Si apparemment, les candidats ont en commun un projet presque identique, la différence pourrait venir du gros coup joué par le candidat du Rassemblement Pour le Mali (RPM), Ibrahim Boubacar Keita, qui est allé tenir son meeting de présentation de son programme, dans le stade le plus grand du Mali(le stade du 26 mars, 50 000 places) au moment où les autres se contentaient des petites salles de réunion et des petits stades de football.
Cette démonstration de force du parti des tisserands a tellement impressionné les médias internationaux au point qu’ils se sont tous permis de dire que, dans l’histoire politique malienne, aucun parti politique n’a jamais mobilisé seul autant de monde. Une façon pour eux de dire qu’IBK est bien parti pour jouer un joli coup cette année. Wait and see, diront les anglais.
De toutes les façons, c’est une lapalissade de dire que cette élection du 28 juillet prochain sera alléchante et âprement disputée, au regard des enjeux et des gros calibres qui participent à la course, dont Ibrahima Boubacar Keita, Cheikh Modibo Diarra, Zoumana Sacko, Modibo Sidibé, Soumaila Cissé, etc…
Les échos du passage des deux derniers nommés, successivement à Kayes et à Mopti, témoignent du caractère très ouvert de cette présente joute électorale.
Dramane Dembélé
Le club des amis de Yacouba Traoré renouvelle son soutien à IBK
Comme en 2012, le club des amis de Yacouba Traoré a décidé une nouvelle fois de soutenir la candidature de l’ancien premier ministre, Ibrahim Boubacar Keita, à la présidentielle de cette année. Une foule de militants et de sympathisants du club et du parti RPM, pour être des témoins oculaires de cette cérémonie de soutien qui s’est déroulée au palais de la culture, sous la présidence de Mme Keita Aminata Maiga, épouse du candidat.
La rencontre a été l’occasion pour les responsables de l’association d’avancer les raisons de ce soutien. Raisons qui se résument essentiellement au travail accompli par l’homme à la primature et à l’assemblée nationale qu’il a dirigé cinq ans durant sous la première mandature de l’ex président Amadou Toumani Touré(ATT). « IBK est l’homme de la situation. Il a fait ses preuves quant il était aux affaires», pouvait-on entendre dans les différentes interventions. Le président Yacouba Traoré, le secrétaire à la communication, Boubacar Touré et le représentant du club en France ont tour à tour invité les militants à aller retirer leurs cartes d’électeurs pour accomplir leur devoir de citoyen. Surtout que l’élection se passe dans la plus grande transparente pour le bien être d’un pays qui en a trop souffert.
La journée a été agrémentée par les cantatrices de renoms comme les Sadio Sidibé et autres qui ont tenu le public en haleine.
Dramane Dembélé
Merci Dabo, Ceux ci sont a etre ecrit en lettre d’or ds les annales du Mali
1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité.
2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
3 – IBK est cynique.
4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause
5 – IBK se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté
6 – IBK est un revanchard
7 – C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir
8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT.
10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires.
bien dit boucher.ibk=gbagbo
Nous encourageons zénith balé à continuer son acharnement contre IBK.Contrairement à ses calculs, ces déclarations ne font que confirmer l’Etat de martyre politique qu’est IBK.On a tout fait et tout dit pour faire disparaitre à jamiais de la mémoire des Maliens l’image du Malinké, mais peine perdue.Comme on le dit c’est la lune d’IBK qui s’est érigée sur la tête de tous et à défaut de pouvoir la masquer, alors on s’adonne aux jeux favoris de la circonstance :la diffamation, le dénigrment et le chantage et que sais-je encore.Certains se sont arrangés de son côté sans le vouloir ou par ignorance vraiment.En tout cas rendez vous est donné au soir du 28/07/2013.Le peuple Malien n’a rien oublié du passage de l’homme aux hautes commandes de l’Etat. Nous savons tous ce qu’il a fait et obtenu comme résultat.Raison pour laquelle, il est le candidat préféré d’une majorité des Maliens.Nous lui souhaitons bonne chance.
