Présidence de l’Assemblée Nationale : Deal honteux entre Iba et Me Tapo

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C’est comme dirait l’autre: «Aide-moi à extraire mon or et moi je fais la guerre à tes côtés». C’est le deal, semble-t-il, entre le premier Vice-président du Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA/PASJ), Ibrahima N’Diaye dit Iba et Me Kassoum Tapo, député du même parti, élu à Mopti. Selon l’accord politicien entre les deux hommes, le premier doit aider à faire élire le second à la présidence de l’Assemblée nationale. Ce dernier, en retour, va se battre pour qu’Iba prenne les destinées de l’ADEMA/PASJ et qu’il soit désigné candidat du parti à l’élection présidentielle prochaine. Cette information nous a été révélée dans les allées de l’Assemblée nationale par une source digne de foi.

 

Iba N'Diaye, vice président Adema

Le poste de Président de l’Assemblée nationale est vacant depuis la désignation de l’ancien titulaire, le Pr Dioncounda Traoré, pour diriger la transition. A la Maison du peuple, à Bagadadji, on attend la constatation de la vacance de ce poste par la Cour Constitutionnelle pour élire un nouveau chef. En attendant, les tractations sont en cours dans les partis politiques et dans les groupes parlementaires des formations politiques représentées à l’Hémicycle. Objectif: parvenir à un accord sur celle ou celui qui succédera au Pr Dioncounda Traoré.
Seulement voilà: l’ADEMA/PASJ, à travers son premier Vice-président, Iba NDiaye, s’est déjà lancé dans la campagne. Une délégation a été composée pour rencontrer les partis représentés à l’Assemblée nationale. C’est ainsi que, le week-end dernier, le MPR a été rencontré. Hier, dans l’après-midi, Iba N’Diaye et son clan étaient au siège du PDES.
Avant même que le Comité Exécutif du parti ne se désigne un candidat, Iba N’Diaye  s’est transformé en directeur de campagne de Me Kassoum Tapo, avec lequel un deal honteux a été noué. Et cela en foulant aux pieds l’amitié et les bons  rapports que le parti entretient avec le parti de Soumaïla Cissé. Notre source nous apprend également qu’une délégation de l’ADEMA, conduite par Iba lui-même, s’est rendue au siège de l’URD pour que le parti de la poignée de mains renonce au poste en faveur de Me Tapo.
Les deux hommes, dans leurs calculs politiciens, misent sur les avantages faramineux que confère le poste de Président de l’Assemblée nationale pour asseoir leur hégémonie sur les Rouges et Blancs. Avec un pactole de 20 millions de FCFA de caisse noire à gérer, sans en rendre compte à personne, et un attrayant salaire mensuel. Sans oublier les autres privilèges en nature, notamment le carburant, les cartes Malitel et Orange et bien d’autres choses. Il est vrai que Me Tapo n’est pas à 20 millions près mensuellement, lui qui est propriétaire terrien et de building. Mais, comme on le dit: «le fleuve est grand mais a toujours besoin de s’étendre».

Me Kassoum TAPO

La Ruche n’a toujours pas officiellement choisi Me Tapo, même s’il demeure pour l’instant l’unique candidat annoncé. Le Comité Exécutif ne veut pas de l’élu de Mopti. Seul le clan Iba se démêle comme un beau diable pour les besoins de la cause.
Mais qu’Iba  se détrompe. Si, par extraordinaire, Me Tapo venait à être retenu par son parti et que, de la même façon, il parvenait à occuper le Perchoir, rien ne garantit que le deal sera respecté. En politicien réputé ambitieux, Tapo travaillera d’abord pour lui-même et récupérera le parti. Certains cadres ADEMA sont déjà en train de se battre pour faire échec à ce projet machiavélique. Ils ne comprennent pas que Me Tapo, arrivé récemment à l’ADEMA, puisse prétendre à un tel niveau de responsabilités, alors qu’il y a au sein du parti des députés historiques comme Tioulenta, Ibrahima Coulibaly, Wali Diawara, Assarid Ag Imbarcawane, Yaya Sangaré et bien d’autres.
Au lieu de mettre des valeurs et le militantisme en avant, l’opportunisme et les calculs politiciens seraient donc en train de prévaloir à Bamako-Coura? Le deal entre ces deux hommes montre à suffisance la mauvaise image qu’une certaine opinion a des Abeilles. En effet, les Ruchers sont accusés d’avoir une très forte boulimie du pouvoir. Votre bihebdomadaire a dénoncé ce fait dans l’une de ses précédentes parutions, en titrant «Présidence de l’Assemblée nationale: tout sauf l’ADEMA». Président de la transition, Président du Haut conseil des collectivités, trois ministres au gouvernement, des postes de Secrétaires généraux et de Conseillers techniques dans plusieurs départements ministériels et, maintenant, de nouveau le poste de Président de l’Assemblée nationale!
C’est vraiment à croire que nous sommes dans un régime purement et uniquement ADEMA. Que Dieu sauve le Mali!
Youssouf Diallo

