Le Biprem Fasoko n’est pas seulement un cercle de réflexion mais plutôt un groupe de patriotes engagés qui mènent avec sincérité et légalité des actions de construction et donnent des explications pour faciliter l’évaluation de ses réalisations. Ce Biprem Fasoko ne fera pas de réactions face aux actions de diversion des gens qui tentent vainement de faire obstruction à nos bonnes intentions et actions.
La démocratie et la justice tout comme la liberté d’expression sont des biens immatériels qui ne seront jamais offerts gratuitement et facilement aux hommes, aux groupes d’hommes, aux populations. Car, partout en Afrique, ceux qui ont le contrôle de ces biens précieux veulent jalousement et infiniment les utiliser à leurs seuls profits.
C’est dans contexte du 26 mars 2016, vingt cinquième anniversaire de l’historique date du 26 mars 1991, que nous avons décidé d’édifier l’opinion nationale et internationale sur notre plainte inédite. Ce 26 mars 91 qui a marqué le début de la démocratie multipartiste au Mali, fut malheureusement une révolution populaire inachevée. Car, il est déplorable de constater, 25 ans après, que tous ceux qui ne chantent pas les louanges du régime en place soient considérés comme des ennemis du pouvoir et traités comme tels( Brimade de la liberté d’expression, Censure du reportage de la conférence de presse du Biprem sur les antennes de la télévision nationale qui pourtant, a offert son plateau à ceux qui insultaient les responsables de cette association…)
Le Biprem Fasoko, Bloc d’Intervention Populaire et Pacifique pour la Réunification Entière du Mali, agit avec vigilance, vaillance, pertinence et patience mais sans complaisance. Telle est la source de sa compétence qui assure sa performance dans tout ce qu’il entreprend. Le Biprem Fasoko a toujours privilégié le dialogue, le respect de l’autre et la légalité pour défendre et promouvoir la paix et la justice sociales.
Nous continuerons à critiquer objectivement, à dénoncer fermement et à condamner courageusement tous ceux qui se serviront abusivement de notre Bien commun : Le Mali. Donc, nous sommes, nous-mêmes, ouverts à toutes les critiques, si dures soient-elles, qui sont faites avec objectivité et conviction. Car, le Biprem Fasoko qui exhibe et soutient la force de l’argument contre l’argument de la force, agit avec conviction en réfutant toute forme de conspiration et de manipulation. Nous sommes persuadés que c’est par la conviction qu’une action se réalise efficacement et perpétuellement.
La discrétion ne se renforce que dans la conviction
La capacité à ne pas divulguer un secret s’appelle la discrétion. Le scoop, un anglicisme francisé, est considéré comme une nouvelle ou information d’une très grande importance et exclusive que donne une agence de presse ou un journaliste.
Notre document de la plainte contre le président de la république a été un gros scoop. Comment pouvoir garder ce scoop jusqu’au jour J, alors qu’à dix jours de l’évènement, une dizaine de personnes savaient son existence ?
Le jeudi 25 février, l’annonce dans une dizaine de journaux et radios privés de notre bref communiqué de presse qui précisait que «… Rencontre suprême à laquelle vous entendrez une déclaration jamais faite au Mali. Vous constaterez une action jamais posée au pays…», a fait augmenter notre crainte d’une éventuelle fuite du contenu du document. Il était prévu que nous soyons cinq responsables ( 4 hommes et 1 femme) assis au panel face aux participants à notre conférence de presse inédite.
A 48 heures de la présentation publique de notre document confidentiel, 3 personnes sur 5 ont décidé de ne pas s’asseoir au panel pour éviter d’être sanctionnées par la perte de leurs emplois de la part des autorités dès après la prononciation de notre plainte contre le président de la république pour Haute trahison… Il ne restait que Dicko et moi pour annoncer et expliquer ladite plainte.
Quant aux courriers contenant les lettres de plainte, ils devaient être simultanément déposés à l’Assemblée nationale du Mali et à la Haute Cour de Justice entre 15h15 et 15h30 à seulement une heure du commencement de la conférence de presse prévue pour 16h30. Nos courriers sont bien arrivés aux deux destinations seule l’Assemblée Nationale, après lecture de la plainte, n’a pas donné de décharge.
