Bisbilles au sein de la majorité : Les députés du RPM refusent de rencontrer les ministres politiques

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Face aux difficultés à faire voter le projet de loi instituant les autorités intérimaires dans les régions du Nord, les ministres politiques du gouvernement ont décidé de prendre des initiatives et rencontrer les députés de la majorité.

 

Une première rencontre a été programmée le lundi. Un rendez-vous raté puisque les élus de la nation du parti présidentiel, le RPM, ont refusé de participer évoquant des vices de forme dans l’organisation alors que d’autres sources parlaient des tensions entre les différents clans qui minent le parti d’IBK.

Pour le retour de l’administration dans la région de Kidal aux mains des rebelles depuis des années, notamment après des combats en mai 2014 lors d’une visite du Premier ministre de l’époque Moussa Mara entre les rebelles et l’armée malienne, qui avait subi une lourde défaite,  la Coordination des mouvements de l’Azawad exige préalablement du gouvernement la mise en place dans le Nord des autorités de transition prévues par l’accord de paix, signé en mai-juin 2015 avec Bamako.

Malheureusement, cette conditionnalité a du mal à être satisfaite, car même si le gouvernement a adopté depuis plusieurs mois le projet de texte le projet de loi instituant les autorités intérimaires dans les régions du Nord, les députés semblent vouloir trainer surtout que les élus locaux de Tombouctou, Gao et de Tombouctou ont hurlé leur opposition à ces administrations provisoires dans une lettre adressée au président de la République.

Joint au téléphone, un des responsables du RPM, Mahamadou Diarrassouba, a déclaré qu’il “ne s’agit pas d’un refus de rencontrer les ministres politiques, mais plutôt d’un refus d’accepter un comportement inacceptable. On ne peut pas aller à une rencontre pour laquelle le président de l’Assemblée nationale n’est pas informé encore moins le président de la majorité présidentielle. On veut seulement être respectés et qu’on respecte la forme. Même si aujourd’hui, nos responsables (Ndlr : hier) sont dûment informés, nous irons”. Pour lui, il “ne s’est jamais agi d’une querelle de personnes”.

Quant au projet de texte contre qui l’opposition organise une conférence de presse, Diarrassouba annonce qu’il sera bien sûr voté, mais “avec des amendements”. En tous les cas, les débats risquent d’être très chauds à l’hémicycle et entre les cadres du parti d’IBK qui dénoncent des relents de guerre des clans.

Nabila Sogoba

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63 COMMENTAIRES

  1. Les accords de paix ne peuvent être appliqués sans que les groupes armés n’ont pas décidé de se plier aux prescriptions de l’accord d’Alger. Ils ne doivent pas voir le coté qui les arrange car c’est le peuple qui souffre. Le gouvernement attend faire des investissements au nord mais tout ceci met en retard tous les projets de développement.

  2. Aujourd’hui, les accords résument toutes les recommandations des partis signataires si ce n’est la mauvaise foi je pense qu’ils donnent la satisfaction à toutes celles-ci.
    Nous appelons tous les partis au respect strict des accords aboutissant à une paix durable

  3. Il est temps que les Maliens se donnent la main, car c’est l’union qui fait force, le président et son gouvernement fait tout ce qui est à pouvoir pour que la paix revienne au Mali et que nos autorités puissent s’installer à KIDAL, Le peuple Malien souhaite que la paix revienne de façon définitive.

  4. Avec IBK l’applicabilité de ces accords ne seront pas un problème car nous voulons que tout l’ensemble du pays se développe. Il est temps qu’on se parle pour situer les responsabilités et enfin se pardonner pour vivre en parfaite symbiose.
    Le drapeau malien doit flotter à Kidal car les ex rebelles sont financés par le gouvernement malien.