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37 COMMENTAIRES

  1. Etant parti majoritaire, l’ADEMA doit se battre pour conserver le poste de Président de l’AN. Face à l’histoire c’est le parti majoritaire qui repondra des actes de l’AN. Maintenant qu’ils choisissent Assarid Ag ou Tapo c’est tant mieux. Pourquoi céder le poste à l’URD alors qu’ils sont majoritaires. Il n’ya pas de sentiments en politique, mais des intérêts.

  2. dans ma vie je ne jamais deteste quelquin comme tapo cest un faut cul un enfoire il doit etre suprime dns la politique malien

  3. Me Tapo il ya une chose que tu ignore encore .Les Maliens ne t’aiment pas.Quand est ce que tu veut comprendre? Tu as trop fait du mal aux Maliens.ça souffis comme ça.

  4. Tapo est un calculateur de la pire espèce. Le poste de President de l’assemblée est un passage obligé pour arriver à Koulouba. Dire qu’on accuse Mariko et vermines de vouloir assassiner Djonkounda, c’est tres mal connaître Tapo.

  5. Tribune libre/Réveil brutal, population trahies
    Peuplé de plus de quinze millions d’habitants, avec plus de soixante pourcent de la population vivant au-dessous du seuil de la pauvreté, et classé au bas de l’échelle des pays les plus pauvres ou les moins avancés du monde, la république du Mali, héritière des grands empires du soudan-nigérien, est confronté aujourd’hui à une crise globale et multiforme sans précédent de son histoire. Il s’agit de l’échec des politiques nationales, des antagonismes entre les acteurs de la classe politique, des divergences entre gouvernants et gouvernés, une communauté internationale encline à écouter ceux-là mêmes qui ont conduit le pays dans l’impasse.

    Il y a urgence d’abréger la souffrance des populations des régions du nord Mali

    L’occupation des régions de Kidal, Gao et Tombouctou est la conséquence directe des faiblesses institutionnelles de la troisième république. Ceci a donné l’occasion à certaines puissances extérieures de réveiller la rébellion à des fins économiques (le potentiel minier de la zone) par la mise sous pression des autorités centrales et à l’Algérie de voir prendre forme son ambition de puissance sous régionale en se présentant comme un acteur incontournable.
    La Mauritanie et la France ont déjà fait payer à juste raison au Mali son inertie et son refus suite aux nombreuses sollicitations à s’impliquer dans la lutte contre le terrorisme.
    Il reste évident que les pays limitrophes du Mali et ceux de la CEDEAO ne sont pas à l’abri d’une déstabilisation par les groupes armés islamistes.
    Le terrorisme international, traqué et acculé à travers le monde, a trouvé un terreau au Mali. Aujourd’hui, la sécurité collective est vivement menacée.
    Aujourd’hui, l’ampleur du désastre humanitaire est indescriptible. Au-delà des besoins physiologiques, les populations innocentes ont été atteintes dans leur dignité et leur honneur. L’heure n’est plus aux calculs politiques car la vie est précieuse.
    Le Mali ne saurait seul recouvrer son territoire sans l’aide de la communauté internationale. Ces régions ont été conquises par les armes, elles ne seront libérées que par les armes. Les négociations interviendront après la libération totale du territoire national. Toute autre issue serait éphémère.
    Les causes et la responsabilité de la crise actuelle ne sont imputables ni directement ou indirectement à une quelconque communauté internationale. Elles sont de l’ordre national.

