Avenir politique du Mali : Faut – il nécessairement renvoyer l’équipe actuelle ?

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Non et personne n’a intérêt à ce que les querelles partisanes et futiles qui tireront leur origine  d’un réel  faux problème, à savoir : La démission du Premier Ministre Cheick Modibo Diarra et de son gouvernement.

Le premier Ministre et son gouvernement

Dans la mouture de l’équipe actuelle, Dioncounda Traoré et son PM peuvent bel et bien sortir 10 à11 autres postes ministériels en éclatant tout simplement les super- ministères actuels. Administration Territoriales et Aménagement, Energie – Environnement, Culture – Artisanat etc.…

C’est dans l’unité et la cohésion que nous réussirons à coudre le tissu national fort malheureusement déchiré à la suite du changement de régime. Le Mali notre pays traverse une passe énormément difficile, tous les fronts sont chauds, les cœurs et les esprits fortement hibernés. Tous les jours que Dieu fait apporte son lot de désolation, d’inquiétude, de doute, le tout enveloppé dans d’épais brouillards qui obscurcissent l’horizon.

Dans ce climat socio- politique diaboliquement détérioré faut-il encore en ajouter en exacerbant les rancœurs et autres antagonismes qui n’ont d’autres mérites que de plonger davantage notre pays qui a déjà touché le fond ?

Un gouvernement d’union nationale prenant en compte toutes les sensibilités socio – professionnelles, politiques ou syndicales ne passe pas forcement par la dissolution d’une équipe qui fait de son mieux avec des moyens que chacun de nous sait insignifiants. Il apparaît urgent à chacun de nous de faire violence sur ses ambitions, ses prétentions en ne pensant qu’au seul Mali qui avec l’agression barbare des Salafistes et autres groupes terroristes, n’est plus loin de perdre son’’i’’, si dans l’urgence de la situation nous restons collés dans nos histoires d’ego. Ensemble, autour du président Dioncounda Traoré, du Premier Ministre Cheick Modibo Diarra et de l’équipe actuelle élargie, notre pays pourrait très bien s’en sortir.

De notre point de vue à nous, sans aucune prétention, nous pensons, que ce Premier Ministre quoique fragilisé par des imperfections dans le parcours fortement parsemé d’embûches, n’est pas de mauvaise foi. Il peut avec l’appui et le soutien de chacun redresser le tir et pourquoi pas, avec chacun de nous relever le lourd challenge que constitue en priorité la libération des régions du  Nord –Mali. La politique politicienne comme l’a si bien dit Dioncounda a eu son temps, elle ne saurait être une feuille de route pour un pays qui cherche à sortir des difficultés qui passent forcement par la récupération des 2/3 de son territoire.

Sory de Moti

 

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19 COMMENTAIRES

  1. mira yo te mucho gracia el Bodibo diarra lo que hacer para nuestros pais como mali esta cosa es muy grande para lo todo que ciudadano por que la sitacion que tenemos nuestros es que Bodibo diarra a jugado una cosa muy inprotante que hecho para su pais para mi esta cosa a sacabado a si no ha veo nigun problema entros nosotros algo muy grande es para mi

    ademas lo que decir en gobierno de mali lo que me gusta a mi tiene hacer obligacion todo todo lo gente de mali tiene estudio para todo por que lo que falta nosotros afriano por que para muy necesario para todo cuando no estudiamos no puedemos a vasar nuestros cosa bueno felisdades para bodibo diarra de todo de mas de gente de mi pais

  2. Je ne suis d’aucun bord politique , selon ce que je vois et entend l’equipe probablement ne doit pas etre renvoyée dans sa totalité , ell peut etre revue en partie , mais le PM Diarra n’est vraiment pas à la hauteur de la mission du moment. Il doit être remplacé.