SI IBK A DIX “CARACTERES” MANQUANTS,LES AUTRES EN ONT 100. HOMME DE FERMETTE QU’IL LUI SUFFIT DE CHOISIR UN PREMIER MINISTRE ECONOMISTE ET LE TOUR EST JOUE.
C’est plutot Dieu qui cree la difference! Le Mali a trop souffert…Que Dieu nous aide!
LE MALHEUREUX BOUCHER L’HEURE N’EST PLUS POUR LES HISTOIRE ARRÊT TES COMMÉRAGES ET VIENT VOTER IBK. VOTER IBK C’EST FAIRE LE CHOIS DE LA PAIX, LA SÉCURITÉ, LA STABILITÉ ET LE DÉVELOPPEMENT DE NOTRE CHER MALIBA.
Rafler la mise, créer la différence, en tout cas faite attention on vole des cartes .
Ainsi la mienne celle de mon épouse et d’une de mes filles ont été enlevées par on ne sait qui
Pouvez vous cher citoyens m’orienter pour que nous puissions exprimer nos suffrages
Est ce que j’ai une voie de recourt? si oui Laquelle?
Vive le mal iiiiiii
Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
Par Zénith Balé –
Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!
1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité.
2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec. L’école a connu ainsi la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette de IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. A cela s’ajoute la création des fameux groupes de ninjas au service de missions politiques hautement criminels.
Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de la déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres… Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à un meeting, du reste légal en démocratie, où un policier par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques.
La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces piliers qui étaient dans le collimateur de IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai !
3 – IBK est cynique.
Lors de sa gestion chaotique de l’école malienne, le bureau conduit par Zarawana a commis l’imprudence d’observer une grève de la faim. Empêtrés comme un troupeau dans la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, aucune intervention, aucune prière, aucune action d’envergure n’a aboutit à faire reculer IBK. Les enfants ont fini par observer la grève de la faim. Et tous l’ont observé avec la dernière rigueur. Ce qui a conduit un enfant à l’hôpital, mais qui a refusé de se faire administrer le sérum, car déterminé plutôt à mourir que d’être la risée de ses camarades. C’est alors que Alpha a refusé de suivre IBK et a ordonné la libération des étudiants.
4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient énormes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre). Après une marche organisée par ses partisans, il dit ne pas être d’avis avec eux, malgré la particpation des autres leaders de son parti, ainsi mis en cause.
Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Comme si la faute incombat aux enfants de pauvres. Est-ce ce qu’il cherchait, l’exclusion d’enfants pauvres, en refusant d’apporter aux étudiants les conditions adéquates pour la culture de l’excellence ? Et en faisant la guerre aux enseignants dont le professeur Feu Mamadou Lamine Traoré et autres syndicalistes?
5 – IBK c’est la bourgeoisie personnifiée. Il ne peut pas se réveiller avant 9 h deux fois dans l’année. Il aime couper toutes les routes à son passage, entouré de serviteurs. Il est partisan des dépenses faramineuses pour être à l’aise dans ses fonctions. D’ailleurs il se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté.
6 – IBK est un revanchard. Fidèle parmi les fidèles de Alpha Oumar Konaré, il a connu une ascension fulgurante durant la présidence de ce dernier : Conseiller à la Présidence, Ambassadeur, Ministre des Affaires étrangères, Premier Ministre, Président de l’ADEMA…, qui dit mieux ?
Dès que sa candidature naturelle à la présidence de la République a été contestée, et qu’il fut question de le remplacer à la Primature en 2000, il s’estime trahi, quitte l’ADEMA et dans la foulée, crée le RPM, en s’appuyant sur le courant de sympathie créée par cette pseudo-trahison. C’est alors le début du mythe !
Il crée « Espoir 2002 » avec le CNID, le MPR qu’il a combattus à la tête de l’Adéma et s’attache d’autres petits partis pour mieux aborder les élections générales de 2002. Il finira par briser cet espoir. Et il en sera de même pour son alliance contre nature avec Soumeylou. Retenez cela pour dit.
A la date d’aujourd’hui, il faut reconnaître que IBK a tout perdu de sa splendeur d’antan qui relevait plutôt de l’accompagnement de ses camarades de l’Adéma d’abord et ensuite du CNID et du MPR. Mais puisque pour IBK ces camarades ne boivent plus dans la même soupe que lui, alors il lui faut prendre sa revanche. Il faut que tous soient à sa merci, il lui faut le commandement, lui qui est serait fait pour commander.
