C’était à l’occasion de la 12ème conférence nationale de l’Adema PASJ, au terme de laquelle tous les regards sont désormais braqués au comité exécutif du parti qui a la lourde tache de choisir parmi 19, celui à même de porter les couleurs de l’abeille solitaire.
La 12ème conférence nationale du Parti Africain pour la Solidarité et la Justice s’est tenue au centre international de conférences de Bamako le samedi 23 mars dernier. Elle était placée sous le signe de la cohésion et de la solidarité. Et a enregistré la participation de 55 sections de l’intérieur.
Dans son discours d’ouverture, le président du parti par intérim Ibrahima N’diaye a reconnu que l’ADEMA, à l’image du pays, est à la croisée des chemins et que les militants sauront lever les hypothèques parce qu’ils sont nombreux à aimer profondément ce parti.
Avant d’ajouter : « Unis nous gagnerons, divisés nous aurons pris la responsabilité de fragiliser ce parti qui est devenu au fil des ans un patrimoine qu’il faut préserver, transformer qualitativement pour conduire au changement que tous les maliens attendent. Le défi est là ! Pour le relever, nous avons besoin de toutes les énergies, volontés et compétences. Les femmes, les jeunes, les moins jeunes et les âgés auront tous leur partition ».
Cette journée a été mise à profit par le millier de participants pour se projeter sur l’avenir du Mali ; en termes de réconciliation des cœurs et des esprits, en termes de progrès, de construction, de refondation et de renaissance. Selon Ibrahima N’diaye ceci a un dénominateur commun : la nécessité de rebâtir le Mali autrement.
Les présidents des 8 coordinations régionales qui se sont succedé à la tribune ont eu les mêmes mots à l’endroit des dirigeants du parti : cohésion, solidarité, etc. Tous étaient hantés par le difficile choix du candidat du parti sans heurt. A l’unisson, il a été demandé à chaque candidat pour porter les couleurs de l’Adema, de mettre le parti au dessus de sa personne.
Mais le président par intérim reste convaincu que le parti saura encore une fois surprendre les plus sceptiques. Et que l’unité du parti sera préservée autour d’un candidat consensuel.
Dans son discours de clôture, le président par intérim dira que la conférence a tenue toutes ses promesses. Il a ajouté que l’Adema est un trésor à préserver. « C’est un départ radieux pour le parti. Pour le choix du candidat du parti, faites confiance au comité exécutif. Personne n’a dompté ce parti. Nul ne pourra dire : après moi, le déluge. Nous avons, à chaque fois su étonner. Nous étonnerons cette fois-ci, encore. Nous saurons nous entendre au finish » a- t- il conclu.
La 12ème conférence nationale de l’Adema a été aussi marqué par une série de motions : de soutien et de félicitation à Dioncounda Traoré, à François Hollande, à Idriss Déby, à Alassane Dramane Ouattara, à Yayi Boni, à la CEDEAO et au comité exécutif de l’Adema.
Akhimy Maïga
Pour le réveil de la démocratie dans ce pays, pour que le Mali sorte du clientélisme, du népotisme à visage decouvert, du etc……..ilfaut tout faire pour renvoyerl’ADEMA à l’oppostion; un parti qui se dit grand n’a pas peur de l’oppotion. Mais ce parti a vendu son âme aux enchères au diable en 2002 et en 2007, consacrant ainsi la mort de la démocratie au Mali; obtenu au prix du sang. Maliens et maliennes,le temps est venu de régler le compte au charognards, vautours et hiboux au régard fuyant mais toujours revenant vers ns maigres ressources. Il faut chasser l’ADEMA du pouvoir.
Prrrrrrrrrrrr !
“Nous saurons nous entendre”… Hélas… c’est vrai… vous serez d’accord sur la bonne personne pour dépouiller le Mali…
Bande de charognards ! ……. A yé taa ka boyé !
Place aux jeunes… 😀
Héééé ! … dokèra sa ! 🙁 🙁 🙁
On a pas besoin de voir et revoir la face de ces requins et rapaces. Mr. Iba prenez votre retraite cela vaut mieux. Des profiteurs et voleurs a col blanc comme votre espece on en a plus besoin ou bien vous risquez de sejourner a bamako coura au palais presidentiel. 😆 .
Quant aux financements de nos partis politiques l’etat et le gouvernement doivent revoir leurs copies. Une diminution du montant total dans les annees avenir et laisser les membres et partisans contribuer a leur parti.
Mais j’oubliais que tout le systeme est compose de ses malhonnetes sauf un president audacieux pourra. 😉 .
PROPOSITIONS DE L’ADPS RELATIVES A L’AIDE PUBLIQUE AUX PARTIS POLITIQUES AU TITRE DE L’EXERCICE 2012
L’anniversaire du 26 mars 1991 intervient cette année 2013 dans un contexte particulièrement pénible : la nation malienne est mise à rude épreuve par l’agression perpétrée par les groupes séparatistes, racistes et esclavagistes du MNLA alliés aux terroristes et aux jihadistes majoritairement d’origine étrangère.
