L’opposition a renoué avec cette violente campagne d’intoxication contre le régime, à travers le Premier Ministre, dont le seul tort est d’avoir bénéficié de la confiance du président de la République, Amadou Toumani Touré.
rn
Ce qui est le plus important pour lui, d’autant que sa légitimité vient de ce que celui qui lui fait ainsi confiance a été réélu avec 70% de voix, donc une confiance absolue des Maliens. C’est dire que l’affirmation selon laquelle 8 Maliens sur 10 n’aiment pas le PM, n’a pas de fondement. Le Premier Ministre, contrairement aux politiciens, n’est pas jugé sur la popularité, mais sur les résultats qu’il enregistrera à la tête de l’équipe gouvernementale.
rn
rn
En réalité, l’opposition, précisément le PARENA, n’a rien retenu de sa déroute lors des dernières élections générales, au cours de laquelle les Maliens l’a renvoyée à ses chères études. En effet, ses scores minables témoignent à suffisance qu’ils se trompent sur les Maliens, qu’on ne peut plus mener en bateau avec des contrevérités et de l’intoxication. Nos compatriotes n’ont pas besoin que le nouveau PM soit aimé, mais seulement qu’il serve leur cause, celle d’un développement harmonieux de notre pays. Les jeunes individus de l’opposition n’ont encore rien compris, en continuant de recourir à des sondages qui n’ont de réalité que dans leur tête. C’est pourquoi, ils ne se réveilleront qu’avec une nouvelle claque, qui les enverra dans un coma profond.
rn
rn
Markatié Daou
rn
rn
rn
rn
rn
rn
rn
BILLET – Le Mali doit-il continuellement se laisser vilipender par des rapports sans fondement ?
rn
rn
Le Mali est un pays en développement situé au cœur de l’Afrique occidentale. Avec ses 11 millions d’âmes à moitié vivant sous le seuil de la pauvreté avec revenu de moins d’un (1) dollar par jour, et une balance commerciale déficitaire, le pays présente une économie tributaire des conjectures extérieures.
rn
rn
D’où la sollicitation d’aides et d’appuis extérieurs. Mais est-ce une raison pour que des personnes de moralités douteuses aillent jusqu’à monnayer la crédibilité de leur patrie au diable au nom d’intérêts personnels sordides. C’est malheureusement le triste constat qui s’offre à plus d’un Malien suite aux innombrables publications des rapports soit sur la situation économique du pays soit sur les institutions publiques de ce dernier. Au regard de la fréquence des rapports de crédibilité douteuse sur le pays ou sur ses institutions, ne conviendrait-il pas que l’Etat s’assume enfin ? En tout cas ne ce serait que pour préserver sa notoriété face à l’assaut de certains prédateurs dont la moralité ou le niveau d’instruction est insuffisant. Sans faire d’une priorité l’identification du ou des auteurs ou instigateurs de ces torchons, l’Etat doit enfin s’assumer ne ce serait que pour ne pas se faire passer pour un rat de laboratoire sur lequel n’importe quel apprentis sorcier peut s’en prendre impunément. Quelles que soient les conséquences. Hélas ! Le hic dans tout ça c’est qu’il y a derrière ces actes bannissables, antipatriotiques et de haute trahison, des gens qui se disent fils du pays.
rn
rn
Certains d’entre ces faux dignes fils du Mali ont été démasqués juste après la publication du rapport de 2005 du PNUD qui a classé le Mali 175e sur 177. A peine un an après cette publication autant tendancieuse que fallacieuse, un autre pamphlet dénommé rapport du FIDH sur la gestion des ressources minières vient de paraître incriminant encore le Mali. Pourtant, rien que par le temps que cette enquête (menée par un certain journaliste présumé spécialiste des questions d’Afrique) a pris l’on peut douter sur sa rationalité et la démarche qui a n’aboutit à sa publication. A défaut de pourvoir empêcher ces genres de publications sur fonds de dénigrement contre notre le Mali, celui-ci doit se donner le devoir de voir clair dans les critères de classement.
rn
rn
Markatié Daou
rn
“