La conférence inédite a été un franc succès. Le contenu du document bien élaboré et résumé en une seule page a impressionné. Les deux conférenciers ont brillamment fait des communications retentissantes. La presse, nationale et internationale, a relayé fidèlement les faits partout au monde de façon resplendissante. Par leur engagement avec conviction dans le Biprem Fasoko, les responsables ont fait preuve d’une grande capacité de discrétion qui leur a valu l’estime et la confiance d’un très grand nombre de citoyens patriotes.
L’Assemblée Nationale du Mali bloque la voie démocratique
Nous savons ce que nous faisons. Nous avons bel et bien déposé notre Plainte contre le Président IBK à l’Assemblée nationale du Mali accompagnée d’un bulletin d’envoi, le 1er mars 2016, entre 15h et 15h30. Le service courrier de cette institution nous a souligné toute interdiction de prendre un courrier sans lire son contenu, et ce, selon les instructions du président de l’Assemblée Nationale. Dès qu’ils ont ouvert l’enveloppe et lu notre plainte, ils ont refusé de la garder et de la décharger. Donc nous pouvons affirmer que notre Plainte a bel et bien été reçue par l’Assemblée Nationale même si elle n’a pas été déchargée comparativement à celle déposée, le même jour, au même moment, à la Haute Cour de Justice, par précaution, selon les recommandations de nos avocats.
Genèse et évolution du Biprem Fasoko
C’est sous le nom de AJADUR Association des Journalistes et Animateurs pour la Démocratie, l’Unité et la République, que la lecture télévisée de cette « DÉCLARATION : Sur l’Embargo total de la CEDEAO contre le Mali » a été faite au début du mois d’avril 2012 pour fustiger cette inacceptable décision. Pour permettre à d’autres citoyens d’adhérer le groupe, deux semaines après, il a pris le nom de Biprem Fasoko dans le même but de poser des actions pour la réunification qui passe par la vérité et la transparence dans la gouvernance au Mali. Au début, en 2012, nous n’étions que 7 membres. Aujourd’hui, nous avons 344 membres et des milliers de sympathisants au Mali, en Afrique et dans le monde. C’est le même Biprem Fasoko qui, entre autres, a :
– Déposé en mai 2012 dans les mains de l’ancien Procureur Général…Daniel Tessougué, une Plainte pour haute trahison contre l’ancien président de la République, Amadou Toumani Touré, dit ATT
– Réussi, à travers les médias et sur le terrain, en décembre 2012, une forte sensibilisation de plus d’une centaine de milliers de maliens offusqués qui voulaient participer à notre grande marche pacifique de libération du nord malien. Une personnalité malienne a insisté et obtenu la suspension de cette manifestation. Dès après cette suspension, le 31 décembre 2012, l’intervention de l’Armée française s’est produite le 11 janvier 2013 dans la partie nord de notre pays.
– Réuni plus de 10.000 personnes(sur 25.000 qu’on espérait), lors d’un grand meeting au stade Omnisport Modibo Keita, en fin octobre 2014, avec l’appui d’autres associations patriotes, pour soutenir ouvertement notre Armée nationale, notre gouvernement, notre président IBK et notre délégation qui se trouvait en pourparlers à Alger autour d’un Accord de paix en élaboration.
– Animé une conférence de presse spéciale à la maison de la presse, en juillet 2013, pour mieux sensibiliser la presse nationale sur son délicat rôle en période électorale dans notre Mali fragilisé par la guerre. C’était notre invité spécial, Mamadou Kaba,un grand pionnier du journalisme au Mali(paix à son âme) qui était le conférencier
– organisé avec d’autres associations, en février 2015, une manifestation pacifique légale de protestation contre un accord d’Alger 2015 approuvé par nos dirigeants sous pression de l’extérieur. J’ai été, avec une dizaine de personnes, arrêté et emprisonné.
– Osé porter Plainte pour haute trahison contre un président de la république en mi-mandat en exigeant de lui des explications simplifiées sur sa mauvaise gestion. Nous savons bien que c’est oser s’exposer à toutes sortes de critiques agressives et voire même à des attaques des gens qui veulent conserver ou obtenir les faveurs du Pouvoir. Nous en sommes conscients. Nous restons confiants dans nos efforts pour la stabilité et la prospérité de notre patrie : Le Mali.