    Une démocratie de façade

    En effet, depuis l’avènement de la démocratie intégrale au Mali au début des années 90, marqué par l’émergence d’une centaine de partis politiques, des réformes institutionnelles sur fond de décentralisation, la libéralisation du secteur de l’économie, la promotion et la protection des droits humains, la ratification de nombreuses conventions internationales, l’assainissement des finances publiques, l’établissement des équilibres macro-économiques et la croissance entre autres, ont concouru à présenter notre pays comme un modèle de bonne gouvernance réussie en Afrique.
    Les discours politiques, les votes majoritaires à l’assemblée nationale ont mis les partenaires en confiance qui ont mobilisé d’importantes ressources financières, y compris l’appui technique et l’assistance conseil en soutien aux programmes gouvernementaux. L’aide publique internationale a connu une croissance exponentielle au cours de ces vingt dernières années.
    Parallèlement à leur contribution au développement du Mali, les partenaires techniques et financiers ont été attentifs aux indicateurs de bonne gouvernance car la confiance n’exclut pas le contrôle. C’est pourquoi, une étude sur la corruption réalisée au début des années 2000 par la Banque Mondiale a révélé plus d’une quinzaine d’agents publics multimilliardaires contre environ cinq opérateurs économiques.
    Des contrôles au trésor public ont permis de découvrir la collusion entre ces agents publics et les milieux d’affaires.
    La spéculation foncière est devenue une filière très lucrative.
    Le secteur de l’éducation a été transformé en véritable laboratoire pour tester de nouveaux modèles d’enseignement proposés par des experts internationaux. La libéralisation du secteur a donné la prééminence aux intérêts financiers au détriment de l’acquisition d’une bonne connaissance. Finalement tout devient achetable et vendable.
    Les nouveaux riches s’emparent de la direction des partis politiques et deviennent des chantres de la « démocratie nationale », se réclamant républicains, défenseurs de la légalité et de l’ordre établi.
    Paradoxalement, la violation des lois de la république, l’impunité, l’enrichissement illicite, l’achat des consciences lors des élections ont été et restent le jeu favori de cette catégorie de « citoyens ». La voie politique est devenue le chemin le plus court et le plus sûr pour faire fortunes et se donner un « certain statut social ».
    La responsabilité principale du naufrage collectif incombe aux acteurs du champ politique, toutes tendances confondues, aux cadres dirigeants des administrations publiques inféodés aux partis politiques, au consensus et l’unanimisme comme dans un parti unique, aux intellectuels livrables aux plus offrants et subsidiairement à la population majoritaire, silencieuse et sans voix.
    L’allégeance de certaines franges de la société civile voire de syndicats à ces « leaders de partis politiques » se justifie aisément par la recherche d’opportunités et de stratégies de captage des ressources qui concourent à la génération de tensions stériles et de divisions au sein des couches sociales. Le mensonge, la corruption et la tromperie sécrètent la violence.
    Eu égard à la situation ci-dessus décrite, nous constatons que notre pays a vécu dans une démocratie de façade, réduite à la création d’institutions et l’organisation d’élections.
    Les aspirations des populations à la bonne gouvernance trahies
    La mauvaise gouvernance est à l’origine de nos problèmes actuels. La rupture constitutionnelle intervenue le 22 mars 2012, l’incapacité des forces armées à contenir les mouvements armés, les affrontements entre les acteurs politiques sont et demeurent les conséquences de vingt ans de mensonge, de corruption et de tromperie.
    Les aspirations des populations à la bonne gouvernance qui ont motivées les évènements de mars 1991 ont été étouffées par les acteurs du champ politique. Elle devait amener le pays sur la voie d’une croissance économique régulière et le développement global à travers l’observation par les gouvernants des principes élémentaires suivants :
    – le devoir de rendre compte (le sens de la redevabilité)
    – la transparence dans l’octroi des marchés, l’accès aux services publics
    – l’efficacité et l’efficience dans la mise en œuvre des programmes de développement
    – la volonté et la capacité d’écoute sur les grandes questions de la vie nationale
    – un état d’esprit tourné vers l’avenir par une grande capacité de prévention et d’anticipation
    – la démocratie fondée la qualité (intégrité, honnêteté et le sens de l’intérêt général) des hommes et des femmes et non sur la puissance financière
    – un système de décision décentralisé et participatif
    – la lutte contre la corruption par la mise œuvre des recommandations du vérificateur général et des structures de contrôle de l’Etat
    – la justice équitable pour tous les citoyens et non fondée sur le pouvoir de l’argent
    – le sens de la responsabilité face à nos devoirs et obligations.
    La démocratie est alors un élément de la bonne gouvernance et constitue avec les principes des moyens.
    Une société civile plus responsable face aux enjeux des prochaines élections présidentielles et législatives
    Parallèlement, la société civile, qui doit être un acteur important de la bonne gouvernance, a été instrumentalisée dans une proportion significative. Elle doit, en tant que force sociale, appuyer et en même temps contrôler l’Etat et le secteur économique privé, pour que ces objectifs soient réalisés.
    C’est pourquoi, dans la perspective des prochaines élections, la société civile a la mission cruciale d’informer et sensibiliser les populations sur la qualité des hommes et des femmes qui les représenteront au sein des différentes institutions. Elle doit faire preuve d’une bonne cohésion pour une synergie d’actions en vue de réussir la lutte contre l’achat des consciences.

