Qu’aurait-on dit ou fait si Sanogo avait été abattu par ses adversaires ? Ces derniers auraient-ils été jugés s’ils l’avaient emporté sur la junte ?
A-t-on vraiment besoin de dresser un bilan noir pour justifier l’arrestation du général Amadou Sanogo ? Certes, l’ex-capitaine, responsable du coup d’Etat de mars 2012 au Mali, a ignoré à plusieurs reprises la convocation des juges qui entendaient l’interroger au sujet de la mort de six personnes lors d’une manifestation de militaires. Mais, l’empressement et le manque de ménagement des nouvelles autorités de Bamako, donnent le sentiment que d’aucuns cherchent à tout prix à régler des comptes à Sanogo. A en croire certains, Sanogo constituait une menace au point qu’il fallait agir comme on l’a fait à son endroit. La question se pose cependant de savoir lequel, d’une cour martiale ou d’un tribunal pénal, était compétent pour trancher dans l’affaire Sanogo ? Pourquoi n’avoir pas pris le temps de mûrir la question avant de l’écrouer ? Cette inculpation de l’infortuné ex-chef de la junte, divisera toujours l’opinion et la classe politique malienne. Il y a eu une tentative de contre-coup d’Etat, et il est compréhensible que Sanogo et les siens aient jugé utile de défendre leurs acquis. C’est un cas de conscience que l’on ne saurait nier. Mais, faut-il pour autant les condamner pour ce que ses défenseurs appellent « légitime défense » ? Qu’aurait-on dit ou fait si lui-même avait été abattu par ses adversaires ? Ces derniers auraient-ils été jugés s’ils l’avaient emporté sur la junte ?
De notre point de vue, même s’il n’a pas pu exercer longtemps le pouvoir, l’homme aura été tout de même chef d’Etat. Devenu général par la suite, il était en droit de s’attendre à être traité avec égards. C’est légitime, et ses signatures officielles engagent l’Etat malien et divers partenaires. Même s’il le paraît, Amadou Haya Sanogo est loin d’être un naïf. Ancien élève du Prytanée militaire de Kati dont il fut plus tard le professeur d’anglais, l’ex-chef de la junte, devenu prématurément général, est surtout reconnu très caractériel. A tel point que ce futé des services de renseignements, formé aux Etats-Unis, semble désormais un associé encombrant pour le nouveau pouvoir malien. Victime de son entêtement, Sanogo qui aurait voulu défier l’Etat, est donc voué aux gémonies. Pour ceux qui lui reprochent des choses, il doit payer. On le sait pourtant, dans l’histoire des coups d’Etat et des contrecoups, non seulement les acteurs ne se sont jamais fait de cadeaux, mais encore la vérité a toujours difficilement émergé.
L’histoire retiendra que Sanogo a eu tort d’avoir perpétré un coup d’Etat, à deux mois de la fin du mandat d’Amadou Toumani Touré (ATT). Au passif de la junte, on déplore des morts ; des gens ont été enlevés, d’autres sont toujours portés disparus. Des personnalités ont été humiliées, des journalistes rudoyés et sérieusement molestés. Ce coup d’Etat précoce et maléfique n’a pas apporté grand-chose à l’armée malienne qui s’est révélée impuissante face à l’invasion « djihadiste ». Toutefois, en intervenant, Sanogo a permis d’en savoir plus sur la démocratie en « trompe l’œil » du régime ATT. Celui-ci, considéré comme un « soldat démocrate », a été sévèrement critiqué pour avoir affaibli l’Etat malien, et délaissé l’armée nationale. Cupide, son régime aurait aussi favorisé l’émergence d’une classe d’affairistes sans vergogne, au grand dam de populations livrées à elles-mêmes.
