Renvoyé plusieurs fois, le président de l’Assemblée nationale, Issiaka Sidibé a « insisté sur la pertinence de l’examen du projet de loi relatif à la prise en charge du genre dans les fonctions électives et administratives au cours de la session de la session d’octobre ouverte hier dans l’après-midi.
Conformément à l’article 65 de la constitution du Mali, l’Assemblée nationale a commencé hier avec sa session ordinaire d’octobre. Le programme de cette session est très fourni selon le président de l’institution, Issiaka Sidibé.
“En plus naturellement du projet de loi de finances 2016, qui justifie le nom de session budgétaire, plus de 44 projets et propositions de loi, notamment ceux renvoyés au cours de sessions précédentes et les nouveaux dépôts du gouvernement, meubleront notre tableau des saisines” a-t-il précisé.
Mais c’est le projet de loi relatif à la prise en charge du genre dans les fonctions électives et administratives, renvoyé à plusieurs reprises par la Commission saisie, qui lui tient beaucoup au cœur.
“J’insister sur la pertinence de l’examen du projet de loi relatif à la prise en charge du genre dans les fonctions électives et administratives, après la prise en compte des éventuels amendements formulés par la Commission saisie au fond. Il s’agit sans doute de l’un des projets de textes les plus importants de notre législature en matière de progrès social” a affirmé le président Issiaka Sidibé.
En se rejoignant au penseur Simone Weil, le président de l’A. N a rappelé à ses collègues que “la bonne volonté éclairée des hommes agissant en tant qu’individus est l’unique principe possible du progrès social”. Cependant, il a dit de « ne douter point de la volonté et de l’engagement de chacun des élus pour l’adoption de ce projet »
Les élus de la Nation vont également examiner les projets de loi de ratification des ordonnances prises en vertu de l’habilitation législative qu’ils ont acceptée d’accorder au gouvernement entre deux sessions. Ces ordonnances sont relatives, entre autres : à l’adhésion de la République du Mali à la Convention relative au statut des apatrides, adopté par la Conférence des Nations Unies, réunie le 28 septembre 1954 à New York, à l’adhésion de la République du Mali à la Convention sur la réduction des cas d’apatridie, adoptée par la Conférence des Plénipotentiaires, réunie à New York, le 30 août 1961, à la modification des annexes de la loi portant Statut général des militaires et à la modification du code général des impôts.
Cette session ordinaire, la 4e du genre de la 5e législature, sera aussi l’occasion de renouveler certains instances et organes de travail de l’institution.
Rappelons que la présente session ne peut excéder 75 jours selon la constitution du Mali.
Maliki Diallo
…”j’insister sur la pertinence de l’examen du projet de loi relatif à la prise en charge du genre dans les fonctions électives et administratives…..
.Ce type , on le savait ivrogne invétéré mais pas un gay!
sinon , pourquoi pas insister sur le mérite?
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