La légalité de notre Plainte est sans équivoque : « Nul n’est et ne sera au dessus de la Loi » précise notre président IBK.
La constitution du Mali, concernant le président de la république et les ministres en exercice, stipule dans son titre X et son article 95 ce qui suit :
« TITRE X DE LA HAUTE COUR DE JUSTICE, ARTICLE 95/ – La Haute Cour de Justice est compétente pour juger le Président de la République et les Ministres mis en accusation devant elle par l’Assemblée Nationale pour haute trahison ou à raison des faits qualifiés de crimes ou délits commis dans l’exercice de leurs fonctions ainsi que leurs complices en cas de complot contre la sûreté de l’Etat. La mise en accusation est votée par scrutin public à la majorité des 2/3 des Députés composant l’Assemblée Nationale. La Haute Cour de Justice est liée par la définition des crimes et délits et par la détermination des peines résultants des lois pénales en vigueur à l’époque des faits compris dans la poursuite».
Voilà pourquoi le Président de la République, IBK, a toujours dit et répété que : « Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi ». Ceux qui s’érigent en meilleur défenseur auto-proclamé du Président IBK, sont entrain de le contrarier sciemment ou inconsciemment.
Vouloir nous vaincre sans nous convaincre
Dans des débats d’idées, quand une personne est en manque d’arguments convaincants, elle utilise l’argument de la force pour violenter la force de l’argument. Dans ce même ordre d’idées, quant on demande à un simple d’esprit d’analyser et de critiquer une œuvre, il s’attaquera à l’auteur de l’œuvre par manque d’arguments contre l’œuvre. Car, parmi tous ceux qui crient si fort sur nous, au risque de fendre leurs gorges, personne n’a pu contester la véracité du contenu de notre Plainte. Les chiffres que nous y avons donnés sont officiels. Les situations évoquées sont incontestables. Dites nous et prouvez nous le contraire. Au lieu de tenter de nous vaincre par la violence sordide, essayez plutôt de nous convaincre par des arguments solides.
Le Biprem Fasoko n’a jamais été putschiste
Ceux qui veulent nuire à notre démarche légale et patriotique tentent de complètement déplacer le débat que nous avons suscité par notre Plainte. Sachant bien que nous ne trainons aucune casserole de malversation, ils veulent nous coller une image de promoteur de coup d’Etat pour plaire à l’Etat. Après l’annonce de l’embargo de la CEDEAO contre le Mali, c’est à l’ORTM à Bozola que nous sommes allés pour lire notre Déclaration ci-haut citée contre cette mesure. Les militaires qui gardaient les lieux nous ont proposé de nous transporter à Kati pour faire enregistrer la déclaration par la Dirpa. Devant cette structure de communication militaire, en groupe de 7 journalistes, j’ai lu ladite déclaration de protestation contre la CEDEAO. L’élément est passé à la télévision nationale. Le Biprem Fasoko n’a jamais soutenu le coup d’état et n’a jamais rencontré le général Amadou Aya Sanogo. Nous défions quiconque de prouver le contraire.
Pacifiste, Oui ! Putschiste, impossible ! Car, moi, président du Biprem Fasoko, je suis et demeure un fils idéologique des personnalités du régime du premier président du Mali, feu Modibo Keita, que sont : Tènèman Traoré, ancien député, Mamadou Gologo, écrivain, Amadou Djicoroni Traoré, libraire et écrivain, et Seydou Badian , écrivain. Lors du colloque international sur la littérature que j’ai eu l’honneur d’organiser au Canada étant à l’époque Président de l’Union des Auteurs et Artistes Africains au Canada, en février 2001, les écrivains Bernard Dadié de la Cote d’Ivoire, Cheich Hamidou Kane du Sénégal et bien sûr Seydou Badian du Mali ont été nos invités de marque. Les bonnes relations entre Seydou et moi ont été renforcées par ce séjour canadien de l’illustre écrivain. Soyez certain, même si Seydou Badian, auteur de notre hymne national savait le motif de notre conférence de presse inédite, il ne pouvait aucunement nous empêcher de porter plainte.