S’en trouve-t-il des gens pour reprocher à Sanogo et à ses compagnons, d’avoir permis, durant son court exercice du pouvoir, de mettre à nu les carences du régime ATT ? Il est vrai que l’ex-capitaine devenu général, n’ayant pas pu mener la transition à son terme, n’avait pas moins continué à tirer les ficelles. On aura sans doute péché pour ne pas l’avoir envoyé à la retraite. Gardé en activité, l’ex- patron de Kati faisait certainement des jaloux. Il dérangeait, même s’il faisait l’effort de se mettre à l’écart. Enfin, sa silhouette trainait des dossiers sombres, et il devait avoir l’air de narguer.
D’aucuns voudraient seulement retenir de Sanogo, l’auteur d’un coup d’Etat manqué. Pourtant, paradoxalement, l’homme aura aussi apporté sa part à la construction de la démocratie au Mali. Sans son intervention, des acteurs politiques majeurs du jour, n’auraient sans doute jamais émergé l’ancien président Diancounda Traoré et Ibrahim Boubacar Kéita (IBK), par exemple.
Toujours est-il que le paysage politique malien n’aura pratiquement pas changé. Et avec les élections législatives qui se déroulent en ce moment, il faut s’attendre à voir les mêmes visages réapparaître dans le firmament politique national. De quoi s’interroger sur l’avenir politique de ce pays. Qu’en sera-t-il, en effet, si les mêmes qui ont fait preuve de léthargie, des années durant, doivent se partager à nouveau le gâteau sur le dos de millions de Maliens ? Ceci expliquerait-il aussi le faible taux de participation des Maliens au scrutin de la semaine dernière ? Autrement dit, le traitement infligé à Sanogo, a-t-il oui ou non eu un impact sur le taux de participation de la population ? On le saura lors du dernier tour du scrutin parlementaire, prévu pour le 15 décembre. Un faible taux de participation tendrait à confirmer une sérieuse désaffection du corps électoral vis-à-vis de la classe politique actuelle.
Elu sur des bases claires, et avec un pourcentage fort élevé, IBK semble avoir les pieds dans un panier à crabes. Au Nord comme partout sur le territoire national, on sent le pays qui vacille à cause des règlements de comptes. La population longtemps sevrée, est dans l’attente.
IBK qui devra rendre compte de sa gestion au peuple malien, doit s’efforcer de répondre favorablement à la demande sociale. En voulant à la fois restaurer l’autorité de l’Etat, et faire prévaloir les principes républicains, IBK devra s’assurer d’être continuellement au-dessus de la mêlée. A cet égard, le cas Sanogo semble un couteau à double tranchant. Le régime IBK qui s’installe, n’a certainement pas encore en main tout l’appareil d’Etat. Des envieux, des aigris et des revanchards, sont certainement tapis dans l’ombre. Ils feront tout pour contrecarrer les rêves de ceux qui ambitionnent de donner au Mali une nouvelle chance.
IBK devra éviter de trop s’impliquer dans les contradictions entre militaires, sous peine de fourvoyer l’Etat de droit en construction. Agir comme il l’a fait à l’égard du général Sanogo, qui incarne certainement un courant au sein de l’armée, nous paraît exagéré et non conforme à l’idéal républicain. Si l’intéressé doit payer pour avoir à sa manière voulu faire avancer la démocratie, il faut craindre qu’une mauvaise gestion de son dossier, n’encourage et ne renforce les dictatures sur le continent. Si IBK veut exécuter son mandat sans trop de couacs, il lui faudra surveiller davantage ses arrières, et surtout répondre avec précaution et prudence aux appels des sirènes qui l’entourent. Le Mali nouveau doit se défaire de la justice aux ordres.
IBK aurait-il sauvé sa propre tête en cautionnant l’arrestation de Sanogo.
Yattara Ibrahim
ibk est un traitre un noble ne trahit pas
Merci SBT! Vous avez parfaitement raison.
Il faut bien qu’IBK se ressaisisse. En ce moment la justice malienne est malsaine, nous le savons tous. Ces corrompus sont en train de fragiliser son régime.
