Candidat à la présidentielle de 2013, Cheick Modibo Diarra est certainement celui parmi les compétiteurs qui place le Mali au-dessus de tout. Son passage à la Primature le prouve à suffisance pendant que son combat pour un Mali heureux, à bien des niveaux, constitue un témoignage éloquent.
Astrophysicien, très réputé dans la communauté scientifique, ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco, né en 1952, Cheick Modibo Diarra comme tout bon Soudanais, a cultivé l’amour de la patrie à bas âge. On le retrouve alors dans le champ du Papa. CMD devient plus vite un amoureux de la terre. Lui qui aura la chance d’aller faire un tour à la lune. Il est retourné au Mali après des exploits qui lui ont permis d’honorer les couleurs nationales de par le monde. Cheick Modibo Diarra est propulsé au-devant de la scène suite aux évènements de 22 mars 2012. Ici, il démontra encore son engagement pour le Mali, son pays qu’il dit avoir aimé tant. En effet, nommé Premier ministre avec pleins pouvoirs, le 17 avril 2012 pour conduire la Transition au Mali, Cheick Modibo Diarra aura reçu à afficher une certitude à savoir : une constante dans sa volonté à mener le bateau de la transition malienne à bon port ; avec une présence effective, doté d’un caractère trempé, propre à lui, salué par certains, agaçant pour d’autres au service de la réalisation des deux missions de la transition selon l’Accord-cadre que sont : la récupération du nord Mali et l’organisation des élections transparentes et libres.
Mieux, qu’on le veuille ou non, qu’on le dise ou pas, le mérite revient au Premier ministre, Cheick Modibo Diarra d’avoir brillamment défendu en septembre dernier la requête du Mali à la tribune des Nations unies en faveur du déploiement des forces étrangères dans notre pays en vue de la libération des régions occupées par des mouvements armés. D’où la mobilisation à ce jour de la communauté internationale autour du Mali pour une sortie de crise.
Ce jour-ci, le Mali est au bord de l’explosion. Au nord on parle d’attaques pendant qu’au sud, on s’évertue à avoir la tête d’un Premier ministre qui aura placé la restauration de la dignité d’un pays au-dessus de tout. L’histoire est récente, connue de tous. On peut même affirmer que l’organisation de la présente présidentielle vient de là. Mais pour le candidat Cheick Modibo Diarra, la guerre est ailleurs. Celle qui devra être menée pour sortir le Mali dans un trou, creusé par une gestion démocratique de 20 ans. «Jamais, je ne me déroberai, jamais je n’hésiterai quand le devoir m’appelle. L’élection présidentielle du 28 juillet 2013 revêt un caractère particulier parce qu’elle se tient dans un contexte exceptionnel. Elle sera l’épilogue d’une vaste crise politique et institutionnelle de notre pays», dit-il.
Cette guerre de développement du Mali constitue un des axes forts du candidat Cheick Modibo Diarra. Il le dit et l’affirme à chacune de ses sorties durant sa campagne. Comment parler d’un Mali libre après crise sans souveraineté alimentaire. Oui, pour Cheick Modibo Diarra, la souveraineté alimentaire est d’abord et avant tout un combat des Maliens, unis et confiants pour le Mali. Un combat qu’il entend mener avec tous les Maliens. Mais, gagner ce combat suppose que le Mali a retrouvé confiance. Que les Maliens ont retrouvé confiance en eux- mêmes. C’est dire que la renonciation nationale est avant tout une nécessité. Le candidat Cheick Modibo Diarra entend s’atteler à cela.
Pour lui, le Malien doit aimer le Malien et aimer le Mali. Fondé qu’il est que l’amour de la patrie est l’ingrédient de l’engagement national, il cultive toujours cet amour pour le Mali. On comprend aisément alors le sens de sa seule promesse durant cette campagne. «Ce que je promets sans hésiter, c’est redonner à notre peuple la foi et la détermination ; c’est offrir à notre jeunesse courage et espoir ; c’est reconstruire un pays uni, prospère et développé, débarrassé du complexe de la honte et de l’humiliation», conclut-il. Encore le Mali au-dessus de tout. Décidément, cela est une passion chez cet homme.
Aminata BAGHAGHA
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Un homme de défi
L’ancien Premier ministre Cheick Modibo Diarra est perçu comme un homme de défi. Pendant que lui-même se définit comme un héritier des gros travailleurs de la terre. Ceci explique peut être cela. En tout cas, nommé Premier ministre de la transition et perçu dès au départ de sa mission comme un «homme dépassé» par ses détracteurs, Cheick Modibo Diarra aura su maîtriser la crise, au point qu’à peine quelques semaines après son départ de la Primature, le Mali retrouva l’espoir quant à une résolution de la crise du Nord avec l’intervention de la France à Konan, un certain 11 janvier 2013. La résolution d’une crise qui avait été entamée bien plutôt depuis son plaidoyer à la tribune des Nations unies, où il porta haut la voix du Mali. Défi ou exploit ? Le candidat Cheick Modibo Diarra affirme et juge aujourd’hui qu’il était au service du Mali, sa Partie !
Septembre 2012. La crise malienne est à son point fort. Elle dépasse les capacités politiques et militaires du Mali. Les autorités d’alors lancent un cri de cœur aux amis du Mali et à la communauté internationale. Engagé pour son pays et Premier ministre chargé de libérer le Mali, Cheick Modibo Diarra entame un processus de plaidoyer. Ici, on affirmera volontiers que le passage de Cheick Modibo Diarra, alors chef du gouvernement de la transition au Mali à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies n’est pas passé inaperçu.
