Le lundi 03 juillet 2021, plusieurs questions ont été posées par les membres du Conseil national de Transition (CNT) au Premier Ministre sur la non application de l’article 39 des enseignants qui menacent sérieusement de boycotter les examens de fin d’année. Le premier Ministre, Choguel Kokalla Maïga a, en toute franchise, fait savoir que quand ils sont venus, « il y avait le choix entre continuer à discuter avec le risque qu’on rentre encore dans un conflit social, ou prendre une décision et continuer les discussions.»
Selon lui, c’est un sujet qui a plus de passion et de polémique aujourd’hui que de pragmatisme pour sortir des jeux de mots. « Mais, je fais un peu d’histoire », précise-t-il. Quand cette loi a été adoptée, rappelle Choguel, en février 2018, nous étions à la veille des élections, moi j’étais dans l’opposition. Au sein du gouvernement, révèle Choguel, la majorité des membres ne voulaient pas de cette loi.
Les ministres concernés ont dit que ça va créer des problèmes, qu’elle est anticonstitutionnelle. « On ne peut pas faire une loi où des cadres B vont avoir des salaires plus élevés que les cadres A. Il y a eu un blocage. Mais il y a eu une instruction politique pour faire passer la loi. Et depuis que la loi est passée, les élections sont passées, on l’a mise dans les tiroirs.
Les enseignants ont marché; ils ont fait des grèves pendant dix mois. C’est lorsque le mouvement social est arrivé au point culminant que le pouvoir a lâché du bout des lèvres dans cette même salle du CICB, juste pour calmer la tension. Mais après, il n’y a rien eu. Il a fallu le changement du 18 août 2020 pour que les nouvelles autorités disent qu’elles veulent sauver l’année scolaire », explique le premier ministre. Elles (les autorités de la transition) sont rentrés, précise Choguel, dans les négociations avec les syndicats d’enseignants ; elles ont décidé aussi de façon volontariste de l’appliquer ; il n’y a pas eu trop de calcul. S’il y avait eu des calculs sur les retombées, sur les autres syndicats, elles n’allaient pas le faire, va-t-il indiquer. « Une décision politique a été prise donc. C’est exactement comme les cheminots. Ils ont voté, il n’y a plus d’argent pour les payer le lundi. C’est exactement la locomotive qu’on a montrée à la télévision. Toute la population de Kayes était contente. Elle a voté, après il n’y a plus de locomotive. Donc, cette loi a un parcours qui est fait des hauts et des bas où on n’a pas joué franc jeu avec les enseignants. Mais c’est après le 18 août qu’on a joué franc jeu.
Les nouvelles autorités ont écouté, ont appliqué quelles que soient les conséquences. Ils ont discuté verbalement. Les conséquences étaient que les autres demandent l’harmonisation tout de suite. Ils s’étaient entendus que, si on l’applique, ça va amener la paix. Mais la réalité est que les autres syndicats ont demandé l’harmonisation à égalité de diplôme, égalité de salaire. Donc dans l’entendement de tout le monde, lorsqu’on fera l’harmonisation, c’est là qu’on met les compteurs à zéro pour tout le monde. Il y a un nouveau point de départ. Voilà l’esprit des autorités de la transition », a expliqué le premier ministre. Et lorsque nous sommes venus effectivement, ajoute-t-il, Il y avait le choix entre continuer à discuter avec le risque qu’on rentre encore dans un conflit social, ou prendre une décision et continuer les discussions. Là où on est aujourd’hui, ce qui a été instruit au Ministre de la Fonction publique, au ministre de l’éducation nationale, au ministre de l’économie et des finances, est de regarder est ce qu’après la loi sur l’harmonisation, le corps enseignant est monté, la grille a changé. On m’a dit que plus des 90% c’est le cas.