Je remercies tous les maliens de bonne volonté; Je suis déçu par le comportement des maliens face à l’arrestation du Général SANOGO, J’ai voté pour IBK mais je m’attendais pas à cette arrestation car je pense qu’elle devrait commencée par Le Gouvernement D’ATT, puis les différents mouvements du NORD: MNLA, AQMI, MOUJAO, ANçAR DINE,et leurs alliés. La juste dans ce monde est aléatoire si le Général est condamné qu’il se soumet au SEIGNEUR, Car seul LE SEIGNEUR peut lui secourir; Je dis merci à mon Général et à tous ceux qui lui soutiennent pour leurs soucis de l’avenir de notre pays!!!!!!!!!!!! VIVE LE MALI
VIVE LES MALIENS
SOYEZ LA BIENVENUE LA CHINE
Ensemble mettons fin à ces différents mouvements du NORD
Je remercies tous les maliens de bonne volonté; Je suis déçu par le comportement des maliens face à l’arrestation du Général SANOGO, J’ai voté pour IBK mais je m’attendais pas à cette arrestation car je pense qu’elle devrait commencée par Le Gouvernement D’ATT, puis les différents mouvements du NORD: MNLA, AQMI, MOUJAO, ANçAR DINE,et leurs alliés. La juste dans ce monde est aléatoire si le Général est condamné qu’il se soumet au SEIGNEUR, Car seul LE SEIGNEUR peut lui secourir; Je dis merci à mon Général et à tous ceux qui lui soutiennent pour leurs soucis de l’avenir de notre pays!!!!!!!!!!!! VIVE LE MALI
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Ensemble mettons fin à ces différents mouvements du NORD
Comment pouvez-vous donner d’autres prétextes à l’arrestation d’un criminel que les crimes qu’il a commis. Il est clair que cette arrestation n’a rien de politique. Ce gouvernement avais déjà suffisamment tergiversé et traîné dans cette arrestation.
Vous parvenez à trouver des choses positives au coup d’état. C’est tout simplement incroyable! C’est votre seul jugement qui concoit comme positive l’avènement de Dioncounda et d’ IBK à la tête de l’état. Mais d’autres croient et peuvent prouver qu’il aurait mieux valu que ce soit d’autres plus capables que ces deux.
L’usurpation du pouvoir par la bande d’idiots du 22 Mars n’a accouché que de l’idiotie et la déchéance pour ce pays y compris les 77%+ d’IBK. Le seule chose que l’on doit dégager de toutes les catastrophes en chaîne générées est la manière dont Soumaïla Cissé a géré le résultat des élections. C’est le seul jour où les maliens ont pu être fiers de leur pays depuis le coup d’état à ce jour.
Mr ce coup d’état a été un mal necessaire.
ceux qui vous disent aujourd’hui que le coup d’état est ceci cela, en ont commandité combien dans le continent?
les americains qui ont suspendu leur aide a notre pays suite au coup d’etat, sont les mêmes qui ont appelé les generaux egyptiens pour leur dire de prendre leur responsabilité, de façon plus clair de faire le coup d’état.
donc même demain si l’etat devient bancal un coup d’etat s’imposera!!!
M. Yattara,vous avez fait une excellente analyse de la situation.
Je suis sûr qu’IBK n’est pas insensible aux désidératas des maliens. Laisser faire la justice pour l’instant ne présume aucune naïveté.
En revanche, je suis d’accord qu’il devrait être prudent parce qu’il n’est pas lui-même à l’abri d’un coup de force,venant de certains traitres qui l’entourent.
Les troubles à l’ordre public sont intolérables surtout que les manifestants n’ont aucune raison valable.
Un crime-un procès-une peine===> c’est la marche normale de la république.
Sanogo a commis des crimes====>Il sera jugé et il n’y a aucun moyen pour lui d’échapper à la justice.