  3. Torokorobougou : Des bandits armés dévalisent une agence Moneygram
    1 août 2012 Rubrique: Faits Divers 5 réactions [-] Texte [+] Email Imprimer Partager
    Trois bandits armés ont attaqué, vendredi dernier à l’heure de la mosquée, l’agence Moneygram de Torokorobougou. Se présentant en tant que clients, ils n’ont pas tardé à pointer des pistolets sur le personnel de la banque, les deux caissiers et le gardien. Et ont emporté tout ce qu’il y avait comme argent liquide. Plus d’un million.
    ==MEME MODE OPERATOIRE QUE LES GENS DU FDR==

  4. Une équipe compétente, je m’associe à cette déclaration de la CSM.
    Convergence pour sauver le Mali (CSM) : Plate forme pour la sortie de la crise institutionnelle et sécuritaire au Mali
    Nous,
    – Partis politiques :
    – Organisations de la Société civile :
    • Préoccupés par la situation socio-politique prévalant dans notre pays depuis les évènements du 22 mars 2012 ;
    • Constatant paradoxalement la profusion de solutions de sortie de crise soutenues par des partis politiques, des organisations de la société civile ou des regroupements socio-politiques existants et l’absence de propositions communes à ces entités ;
    • Considérant l’apport considérable de la CEDEAO, de l’Union Africaine, des pays du champ, de l’Organisation des Nations Unies et d’autres amis et partenaires du Mali notamment l’Union Européenne et les Etats Unis d’Amérique pour une rapide sortie de crise ;
    • Constatant l’impérieuse nécessité pour les Maliens d’une appropriation nationale de la gestion de la crise et de l’adoption de propositions consensuelles de sortie de crise à soumettre à la communauté internationale pour optimiser et finaliser son accompagnement ;
    ADOPTONS les propositions suivantes qui s’articulent autour de trois points :
    – les principes directeurs devant régir la période intérimaire au Mali ;
    – l’impérieuse nécessité d’un dialogue national inclusif sous l’égide des autorités de la Transition ;
    – des propositions concrètes sur les principaux points à mettre en œuvre dans les meilleurs délais.
    I – DES PRINCIPES FONDAMENTAUX :
    L’adoption de principes clairs devrait servir de socle et de repère à l’adoption de solutions objectives, justes et acceptables par tous.
    Ces principes sont les suivants :
    1- La renonciation à tout agenda, à tout calcul personnel et à toute volonté d’accaparement ou d’exclusion.
    Le Mali en cette période difficile a besoin de tous ses enfants. Il est inadmissible d’en écarter certains pour ce qu’ils ont été ou de vouloir tout accaparer pour ce que l’on a été.
    La transition par essence doit être inclusive et à défaut d’être neutre, elle doit être équilibrée et respectueuse de toutes les sensibilités politiques et sociales du Mali. Sans exclusive et sans privilège.
    2- La Transition doit se concentrer sur trois tâches prioritaires sans négliger les tâches ordinaires incombant à tout Etat :
    – la restauration de l’intégrité territoriale du Mali et de l’unité nationale par le règlement rapide de la crise au Nord sur la base d’un Mali laïc, un et indivisible ;
    – la gestion de la crise humanitaire au niveau de populations refugiées, déplacées ou prises en otage dans les zones occupées. La bonne gestion de cette crise humanitaire est la condition sine qua none du maintien du sentiment de l’appartenance à une seule et même nation ;
    – l’organisation d’élections libres, transparentes et démocratiques avec une forte participation et dont les résultats seront acceptés par tous.
    3- La Transition doit être gérée sur la base des principes suivants :
    3.1- le respect dans toute la mesure du possible de la Constitution qui malheureusement ne règle pas tous les problèmes institutionnels et juridiques posés;
    3.2- la mise en œuvre de l’Accord-cadre du 06 avril 2012 pour suppléer les lacunes et silences de la Constitution ;
    Cet Accord-cadre, qui a été signé par la CEDEAO, avant d’être endossé par l’Union Africaine (U.A) et l’Organisation des Nations Unies (ONU), puis accepté par la Cour Constitutionnelle, le Gouvernement et l’Assemblée Nationale du Mali a désormais valeur de norme positive au Mali .
    3.3- le respect des décisions et avis de la Cour constitutionnelle et de toutes les autres juridictions ;
    3.4- l’adoption de mesures pour une transition équilibrée entre les forces politiques et sociales. Ainsi :
    – aucun fait majoritaire ne saurait être invoqué dans la mesure ou tous les mandats nationaux confiés par le peuple sont arrivés ou arrivent à expiration ;
    – aucun regroupement politique ne présiderait plus d’une Institution pendant la Transition.
    La mise en œuvre de ces principes relève de la responsabilité imminente des plus hautes autorités de la transition qui doivent faire preuve de leadership pour les traduire dans les faits.
    II- LA TENUE D’UN DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF SOUS L’EGIDE DES POUVOIRS PUBLICS
    La Déclaration solennelle des forces vives du Mali de Ouagadougou du 16 avril 2012 a recommandé « la création d’un Cadre de concertation des forces vives du Mali, placé sous l’égide du Médiateur, et chargé de veiller à la mise en œuvre de l’Accord cadre du 6 avril 2012 et de la feuille de route de la transition, ainsi qu’au fonctionnement régulier des organes de la transition. »
    En application de cette recommandation il conviendrait d’encourager et d’accompagner la tenue d’un dialogue national inclusif au Mali entre toutes les forces vives afin de leur permettre de chercher, trouver et soumettre des solutions à la haute appréciation du Médiateur , du Groupe de contact et des Chefs d’Etat de la CEDEAO.