Le mot du président du Biprem Fasoko à vous, Mr le Président de la République
Etant au Canada, j’ai eu de l’estime, du respect pour l’homme qui a exercé avec pureté et dureté sa fonction de premier ministre du Mali. L’homme qui a dit non aux accords d’Alger de 2006, l’homme de rigueur, de droiture. Je me suis investi auprès de vous par pure conviction sans savoir que vous deviendrez Président.
Seuls vos vrais et rares amis étaient là, ceux que je voyais quand je vous rendais facilement visite, Mr le Président. Depuis que vous avez porté votre manteau de Président de la République, non, je ne reconnais plus en vous le pur et dur quand je vois la dilapidation des ressources publiques dans une totale impunité par ceux que vous avez librement choisis comme proches collaborateurs.
Vous savez bien, que nous avons critiqué, dénoncé et condamné votre prédécesseur, l’ancien président ATT, pour les mêmes raisons de mauvaise gestion et d’impunité.
Vous êtes mieux placé que quiconque pour savoir que nous sommes loin d’être des opportunistes. Le franc parler a toujours caractérisé nos relations. C’est dans cette optique que j’ai sévèrement critiqué, pour la toute première fois, votre mauvaise gouvernance à la Une de notre journal Option de juin 2014 sous ce titre : « IBK, nos espoirs déçus seront-ils perdus ? Ça ne va pas. Les changements promis ne sont ni visibles ni sensibles », au moment précis où la Rédaction de notre journal se trouvait momentanément dans le local de votre fils Karim Keita. Cette critique a causé l’expulsion immédiate de notre journal de ce local. Cette prise de position courageuse peut-elle être celle d’un chercheur de postes de ministre ou d’ambassadeur ?
Bien avant, sous le Général Moussa Traoré, j’ai fait la prison pendant une semaine pour mes prises de position écrites. Récemment, sous le président de la transition, Dioncounda Traoré, j’ai reçu des menaces de mort anonymes pour avoir publié à la Une de notre journal un article titré : « Un chef indécis d’un Etat imprécis »
Notre militantisme ne date pas d’aujourd’hui et n’est donc lié à l’obtention d’aucun poste comme vous le constaterez par la rigueur de notre parcours patriotique.
Je vous fais un pari, Mr le Président : si en 2018, lors de l’élection présidentielle, vous êtes en ballotage avec un autre candidat, ceux qui sont entrain de s’enrichir impunément autour de vous seront les premiers à sauter de votre wagon pour rejoindre celui pour qui ils sentiront le vent tourner. Ils utiliseront leur argent frauduleusement gagné sous votre mandat pour vous combattre Mr le Président. C’est à vous de les combattre dès maintenant pour regagner la confiance de la grande majorité du peuple que vous avez perdue.
Je ne suis pas votre ennemi, Mr le Président, je ne le serai jamais. C’est pourquoi j’ai décidé, à visage découvert, avec les membres du Biprem Fasoko, de vous interpeller formellement, sévèrement mais sincèrement. Rappelez-vous que c’est le même Biprem qui a porté plainte contre ATT en mai 2012 quand vous étiez dans l’opposition. J’avais la possibilité de porter le masque pour lancer contre vous une IBK-CRATIE comme ceux qui ont produit ATT-CRATIE quand ATT était au pouvoir.
Sachez que la côte d’alerte est atteinte chez le bas peuple, Mr le Président .Voilà la seule signification de cette plainte après que plus de 300 articles de presse aient eu à dénoncer, sans aucun effet, cette mauvaise gouvernance.
Tenez, pour la petite histoire, je vous fais part de cette belle leçon de démocratie que j’ai eue au Canada et qui devrait inspirer nos chers dirigeants politiques :Pendant une course à la chefferie du Parti Libéral du Canada, j’ai sévèrement critiqué un des candidat en lui demandant d’affirmer sa personnalité au lieu de se revendiquer du prestige de son père qui fut premier ministre du Canada. Malgré ces dures critiques en son égard, l’homme a toujours maintenu, sans rancune envers ma personne, des rapports de bonne collaboration dans l’intérêt général du parti, PLC, au sein duquel nous avons tous milité. Il s’agit de l’actuel premier ministre canadien, J. Trudeau.