Il faut que le gouvernement agisse avec la plus grande fermeté envers ces anarchistes de Kati et les inflige des sanctions exemplaires.
Avec l’élection d’IBK, il faut que tous les maliens sachent que c’est la fin de la confusion et de l’anarchie au sommet de l’État malien.
Il faut que les habitants de Kati s’habituent à travailler à la sueur de leur front au lieu de compter sur la largesse malsaine des voyous comme Sanogo.
La voyoucratie est terminée pour de bon.
Je soutiens à 100% le gouvernement du Mali dans son combat de faire régner l’ordre républicain au Mali.
Que IBK matte les perturbateurs du premier au dernier et de manière exemplaire.
La république ne fléchira pas devant le banditisme.
À bon entendeur salut!
Décidément le cancre capitaine aura joué jusqu’au bout son rôle de plus grand diviseur commun du Mali.
Plus que l’Aqmi et le Mnla réunis, le général coton fibre de la soldatesque ivrogne de Kati divise son peuple à tour de bras comme une machine futuriste.
1. D’abord en 2012 et le mois de mars, il divisa les maliens (partis politiques, société civile, jeunesse et armée) en pro et anti junte au moment où le pays avait besoin d’unité pour affronter les envahisseurs déchaînés dans son septentrion.
Je suis personnellement monté au créneau de la toile, pour défendre la république et la démocratie et démontrer à maintes reprises que la gestion catastrophique d’ATT ne justifiait en aucun cas un coup d’état dans un pays démocratique dont la constitution interdit les prises de pouvoir par la force.
J’ai pris une position de droit car le juridique est à l’origine de la naissance de l’État et c’est le juridique qui est l’essence du pouvoir et de sa conquête dans un pays et non pas l’anarchie.
Une nation ne peut donc ignorer le droit sauf à s’aventurer dangereusement dans la l’anarchie et la confusion.
Tous ceux qui ont vu le cafouillage de la triumvirat Sanogo, Cheick Modibo Diarra et Dioncounda à la tête de l’État malien auront compris cette anarchie et cette confusion au Mali en 2012 qui a été la cause principale de la mise sous tutelle, de fait de, notre pays par la Cedeao et la communauté internationale car nous étions incapables de nous gérer nous mêmes.
2. Ensuite il a divisé le Mali en pro et anti intervention militaire étrangère dans le pays pendant 9 mois avant que la deuxième déroute de l’armée malienne intervenue à Konna en janvier 2013 ne donne totalement raison au pro interventionnisme militaire étranger de sauver le pays en dernières minutes.
Mais chaque chose a son revers de la médaille, car ceux qui interviennent pour nous sauver ne le font certainement pas gratuitement. Mais ce n’est pas là la question.
La question est comment on s’est laissé tomber aussi bas pour être obligé de tendre la main à la France quand Iyad allait prendre Sevaré et Mopti?
Donc par ricochet Sanogo divise les maliens en pro et anti présence française et internationale au Mali.
Au delà de la division il a fragilisé ce pays face à un autre groupe de voyous armés du nord appelé Mnla qui nargue ce pays car justement divisé au sud et vulnérable car incapable d’avoir une ligne de conduite cohérente et claire face à ses ennemis.
De ce fait Sanogo mine la coopération malienne car sa faculté de diviser le pays influe sur le comportement des partenaires maliens dans la gestion de la crise malienne car ils n’ont plus pour exigeance le respect du peuple malien mais mettent désormais en avant leur seule perception d’une crise très souvent basée sur les conclusions de pseudos experts étrangers qui ne connaissent en réalité rien au Mali et qui ne font qu’à leur tête sans jamais rien demander aux maliens.
3. En troisième position il divise les maliens en pro et anti application stricte de la loi.
Dans un pays moderne il est inimaginable de voir des individus défendre un criminel avéré (exactions, sévices, tortures, disparitions, meurtres… en séries et souvent filmés et mis sur you tube à la disposition de tout le monde).