Cheick Modibo Diarra a fièrement défendu la requête du Mali, demandant une intervention de la Communauté internationale à travers le déploiement des troupes étrangères pour libérer le Mali du joug des terroristes, des narcotrafiquants, des fous de Dieu et autres apatrides. Le message du chef du gouvernement malien a rencontré l’assentiment des Nations unies et a ouvert le boulevard à de nombreux ballets diplomatiques allant tous dans le sens de la reconquête des régions occupées.
Du reste, pendant son passage à la Primature, CMD n’a cessé d’entreprendre des missions à l’extérieur pour expliquer non seulement la démarche du Mali, mais aussi faire adhérer les uns et les autres à la cause du Mali qui consiste à déloger les frères égarés. En fait, le plaidoyer de CMD à la tribune des Nations unies a été un déclic à la résolution de la crise sécuritaire au Mali. Puisque c’est à l’intervention de celui-ci que les Nations unies ont adopté la Résolution 2071 consacrant l’autorisation de l’envoi de troupes étrangères sur le sol malien. Or, bien avant, c’était le statut quo. Mais le Premier ministre est parvenu à faire entendre la voix du Mali dans les instances internationales.
Sa candidature à la présidentielle 2013 s’inscrit dans cette logique : faire du Mali ce pays connu et reconnu comme un pays de paix, qui, aujourd’hui, est sans repères. «Ce pays, connu et reconnu hier comme une terre d’histoire et d’épopée est aujourd’hui la risée du monde. Ce pays riche de sa diversité culturelle est aujourd’hui la terre d’une nation humiliée. Ce pays carrefour de civilisations est aujourd’hui à la recherche de ses repères. Les maux dont souffre notre chère Patrie ont été suffisamment diagnostiqués. Les causes en sont connues. C’est parce que nous pensons, pour y remédier, que nous briguons la magistrature suprême», explique CMD.
Difficile donc de ne pas le croire, car l’homme est réputé jusque-là avoir relevé tout ce qu’il a considéré comme défi. Ajouter à cela le fait que dès lors qu’il s’agit du Mali, sa détermination est sans faille et on comprend mieux sa motivation dans la présidentielle de 2013.
LA MISSION DE CMD ETAIT CLAIRE: LA RECUPERATION DU NORD (chercher de l’aide auprès des maliens et de la communauté internationale qui s’étaient mis à sa disposition) ET LES ELECTIONS.
AU LIEU DE CELA QU’EST CE QU’ON A VU?
– le minage de notre administration par des nominations de ses pions,
– la radiation de certains fonctionnaires biens ciblés en oubliant les 2 000 faux diplômés annoncés,
– la dissimulation de l’avis (n°2012-003/CCM du 31 mai 2012de la Cour Constitutionnelle sur la durée du mandat du Président par intérim
– la manipulation du décret signé par le Président de la République lors de la formation du GUN
– toutes les manipulations possibles pour s’attirer les faveurs des gamins de Kati au détriment des intérêts du pays.
– vouloir à tout prix se présenter aux élections présidentielles en tant qu’un des acteurs principaux de la transition.
……
SI « KONNA » EST ARRIVE C’EST PARCEQU’EN HUIT MOIS TU A OUBLIE LA MISSION QU’ON L’AVAIT CONFIEE. CE QUI A FAIT QUE LES BÂ..TARDS ARMES ONT EU TOUT LE TEMPS DE SE PREPARER ET OSES ATTAQUES LE RESTE DU PAYS.
Aujourd’hui on veut nous faire croire que c’est grâce à CMD que le déploiement des forces étrangères dans notre pays et la mobilisation de la communauté internationale autour du Mali pour une sortie de crise sont les oeuvres de ce maître dans l’art de la manipulation!!!! 😆 😆
Un jour pas de forces étrangères (pour faire plaisir au CND…, COPAM, au associations musulmanes,…)
Et le lendemain oui à une intervention étrangère (pour suivre les autres sensibilités et surtout la communauté internationale aux yeux de qui il avait perdu toute crédibilité.)
ASTROSUMOMANUP sera un DANGER POUR LE MALI.
Une vraie deception CMD, il n’a jamais rempli le fourreau qu’on lui pretait.
Quelle honte!!!
CMD mérite. être Président du Mali.
C’est Allah qui donne le pouvoir à qui il veut.Nous Le prions de l’accorder à CHEICK MODIBO pour le bonheur de notre pays .Amine.
Que Dieu te bénie CMD et que Dieu Bénie le MALI amine
QUE LE BON DIEU VOUS BÉNISSE CMD POUR TOUT CE QUE VOUS AVEZ FAIT POUR LE MALI;
MALHEUREUSEMENT , CE PAYS EST REMPLI D’IGNORANTS ET D’INGRATS;
CMD VOUS AVEZ BEAUCOUP D’ATOUTS , NE VOUS DÉCOURAGEZ PAS , LE MALI A BESOIN DE VOTRE SAVOIR , DE VOTRE SAVOIR-FAIRE ET DE VOTRE SAVOIR-ÊTRE;
L’UN DES PLUS GRANDS MALHEURS DE CE PAYS C’EST L’IGNORANCE!
QUE DIEU VOUS BÉNISSE CMD! VOUS ÊTES NOTRE FIERTÉ.
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