Mieux, cette critique et tant d’autres n’ont pas empêché les dirigeants du parti libéral du Canada à me présenter comme candidat, avec ma double nationalité malienne et canadienne, à la députation dans la circonscription de Longueuil Pierre Boucher lors des élections générales canadiennes de janvier 2006. C’est justement le même J. Trudeau qui a ramené le parti libéral au pouvoir en novembre 2015.
Mr le Président, je tiens à garder toujours mon indépendance d’esprit et de parole. Je serais parmi les premiers à vous féliciter si les choses évoluent dans le bon sens.
Au Biprem Fasoko, nous continuerons à jouer pleinement notre rôle de société civile engagée et impartiale.
Fraternellement.
Lacine Diawara,
Président du Biprem Fasoko et Directeur de publication du journal Option
Prochainement sachez à qui adresser une plainte quand on ne connait les procédures il faut chercher à s’informer et avoir des arguments convaincantes.
ces opposants qui payent les genres pour dire des saletés sur le premier responsable du pays n’ont rien à faire car nous savons ceux qui se cachent derrière cette plainte du BIPREM. nous savons bien que IBK notre président est un bosseur, un bâtisseur, et un démocrate car. il a le soutient de tout la peuple malien.
nous n’avons besoin de votre vérité nous n’allons plus admettre que n’importe qui ou parti politique raconte des sottises sur le président IBK car c’est un président qui se souci de son peuple, a la volonté de bâtir son pays.
Le Biprem ne doit pas être vu différemment des autres organisations qui militent pour le bien-être social. Mais lorsqu’il s’agit de poser des actions il faut le faire de façon OBJECTIVE et éviter de se faire manipuler. Notre pays vient de très loin et les efforts du président IBK et de son premier ministre sont de nature à redorer le blason de notre pays tant au plan national qu’international. Son programme montre qu’il a une belle optique pour le pays mais des personnes véreuses pour des intérêts mesquins veulent se donner de l’importance mais de la pire des manière car leurs actions sont de nature à mettre à mal la cohésion sociale. Réfléchissons avant de poser nos actions car il y va de l’avenir du pays.
Cette plainte pourra animer les discussions mais elle n’entachera en rien la crédibilité de notre pays. Cette organisation ne veut que prendre un bain de foule mais malheureusement qu’il (le bain) soit acide pour elle car les personnes qui sont derrière cette manœuvre telles que Oumar mariko et Seydou badian ne valent pas mieux qu’IBK.
Des malfrats en veulent à notre président IBK qui a été élu démocratiquement avec 77 %. Avec l’état dans lequel il a trouvé le pays n’était pas du tout bon mais pour sa volonté à faire du mali un pays démocrate de paix et un pays développé. Cela se confirme avec ses actions sur le terrain.
Le Biprem en posant son acte savait qu’il serait sans issu mais puisqu’ils ne le font pas de leur propre chef; ils sont obligés de faire ce que leurs financiers leur demandait. Si pendant que nous devons nous atteler à construire le pays d’autres veulent le mettre à mal tant pis pour eux mais le Mali avancera.
Laissons le Biprem et les autres personnes qui ne passent que leur temps à crier au scandale. Le plus important c’est ce que IBK fait pour le bien-être des populations. Seules ses actions parleront à sa place. Ils veulent tout faire pour distraire IBK de l’essentiel mais il doit faire fi de ses actes de calomnies et travailler résolument pour l’avancée du Mali. Tout porte à croire que ces gens ne savent pas d’où vient notre pays.
Le contenu de la plainte du Biprem est très intéressant mais il devait plutôt être envoyé vers le Sénégal où celui qui a mis le pays sans dessus dessous se trouve. C’est ATT qui a bradé l’intégrité territoriale en laissant les combattants venus de Libye rentrer impunément sur notre territoire. L’acteur principal de la débâcle de l’armée et qui est à la base de la déchéance de celle-ci est bel et bien ATT. Pour ce qui est de l’affaire des tracteurs et autres qui font aussi parti de la justification de cette plainte, les personnes qui avaient mandat pour ces actions sont bel et bien vivantes. Elles peuvent répondre de cette plainte et non le président de la république à leur place.
on ne vous demande pas d’arrêter de parler mais de dire la vérité un jour tous des menteurs ces gars là.
