Le parti du tisserand vient de faire une amende très honorable lors des communales du 20 Novembre dernier en raflant la mise à travers les circonscriptions électorales du pays. Le parti conforte ainsi sa place de première force politique du pays en surclassant ses concurrents immédiats. Une victoire qui ouvre la voie à la réélection de leur mentor à la présidentielle de 2018.
Les oiseaux de mauvais augures qui prédisaient la défaite du Rpm ne s’en prendront qu’à eux-mêmes. Car l’orage tant annoncé pour le parti présidentiel n’a pas eu lieu.
Les tisserands viennent de gagner leur pari en gagnant dans 03 communes sur les 06 que compte le district de Bamako. A l’intérieur du pays, le parti s’en est sorti avec un score honorable, confortant ainsi la position de première force politique du pays.
Le nouveau président du parti peut se frotter les mains pour avoir gagné son baptême de feu. Dr Bocary Treta, lors de sa première conférence de presse en tant que président du parti, s’était engagé à conforter la position du parti lors de ces communales.
Dans ses déclarations devant un parterre de journalistes, il a laissé entendre que le Rpm tablait sur 350 Maires et 5.000 Conseillers. Même si ce nombre n’est pas atteint, le score obtenu n’est en dessous des attentes.
Malgré les velléités qu’il a connues ces derniers temps venant de ses adversaires politiques, le Rpm a tenu bon. Ce qui renforce la confiance entre militants du parti. Car, le parti présidentiel a été au centre de toutes sortes de critiques surtout à Bamako avec l’opération de déguerpissement menée de mains de fer par Mme le Gouverneur du district. Des adversaires politiques ont profité de cette situation pour lancer le discrédit sur ce parti.
Les résultats engrangés par le parti dans le district ont montré que le parti est en phase avec ses populations à la base. Ce score honorable du Rpm est aussi la résultante de la gouvernance partagée que mène IBK à la tête du Mali depuis 03 ans.
Quoique qu’on dise, les citoyens maliens dans leur majorité partagent sa vision de faire du Mali un pays émergent. Cela se voit avec les résultats des communales rendus publics.
Malgré les tintamarres entendus çà et là venant de ses partis adversaires, le Rpm est parvenu à hisser haut le drapeau du parti en le surclassant au dessus de toutes les autres formations politiques du pays. Comme pour dire que ce parti marquera toujours sa présence sur l’échiquier politique national et transcendera tous les clivages qui seront dressés sur son chemin.
Avec cette victoire éclatante aux communales du 20 novembre, le parti trace la voie pour la réélection d’IBK en 2018.
En tout cas, c’est le seul combat qui vaille aujourd’hui pour les hommes de Treta qui doivent se mettre en ordre de bataille afin de gagner haut la main cette présidentielle.
Pour ce faire, les tisserands pourront se faire assister dans leur combat pour la réélection de Kankelentigui par les partis alliés en l’occurrence de la CMP. N’est ce pas là un autre défi pour le parti présidentiel ?
A.D. Dissongo
l faudrait très rapidement que ses barons changent de fusil d’épaule : moins d’arrogance et plus d’actes concrets pour recouvrer la confiance des Maliens. Ils ont quelque 20 mois pour relever ce défi colossal. Dans le cas contraire, “qui sème le vent récolte la tempête”. Tel est l’enseignement à tirer des communales 2016
Le constat saute aux yeux, même les quelques victoires que le RPM a miraculeusement obtenues sont aussi contestées ! En Commune I du district de Bamako, malgré le verdict du gouvernorat le candidat de l’URD n’a pas accepté la victoire RPM avec seulement un intervalle de quelques voix. Par contre, les deux partis ont chacun treize sièges dans la circonscription. Ça grogne toujours là-bas
En Commune II, toujours dans le district de Bamako, des domiciles ont été la cible des manifestants à l’annonce des résultats par le gouvernorat. Les manifestants accusaient le parti présidentiel d’avoir “tripatouillé” les résultats. Les résultats provisoires qui donnaient le RPM vainqueur à Gao ont été largement contestés à travers de violentes manifestations jusqu’à ce que la victoire du PDES lui soit restituée. Tombouctou aussi a eu sa dose de manifestations, car une marche aussi a eu lieu pour contester la victoire du RPM et de ses alliés.
Ce n’est pas seulement à Gao seulement que le RPM a été défait. Dans les communes VI, IV, et III du district de Bamako, le parti au pouvoir n’a pas eu gain de cause. Outre cela, le RPM a été aussi malmené dans d’autres capitales régionales comme Koulikoro, Sikasso et Tombouctou. Même constat dans plusieurs cercles. Dans le premier cercle administratif du Mali, Bafoulabé, l’Adéma s’est taillé la part du lion.
Dans une des plus grandes régions du Mali en matière de population Sikasso, c’est l’Abeille qui mène encore la danse. A Koulikoro, la deuxième région du Mali, le fief même du président de l’Assemblée Nationale du Mali, membre du RPM, l’URD est arrivée en tête. Dans la Venise malienne, Mopti, le parti de l’ancien Premier ministre Moussa Mara a coiffé au poteau ses adversaires.
En somme, il est très facile de dénombrer les quelques victoires du RPM que ses centaines de défaites à l’issue de ces communales mal organisées et tenues dans une situation très critique. Mais ce n’est certainement pas la mauvaise organisation du scrutin qui est à l’origine de l’échec du RPM. Il en a d’ailleurs profité. Dans plusieurs localités, on l’a accusé de fraudes par des actes d’achat de conscience.
Ce “vote sanction” contre le RPM, murmure-t-on dans les coulisses, doit sonner comme un avertissement sans frais pour le président IBK qui risque d’avoir de sérieux ennuis à briguer un 2e mandat en 2018. Néanmoins, disions-nous, le RPM a encore le temps pour rectifier le tir.
Ce journaliste doit vraiment avoir honte!! Continuez de mentir à votre mentor car le réveil sera brutal en 2018!! En toute réalité, ces élections communales de 20 novembre2016 ont été un échec cuisant pour le parti au pouvoir RPM!
Journalisme partisan, Sèkè Sèkè
hé le journaleux à la con là, tu trouves pas que tu exagérè un peu “très honorable” je me demande ou sont formés les journalistes malien, vraiment. Changez de nom dites seulement que vous êtes des griots à la recherche du pain quotidien; merde.
Dieu merci la vérité voudrai le jour avenir. Les journalistes disait toujours sur les populations va donne les votez des sanctions au RPM, voilà les résultats Doc ont dit en BABARA jougoumalora.
Ah nos journaleux griots. Le monsieur n’a que le chiffre de 3 mairies sur 6 dans le district de Bamako et il écrit un torchon pour dire que le RPM a fait un chiffre honorable.
tu doit beaucoup réfléchir. Sur 6 chaux si s’accapare de la moitié et que les autres se partage l’autre moitié sa voudrais dire qu’il set le plus fort. Donc soit raisonnable ,il faut reconnaitre sa force même si tu ne l’aime pas prend ce courage je t’en pris
Pardon, moi pas comprendre toi. Tu comprendre français ? Est-ce que le nombre total de toutes les communes du Mali est de 6???
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