Par contre, il ya les cadres A dans leur secteur qui n’ont pas senti d’augmentation, de changement substantiel sur leurs salaires. L’instruction est qu’il faut ajuster où il y a. Notre souhait, c’est qu’il n’y ait pas de sentiment d’inéquité à la fin. Donc ceux qui n’ont pas vu leur grille changée, il faut changer pour eux, faire des discussions techniques pour harmoniser et mettre les compteurs à zéro pour tout le monde. C’est pourquoi j’ai dit qu’il faut être pragmatique dans ça. Et je pense que les discussions qu’ils ont avec les enseignants doivent aboutir à un accord pour sauver l’école. Parce que sauver l’école, ce n’est pas seulement l’affaire du gouvernement, c’est l’affaire des enseignants aussi. Surtout que l’école ne se résume pas aux salaires des enseignants. Il y a beaucoup de choses. Il y a aujourd’hui des écoles sur lesquelles l’Etat est obligé de déployer dix milliards de Fcfa pour pouvoir les refaire. Alors que l’Etat est censé avoir transféré les fonds aux collectivités.
Mais lorsque les classes s’écroulent, ce sont les hautes autorités, c’est le gouvernement qui sont interpellés ; ce n’est pas le Maire qui est interpellé. C’est pourquoi je demande à nos frères enseignants aujourd’hui de faire preuve de compréhension, de discuter, tous les enseignants qui sont lésésle nombre 5% ou 10%, faire les ajustements nécessaires et qu’on s’entende pour mettre les compteurs à zéro pour tout le monde à partir de maintenant et qu’on sauve l’école, l’année scolaire. C’est pourquoi moi je suis optimiste sauf s’il y a peut-être d’autres considérations que je ne connaisse pas. Mais je crois qu’aujourd’hui, on a besoin de faire un certain nombre de sacrifices. Parce que la situation du pays ne permet pas de rentrer dans un cycle de revendications incessantes. Aujourd’hui, il y a des genres de concessions, si le gouvernement les fait, demain, d’autres syndicats vont se lever. On va rentrer dans un cycle infernal et on ne va pas nous en sortir. Or, on a trouvé que l’ensemble des textes qui ont été signés : les primes, indemnités, avantages promis, quand vous les mettez ensemble, ça fait 1400 milliards de Fcfa. Ce qui fait plus de la moitié du budget de l’Etat. Mais quel Etat peut faire ? On est en guerre, les autres nous regardent. Imaginons ce qu’ils pensent de nous. C’est pourquoi je dis qu’une fois on a l’équité, que chacun fasse violence sur lui-même pourqu’on puisse passer ce cap. Pour une fois, on montre que même sans l’aide extérieure, avec les ressources qu’on a, on peut serrer la ceinture et survivre. Beaucoup ne pensaient pas que l’Etat allait tenir. Quand on a dit que le PAG est sur ressources propres de l’Etat, certains ont dit que ce n’est pas vrai. Parce qu’on a mis dans la tête des gens depuis des décennies qu’on ne peut rien faire sans l’aide extérieure. On peut le faire, il suffit de croire en soi-même, de faire des concessions.
A des périodes données de l’histoire d’un pays, tout le monde fait des sacrifices. Avec tout le respect qu’on doit aux enseignants, on le leur doit d’ailleurs, parce que comme les uns et les autres le disent, l’enseignement c’est la base. Quand il n’y pas d’école, il y a plus rien. Donc tout ce qui peut les heurter, les effaroucher, qui peut les choquer, il faut l’éviter. Mais on fait vraiment appel à leur sens patriotique en tenant compte de la situation du pays. Les autorités de la transition depuis le 18 août ont tranché un problème qui durait des années. Faisons donc en sorte qu’on ne rentre pas dans un autre cycle de revendications avec d’autres syndicats. C’est pourquoi jecrois que les négociations qui ne sont pas rompues continuent. Et dès au sortir de cette salle, elles vont continuer demain. Et je pense qu’on va trouver un terrain d’entente.
Hadama B. Fofana
Ce débat sur l’article 39 se situe dans le cadre du mépris qu’ont eu les autorités envers les enseignants depuis le coup d’état du 19 novembre 1968. Depuis cette date, le mérite a été foulé au pied. C’est la parenté et l’argent qui l’ont remplacé dans la promotion sociale. Du coup, on ne voyait plus pouquoi il faut étudier. Choguel étant du l’UDPM qui a tellement pratiqué ce système qu’elle était incapble de verser des salaires dérisoires aux enseignants pendant les autres fonctionnaires vivaient du vol libéralisé, il continue le bulot. Le goufre moral actuel dans lequel le Mali se trouve à commmencer à se creuser depuis en ces temps. C’est le plus gros passif de l’CMLN-UDPM que Choguel dit qu’il assume. Evidemment aucun pouvoir n’a voulu stopper cela parce qu’on ne tue pas la poule qui pond des oeufs d’or, dit-on.