Ce contexte grave exige certes méditation sur nos insuffisances en matière de gouvernance démocratique et de gestion du pays durant ces vingt dernières années mais exige beaucoup d’actes concrets et significatifs pour la défense de la démocratie et de la Patrie.
L’ADPS saisit donc l’occasion du 26 mars 2013 pour proposer à la classe politique malienne de poser un acte concret et significatif en renonçant purement et simplement à l’aide financière de l’Etat aux partis politiques pour l’exercice budgétaire 2012. Cette aide qui est estimée à près de deux milliards de Francs CFA sera ainsi versée à l’Armée pour contribution à l’effort de guerre.
Un tel renoncement non seulement élèverait le sens de responsabilité de la classe politique malienne mais également lui permettrait de soigner son image car ses détracteurs s’ingénient à la dépeindre comme essentiellement obnubilée par l’appétit du pouvoir et l’argent.
Le renoncement à cette aide financière se justifie surtout par le fait qu’en cette époque, les ressources de l’Etat sont maigres et l’Armée est confrontée à de nombreux besoins matériels et logistiques. Cet argent lui servirait bien d’un ballon d’oxygène fort utile au moment où elle s’attelle à la restauration complète de l’intégrité territoriale de notre pays.
Par ailleurs, l’aide financière que l’Etat destine aux Partis politiques est allouée sur la base de critères tels que le nombre de députés à l’Assemblée Nationale. Or, le mandat parlementaire a été prorogé en 2012 en violation flagrante de la Constitution du 10 janvier 1992. C’est dire donc que ladite aide publique en cette année précise serait d’une légalité douteuse, d’une légitimité incertaine et risquerait d’être perçue, à tort ou à raison, dans certains milieux comme une prime à la mauvaise gouvernance.
L’ADPS estime que la défense de la Patrie est intiment liée à la défense de la démocratie et, pour cela, aucun sacrifice n’est de trop.
Elle croit fermement que pour la défense de la démocratie pour l’avènement de laquelle le Peuple malien a payé le prix fort, la classe politique doit consentir un sacrifice utile en renonçant publiquement à l’aide financière de l’Etat au profit de l’effort de guerre.
Vive le Mali uni, unitaire, laïc, démocratique et prospère !
Bamako le 26 mars 2013
Pour le Directoire de l’ADPS
Le Secrétaire Général
L’Ingénieur Soumana Tangara
Renoncer purement à simplement à l’aide publique… et donner ces milliards à l’équipement de notre armée… Voilà du concret… 😀
On est d’accord… ou on n’est pas d’accord… Mais voilà des propositions concrètes… 😀
Place aux jeunes… 😀 😀 😀
Héééé ! … tchiè ! … dokéra sa ! 😀
ADEMA est voué à l’echec cette année, c’est le declin de ADEMA. eux même le save.
l’ensemble de ces 20 candidats ne vaut pas un bon candidat comme IBK, ayez le courage de voir leur liste. c’est Dieu qui donne le pouvoir si non IBK cette année je vois pas parmis ces centaines de candidats qui peut faire face à IBK, je ne vois pas, si les elections sont bien organisés sans fraude. URD et ADEMA leur spécialité c’est la fraude avec la junte comme managère des élections.
pendant k le pays est en guerre les assoiffés de pouvoir se bouscule entre eux l’ADEMA c’est pas la peine même
Lol pas autour de lui j’espère, une prime à la defaite l’adema n’arrivera meme pas 5 eme
Si seulement ces politicards pouvaient avoir honte et surtout avoir pitié de ce pays.
Je pense qu’on devrait passer à des enquêtes de moralité pour le choix de nos candidats, car leur mauvais COMPORTEMENT et leur MALHONNETETE continuent à Tuer notre Pays.
Imaginez un candidat comme Iba N’DIAYE … des politiciens qui sont sur la scene politiue depuis des années et qui n’ont encore rien prouvé.
Un seul homme peut etre un fleuve d inspiration. On en a besoin au Mali. Je cinnais cet homme et surement beaucoup d autres maliennes et maliens le connaissent aussi. J espere qu il sera le choix de l adema et du Mali le 13 juillet. Et non, son nom n est pas Tapo, Saw, Ndaye, ou cisse ou keita ou tall ou sacko ou traore ou mariko ou mara….
Boubey Maiga surement.
Iba Ndiaye ressemble à un banyamulengue de la rd congo, malgré la fatwa qu’on pris sur lui au stade du 26 mars en 2012 , l’homme reste tjrs un accroc de la duperie politique et dire que les maliens puissent contunier à tolerer des énergumènes comme ça ?
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