Le 26 juin est la journée internationale de lutte contre la drogue. C’est pourquoi, l’Association des jeunes pour la lutte contre le terrorisme, la drogue et le trafic de personnes en Afrique de l’Ouest (AJLT-DAO), la Coalition Nationale des Jeunes Volontaires du Développement (CONJEDEV), le Réjld-Mali, en partenariat avec la Direction Centrale des stupéfiants, ont tenu à l’Assemblée Nationale une journée de plaidoyer pour éclairer la lanterne des députés sur de la consommation de la drogue au Mali. C’était sous la présidence de l’honorable Amadou Thiam, 2ème vice président de l’AN.
L’engagement des parlementaires maliens pour lutter contre la drogue a été salué par tout le monde. C’était le 27 juin dernier à l’Assemblée Nationale au lendemain de la célébration de la journée internationale de lutte contre la drogue. Une journée qui revêt une importance capitale non seulement pour l’Association des Jeunes pour la Lutte contre le Terrorisme, la Drogue et le trafic des personnes en Afrique de l’Ouest, mais pour toute la nation.
Pour mieux se faire entendre et gagner la bataille contre la consommation de la drogue, les jeunes ont décidé d’outiller les parlementaires qui sont plus proches du peuple. Tous les leaders d’ Associations évoluant dans le secteur cité ont jugé nécessaire et impératif une forte implication des députés sur le plan matériel, administratif et moral afin d’éradiquer le phénomène de la drogue aux conséquences incalculables.
Dans la même perspective l’AJLT-DAO entend initier une vaste campagne de sensibilisation au-delà du 26 juin. Pour ce faire, elle compte sur l’accompagnement de l’AN pour donner plus de visibilité et de lisibilité à ses actions afin de faire face au péril que représente la drogue pour la stabilité du pays.
Pour l’honorable Amadou Thiam, « l’AN ne peut rester en marge des efforts déployés par l’ensemble des acteurs », a-t-il dit.
Comment rester indifférent face à ce fléau qui devient de plus en plus grave et menace l’avenir et le devenir de toute une nation. Les parlementaires sont d’ailleurs dans leurs droits en tant représentants des peuples. Ils sont les mieux placés pour sensibiliser toutes les couches vulnérables de la société. Mais surtout au sein des partis politiques où les jeunes, espoir de la nation constituent la grande majorité.
M. DIAKITE