7 – IBK est prêt même à la compromission pour le pouvoir. Pour preuve, tout le monde le voit aujourd’hui siroter publiquement la lie de la compromission avec Soumeylou Boubèye Maïga, celui-là avec lequel il n’a jamais été sur le même diapason politique. Soumeylou a été plutôt connu comme l’ami de longue date de Soumaïla Cissé, comme le compagnon transitoire de Amadou Toumani Touré et comme l’homme de main de Alpha Oumar Konaré. Comment peut-on être en désaccord avec tous ces trois et être en harmonie avec SMB ? C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir.
8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
A la présidentielle de 2002, il est dans le tiercé de tête, exactement à la troisième place, après que près de 500 000 voix aient été annulées. Il crie à l’injustice, se déclare victime de ces manipulations de suffrages et surtout seule victime de ces annulations de voix ! Car IBK à l’époque avait indiqué que c’était lui qui était arrivé en deuxième position, en laissant croire que la crainte du pouvoir en place, c’est-à- dire d’Alpha Oumar Konaré, c’était que si IBK arrivait au deuxième tour, il avait de grandes chances de battre ATT. Alors qu’il y avait eu des manipulations du scrutin de façon à ce que ce soit Soumaïla Cissé qui arrive en deuxième position. Mais à la vérité, IBK a été troisième, et il le savait bien. Pour preuves, les chiffres vérifiables auprès de la Cour Constitutionnelle donnent plutôt Soumaïla non seulement gagnant devant IBK, mais avec plus de suffrages et de PV invalidés que lui.
En voici la preuve :
– Nombre de suffrages invalidés pour chaque candidat :
* Soumaïla Cissé = 333 525 voix soit 21,31%
* IBK = 329 143 voix soit 21,03 voix%
En intégrant les PV invalidés on obtient :
* Soumaïla Cissé = 479 728 voix soit 22,79%
* IBK = 432 504 voix soit 20,55%.
Une petite soustraction permet de constater que Soumaïla Cissé est largement en tête des PV invalidés par rapport à IBK (Soumi = 146 203 voix invalidées ; IBK = 103 361 voix invalidées).
Nous ne désespérons pas de donner par cette occasion la bonne information à tous ceux qui sont tombés dans le piège de la mystification et de la victimisation dont IBK est passé maître.
A contrario, qui a entendu une plainte quelconque de Soumaïla Cissé par exemple ? Nous n’en avons pas souvenance.
9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. Pour lui, c’est Alpha Oumar Konaré qui a facilité l’élection de Att, mais il oublie soigneusement de dire que c’est bien lui IBK qui a apporté ses suffrages à ATT au second tour pour lui permettre de l’emporter contre Soumaïla Cissé ! Aussi, cette accusation est-elle la preuve que IBK n’est pas reconnaissant envers Alpha qui a fait de lui tout ce qu’il fut avant la présidentielle de 2002. Et n’est-ce pas ATT à son tour qui a fait de IBK le président de l’Assemblée Nationale, certainement en reconnaissance de son soutien à lui lors de cette présidentielle ? Car IBK avait moins de députés que l’Adéma, et à ce jour c’est le cas car il a moins de députés que même l’URD pourtant née après le RPM.
10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires. Quelle parole a-t-il respectée ? Si nos souvenirs sont bons, cette chanson « Kankeletigi » a été chantée par Djénéba Seck pour magnifier le geste du Président de la Transition et de ses collègues qui avaient promis de remettre le pouvoir à l’issue de la Transition et qui l’ont fait !
C’est cela la parole donnée et qui pourrait servir aujourd’hui encore d’exemple à ceux qui conduisent en ce moment la Transition. Au-delà de la mystification, c’est un véritable hold-up !
La mystification suit son chemin quand aux lendemains du coup d’Etat du 22 mars 2012, après une condamnation de façade et un bref passage au FDR, IBK s’est posé et présenté comme le principal opposant à ATT. Posture qu’il garde encore ! Quel bluff ! En quoi et à quoi » Kanfilatigi « s’est-il opposé ?