    Ces solutions s’appuieront principalement sur les orientations des Chefs d’Etat de la CEDEAO pour conforter les décisions déjà prises.
    Des suggestions seront faites pour combler d’éventuelles lacunes et corriger certaines erreurs commises par des fonctionnaires qui n’ont pas toujours su donner aux Chefs d’Etat des informations importantes ou faire des analyses pertinentes sur la réalité socio-politiques au Mali.
    Le dialogue national se fera sous l’égide des autorités de la Transition avec l’implication des autorités religieuses, traditionnelles et coutumières.
    Cette démarche devrait permettre à chacune des composantes des forces vives de partager et surtout de faire adhérer le plus grand nombre de personnes aux solutions qui seront adoptées.
    Une chance serait enfin donnée au dialogue national de s’instaurer au Mali. Et ainsi permettre aux Maliens de trouver et de partager les meilleures solutions de sortie de crise.
    III- POINTS SPECIFIQUES DE DISCUSSIONS
    1- Sur la Présidence de la République par intérim:
    L’objectif premier serait de faire en sorte que le Président par intérim soit accepté par tous et qu’il n’y ait nul besoin pour lui de protection « extraordinaire » dépassant celle d’un Chef d’Etat ordinaire. En effet un trop grand déploiement de force, surtout non nationales pourrait avoir des effets contre-productifs.
    A cet égard les deux mesures suivantes peuvent être envisagées :
    a) La création d’un Haut Conseil d’Etat (HCE) qui serait composé, outre du Président par intérim lui-même, de trois acteurs politiques issus de regroupements politiques différents de celui du Président, de trois représentants des Forces Armées et de sécurité et trois autres membres issus de la société civile choisis en fonction de leur autorité morale.
    Le Haut Conseil d’Etat assistera le Président de la République par intérim dans l’exercice de ses missions.
    Le Haut Conseil d’Etat est présidé par le Président de la Transition es qualité.
    Ainsi le Président de la République par intérim, en raison de l’existence même de cet organe collégial verrait sa légitimité et sa base sociale et politique renforcées.
    b) La définition très précise des pouvoirs du Président de la République par intérim .
    Les pouvoirs propres du Président par intérim doivent être ceux définis par la Constitution du Mali en cas d’intérim et réaffirmés aussi bien par l’Accord-cadre que par la Cour constitutionnelle.
    Les autres pouvoirs du Président de la République seront exercés au sein du Haut Conseil d’Etat dont il assure la présidence.
    Le Mali pourrait ainsi avoir un Président qui serait plus accepté et plus applaudi que contesté et protégé.
    2- Sur le Gouvernement de Transition :
    L’ensemble de la classe politique et de la société civile, a décidé, en raison du contexte particulièrement difficile et délicat que connait le Mali de soutenir le Gouvernement formé par le Premier ministre Cheick Modibo Diarra. Mais force est de constater que les manœuvres de déstabilisation ont immédiatement commencé et continuent toujours.
    Démettre le Premier ministre et le Gouvernement risqueraient d’installer le Mali dans un nouveau cycle d’instabilité et de contestation alors même le Mali a essentiellement besoin de stabilité. Le remède pourrait alors s’avérer pire que le mal.
    Par contre, le Premier ministre pourrait élargir la base politique et sociale de son Gouvernement dans le cadre d’un remaniement ministériel qu’il aurait à conduire.
    La mise en place d’un tel Gouvernement devrait obéir à un principe cardinal et consubstantiel à toute transition politique : le respect de l’équilibre entre les forces politiques et sociales et non un quelconque fait majoritaire qui concentrerait tous les pouvoirs entre les mains d’un groupe en dehors de toute élection alors même que tous les mandats nationaux sont arrivés à expiration.
    Les principes de compétence, d’intégrité et d’efficacité devront être strictement observés et une union nationale se faire autour du Gouvernement aux lieu et place d’un partage de gâteau qui d’ailleurs n’existe pas.
    3- L’articulation des relations entre les organes de la Transition :
    La prorogation du mandat de l’Assemblée Nationale pour la durée de la transition et la durée du mandat du Gouvernement fixée à une année pose le problème des relations entre l’exécutif el le législatif notamment en matière de censure du Gouvernement et de dissolution de l’Assemblée Nationale.
    En effet les délais ainsi fixés suspendent ipso facto et même juridiquement l’application de ces deux pouvoirs dont l’un ne peut au demeurant s’exercer sans l’autre.
    Il s’y ajoute que le souci de stabilité et d’une transition apaisée supposent que ces mécanismes soient suspendus pendant la durée de la Transition et que le Gouvernement rende compte au Haut Conseil d’Etat.
    Par ailleurs le Bureau de l’Assemblée Nationale et les Commissions de travail doivent, pendant la période de transition être équitablement repartis entre tous les partis politiques y représentés.
    4- La restauration du Haut Conseil des Collectivités et du Conseil Economique, Social et Culturel:
    La prorogation du mandat du Haut Conseil des Collectivités et la restauration du Conseil Economique, Social et Culturel pourraient être plus efficace si compte est tenu dans leur présidence et dans leur gestion du principe d’équilibre précité.
    Il conviendrait également d’insérer au Conseil Economique, Social et Culturel des structures qui pourraient renforcer son action.
    En particulier les bureaux de ces instituions et leurs Commissions de travail devraient être repartis de façon équilibrée entre les partis politiques et les groupes socio-professionnels qui le composent.