  5. Tout le peuple malien doit savoir que ceux qui aiment la paix doivent apprendre à s’organiser aussi efficacement que ceux qui aiment la guerre.
    Sachez qu’IBK travaille dans ce sens. Les ex rebelles doivent s’aligner aux actions du président en acceptant de faire des sacrifices aussi.

  6. Il faut que les responsables du RPM sachent que l’heure n’est pas à la discorde mais plutôt à l’union sacrée pour défendre les idéaux du parti. Toujours des querelles en n’en point finir. Cela n’est pas du tout bien pour l’image du parti.

  7. Dans le cadre de la mise en application des accords de paix; l’état a tous les moyens à tous les niveaux que ce soit constitutionnels, juridiques, politiques pour créer les conditions en vue de la mise en œuvre de cet accord c’est pourquoi la clause de non fonctionnalité des collectivités locales n’est pas prise en compte. C’est une disposition particulière et les élus locaux doivent le comprendre.

  8. Les élus des Régions de Tombouctou, Gao et Kidal, les responsables des groupes armés ,comité de suivi de l’accord pour la paix et la réconciliation et le gouvernement doivent parler de la même voix afin de faire comprendre les dispositions de l’accord et pour permettre l’installation des autorités transitoires.

  9. Tous les problèmes au sein du RPM aujourd’hui sont dus à des questions de leadership. Chacun veut avoir une autorité pendant qu’il ne l’a pas mérité. Ce qui est à la base de divergences et de clanisme. Mais ils doivent faire fi de cela et se concentrer sur l’essentiel qui est l’avenir politique du parti et partant du pays.

  10. Quel que soit le temps que cela va mettre les autorités transitoires sont nécessaires. Il faut que les députés adoptent le projet de loi car c’est un des dispositifs prévus pour la mise en œuvre des accords d’Alger II. L’annulation de ce paramètre remettrait en cause donc tout l’accord car cette disposition a été prise avec le consentement de tous les acteurs.

  11. Le problème au RPM c’est que chacun se bat pour ses intérêts personnels pourtant tout le monde devrait mettre en avant la vision du parti. S’il s’agit d’être dans un parti et avoir différents clans; autant ne pas y être. Un parti politique; c’est une famille et une famille est soudée, se soutien et travaille ensemble pour atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés. Le bureau national doit rapidement mettre fin à cette situation.

  12. Les membres d’un camp politique, d’un parti, doivent s’entraider sur la scène politique. Surtout lorsqu’on est parti dit de la majorité présidentielle. En politique, il ne suffit pas seulement d’être militant d’un parti. Il s’agit aussi de partager l’idéologie de ce parti et toujours soutenir les activités de ce parti. Les cadres du RPM doivent se raviser!

  13. Les autorités transitoire sont nécessaires dans la mise en œuvre des accords de paix. Mais puisqu’il s’avère qu’il y a des insuffisances de part et d’autres; il faut que le comité de suivi avec les différents acteurs puissent se concerter pour aplanir les angles afin que nous puissions aller résolument à la paix.

  14. L’accord de paix doit être beaucoup vulgarisé et les dispositions doivent être expliquées aux uns et aux autres car il apparait de plus en plus que les acteurs même souvent n’en maitrise pas les clauses. Ce qui peut constituer un obstacle à sa mise en application.

  15. L’accord de paix connait des avantages comme des inconvénients car il y a des mesures qui sont objet d’un bouleversement institutionnel sans précédant. Il faut donc que les élus locaux puissent éviter d’y faire obstacle pour la bonne marche des accords de paix.
    Il faut qu’ils puissent statuer pour qu’on sache leur position sur la mise œuvre des autorités intérimaires.

  16. C’est pour le respect et la mise en œuvre de l’accord de paix que le gouvernement fait tout pour la mise en place e des autorités transitoire dans certain lieux du septentrion malien. Les député du RPM ne doivent mélangé les affaires d’Etat et les problème au sein de la majorité présidentielle.