Mais dans le Mali divisé, on trouve des marcheurs de la criminalité qui prônent ouvertement l’impunité à quelqu’un qui pour avoir un “statut d’ancien chef d’état” et pouvoir frimer inutilement en V8 a besoin de tuer en séries ses propres compatriotes au moment précis où la nation est attaquée de tout bord avec force et cruauté.
Leur seul argument: “Aguelhoc”.
Non mais sans blague, qui ose justifier un crime par un crime est un criminel en puissance.
4. Sanogo, même incarcéré, divise encore les maliens entre pro et anti procédure judiciaire du pays.
Chacun y va de son interprétation du droit et d’autres sont même capables de mettre de facto le ministre de la défense au dessus de la procédure judiciaire en cours et le désignent comme principale partie civile en lieu et place du parquet au nom d’une étrange “vengeance” tirée par le cheveu.
Mais on est où là?
On vilipende la justice du pays avant même qu’elle ne se prononce sur des faits suffisamment graves.
On oublie que Sanogo n’est mis qu’en examen et qu’il est présumé innocent jusqu’à prononciation d’une peine à l’issue d’un procès.
On oublie que Sanogo est un justiciable comme tous les maliens et qu’il doit répondre devant la justice quels que soient les faits et quel que soit son degré de culpabilité ou de non culpabilité présumée.
Comparaître devant un juge n’est pas la fin du monde si on ne se reproche rien.
Seuls les criminels ont peur de la justice.
On commente des décisions de justice à tort et à travers.
On s’incruste dans le secret de l’instruction comme ci s’était la première affaire judiciaire de ce pays.
On oublie royalement que la justice mérite indépendance et qu’il faut laisser les juges travailler sereinement.
On marche, on insulte, on cogite pour en définitif avoir quoi?
On discute de la procédure en lieu et place des hommes de droit.
On enlève toute considération et tout respect à nos propres institutions pour un individu qui n’a rien apporté au Mali si ce n’est division et désolation pour le peuple.
Et après on s’étonne du manque de respect des autres à notre égard.
Vive la justice malienne!
Et que Dieu bénisse le Mali démocratique!
En matière pénale quand il y a infraction à la loi il y aura peine si procès.
Une infraction à la loi est commise soit en auteur principal soit en complicité avec un élément matériel (la faute proprement dite) et un élément moral (l’intention de le faire).
Dans le cas d’espèce, il y a eu fautes (séquestrations, sévices, disparitions, meurtres).
Les faits sont donc suffisamment graves car il y a eu mort d’hommes donc forcément une infraction à la loi car le droit à la vie est un droit constitutionnel garanti pour tous les citoyens même quand ils sont mutins à Kati ou bérets rouges à Djikoroni para.
1. Donc nous avons un élément matériel consitutif de l’infraction pénale.
L’analyse intentionnelle sera facilitée par les pièces à conviction constituées de preuves matérielles et complétées par des témoignages et l’analyse des circonstances dans lesquelles les faits sont réellement intervenus pour établir qu’ils ont été faits dans l’intention de nuire.
2. En ce moment le deuxième élément de l’infraction pénale qu’est l’élément moral ou intentionnel serait établi pour qualifier définitivement les faits d’infractions pénales et à considérer comme telles par l’instruction puis par le tribunal.
3. Reste les auteurs des faits en auteurs principaux et en complicité simple ou passive ou aggravée ou active .
C’est le procès après les enquêtes qui l’établira définitivement.
Pour cela il faut un procès équitable avec le respect des droits des accusés et de leur défense comme le prévoit la loi.
4. Mais il faut surtout sauvegarder la présomption d’innocence jusqu’à établissement d’éventuelle culpabilité de tels ou tels accusés.