Ces derniers temps notre pays a dépassé des épreuves épouvantables dans son existence. Dire que les propres fils de ce pays portent plainte contre notre chef de l’Etat est tout à fait absurde et insensé.
Les maliens sont loin d’être naïf pour accepter une telle chose venant de qui que ce soit. Franchement cette association risque de mettre les doigts dans les yeux. Pour ce fait, elle doit revenir sur sa décision.
Ce n’est pas dans le vide qu’on porte plainte contre une personne, il faut tout d’abord avoir les arguments solides pour le faire. L’Association Biprem devrait aussi réfléchir sur le sort de notre pays avant d’agir.
Donnons-nous la main et ensemble bâtissons le Mali. Au lieu de porter plainte contre le président, il faut juste lui faire confiance et le laissé travailler. Ayons confiance au chef de l’Etat et son gouvernement, le Mali ne va pas demeuré ainsi.
Il faut laisser ces individus malintentionnés se noyer dans leur ignorance. Ce pays a des lois et traduit le président dépasse leur entendement. Je pense qu’il faut mettre ces individus à l’ordre pour éviter d’aventure que de telle chose se reproduise.
IBK est là pour changer ce pays et il est sur la voie car les faits montrent bel et bien qu’il travaille. Je pense que ces accusations n’ont pas lieu d’être et gratuite. La haute cour a analysé la plainte et elle est irrecevable. Le BIPREM peut accuser mais s’il n’y a pas de preuve donc je vois que c’est une lutte perdue d’avance.
Tout le monde sait les proches du président ne lui ont pas rendu la tâche facile avec les nombreux scandales dont le BIPREM l’accuse aujourd’hui. C’est pourquoi , il s’est détaché de leur servir pour bien gérer le pays. Il doit rendre compte au peuple qui lui a porté sa confiance.
Ils seront surprises car eux mêmes feront l’objet de poursuite judiciaire pour avoir diffamer le président. Cet acte ne restera pas impuni et cela servira de leçon pour ces individus malintentionnés de bien apprendre leur leçon. Les pauvres marionnettes.
C’est une manière de dénigrer ou saboter les actions du président de la république. Ceux qui sont à la base de cette plainte sont les vrais ennemis de ce pays et ne pensent qu’à leur propre intérêt. Je ne vois pas le super homme qui pourra apporter tout ce qu’ils demandent actuellement.
une simple association qu’on ne sait même pas d’où ils viennent, soit de la part des opposants ou de la part de leurs propre inconscience viennent nous mettre en des situations de blocage, il faut que les maliens agissent contre cette association et tout de suite, ça veut dire quoi cela ??????
Aucun malien n’accompagnera ce maudit association dans ses mensonges, Ce ne sont pas cette association ohhhhhhh, moi j’accuse ses maliens qui ne sortent pas pour régler le compte de ses maudits fils du pays.
Il faut donner du temps au président quand même.
Abbas le Biprem !!!
Nous devons tous soutenir le président IBK pas pour d’autres raisons, mais juste parce que c’est lui qui représente le Mali en personne, et un soutien envers lui est considéré comme une chance de faire du Mali un pays pas comme les autres en Afrique.
IBK est bien et c’est aux populations de ce pays de le montré aux autres pays…
Merci
Le biprem n’avait pas qualité de porter plainte contre la première institution du Mali.Il faut que ces personnes sachent que nous sommes dans un Etat organisé et qu’il ne faut faire du n’importe quoi qui jette la honte sur notre pays.
Lacine DIAWARA et Bokari DICKO ainsi que tous leurs camarades sont manipulés par l’opposition pour faire leur sales besognes. C’est vraiment triste pour eux.
Cette plainte ne pouvait qu’être classée comme sans suite par la haute cour de justice car elle péchait tant dans le fonds que dans la forme.Attendons donc de voir la plainte pour diffamation qui plane sur la tête du biprem.
Le biprem se saurait être pris en considération dans cette histoire de plainte.Les auteurs n’avaient ni qualité et ni un fondement légal pour émettre cette plainte contre la première institution de notre pays.