  17. Le gouvernement est en train de travaillé sur la mise en place dans le Nord des autorités de transition prévues par l’accord de paix. C’est l’accord de paix qui l’exige, donc pour le respect scrupuleux de l’accord le gouvernement est en pied d’œuvre pour la mise en place des autorités transitoires dans le nord Mali.

  18. La Visite hasardeuse de Moussa Mara a été un coup lourd pour notre pays Moussa Mara a mit la charrue avant les bœufs. L’Etat malienne regrette cette visite qui n’a fait que suscité des polémiques au sein du pays.

  19. Certes, Kidal n’est pas le seul défis à relever mais vue la situation politico- sécuritaire et tant d’autre, il est tout à fait normal qu’IBK en fasse de cela sa priorité. IBK dans sa bonne politique de gouvernance ne se résume pas seulement à Kidal mais tout le Mali.

  20. Après la création des régions du nord il est tout à fait primordiale que des autorités intérimaires soit désigner avant les élections communales. Le régime au pouvoir fera tout sauf porter préjudice ou atteinte à la constitution de se État.

  21. Je n’ai jamais vue comme pour le cas de ce rpm, je ne comprends pas pourquoi se grand partie malien soit déchiré ainsi. IL vaut mieux pour eux de continuer la lutte avec le président IBK en lui apportant soutien et toutes ses formes.

  22. IL faut tout d’abord écouter le gouvernement pour ce qu’il as à dire, on ne doit pas nous permettre de prendre des décisions pareils, l’écoute est très important pour ce MALI actuelle.
    Nous avons besoin des moyens pour faire le MALI d’ensemble pas autres…
    Dieu Bénis le Mali….

  23. La crise du septentrion malien est le plus grand des soucis du gouvernement malien, donc il est tout à déraisonnable que les problème au sein du RPM se mêlent de cela.

  24. Il faut apporté voies et moyens pour discuté des choses qui pourront sortir du pays de ses difficultés, sinon sans cela, je ne pense pas que les choses pourront changer d’eux même.
    Il faut la participation de tout un chacun…

  25. Moi je n’accuse pas seulement le partie du rpm en ce sens, je voie toute les parties politiques de ce pays qui doivent être au minimum être là pour le président à cause de la nation, comme on peut le comprendre nous n’avons pas besoin d’un Mali des politiciens mais d’un Mali des hommes qui savent se souvenirs pour des causes de la patrie.
    Merci pour la bonne compréhension de nos politiques…

  26. Quand même c’est déplorable d’assister à tous ses moments un rpm qui ne soutient pas son président.
    Mais avec les nouvelles décisions, je pense que les choses changeront.

  27. je pense qu’en se qui concerne le rpm, c’est en soutenant le président IBK que nous ferons de ce pays un Mali pas comme les autres de l’Afrique, sinon il faut le dire, Le rpm n’est plus comme avant des personnes qui ont perdu leurs sens de combat, il faut que ses personnes se retrouve pour mettre en œuvre un véritable combat en faveur du président e la république, comme on le dit, un parti politique est une équipe et dans une équipe il faut se soutenir.

  28. C’est simple comme de l’eau à boire il faut qu’on se mette tous à soutenir le gouvernement ainsi que le président …
    Il est temps que le rpm prend ses responsabilités de soutenir la majorité au nom de la patrie…

  29. En ce qui me concerne, je pense que nous devons multiplier nos soutiens qu’on portes au président, là il ne s’agit pas d’un parti politique, mais une question de sauvé la nation avec des actes concret.

  30. Les querelles qui aminent le RPM doit rester au RPM, il est tout à fait inadmissible que les querelles au sein du RPM reflets directement dans la gouvernance de ce pays. Les dputés doivent très vite rencontré les ministres concerner pour que les chose soient mise au point très vite.

  31. Les affaires internes du parti ne devrais pas influencé dans l’avancement de la gestion du pays. Les Députés du RPM doivent mettre leur différents de côté et rencontré les ministres politiques pour trouver une suite au problèmes de ce pays.