    Askia Mohamed II
    Bamako

  6. Mais, ce soit DISANT youssouf DIALLO ne comprend rien de la démocratie. On a dit que la démocratie c’est le pouvoir de la majorité. L’ADEMA étant le Parti majoritaire au Mali, c’est normal qu’il préside les institutions dont vous parlez.

    Si pour YOUSSOUF diallo, il y a un deal honteux, c’est qu’il cesse de raisonner. Iba étant 1er vice-président de l’ADEMA, il doit se battre pour que le fait majoritaire soit respecté à l’Assemblée.

    D’Ailleurs l’URD et l’ADEMA se sont toujours battus ensemble pour faire respecter le majoritaire à tous les niveaux.

    Si l’ADEMA n’est pas président de ces institutions où serait la légitimité

    • MERCI BONI
      Ce journaliste est un inculte. Il ne comprend meme pas ce que signifie a légitimité en démocratie.
      Il n’y a aucun deal honteux, c’est le fonctionement normal du processus democratique.
      Honte a vous de vouloir diaboliser tout.
      Vous voulez faire exploser ce pays avec vos articles indignes, pauvre minable mais inchallah vous n’y parviendrez pas

  7. Ce Tapo la est arrogant, il pense qu’il connait tout, meme dans son dommaine du droit il ya des hommes qui connaissent et maitrisent parfaitement le droit autant sinon plus que lui je pense par exemple à Maitre Mamadou I KONATE et tant d’autres qui n’affichent pas cette air d’arrogance et de suffisance comme lui. Qu’il soit contre le coup d’Etat ca c’est son problème puisque c’est une question d’interet, ce qu’on ne peut pas changer c’est que le coup d’Etat a eu lieu et qu’on ne peut plus permettre que les memes mauvaises pratiques avec les memes personnes continuent. Qu’il aille au diable imaginez une telle personne à la tete de l’hémicycle quelle catastrophe???

  8. S’agissant de Maître TAPO et Mr Iba NDIAYE, avant de s’exposer au public pour briguer une telle “CHARGE”, il faudrait d’abord qu’ils réussissent le “TEST” de l’ENQUETE de BONNE MORALITÉ”. UNE “VRAIE ENQUÊTE” CONDUITE PAR DES HOMMES ET DES FEMMES HORS PAIR POUR FOUINER LES COINS ET RECOINS POUR S’ASSURER QUE QUELQUE PART, IL N’Y PAS DE VIEILLES CASSEROLES QUE L’ON A TRAÎNÉES OU QUE L’ON TRAÎNE; OU SUR LE PLAN STRICTEMENT MORALE IL N Y A PAS DE HARCÈLEMENTS DE TOUTE NATURE OU AUTRES INDÉLICATESSES SOCIALES DE MAUVAISE CONDUITE MÊME SUPPOSÉE TENDANT A PORTER ATTEINTE A LA DIGNITÉ ET A L’HONNEUR DE NOS “CANDIDATS”.
    Mr IBA NDIAYE ETAIT CANDIDAT A LA CANDIDATURE DU PRÉSIDENT DU MALI AU NIVEAU DE L’ADEMA.
    A BON ENTENDEUR SALUT

  9. c’est pas des gars comme iba n’diaye qui vont gérer le mali, gawlo sékou den, abada, qu’il se détrompe.Qu’il réponde d’abord de ses actes pendant son passage au ministère de l’emploi et à la mairie du district.