    5- Le Conseil Consultatif des Forces Vives :
    Composé des forces vives de la nation (Société Civile, Classe politique et Forces Armées et de Sécurité) le CCFV sera consulté sur toutes les grandes questions engageant la vie de la nation.
    Le CCFV sera chargé de veiller à la mise en œuvre de l’Accord cadre du 6 avril 2012 et de la feuille de route de la transition, ainsi qu’au fonctionnement régulier des organes de la transition.
    6- L’envoi de troupes de la CEDEAO au Mali
    Il convient de distinguer entre la sécurisation des autorités de la transition et la libération des zones occupées.
    a) La sécurisation des autorités de la transition doit relever des forces de sécurité du Mali formées et équipées à cette fin avec l’assistance et le concours de la communauté internationale.
    b) Les actions militaires de libération du Nord du Mali doivent faire l’objet de discussions entre les autorités politiques et militaires du Mali et de la CEDEAO. La centralité des Forces armées et de sécurité du Mali doit être affirmée et acceptée par tous. Celles-ci seront bien sûr accompagnées par les troupes de la CEDEAO.
    7- La feuille de route de la Transition :
    L’Accord – Cadre du 1er Avril 2012 a retenu un certain nombre de mesures au titre de la feuille de route de la Transition comprenant :
    – Le délai et le chronogramme de la Transition déjà fixée à un an.
    – Les tâches opérationnelles à accomplir par les différents organes de la Transition en vue d’une Transition apaisée ;
    – L’organisation des élections ;
    – La révision du Fichier électoral ;
    – Le rôle et la place de l’Armée pendant la Transition.
    Ces tâches pourraient être déclinées ou complétées par :
    1- L’impératif de la résolution de la crise au Nord comme LA PRIORITE ABSOLUE :
    • Préservation de l’intégrité Territoriale et de l’Unité Nationale ;
    • Action humanitaire d’envergure ;
    • Retour et assistance aux déplacés et aux réfugiés ;
    • Indemnisation des victimes…
    2- Les poursuites pénales nationales et internationales contre les auteurs et complices de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité au Nord du Mali ;
    3- La résolution de la question de l’Ecole ;
    4- La problématique de l’Etat de Droit et des libertés individuelles et collectives ;
    5- La lutte contre la Corruption ;
    6- La problématique de l’emploi des Jeunes ;
    7- La question militaire en démocratie ;
    8- La Gouvernance au quotidien : Coût de la vie, l’accès à la Santé…..

