La succession de Dioncounda Traoré au perchoir de l’Hémicycle est devenu un enjeu de taille entre l’ADEMA et l’URD. En effet, l’ADEMA est aujourd’hui convaincu qu’il peut frapper un grand coup car après la Présidence de la République (même par intérim), le parti de l’Abeille veut également faire main basse sur la présidence de l’assemblée nationale : une manière pour lui de démontrer son poids politique.
Ces tensions illustrent les divergences entre les partis composant la mouvance parlementaire, de même qu’avec leurs alliés politiques : entre autres, le RPM, le PDES, la CODEM et le CNID-FYT. Une situation qui incline à croire que face au « le partage du gâteau », l’alliance entre les deux camps (partis) a pris la malle (s’est dissipée) car chacun veut posséder la plus grosse part du dit « gâteau ». L’actualité politique et les informations venant de certains cadres de ces deux partis politiques font état de stratégies de conquête du pouvoir qui consistent à « faire la cour » aux autres groupes parlementaires afin que ceux-ci jettent leur dévolu sur la candidature de leur parti respectif. Des stratégies sont-elles concoctées pour se débarrasser d’un allié qui se positionne comme un adversaire encombrant ? L’ADEMA et l’URD ne s’aiment pas beaucoup ces derniers temps.
En politique, la règle consiste à jouer avec brio la carte de l’hypocrisie. On comprend alors pourquoi le pacte ficelé au sein du FDR tient toujours la route. Une sourde discorde existe entre le parti des Ruchers et celui de la « poignée de mains ». Malheureusement, les parlementaires de ces deux partis refusent encore Mais tout le monde connaît l’adage : « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Il est vrai que ces derniers temps, l’ambiance n’est pas très fraternelle entre les alliés d’hier (ADEMA et URD). C’est dire que toutes ces amabilités ne confirment qu’une seule chose. Même à l’épreuve des délices du pouvoir, l’alliance ADEMA-URD se porte comme un charme, mais avec…une grosse grippe !
Paul N’guessan
Donner la présidence à l’honorable inbarcawane
Le Temps cst ke journal Gbagbo ce journal qui a encourage les tueries des populations ” Dioulaphone” dont de nombreux maliens. Continuez a hair Ouattara est ce lui qqui a fait qu on a une armee de lache ? Est ce lui qui a fait ce coup d etat ? Est ce lui qui a fait voter pour un president qui a ete laxiste pour 2 mandats ATT et un president double face Alpha ? Est ce lui qui a donne une dictature corrompu nepotique et inefficace pendant 23 ans.Dictature qui a travers son beau fils et ces mutins veulent remettre leur main sur ce Mali. Est ce lui qui fait qu le peuple malien continue a dormir
Bonne meditation sur cet article
Affairisme dans la crise malienne : Comment la Cia a fait plier Ouattara / La vérité sur le limogeage de Bictogo / Tout sur les Frci arrêtés au Mali
Source : Le Temps : Dernière Mise à jour : 07/06/2012 (Auteur : )
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Si l’un des réseaux mafieux organisés par le pouvoir a un genou à terre, l’autre cherche tant bien que mal à garder ses repères dans la sphère politique ivoirienne. Le réseau ouattaraiste qui a le genou à terre, est celui d’Adama Bictogo. Tout son malheur est parti de la crise malienne. Lors des négociations dans la crise malienne, Adama Bictogo fait un très bon rapprochement entre lui et la junte du capitaine Sanogo. C’est ainsi que l’homme fort de Bamako lui signifie son souci financier pour s’approvisionner en armements, en vue de faire face à la rébellion. Adama Bictogo lui propose un réseau moyennant diamants et métaux. Sanogo accepte de faire ce deal en clando, avec Bictogo qui arrive même à liquider quelques quantités de pierres. Sanogo s’active alors à s’armer. C’est en ce moment que la pression internationale s’intensifie sur la junte. Entre temps, la Cia suit de près ce deal entre Bictogo et la junte. Cette «Agence» déjà très déçue du pouvoir ivoirien, avec la vente du «diamant de sang ivoirien», fait un rapport accablant sur ce régime. Abidjan est alors dans leur viseur. La Cia saisit donc le Nigéria. C’est la vraie raison du voyage inattendu de Goodluck à Abidjan après la chute de Sarkozy. Chemin faisant, la communauté internationale fait plier la junte par des pressions diverses. Ouattara voulant profiter de la situation, engage une action militaire avec les Frci. Au cours de l’offensive au Mali, un chef de guerre et pas des moindres, et plus d’une centaine d’éléments sont pris sur le théâtre des opérations. Ouattara négocie assidument la libération de cet homme qui est l’un de ses proches les plus directs. Beaucoup de moyens sont donnés à Adama Bictogo, pour les faire libérer. Le capitaine Sanogo profite de son avantage et exige au pouvoir ivoirien plusieurs choses. Abidjan mouillée jusqu’au coup, dans cette affaire cède, pour obtenir la libération de ses hommes en oubliant définitivement l’option militaire. Comme acte bonne foi, le pouvoir exige du capitaine Sanogo la libération du chef de guerre. Les autres devraient être libérés après la signature des derniers accords. Après la signature des accords dans lesquels le capitaine Sanogo obtient gain de cause, ce dernier refuse de libérer les autres prisonniers qu’il détient encore comme preuves. Abidjan qui ne comprenant plus rien, s’informe pour cerner la motivation de la junte à ne plus tenir parole. C’est là que le régime découvre qu’Adama Bictogo n’a pas donné tous les moyens qui ont été dégagés pour le capitaine Sanogo. Dès lors, la présidence ivoirienne se saisit de cette situation et fait un semblant de limogeage avec un faux alibi. Qui à la réalité, n’est qu’une action de charme pour contenter les Usa et la communauté internationale. C’est en ce moment que le réseau Hamed Bakayoko se positionne, en activant ses relations dans la presse et accable son rival. La réaction d’Adama Bictogo ne s’est pas fait attendre. Il donne des éléments précis sur des virements que feraient Hamed Bakayoko verse sur un compte offshore, en Europe depuis huit mois. Et Adama Bictogoa a juré d’avoir la tête de Hamed Bakayoko.
Une correspondance particulière
de K.S
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