L’auteur de l’aticle dit que les enseigants n’avaient même pas droit au mil rouge et il souhaite certainement que les choses restent ainsi.
Prenons un sortant de l’ENSUP (Bac+5). Il ne sait pas que signifie, bureau, frais de missions, sémimaires, outils de travail etc. Il achète jusqu’au stylo avec lequel il corrige ses copies. Connaissez-vous un autre fonctionnaire avec un tel niveau d’études avec un tel traitement? Si sur le plan indiciaire on lui un accorde un avantages de 15 000 FCFA, pourquoi cela va créer tant de scandales?
Allez-ci voir à l’ACII2000 ou tout autre endroit où les voleurs de la République aiment habiter. Vous y verrez des douaniers (souvent de catégorie C ou B) des agents des impôts etc. mais un seul enseigant, même du supérieur. Et c’est Katilé qui parle d’injustice? Cela doit depasser l’entendement de tout le monde.On comprend aussi pourquoi il combat l’idée de l’Oclei. Choguel, l’assoiffé de pouvoir, disait qu’IBK ne devait pas réfuser d’appliquer une loi de la République. Pourquoi aujourd’hui il a le même problème?
De toutes les façons il faut que les enseignants sachent qu’ils ont eu leur statut particulier et aucun malien n’a bronché depuis quelques années maintenant, et lorsque les autres demandent l’équité, ils s’offusquent, cela veut dire quoi? Cela s’appelle méchanceté et jalousie et il faut qu’ils cessent de tel comportement éhonté sinon ils mettrons fin à l’existence de ce pays dans quelques mois et ce jour là ils n’aurons que leurs yeux pour pleurer. Pour perdre son pays, c’est facile, il suffit de prendre la posture que eux enseignants ont pris aujourd’hui sans jamais relâcher et c’est tout, dans quels mois le pays disparaitra totalement, comment vous enseignants acceptiez avec votre statut particulier que vos cadres B soient plus payés que certains cadres A de la catégorie générale de la fonction publique? Cela s’appelle aberration totale qu’il faut bannir des réalités de ce pays tout de suite. Mettez la ballon à terre et cessez de vous comportez en médiocres.
“Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert EINSTEIN. Protégez votre pays en oubliant cet article 39 qui n’est rien face à l’avenir de notre très cher Pays.
J’AI TOUJOURS ECRIT QUE TU ES LE SEUL RATE’ DE LA GRANDE FAMILLE COULIBALY! TON POST ICI ME DONNE RAISON!!!
IL FAUT APPLIQUER L’ARTICLE 39!!!! L’ETAT EST UNE CONTINUITE’!!!!
This condition of article 39 concerning teachers is one where I greatly oppose Prime Minister Maiga. Although United States is not Mali we are able to show where some government officials of lesser authority earn much more income for their work. In fact here in Detroit Michigan USA police chief of city earn tens of thousands of US dollars annually above mayor of city but mayor is ultimate authority us may fire pice chief.
In Mali at time article 39 was put into law teachers did more work as oppose to corrupt government officials plus still do more work despite having lower rank. Corrupt selfish class A egotistical maniac officials as yourself do not see jealousy of teachers dripping from your attitude plus words. Facts are under method you that have been applied by corrupt class A officials Mali have become shit hole nation plus likely to remain unless we begin to show due respect for those we rely on to develop mind of our citizens that make huge contribution to changing Mali from being shit hole nayion by educating them. Your attitude is that of shitty asshole if shitty asshole could speak. For good of Mali with due respect intended I ask of you to change plus see light that will timely lead Malians to world class better living? That light is happy teachers. Rhetoric have not ever been suitable replacement for doing what is feasible plus in our nation citizens best
interest.
You are not capable of fulfilling article 39 plus excessive desires of corruption simultaneously. Which fulfillment in our nation best interest? Your answer plus actions are testament to Islam perversion or righteousness. If article 39 is beyond feasibility with total transparency it should be shown plus thereafter best actions in relation to fulfilling article 39 should be taken. That is how you build great nations. Not with stupid bully conduct.