    Bamako, le 24 juillet 2012
    Pour la Convergence pour Sauver le Mali
    Maître Mountaga TALL
    Coordinateur national

    • Je ne co,prends toujours pqs pourquoi un PM impose par une junte et la CEDEAO doit necessairement etre maintenu ppur une transition de 12 mois sur lesquels 4 sont deja passes sans aucun acte concret et positif pose doit etre maintenu a son poste quand il est patent que le monsieur n’est pas a la hauteur. Autant alors donner la presidence a Sanogo…. Ne perdons pas de vue que le president par interim est au regard de l’esprit de notre constitution la personne la plus legitme pour assurer les fonctions a lui attribuees. Il doit de ce fait jouir de ses preogatives de president sans aucune forme d’alienation avec une autre instution…. Le president doit jouir des memes charges et obligation d’un president…..

      Je ne comprends pourquoi le haut conseil des collectivites est la seule instution a maintenir selon la formule de mountaga. Le travail doit se faire sur la base des forces politiques en presence a l’assemblee au moment du coup….

      Je desole de noter que la proposition de mountaga manque reellement d’objectivite….. mais cela ne me surpend tant l’homme s’est distingue par moult acrobaties pendant la recente crise….

      On peut ne pas aimer l’homme, mais je reste convaincu que Diouncounda demeure sans aucun doute l’homme par qui notre salut viendra …..non de mountage encore moins ibk ou modibo…. je suis desole mais cela reste ma profonde conviction…

  5. L’ERREUR POLITIQUE DE MR DIARRA A ETE D’ENTREPRENDRE D’AUDITER LES SERVICES PUBLIQUES ET DE NOMMER SIDI SOSSO (L’EX VERIFICATEUR) COMME CONSEILLER SPECIAL. DES LORS ILS FUT L’ENNEMI PUBLICS CES MEGALO-POLITOCRATES. C’EST A CETTE MEME PERIODE QUE COMMENCERENT LES ATTAQUES MEDIATIQUES COORDONNES CONTRE LE DR. CELA EST HELAS LA TRISTE REALITE. ON COMPRENDS LEURS JEUX….

  6.  J’ose espérer que les politiciens dépasseront leurs divergences, leurs intérêts individuels pour sauver ensemble le Mali.
     J’ose espérer que le président et le PM se donnent la main pour démentir les oiseaux de mauvais augure.
     J’ose espérer que les Maliens se calment un peu pour laisser travailler.
     J’ose espérer que les journalistes cessent de diviser sans cesser d’informer.
    Mes respects

  7. Cette equipe doit etre dissoute. Elle sest averee incompetente et na aucune place ds la situation que le pays fair face. Donc ne soyons pas emotionels car cest les challenges st enormes et ne creons pas des faux postes pour plaire aux opportunistes. Lere est de batir le pays avec le leadership competent et integre.