  10. Ce Tapo est rentré par la fenêtre à l’ADEMA et veux coiffé ses dignitaires. Pas surprenant, parce que l’ADEMA a toujours été un parti irresponsable. Tapo est ivrogne, voleur, corrompu et incompétent. Sa seule force c’est la propagande avec son manteau d’homme de droit. On va tous vous fusiller au 26 mars un jour quand la révolution serait réelle. Cela ne tardera plus.

  11. Les maliens sont patients, mais s’ils se revoltent “c’est pas jolie à voir” Alors iba et tapo il est temps que vous sachiez que les choses ont changé et le peuple lamda ne se laissera pas faire. ce qui s’est passé au palais est un exemple assez édifiant pour tous. je vous conseille de prier bien dieu pour kil vous donne la chance de manger trankilement ce que vous avez déjà emmassé. On se connait tous dans ce pays. le mali ne sera plus géré comme il a été jusque là inchalla

  12. Tout intellectuel malien bien renseigné sait q tapo n’a fait q’accuser le parti adverse pour s’en sortir, il n’a rien dit de coherant, sinon q d faire des insultes, j suis decue de son attitude, un grand homme,un homme de droit, doit avoir la serenité et garder son sang froid comme mr guindo l’a fait en debatant bien, tu es un homme de droit donc attends q les enquetes s terminent pour accuser les gens. de source sure, il a appelé Mr guindo à une semaine de l’attaque des berets rouges pour lui dire q’ils ont des milices, des armes et q’ils sont à une guerre civile s’il le faut, malheureusement en disant cela au tel, il y avais un policier dans le bureau de mr guindo qui na tt entendu et c dernier a fait un rapport et a transmis à la justice raison pour laquelle on a interpellé mr tapo à la gendarmerie , son dossier est en cours, raison pour laquelle il fait payer les journalistes en decrediblisant mr guindo et en l’attaquant pour q son dossier n soit plus un obstable ,et il cherche en mm temps l’assemblé nationale pour l’immunité.

  13. Regardez des journalistes comme sa toujours la a semé la terreur dans le pays et si vous alliez vraiment vérifiez votre informations vous ne croyez pas que l’heure est grave pour des trucs de ce genre
    on sait comment sa se passe un coté vous donnent quelques choses pour bannir l’autre mais pardon soucie toi de ton pays

  14. je suis un vrai démocrate mais j’aurai préferé un changement qu’on ça se passe actuellement par tout dans le monde ( France printemps arabe…)comme là dit Obama au Ghana l’Afrique n’a pas besoin des hommes fort mais des institution forte.réveillez nous .

  15. Un Gaoulo aux caractères frivoles comme ATT ne sera plus jamais president de la Republique du Mali.C’est pourquoi le parti de l’abeille essaie de contester le plein pouvoir du premier ministre.Ce parti veut compter sur les bons offices du president dioncounda pour reprendre le pouvoir.
    Que les maliens et maliennes prennent garde sinon l’ADEMA va chercher a faire partir le premier ministre par tous les moyens.pour leur interêt sordide.Et gare à eux !!!

    • bien dit.ce GAOULO n’a pas sa place dans notre Assemblée. il a été un echec pour notre Malibat. que dieu te benisse

  16. AVEC TOUS CES HOMMES HONTEUX JE DIRAIS QUE LE RETOUR A L’ORDRE CONSTITUTIONNEL NE DOIT PAS ËTRE UN FREIN AU CHANGEMENT RADICAL AU MALI.LE PEUPLE DOIT PRENDRE SES RESPONSABILITES POUR ECARTER TOUS LES ENNEMIS DU MALI .ILS N’ONT PLUS LEUR PLACE DANS LE JEU POLITIQUE MALIEN ET LE PEUPLE DOIT LE LEUR FAIRE SAVOIR PAR TOUS LES MOYENS

  17. C’est vraiment dommage donc ADEMA est le seul partie au Mali cet ivrongne de Tapo n’est toujours pas rassasé il verra sous peu les maliens doivent tous se lever ensemble pour degager ses vautours

  18. Un parti comme l’ADEMA ne mérite de soutenir la candidature de Me TAPO. C’est vraiment honteux. Les Maliens appuieront sur la gâchette de la révolution si Me TAPO est élu Président de L’AN. Tout sauf ce arrogant ivrogne.

