Depuis le lundi 6 janvier 2014, le personnel de l’Assemblée Nationale procède à l’accueil et à l’enregistrement des députés de la 5ème législature, dans la grande salle de l’Hémicycle. Quatre sous-commissions ont été formées à cet effet: secrétariat, accueil, logistique et communication.
Le site de l’Hémicycle, à Bagadadji, a été pris d’assaut par les heureux députés élus pour la 5ème législature de la IIIème République, venus pour effectuer leur enregistrement et procéder à l’enlèvement de leurs kits parlementaires, avant la rentrée proprement dite, qui aura lieu après convocation par décret présidentiel.
Les travaux de la première journée étaient dirigés par les Présidents des quatre sous-commissions. Il faut rappeler que cette belle initiative du personnel de l’Assemblée à l’endroit des députés nouvellement élus est à mettre à l’actif du Président intérimaire de l’Institution, l’Honorable Younoussi Touré.
La plupart des députés, anciens comme nouveaux, se sont prêtés avec plaisir à cet exercice républicain et salutaire dès le premier jour. Au moment de notre passage auprès des différentes sous-commissions, le constat était qu’ils se bousculaient devant celles-ci pour s’inscrire et retirer leurs kits de fonction.
Pour les nouveaux, il s’agissait de fournir des dossiers comportant tous les renseignements utiles et fondamentaux et, selon le Directeur de la Documentation, de l’Information et de la Communication de l’Assemblée Nationale, Amadou Baba Wagué, tous les députés de la nouvelle législature pouvaient récupérer leurs kits parlementaires, comportant cocardes et macarons pour les véhicules, insignes pour les tenues et écharpes aux couleurs du drapeau national.
Les députés fraichement élus ont pu effectuer facilement leur enregistrement grâce à la bonne organisation de l’accueil et à la fiabilité de la logistique. Les inscriptions vont continuer jusqu’à la rentrée parlementaire officielle, qui sera ordonnée par un décret signé du Président de la République dans les tous prochains jours.
Amadou Camara
TENIN SIMPARA a démissionné du CNID en Commune I. Une fois élu a l’assemblée Nationale au nom du CNID avec l’Alliance CODEM-CNID, elle a présenté sa démission. Quel sort peut-on réserver pour ces genres de comportement dans notre Maliba ?
Il faut adopté des textes électoraux pour bannir les alliances et démettre un élu de ces fonctions s’il démissionne du parti qu’il a fait élire. Et le parti peut désigner une autre personne.
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