Cette association est utilisée par certains hommes politiques pour rendre les tâches difficiles au président de la république. La plainte déposée par cette association n'est pas recevable. Elle devrait être déposée devant l'AN et que les députés votent au 2/3 pour la plainte.
La liberté ne veut pas dire libertinage.Les uns et les autres doivent comprendre que les citoyens ont des droits et surtout des devoirs.Le biprem avec cette plainte idiote a insulté le Mali.
Au moment où la plainte n’a pas été acceptée par le secrétariat de l’Assemblée Nationale elle n’a pas d’effet. Donc que ces gens arrêtent de nous bourdonner les oreilles. C’est seulement dans le but de renverser le pouvoir.
Les membres du Biprem voulaient être crédibles sur la scène politique malienne. Leur plainte a été rejetée pour non-respect de procédure. La dite plainte n’obéi pas aux conditions requises, objectives et subjectives, pour être acceptée par la Haute Cour de Justice. Raison pour laquelle le président de la HCJ a décidé d’intervenir pour conforter l’opinion publique sur le sort de la plainte qui a été archivée depuis le 04 mars comme étant une affaire classée sans suite. Les militants du RMP vont porter une contre plainte pour diffamation.
Le Biprem vient de causer un tort aux maliens en portant plainte contre le président de la république pour haute trahison. La plainte était remplie de propos diffamatoires ce qui a fait que la HCJ a rejeté la plainte et la qualifié de tract. Je suis sûr que ce journaliste a été payé par l’opposition pour raconter ce mensonge. Le RPM n’est pas fou rencontrer en secret cette association.
Une plainte pour diffamation, menace contre la sureté de l’Etat, déstabilisation de l’autorité du président de la république, j’en passe, mérite d’être portée contre l’association qui s’est permise de porte plainte contre la première institution de notre démocratie pour haute trahison. On ne doit pas humilier une institution de la sorte.
Les allégations du Biprem ne sont pas fondées. Ce sont certains opposants, des forces obscures je voulais dire, qui se cachent derrière cette association dite de la société civile pour s’attaquer à notre nation à travers sa première institution. Vu que le président de la HCJ a tout dit sur la plainte, les membres de cette association doivent payer cher pour leur acte.
Je pense que toute cette histoire est une histoire de dupe vis-à-vis de la population malienne. Le BIPREM est en train de tromper la conscience public en leur faisant croire que c’est un combat d’intérêt général et mais alors que ce combat est un combat d’intérêt personnel c’est-à-dire pour la cause du Capitaine Sanogo.
Le BIPRME sous tenu par une main noire qui reste celui de l’opposition veut se faire remarquer sur la scène de la politique malienne, et ainsi souillé la crédibilité et l’honneur du président IBK.
C’est un tract rien de rien de plus, le BIPREM savait très bien que leur plainte ne pourrait être accepté sur le plan juridique par la haute cour de justice, mais ils ont voulu simplement attirer l’attention des acteurs politiques, des médias et surtout de la population malienne. C’est pour créer le buzz que le BIPREM c’est permit de porter plainte contre le chef de l’Etat et sa politique de gouvernance. ²
C’est plainte est loin d’être raisonnable sur le plan moral que juridique. Sur le plan morale, vue la situation dont traverse le pays ont peut peu se donner à ce genre chose, le pays n’a point besoin de cela d’autant plus qu’IBK et son staff accomplissent un travail salutaire. Sur le plan juridique, on peut ainsi porter plainte contre un président de la république en plein exercice de ses fonctions, à plus forte raison une plainte sans preuve irréfutable.
Le parcours politique de Lancina Diawara et celui de ses camarades prouve qu’ils n’ont aucune principe, ni fondement dans leur ambition dans la politique malienne. Lancina Diawara et ses camarades sont des personnalités malintentionnées de la politique malienne qui sont en quête de leurs propres intérêts.
C’est courageux de defendre à visage decouvert et surtout d’argumenter. Que ceux d’en face en fassent autant sous la transmission de l ORTM au peuple. De quoi ont ils peur? place à la vérité pour le bonheur des maliens, pardon de ma famille
merci laci, votre frère diallo n’est plus de ce monde, paix en âme; mais, son frère depuis paris, fait la releve. Diallo a sabré, att n’est pas un bon president. la suite lui a donné raison.
vous êtes un meilleur.
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