Président de l’Assemblée Nationale et membre de la majorité gouvernementale, il feint de s’opposer aux Accords d’Alger et les dénonce urbi orbi, mais quand il a fallu concrétiser cette opposition et franchir le rubicond en quittant l’attelage gouvernemental, il freina des quatre fers et avala son chapeau.
Le scénario identique se produisit lors du vote de la loi instituant le Vérificateur Général, il dit s’être disputé avec sa conscience, mais en fin de compte comme toujours, il ne joignit point l’acte à la parole, et la loi fut votée. Nous pouvons citer à n’en plus finir des cas similaires.
Le 22 mars 2012, il faisait partie de la majorité présidentielle et du gouvernement d’ATT, il fut l’un de ses plus proches collaborateurs de 2002 à 2012, et le jour où il fut décoré de la légion d’honneur française il n’eut de cesse de remercier ATT en se jetant dans ses bras lui disant que grâce à lui tout cela a été possible. Att, lui, s’en souvient.
Incorrigible il a déclaré sur RFI avoir pleuré le jour de la retraite de Tessalit par notre armée. Mais a-t-il exprimé ses sentiments ce jour à ATT ? A-t-il fait une déclaration publique sur une radio ou une télé malienne ? Que nenni ! Alors, que nous valent aujourd’hui ces larmes à retardement ? Lui seul le sait !
A force de postures, de positionnement, de revirements, de reniements, cet homme est devenu insaisissable, incohérent et infréquentable. Il finira cependant un jour par être rattrapé par la réalité, sa réalité, un homme politique ambitieux et velléitaire, opportuniste et banalement ordinaire, un Tartarin de Tarascon ou un Don Quichotte des temps modernes ! Un homme fini
Boucher ton bla bla bla et bcp trop loin je sais pas comment tu va faire mais ces IBK qui va etre notre future présidant 😆 😆
SI IBK A DIX “CARACTERES” MANQUANTS,LES AUTRES EN ONT 100. HOMME DE FERMETTE QU’IL LUI SUFFIT DE CHOISIR UN PREMIER MINISTRE ECONOMISTE ET LE TOUR EST JOUE.
Cette élection est basée sur la lutte contre la corruption injustice L’Education L’Insécurité reconciliation entre les maliens c’est pour ceux la je vote pour IBK
oui c’est l’homme de la situation, mais il faut qu’il fasse attention au promesse car une promesse c’est une dette. Tu es applaudit par tt le monde les religieux en première ligne, la société civile, les militaire en grande partie, les étudiant, bref la majorité des maliens non corrompus. Alors pense à nous. On a pas besoin de ton argent mais ta rigueur sur le bien public, une justice impartiale, une administration au service du peuple, une fonction publique sans magouille.
Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
Par Zénith Balé –
Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!
1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en av
Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
Par Zénith Balé –
Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!
1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité.
2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec. L’école a connu ainsi la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette de IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. A cela s’ajoute la création des fameux groupes de ninjas au service de missions politiques hautement criminels.
Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de la déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres… Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à un meeting, du reste légal en démocratie, où un policier par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques.
La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces piliers qui étaient dans le collimateur de IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai !
3 – IBK est cynique.
Lors de sa gestion chaotique de l’école malienne, le bureau conduit par Zarawana a commis l’imprudence d’observer une grève de la faim. Empêtrés comme un troupeau dans la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, aucune intervention, aucune prière, aucune action d’envergure n’a aboutit à faire reculer IBK. Les enfants ont fini par observer la grève de la faim. Et tous l’ont observé avec la dernière rigueur. Ce qui a conduit un enfant à l’hôpital, mais qui a refusé de se faire administrer le sérum, car déterminé plutôt à mourir que d’être la risée de ses camarades. C’est alors que Alpha a refusé de suivre IBK et a ordonné la libération des étudiants.
4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient énormes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre). Après une marche organisée par ses partisans, il dit ne pas être d’avis avec eux, malgré la particpation des autres leaders de son parti, ainsi mis en cause.
Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Comme si la faute incombat aux enfants de pauvres. Est-ce ce qu’il cherchait, l’exclusion d’enfants pauvres, en refusant d’apporter aux étudiants les conditions adéquates pour la culture de l’excellence ? Et en faisant la guerre aux enseignants dont le professeur Feu Mamadou Lamine Traoré et autres syndicalistes?
5 – IBK c’est la bourgeoisie personnifiée. Il ne peut pas se réveiller avant 9 h deux fois dans l’année. Il aime couper toutes les routes à son passage, entouré de serviteurs. Il est partisan des dépenses faramineuses pour être à l’aise dans ses fonctions. D’ailleurs il se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté.
6 – IBK est un revanchard. Fidèle parmi les fidèles de Alpha Oumar Konaré, il a connu une ascension fulgurante durant la présidence de ce dernier : Conseiller à la Présidence, Ambassadeur, Ministre des Affaires étrangères, Premier Ministre, Président de l’ADEMA…, qui dit mieux ?
Dès que sa candidature naturelle à la présidence de la République a été contestée, et qu’il fut question de le remplacer à la Primature en 2000, il s’estime trahi, quitte l’ADEMA et dans la foulée, crée le RPM, en s’appuyant sur le courant de sympathie créée par cette pseudo-trahison. C’est alors le début du mythe !
Il crée « Espoir 2002 » avec le CNID, le MPR qu’il a combattus à la tête de l’Adéma et s’attache d’autres petits partis pour mieux aborder les élections générales de 2002. Il finira par briser cet espoir. Et il en sera de même pour son alliance contre nature avec Soumeylou. Retenez cela pour dit.
A la date d’aujourd’hui, il faut reconnaître que IBK a tout perdu de sa splendeur d’antan qui relevait plutôt de l’accompagnement de ses camarades de l’Adéma d’abord et ensuite du CNID et du MPR. Mais puisque pour IBK ces camarades ne boivent plus dans la même soupe que lui, alors il lui faut prendre sa revanche. Il faut que tous soient à sa merci, il lui faut le commandement, lui qui est serait fait pour commander.
7 – IBK est prêt même à la compromission pour le pouvoir. Pour preuve, tout le monde le voit aujourd’hui siroter publiquement la lie de la compromission avec Soumeylou Boubèye Maïga, celui-là avec lequel il n’a jamais été sur le même diapason politique. Soumeylou a été plutôt connu comme l’ami de longue date de Soumaïla Cissé, comme le compagnon transitoire de Amadou Toumani Touré et comme l’homme de main de Alpha Oumar Konaré. Comment peut-on être en désaccord avec tous ces trois et être en harmonie avec SMB ? C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir.
8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
A la présidentielle de 2002, il est dans le tiercé de tête, exactement à la troisième place, après que près de 500 000 voix aient été annulées. Il crie à l’injustice, se déclare victime de ces manipulations de suffrages et surtout seule victime de ces annulations de voix ! Car IBK à l’époque avait indiqué que c’était lui qui était arrivé en deuxième position, en laissant croire que la crainte du pouvoir en place, c’est-à- dire d’Alpha Oumar Konaré, c’était que si IBK arrivait au deuxième tour, il avait de grandes chances de battre ATT. Alors qu’il y avait eu des manipulations du scrutin de façon à ce que ce soit Soumaïla Cissé qui arrive en deuxième position. Mais à la vérité, IBK a été troisième, et il le savait bien. Pour preuves, les chiffres vérifiables auprès de la Cour Constitutionnelle donnent plutôt Soumaïla non seulement gagnant devant IBK, mais avec plus de suffrages et de PV invalidés que lui.
En voici la preuve :
– Nombre de suffrages invalidés pour chaque candidat :
* Soumaïla Cissé = 333 525 voix soit 21,31%
* IBK = 329 143 voix soit 21,03 voix%
En intégrant les PV invalidés on obtient :
* Soumaïla Cissé = 479 728 voix soit 22,79%
* IBK = 432 504 voix soit 20,55%.
Une petite soustraction permet de constater que Soumaïla Cissé est largement en tête des PV invalidés par rapport à IBK (Soumi = 146 203 voix invalidées ; IBK = 103 361 voix invalidées).