  8. Pourquoi ces grands intellectuels ne peuvent rien faire pour le MALI ? Tout simplement pour des intérets égoïstes, personnels.
    Les politiciens, vous devez avoir honte surtout ceux qui gérer avec MONSIEUR JE CONNAIS LA GUERRE. LE PEUPLE ne vous PARDONNERA JAMAIS.

  9. WALAHI BILAHI TALAHI
    ……………….
    Nous ne voulons pas d’un Président qui même pour parler à sa femme demande permission à la CEDEAO. Pourquoi un autre gouvernement pendant que le PM CMD est légitime plus que tout le FDR réuni. Ces anciens pilleurs des ressources publiques veulent faire partir un grand homme qui montre l’exemple aux Africains que chaque pays de notre continent peut se prendre en charge sans le FMI et la banque mondiale si les ressources nationales sont bien gérées. On peut bel et bien s’en passé de l’aide de L’AFD et L’UE pour investir chez nous. Et tout cela pendant 3 mois et en temps de guerre. Le peuple sanctionnera sévèrement ces partis du FDR lors des échéances électorales prochaines. Pour la gestion de la crise du nord, Dejà le MNLA soutenu moralement ou matériellement par les occidentaux est vaincu. L’intégrité territoriale du pays n’est donc plus menacée. Le gouvernement est en négociation avancée avec les islamistes. La CEDEAO qui dicte sa loi au mali bloque nos armes en un moment où nous avons besoins, Dieu ne dormant pas est entrain de faire la guerre pour le peuple béni du Mali. Vive ce gouvernement.

  10. WALAHI BILAHI TALAHI
    Nous ne voulons pas d’un Président qui même pour parler à sa femme demande permission à la CEDEAO. Pourquoi un autre gouvernement pendant que le PM CMD est légitime plus que tout le FDR réuni. Ces anciens pilleurs des ressources publiques veulent faire partir un grand homme qui montre l’exemple aux Africains que chaque pays de notre continent peut se prendre en charge sans le FMI et la banque mondiale si les ressources nationales sont bien gérées. On peut bel et bien s’en passé de l’aide de L’AFD et L’UE pour investir chez nous. Et tout cela pendant 3 mois et en temps de guerre. Le peuple sanctionnera sévèrement ces partis du FDR lors des échéances électorales prochaines. Pour la gestion de la crise du nord, Dejà le MNLA soutenu moralement ou matériellement par les occidentaux est vaincu. L’intégrité territoriale du pays n’est donc plus menacée. Le gouvernement est en négociation avancée avec les islamistes. La CEDEAO qui dicte sa loi au mali bloque nos armes en un moment où nous avons besoins, Dieu ne dormant pas est entrain de faire la guerre pour le peuple béni du Mali. Vive ce gouvernement.

  11. Des politiciens qui ont echoue veulent prendre notre pays en otage.
    Nous leurs prions de laisser les choses car le peuple souffre.
    Jamais un premier comme CMD n a dirrige ce pays.
    Politicines occupez vous des echeances et laisser le Mr faire.

  12. Il est indispensable de renvoyer cette equipe gouvernemantale, car elle ne représente même plus Sanogo, qui l’a nommé.

  13. Pour rester, CMD doit faire deux choses dans l’ordre chronologique : 1. s’extraire du joug de Sanogo. 2. comprendre que Dioncounda peut le démettre de son poste de PM.
    Enfantin.

  14. Bonne Analyse

    Je ne trouve pas necessaire le départ de ce gouvernement. Il avance bien à mon avis. Un travail d’équipe à toujour des hauts et des bas. Nul n’est parfait mais c’est pas mal déjà ce qu’ils sont entrain de faire.

    N’Oublions que ce Gouvernement ne peut pas réussir sans notre soutient, notre engagement et notre contrôle citoyen. Et que notre paix dépend de sa réussite.

    Critquons en y participant.

  15. Avenir politique du Mali : Faut – il nécessairement renvoyer l’équipe actuelle ?
    La Reponse: NON NON NON NON NON NON et encore NON NON

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