Ibrahim Boubacar Keita a de quoi être satisfait d’un bilan de plus de 20 ans passés au sommet de l’état en tant que ministre, Premier ministre, président de l’Assemblée nationale et président de la République. Qu’en est-il exactement?
Depuis l’avènement de la “démocratie” dans notre pays en la faveur des événements de Mars 1991, les consensus entre l’élite et les citoyens lambda ont été subtilement modifiés, manipulés et également corrompus pour ne servir que les intérêts de l’élite. Continuellement nous avons accepté ces changements comme des moutons, et du fait que nous pouvons nous adapter pour vivre sous n’importe quelle condition, le trait de caractère qui nous a permis de survivre est le même trait qui est à l’origine de notre exploitation, de notre spoliation et de notre expropriation. Il est évidemment avéré que la presque totalité de toutes les sociétés possèdent une élite, et les élites veulent conserver le pouvoir parfois au détriment de l’intérêt général du peuple. Et le moyen pour conserver le pouvoir n’est pas seulement de contrôler les moyens de production, en termes marxistes, c’est-à-dire en contrôlant l’argent, sinon en contrôlant le plan cognitif, notre manière de penser. Et ce qui importe réellement à ce propos, ce n’est pas tant ce qui se dit en public, sinon ce qui n’est pas débattu, ce qui ne se dit pas.
Le vol et le viol collectif dont nous sommes quotidiennement victimes expliquent en partie l’incompétence face aux enjeux et la cupidité de l’élite qui a encadrée le pseudo mouvement démocratique pendant ces vingt-cinq(25) dernières années. Aucune promesse tenue n’a vu le jour. Le fameux “kokadjé” a été un leurre quand nous savons que la troisième république a connu plus de politiciens milliardaires que les deux républiques précédentes.
Combien de villas somptueuses ont été construites à Bamako et dans les chefs-lieux de région ?
Combien de voitures luxueuses circulent maintenant dans nos villes ?
Combien de leurs enfants ont été envoyés à l’étranger pour étudier dans des universités prestigieuses?
Voilà autant de questionnent dont la liste n’est pas exhaustive.
La Rédaction
LE PIRE AUJOURD’HUI C’EST QUE DES MINISTRES MENTENT OUVERTEMENT EN SOUTENANT DES CHIFFRES BIDONS, LE POISSON POURRI PAR LA TETE. TOUS LES CADRES DU MALI SONT INCOMPETENTS, SE SONT DES CHAROGNARDS QUI MANGENT MEME LEURS PERES ET MERES
ILS VIOLENT LEURS PROPRES FILLES, ILS FONT TUES LEURS FRERES DE LAIT, ILS SONT HAUTAIN ENVERS LES GENS QU’ILS ONT CONTIBUE A APPAUVRIR
QUE L’ON SOIT CROYANT OU PAS LA SANCTION DIVINE LES FRAPPERA, NOUS FRAPPERA.
AMADOU KJOUFFA, IYAD, ETC….. NE SONT RIEN D’AUTRES QUE LA MAIN INVISIBLE CONTRE LAQUELLE CES FORNIQUEURS DE CADRES MALIENS NE POURRONT JAMAIS SORTIR UNE STRATEGIE GAGNANTE.
LE DECIDEUR MALIEN EST SALE DE TOUT SON CORPS ET POURRI DE TOUTE SA CONSCIENCE.
VOILA QUE SE SONT DE PAUVRES PETITS BERGERS QUI SONT ENTRAINS LEUR RETIRER TOUTE L’AURA DONT ILS SOUHAITENT SE VANTER CONTRE CE QUE EUX APELLENT LE PETIT PEUPLE QUI PLUS MEURT A PETIT FEU DE VRAIE SOIF ET DE VRAIE FAIM: AUSSI LE PETIT PEUPLE IL PRIE DIEU TOUS LES MATINS AFIN QUE LA MAIN INVISIBLE CONTINUE DE FRAPPER DE PLUS EN PLUS ET DE PARTOUT
LE PETIT PEUPLE NE CRAINT POINT LA MORT CAR LA VIE DU MALI NE LUI A OFFERT QUE :SOUFFRANCES, FAIM, ABUS, MENSONGES, ACTES CONTRE NATURE VENANT DU CADRE.
LE CADRE EST FIER DE SE VANGER DE SON FRERE PAYSAN JUSTE POUR MONTRER L’ETENDUE DE SA PUISSANCE ISSUE POURTANT DU MEME PAYSAN.
QUI PEUT SE VANTER D’ETRE UN HOMME AU MALI EN 2012, QUEL CADRE MALIEN A ENCORE AUJOURD’HUI PROPOSER UNE SOLUTION POUR SORTIR CE GRAND PAYS DU BOURBIER OU LES MEMES CADRES L’ONT MIS DE PUIS 1968?????????
BRAVO LA MAIN INVISIBLE FRAPPE ENCORE ET ENCORE TU AS DE BEAUS JOURS DEVANT!!!!!!!
A BAS LES PSEUDOS INTELLECTUELS D’AUJOURD’HUI, ILS SONT MINABLES ET DEGUEULASSES.
Le constat est amère mais c’est la “pure vérité” de dire que les “MAUX” que le peuple a combattus sont plus frappants, 26 ans après l’avènement de ce que nous souhaitions comme “la délivrance”. Les responsables, à tous les niveaux,sont devenus pires que leurs devanciers d’alors.
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