De source sûre le secteur privé, dans ses différentes composantes, aurait parti son choix sur le vieux Moussa Balla Coulibaly cet observateur averti de la vie politique de notre pays pour occuper le fauteuil de 2ème vice-président du Haut Conseil d’Etat (HCE). Il bénéficierait aussi d’un large soutien de plusieurs personnalités religieuses et de la société civile. Avec plus de40 ans au service de son pays aussi bien dans l’administration de l’Etat que dans le secteur privé, Moussa Balla dispose aujourd’hui l’expérience pour servir une fois de plus le Mali qui traverse la plus grave crise de son histoire.
L’homme n’est pas un inconnu. Il est Diplômé du prestigieux Institut national de la Statistique et des Etudes économiques (Insee) de Paris. De 1959 à 1973, il occupe d’éminentes fonctions au sein de l’Administration malienne : directeur de la Statistique et du Plan ; conseiller technique au ministère des Travaux publics, de l’Habitat et des Mines ; directeur de cabinet au secrétariat d’Etat à l’Industrie et à l’Energie ; secrétaire général à l’Industrie et à l’Energie et président-directeur général de la Sema.
A partir de 1973, il devient chef d’entreprise. Président du Patronat malien de 1982 à 2009 ; président du Conseil économique, social et culturel de 1999 à 2009. De 1991 à 2003, il est président de l’Union pour la Démocratie et le Développement (Udd). Sous sa direction, l’Udd a participé à tous les moments importants de la vie politique du Mali. Depuis son retrait de la vie publique en 2009, il continue de diriger ses affaires dans le privé. Il est Commandeur de l’Ordre National du Mali et Chevalier de la Légion d’Honneur de France
Les prises de position de son parti ont fondé sa réputation et lui ont valu le respect de l’ensemble des acteurs de la scène politique malienne.
Après avoir dirigé au mieux l’Udd, le Patronat et le Conseil Economique, Social et Culturel du Mali, il a pris sa retraite politique, mais son combat pour le Mali est sans relâche. Moussa Balla Coulibaly, car c’est de lui qu’il s’agit, attire notre attention sur l’internationalisation de la Rébellion Touarègue suite à la déclaration de Alain Jupé, ancien Ministre des Affaires Etrangères. En réponse à cette déclaration, Moussa Balla Coulibaly a rappelé en son temps que personne ne fera cette guerre à notre place. Une guerre que nous imposent des mauvais fils du Mali.
Ce visionnaire, conscient de l’inaction du gouvernement ATT face à la situation sécuritaire et politique, l’ancien président du Conseil économique, social et culturel (Cesc), ancien président du Conseil national du patronat du Mali (Cnpm), Moussa Balla Coulibaly, ancien président de l’Udd, est sorti du long silence qu’il observe depuis son retrait de la vie publique, en 2010, pour faire des propositions de sortie de crise.
C’est ainsi, qu’il proposa la mise en place d’un gouvernement dont le mandat allait être la conduite de la guerre et d’organiser les élections en temps opportun sur l’ensemble du territoire national. Selon lui, la fin du mandat du chef de l’Etat ne devait pas poser de problème, un intérim sera assuré par le Président de l’Assemblée Nationale jusqu’à ce que la situation sécuritaire permette des élections qui expriment le choix réel du peuple souverain qui aura gagné la guerre.
Il a été médiateur dans plusieurs affaires intéressant la vie de la nation. Connu par sa franchise, sans langue de bois, Moussa Balla Coulibaly est la personne la mieux indiquée parmi tous les noms cites pour occuper ce poste qui exige beaucoup de sagesse et de neutralité.
Nouhoum DICKO
Merci pour la campagne menée en faveur de ce Monsieur. Fusse-t-il compétent, les institutions maliennes ont besoin de sang neuf et d’hommes aux mains propres, fussent-ils paysans ou éleveurs. La gestion des affaires publiques dans un régime démocratique peut se passer aisément des louanges de personnage. L’heure est grave. Un seul objectif: libérer le nord du pays des islamo-fascistes.Du sang neuf et des hommes aux mains propres.
Quand meme pas des vieux corrompus jusqu’a la moelle comme celui-la ! (tout comme son fils Tieman) 😳
ce mr a appartenu à tous les regimes; que va-til apporté, rien. decidemùment ce pays étonne.
il a fait son temps qu’il reste à la maison ce vieux malade.Il y a assez de jeune pour occuper ce poste
Nouhoum DICKO.Ce que tu ne nous dis pas c’est qu'”après sa retraite politique” de l’UDD en 2009 il a filé la direction de son parti à son fils
comme dans les monarchies du Golf!C’est d’ailleurs lui qu’un des 1ier ministres d’AOK traitait “de président de la fédération des employeurs qui n’a pas d’employé…”.Néanmoins,si le bonheur de notre peuple est avec son retour aux affaires, que Dieu lui donne le pouvoir! 😉
Ameenn
que dieu t entende sambou.On veut le bien etre des meliens.
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