  32. Je pense que les membres du RPM doivent mettre les différents de côté quand il s’agit des intérêts du pays. Actuellement le Mali doit se passé de ce genre de problème, en ce moment de crise.

  33. Je pense que les députés doivent au contraire rencontré les ministres politiques pour trouver très vite une solution à ce problème. Les députés sont en train de plus ou moins fuir leur responsabilité.

  34. C’est une question malentendu qui se pose dans cette affaire. Les députés de la majorité n’ont pas refusé de rencontrer les ministres. Ils veulent qu’ils soient respectés par ces derniers. Maintenant c’est aux ministres de revoir la procédure d’invitation en informant le président de l’Assemblée et le président de la majorité.

  35. Les députés de la majorité présidentielle n’ont pas refusé de rencontre les ministres politiques, ils ont plutôt refusé d’accepter un comportement irresponsable et inacceptable. Les ministres politiques n’ont pas raison de se surpasser de la responsabilité du président de l’hémicycle et du président des partis de la majorité, Boulkhassoum Haïdara.

  36. La mise en place des autorités transitoires est une disposition de l’accord de paix et de réconciliation nationale. Ce n’est pas une condition posée par les groupes armés mais par le texte de l’accord qui engage le gouvernement malien. Les élus de la nation sont dans leur droit de se rassurer de bonne foi des rebelles pour voter cette loi.

  37. Les députés de la majorité du parti présidentiel n’ont pas refusé de participer à la rencontre. Les ministres politiques n’ont pas passé par la voie normale pour rencontrer les députés de la majorité. Ils devraient au préalable en discuter avec les président de l’Assemblée nationale et de la mouvance présidentielle, à défaut l’un de ces deux. Mais cela n’a pas été fait. Ce qui donne lieu à des vices de fond et de procédure.

  38. La mise en place des autorités intérimaires est la condition posée par les groupes armés pour le retour de l’Administration dans le septentrion malien. Les députés de la majorité n’ont pas refusé d’aller à cette rencontre pour refus de voter le texte mais par non-respect de la procédure.

  39. Les députés de la majorité n’ont pas refusé de rencontrer les ministres politiques. Seulement qu’ils veulent que ces derniers les respectent. Le président de l’Assemblée Nationale devrait être informé de cette rencontre. C’est ce qui n’a pas été fait voilà pourquoi les députés de la majorité ont refusé.

  40. Ce n’est pas que les députés de l’opposition veulent organiser des conférences contre la mise en place des autorités transitoires que les ministres politiques doivent rencontrer uniquement les députés de la mouvance présidentielle. Non, c’est logique qu’ils s’opposent à cette loi car les rebelles de la CMA n’inspirent aucune confiance et ne veulent inspirer aucune confiance non plus. Leur mauvaise foi est connue de tous et le cas du forum de Kidal est un exemple palpable.

  41. Pour que l’on puisse parler de l’application à la lettre de l’accord d’Alger pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger, il faut que nos élus acceptent de voter cette loi initiée par le ministre de la réconciliation nationale, Zahabi Ould. Les députés de la majorité ne sont pas les seuls élus de l’hémicycle. Il y a aussi ceux de l’opposition. Donc que les ministres politiques arrêtent leurs jeux et consultent tous les députés.

  42. Le retour de l’Administration dans les localités du nord du Mali est impossible sans la mise en place des autorités transitoires comme prévue par l’accord de paix et de réconciliation nationale. Donc je demande aux ministres organisateurs et initiateurs de la loi sur la mise en place de ces autorités de revenir sur les procédures pour que les députés puissent aller à leur rencontre.