5. Une dernière chose, est la sauvegarde du secret de l’instruction, très essentielle et du respect strict de la procédure pour éviter que le procès ne soit frappé de nullité pour vice de forme.
Vive le Mali démocratique dans un État de droit!
Que le droit soit dit en république du Mali.
Et que Dieu bénisse le Mali.
YATTARA je suis pas du tout d’accord avec toi ! Votre analyse est partisane et sans fondement !
L’arrestation de Sanogo n’est qu’une manœuvre de diversion. IBK et son gouvernement espèrent faire oublier aux Maliens les affronts qui leur sont infligés par le MNLA and CO et leur mentor la FRANCE.
Depuis le début de cette opération, à chaque fois que les Maliens commencent à s’impatienter, on trouve une astuce ou des subterfuges pour les distraire. La première fois c’était les fameux combats qui ont conduit l’armée jusqu’à Anéfis. La seconde fois ce fut la libération en apparence de la ville de Kidal qui continue d’être encerclé par le MNLA avec à sa tête le colonel Malien FAGAGA qui est sorti de Kidal avec armes et bagages au vu et au su de la force SERVAL et de la MINUSMA. Et maintenant on arrête Sanogo ( qui le mérite d’ailleurs ) pour faire oublier l’affront subi par le premier ministre à Kidal !
Ces différentes manœuvres ne sont pas nouveaux pour les Maliens ! C’était le mode de gouvernance sous Alpha Oumar Konaré, avec IBK comme premier ministre, et tout cela était orchestré par le même Soumeylou Boubeye Maïga, tout puissant directeur de la sécurité d’Etat à l’époque.
IBK, prend-il la mesure réelle de la situation dans son pays ?
Se rend-il compte que le pays est sur une poudrière ? J’espère pour mon pays qu’ALLAH entendra nos prières et nous évitera ce bain de sang qui pointe. AMEN !
Jack c est ton pt d vue sanogo a planifier tt pr son interest.lorsque l nord brulait il est reste a bko pr gerer CES interest personnels .laissez ibk en paix c est l people malien qui la elus d tt facon on peut pas plaire a tt l monde.quand a sanogo c est la famille des disparus qui veulent la justice les gens qui st morts n st pas des chiens c st des citoyens maliens comme tt un chacun.n oublie pas aussi que la justice divine est la.j souhaite que sanogo sort et revienne tue un membre d Ta famillej serais content d lire tes commentaries.sanogo est fougueux il voulait coute que coute riche il l est now mais l argent la serait amere a manger.ibk n a peur d rien et il d autre defi a relever que ce fuyart d sanogo.qui send l vent recolte la tempete c est son tour.bonne chance ibk vive le mali.
“Whoever fights monsters should see to it that in the process he does not become a monster. And if you gaze long enough into an abyss, the abyss will gaze back into you.”
Friedrich Nietzsche
Merci Mon frere yattara.
Votre analyse est tres juste,IBK n,avait vraiment pas besoin de faire cette mascarade pour montrer cette face de trahison,qu,il nourrisait a l,encontre du General SANOGO,sans le concours courageux de cet brave officier qui a permis a IBK d,être Aux sommets de l,etat malien,vous autres maliens Regardez l,histoire un proscessus continu,permis tout les leadeurs politique Au Mali dieu seul sais que votre pays egorge de leadeurs,SANOGO a jeter son soutiens a IBK, jusqu,a securiser son domicile par un coordons militaire aux yeux des autres leaders,SA recompense,des fauses accusations.Nous felicitons les populations courageuses de Kati,pour leurs marches de soutiens en faveur du GENERAL SANOGO en esperant que BaMAKO et Les Grandes VIlles de l,interieurs suivront le mouvement 😀 de kati,pour montrer a IBK que le MALI appartiens aux maliens souscieux de la paix et la prosperite du MALI.
Vive LE GENERAL SANOGO Vive LE MALI UNIS ET PROSPERE.
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