Nous ne désespérons pas de donner par cette occasion la bonne information à tous ceux qui sont tombés dans le piège de la mystification et de la victimisation dont IBK est passé maître.
A contrario, qui a entendu une plainte quelconque de Soumaïla Cissé par exemple ? Nous n’en avons pas souvenance.
9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. Pour lui, c’est Alpha Oumar Konaré qui a facilité l’élection de Att, mais il oublie soigneusement de dire que c’est bien lui IBK qui a apporté ses suffrages à ATT au second tour pour lui permettre de l’emporter contre Soumaïla Cissé ! Aussi, cette accusation est-elle la preuve que IBK n’est pas reconnaissant envers Alpha qui a fait de lui tout ce qu’il fut avant la présidentielle de 2002. Et n’est-ce pas ATT à son tour qui a fait de IBK le président de l’Assemblée Nationale, certainement en reconnaissance de son soutien à lui lors de cette présidentielle ? Car IBK avait moins de députés que l’Adéma, et à ce jour c’est le cas car il a moins de députés que même l’URD pourtant née après le RPM.
10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires. Quelle parole a-t-il respectée ? Si nos souvenirs sont bons, cette chanson « Kankeletigi » a été chantée par Djénéba Seck pour magnifier le geste du Président de la Transition et de ses collègues qui avaient promis de remettre le pouvoir à l’issue de la Transition et qui l’ont fait !
C’est cela la parole donnée et qui pourrait servir aujourd’hui encore d’exemple à ceux qui conduisent en ce moment la Transition. Au-delà de la mystification, c’est un véritable hold-up !
La mystification suit son chemin quand aux lendemains du coup d’Etat du 22 mars 2012, après une condamnation de façade et un bref passage au FDR, IBK s’est posé et présenté comme le principal opposant à ATT. Posture qu’il garde encore ! Quel bluff ! En quoi et à quoi » Kanfilatigi « s’est-il opposé ?
Président de l’Assemblée Nationale et membre de la majorité gouvernementale, il feint de s’opposer aux Accords d’Alger et les dénonce urbi orbi, mais quand il a fallu concrétiser cette opposition et franchir le rubicond en quittant l’attelage gouvernemental, il freina des quatre fers et avala son chapeau.
Le scénario identique se produisit lors du vote de la loi instituant le Vérificateur Général, il dit s’être disputé avec sa conscience, mais en fin de compte comme toujours, il ne joignit point l’acte à la parole, et la loi fut votée. Nous pouvons citer à n’en plus finir des cas similaires.
Le 22 mars 2012, il faisait partie de la majorité présidentielle et du gouvernement d’ATT, il fut l’un de ses plus proches collaborateurs de 2002 à 2012, et le jour où il fut décoré de la légion d’honneur française il n’eut de cesse de remercier ATT en se jetant dans ses bras lui disant que grâce à lui tout cela a été possible. Att, lui, s’en souvient.
Incorrigible il a déclaré sur RFI avoir pleuré le jour de la retraite de Tessalit par notre armée. Mais a-t-il exprimé ses sentiments ce jour à ATT ? A-t-il fait une déclaration publique sur une radio ou une télé malienne ? Que nenni ! Alors, que nous valent aujourd’hui ces larmes à retardement ? Lui seul le sait !
A force de postures, de positionnement, de revirements, de reniements, cet homme est devenu insaisissable, incohérent et infréquentable. Il finira cependant un jour par être rattrapé par la réalité, sa réalité, un homme politique ambitieux et velléitaire, opportuniste et banalement ordinaire, un Tartarin de Tarascon ou un Don Quichotte des temps modernes ! Un homme fini
Présenter plutôt le projet de société de votre candidat et laisser les autres faire autant. Ne pensez pas que votre candidat est fort de la faiblesse des autres. Et ne pensez pas que votre candidat tirera sa popularité dans le dénigrement que les autres font l’objet. Cela ne vous grandit point.
SI IBK A DIX “CARACTERES” MANQUANTS,LES AUTRES EN ONT 100. HOMME DE FERMETTE QU’IL LUI SUFFIT DE CHOISIR UN PREMIER MINISTRE ECONOMISTE ET LE TOUR EST JOUE.
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