  43. Le gouvernement doit revoir les conditions de la mise en place de ces autorités transitoires. De la manière où la Coordination des Mouvements armés de l’Azawad a manifesté sa mauvaise foi en organisant seule le forum de Kidal qui devrait unir le Gatia, le gouvernement et elle, elle est capable de profiter de ces autorités transitoires qui doivent être composées des ressortissants du nord, pour aller au bout de ses objectifs, la construction d’un Etat indépendant.

  44. Si réellement le président de la majorité n’a pas été informé de cette rencontre à plus forte raison le président de l’Assemblée Nationale, les députés qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition ne peuvent pas se rendre à cette rencontre. Les ministres organisateurs de cette rencontre doivent revenir sur la procédure. S’agissant de la mise en place des autorités intérimaires dans les régions du nord, j’invite les élus à accepter le projet de loi car c’est le retour de l’Administration qui y est conditionné et c’est l’une des dispositions de l’accord de paix d’Alger.

  45. Je pense qu’il n’y a rien comme problème entre le président IBK et son parti.C’est ce que monsieur MAMADOU DIARRASSOUBA a confirmé lors de sa rencontre avec les militants du parti.Il est important que les gens le sachent.

  46. Il n’y’a pas de problèmes au sein du RPM.Seulement il y’a des personnes qui ne sont pas favorables au changement que prône le président IBK.A savoir finir avec la complaisance et nommer les personne en fonction de leur valeur intrinsèque.

  47. Monsieur MAMADOU DIARRASSOUBA a bien fait de lever le voile sur cette question car des personnes mal intentionnées s’en servaient pour faire de l’intoxication.Il faut donc que chacun sache désormais que les élus du RPM sont dans de très bons termes.

  48. Je pense qu’il est très important d’éclairer la lanterne des militants et sympathisants du parti présidentiel des enjeux des échéances électorales futures.Le RPM est donc en marche pour que le président IBK soit réélu au premier tour en 2018.On a donc pas besoins de division au sein du parti.

  49. Le président IBK et les responsables du parti présidentiel entretiennent de très bons rapports.Il faut que les uns et les autres sachent que seul le travail est rétribué par le président IBK.Donc les histoires de favoritisme c’est finit.Cela pour l’intérêt général de la nation malienne.Les élus du RPM doivent le comprendre ainsi.

  50. Plus que jamais le RPM doit rester soudé derrière le président IBK afin qu’il puisse atteindre les objectifs qu’il s’est fixé pour notre pays. Comme le communiqué le souligne nous devons “rester vigilants, soudés et mobilisés autour du projet de société et du programme du Parti” afin que le Mali puisse sortir de la crise et aller vers le développement.

  51. Il ne peut pas avoir de problème entre IBK et le RPM car il n’y a pas de raison valable.Je pense donc que les élus du RPM doivent soutenir les actions de développement du pays.

  52. J’aimerais éclaircir certaines opinions surtout ces journaleux qui veulent tout faire pour mettre le feu au sein du RPM. Il faut que vous ( Journaleux) compreniez qu’il n’a pas de problèmes dans la maison RPM.

  53. Il faut que les journalistes comprennent que pour servir une nation, ce n’est pas une question de préférence de personne. J’appelle le RPM à plus de solidarité autour du président pour que ce dernier puisse mener à bien sa mission.

  54. Je pense que l’union autour du président et de ses ambitions pour le pays et le peuple doit être le cheval de bataille du RPM comme la si bien celui-ci lors de sa visite dans la région de Ségou. Seule l’union fait la force. Donc, que les uns et les autres mettent de côtés leurs intérêts personnels au profit de l’intérêt supérieur de la nation et de la population.

  55. Pourtant il faut gérer ce dossier avec beaucoup de tact sinon les conséquences seraient redoutables. A l’époque où nous sommes, des compromis doivent être de mises çà et là pour un aboutissement du processus de paix. Qu’Allah le tout puissant aide et protège le Mali au bord du précipice.
    NB: Entendez-vous pour le bonheur du Mali sinon ce serait le KO

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