Henry Author Price Jr aka Kankan
C’est JACQUES CHIRAC qui a dit “les promesses n’engagent que ceux qui y croient”.
Il montre tout simplement qu’il y a deux hommes politiques:celui qui cherche à accéder au pouvoir et celui qui exerce le pouvoir.
Les deux ont le reflex de leurs positions du moment.
Les PAROLES PRONONCÉES et les ACTES POSÉS pour accéder au pouvoir obéissent à des intérêts différents.
Pour accéder au pouvoir ON AGIT POUR SES INTÉRÊTS POLITIQUES.
On pense rarement à L’INTÉRÊT GÉNÉRAL.
QUAND ON EXCERCE LE POUVOIR,LES DÉCISIONS SONT PRISES POUR SATISFAIRE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL.
CHOGUEL MAIGA est entrain d’exercer le pouvoir.
Si hier,il a soutenu les enseignants,c’était dans le cadre de la lutte contre un régime mafieux.
Il a été guidé par le reflex de porter un coup de plus à l’adversaire.
Aujourd’hui,CHEF DE GOUVERNEMENT,un autre reflex se manifeste,celui de satisfaire L’INTÉRÊT GÉNÉRAL.
CHOGUEL MAIGA n’est pas le premier à se contredire quand il est arrivé au pouvoir,il ne sera pas aussi le dernier.
LES RESPONSABLES DE L’AEEM ONT ILS RECONNUS LES HOMMES POLITIQUES QUI ÉTAIENT À LEURS CÔTÉS FACE À MOUSSA TRAORÉ À PARTIR DE 1992?
La pression des institutions financières internationales a obligé les autorités du moment à sacrifier les revendications financières de l’AEEM.
On ne peut pas aussi les accuser car il fallait nécessaire leurs appuis pour faire fonctionner l’Etat.
Le réflex de satisfaire L’INTÉRÊT GÉNÉRAL a pris place.
C’est exactement ce qu’est entrain de faire CHOGUEL MAIGA.
L’article 39 est inapplicable.
Le courage politique doit s’exercer,si on pense aux INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DU MALI.
Dépasser la limite critique de la masse salariale,c’est s’attirer les foudres de la communauté internationale dont on ne peut refuser l’aide.
C’est aux enseignants de mettre de l’eau dans leurs vins.
CHOGUEL MAIGA comme tous les hommes politiques du monde est un homme politique qui s’exprime en fonction de sa position dû moment qui détermine sa personnalité politique.
Est il guidé à sauvegarder sa position au détriment de l’intérêt général?
Ou est il guidé à rendre le Mali crédible?
Pour la nation,on oublie ses paroles passées quand on est convaincu de servir valablement le Mali.
Même le GÉNÉRAL DE GAULLE a fait le contraire de ce qu’il a dit quand il exerçait le pouvoir.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Pragmatisme ? Quelle honte et ignominie ? Choguel Kokala Maïga est l’incarnation de l’hypocrisie parfaite.
Quand il était dans l’opposition, c’est lui-même qui chantait avec brio que l’article 39 est une loi qu’on devrait appliquée sans détours.
Vraiment c’est aussi simple que ça ! Mettre le compteur à zéro pour tout le monde , à même niveau d’ étude même salaire ! Que ceux qui touchent le million soient ramenés au niveau des autres qui ont le même niveau d’études ! Que chacun se sacrifie pour sauver le Mali ! Que le train de vie soit réduit à tous les niveaux de l’ administration !
LE VRAI PROBLÈME DU MALI EST LE MANQUE DE PATRIOTISME !
Moussa malgré ses carences était patriote ! Les grands democrates sont venus après Moussa , ils ont créé un nouveau type de malien pire que le malien sous Moussa ! Ce nouveau malien a un seul réflexe , le profit au détriment de l’ etique ! Un cadre malien qui a 50 ans aujourd’hui n’ avait que 20 ans en 1991 ! Ce cadre de 50 ans est le fruit des oeuvres des grands democrates : malhonnêteté , médiocrité et manque de patriotisme tout en étant champion du moindre effort ! SI CETTE GÉNÉRATION POUVAIT SAVOIR QU’ ELLE A L’ OPPORTUNITÉ D’ OUVRIR LA PLUS BELLE PAGE DE L’ HISTOIRE DU MALI !
Que DIEU sauve le Mali !