    • TAPO a raison de penser au perchoir, puisque les maliens ne veulent pas ouvrir les yeux.Espece de oun ta chidon qu’il est.clochar.

  19. J’ai l’impression que ces gens n’ont pas encore compris qu’on ne veut plus d’eux!!!!!!! Fo ou da djolima!!!!!!!!!!!! Qu’ils persistent, on va finir avec eux après la résolution du conflit au nord!!!!!!!!!!!!!!

  20. Tapo est la pire des chose qui peut arriver à l’AN, les maliens n’ont pas oublié les milliards qu’il a volé à la CENI. L’ADEMA peut faire son deuil 👿

  21. Deal… Deal… Deal… il n’y a que des deals au Mali… on prend les électeurs pour des concombres… 👿 👿 👿

    ATT – Alpha : deal…

    Alpha – ATT : deal…

    ATT – Modibo Sidibé : deal…

    Voilà ce que je propose : en vertu des pleins pouvoirs qui lui sont donnés, le PM Diarra, avant la fin de la transition doit :

    1. dissoudre l’Assemblée Nationale, et tous les 135 partis politiques du Mali.

    2. Prendre un décret pour imposer 5 partis politiques maximum dans le pays…

    3. Limiter l’âge pour être élu député à 50 ans. Interdire la députation à tous les anciens députés… 😀 😀 😀

    4. Les 5 partis politiques concourent pour la députation. Et seuls les partis politiques présentent un candidat à l’élection présidentielle. Les candidats indépendants sont interdits.

    • J’ai une meilleure proposition. Qu’on fasse comme en Egypte, que le peuple se batte pour que les cassiques du pouvoir de Alpha et de ATT soient exclus de tout poste électif.

  22. Pauvre Mali comme le disait le groupe SOFA un pays partage entre les loups (MNLA, Ansar cheitan, Aqmi…au Nord) et les chacals (politiciens sans vergogne au Sud) je pense la messe et dite rien ne restera de la carcasse du grand Mali.

  23. Mr le journaliste, c’est ca aussi la politique. Ne vous trompez pas de combat, ces genres de pratique sont propres a la politique; donc rien de nouveau sous le soleil. Je vous invite a venir faire un tour aux USA lors des elections pour voir comment les alliances se font et se defont au gre des interets personnels. Si vous avez quelque chose a reprocher a ces gens, ne vous faites surtout pas prier. Devoilez et faites-nous connaitre la vilenie des actions et de la vie de ces hommes politiques. Mais du moment ou vous n’avez pas quelque chose contre eux (pour le moment), alors rendez-nous nos yeux et nos oreilles.

    • Dogonofama
      Les journalistes ne font que rapporter des faits, ils n’ont pas besoin de venir aux USA pour savoir ce qui se passe, ces deux systèmes complètement différents. Au Mali tout est base sur l’escroquerie et le faux. Tu peux imaginer qu’ici que ces genres de choses peuvent fonctionner ici.

    • c est parce qu on faít va au USA donc tu trouves ca normale ?
      Je ne comprends beaucoup de gens sur le net, quand tu ne connais pas quelque chose mieux vaut se taire. je suis sur que les USA que si les USA etaient dans une situation de partition, ils allaient s unir pour sauver l unite nationale.
      Vous voyez maintenant pourquoi Tapo criait et demander a la CEDEAO de dintervenir pour maintenir DIOncounda, c etait pour lui remplacer a l assemblee nationale. c est pas une lutte ppur le Mali, c est pour leur propre poche , mais ils oublient que tout cela sera possible que lorsque le mali est gouvernable,les rebelles peuvent decendre jusqu a BKo si nous reunissons pas nos forces.

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