrivera de tous quand on accepte d’observer ces principes que nous memes avons etablis avec nos partenaires.
De grace, sauvons notre temps et evitons de donner plus de chance a nos ennemis.
Please!!!!!!!!!!
Mon frère je suis parfaitement d’accord avec toi.C’est très sage comme décision;
les maliens sont ils trahis par leur politicards
Tu pense que la CEDEAO a le temps de Sanogo? Wait and see…
La convention est un malicieux stratagème pour désigner Sanogo comme président du Mali. C’est anticonstitutionnel car la convention n’est pas un suffrage universel qui est la seule source de légitimité et de légalité dont un Président de la République doit jouir. Sanogo manipule les acteurs de la conventions à qui des promesses de porte-feuilles sont faites.
Il n’ y a rien à négocier encore avec la junte.
La junte doit se retirer dans les casernes et laisser le pays suivre sa voie de sortie démocratique.
La junte et ses supporteurs prennent les maliens, la CEDEAO et le monde entier pour des idiots mais ce sont eux qui sont idiot.
Tout le monde sait la volonté de Sanogo: rester au pouvoir et présider le pays.
Tout le monde sait aussi que c’est anticonstitutionnel et contraire aux conventions et principes démocratiques du monde.
La CEDEAO doit le contraindre à dégager par les armes puisqu’il refuse de quitter. C’est ce que les supporteurs de la junte veulent amener au Mali, la guerre civile.
La convention serait une erreur historique et un piège sans fin pour le présent et l’avenir du Mali.
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