Que DIEU sauve le Mali !
Que DIEU sauve le Mali !
On choisit une profession par amour, pas seulement pour le montant du salaire. Les enseignants qui nous ont formés, dans nos villages, souvent, n’avaient même pas “le mil rouge”, l’aliment bétail des Américains qui était envoyé au Mali des années 70, et étaient détournés ou envoyé dans les localités dont certains membres du Cmln (le comité militaire de liquidation nationale) étaient originaires.
Je ne dis pas que les enseignants n’ont pas le droit revendiquer, mais il faut quand même penser au pays. Premiers responsables de la formation des citoyens, ils ne doivent pas se comporter comme de voyous. Autrement, il faut à nouveau décider d’une “suspension de deux ans”, sans salaire. C’est excessif pas la situation actuelle du Mali, si on ne veut pas se laisser mourir en tant que nation, nécessite une thérapie de cheval.
Comme dit le Vieux Mandimgo furibard, personnage du roman “Pagne de femme” d’un écrivain malien “Si l’on ne veut pas se bouger par nous-mêmes, d’autres nous le feront faire, à coups de trique dans les fesses s’il le faut” (Pagne de femme”, 2007). C’est d’ailleurs ce qui est en cours.
Je ne sais vraiment pas ce que certains maliens veulent . Tantôt on dit le Dr Choguel K. MAIGA veut prolonger la transition â sa guise , tantôt on impose des problèmes liés a l’argent qui fait defaut , IBK et sa mafia ayant tout bouffé. Ceux qui ont peur d’être en prison veulent qu’on organise des élections même bâclées pour reprendre â voler . La seule solution de sortie de crise , laissons la transition continuer son chemin pour 3 ans au moins comme a demandé le grand Cherif de Nioro. Je ne veux pas que la transition prenne fin en fevrier 2022 au risque de voir le pays plongé dans une crise post-électorale sans précédent. Tout le monde sait que les caisses de l’Etat sont vides , que ces fonds ont été volé par le roi fainéant. La communauté internationale qui doit nous aider est en complicité avec l’ennemi du Mali à savoir la France.
Est-ce que le PM veut dire que l’article 39 permet aux cadres de la categorie B de l’education d’etre mieux paye’s que les cadres de la categorie A du meme corps? OUBIEN IL COMPARAIT LA CATEGORIE B DE L’EDUCATION A’ LA CATEGORIE A D’AUTRES CORPS. SI TEL EST LE CAS, IL A TORT CAR LES FONCTIONS SONT DIFFERENTES. PAR EXEMPLE, UN SIMPLE AGENT DE LA DOUANE GAGNE PLUS QU’UN CADRE DE LA CATEGORIE A DE L’EDUCATION. IL NE FAUT PAS COMPARER LES ORANGES AUX POMMES. L’ARTICLE 39 DOIT ETRE APPLIQUE’ CAR LES NEGOCIATIONS ONT EU LIEU ET LE GOUVERNEMENT A SIGNE’. L’ETAT EST UNE CONTINUITE’. PERSONNE NE VOUS A DIT DE FAIRE LE COUP D’ETAT POUR DIRIGER NOTRE FASO. COMME VOUS VOUS ETES DONNE’S LA MISSION, IL FAUT L’EXECUTER! SI VOUS NE POUVEZ PAS RESPECTER LES ENGAGEMENTS DE L’ETAT MALIEN, IL FAUT QUITTER!!!!
LE ROI BITON DE SEGOU, pouvez vous nous prouver qu’un agent de la douane de catégorie B gagne plus en salaire qu’un cadre de l’enseignement? Ne parlons pas pour parler, aillons des preuves de nos dits.
MD, As-tu remarque’ les villas qui appartiennent a’ certains douaniers? Tu peux faire semblant de ne rien connaitre mais les faits sont tetus. Je te conseille de lire ce que les rapports a’ propos de la corruption au Mali disent de certains corps dont la douane. Ceci etant dit, je reconnais qu’il y a des douaniers qui sont honnetes. N’OUBLIONS PAS LES AVANTAGES QUE TOUS LES DOUANIERS ONT! L’ARTICLE 39 EST UN SALUT POUR CELLES ET CEUX QUI TRAVAILLENT POUR LE SECTEUR DE L’EDUCATION.
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