Après leur rencontre avec le PM : Réactions des acteurs politiques

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Hamadoun  Amion Guindo, Président de la Coordination des associations patriotiques du Mali (COPAM)

« Nous ne somme pas de son avis par rapport à la mise en place d’un organe consultatif »

A priori, le Premier ministre  est dans un processus de dialogue. Notre regroupement a été reçu le mardi 19 juin 2012, de 10 heures à 11 heures 30. Je sais qu’il était prévu qu’il reçoive  d’autres regroupements après nous.  Lorsque nous arrivions à cette rencontre, nous n’avions aucune idée de l’ordre du jour. Mais comme on avait été invité par une autorité du pays, nous sommes allés la rencontrer. Et, c’est pendant la réunion que nous avons compris que nous avions été conviés pour  un entretien sur deux points : discuter de  l’organe consultatif qui sera composé par des éléments de  l’armée,  des représentants de partis politiques et de la société civile et un entretien sur la situation du nord en vue de la mobilisation nationale pour libération de notre territoire.

En clair on devait analyser avec le Premier ministre l’appui des pays amis du nôtre qui veulent nous aider. Nous avions estimé qu’au regard de la sensibilité du dossier, qu’il serait intéressant qu’il approfondisse la question avec l’armée. Et, nous avions tenu à lui dire que, s’il est nécessaire que des troupes étrangères aux côtés des troupes maliennes, notre pays doit avoir l’initiative de la demande, parce que nous ne voulons pas cette intervention prenne l’allure d’une invasion. Aussi, malgré que nous soutenions le Premier ministre et le Gouvernement, nous lui avons dit que nous n’étions pas de son avis par rapport à la mise en place d’un organe consultatif. Nous voulons que les Maliens, dans leur unité plurielle, s’asseyent pour discuter des grandes lignes de la transition.

Nous le soutenons, mais nous  croyons qu’il est dangereux de laisser le pays au bon vouloir d’un Premier ministre bombardé de pleins pouvoirs. Les Maliens de toutes les régions et de toutes les sensibilités doivent être conviés à une conférence nationale bis pour déterminer les institutions de la transition et leurs prérogatives. Nous avons aussi dénoncé le fait qu’aucune disposition ne soit prise pour dissoudre la CENI actuelle, étant donné que les élections ne sont pas encore à l’ordre du jour. Et, on a attiré l’attention du Premier ministre sur la censure inacceptable planifiée et exécutée de main de maître sur les antennes de la télévision nationale.

Assane Koné

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Amadou Koïta, Secrétaire politique du Front uni pour la Sauvegarde démocratie et de la République (FDR)  / « Nous saluons cette initiative qui a tardé »

A l’invitation du premier ministre, le FDR a cru bon d’honorer de sa présence cette rencontre de prise de contact. Le premier ministre a expliqué sa vision du Mali, ses préoccupations et son souhait d’être accompagné par la classe politique malienne notamment par le FDR. Il a souhaité la mise en place d’un organe consultatif pour accompagner les autres organes de la transition afin de pouvoir gérer à hauteur de souhait les défis auxquels le pays est confronté. Le FDR était présent avec une forte délégation de tous les partis composant le regroupement. Nous saluons cette initiative qui a tardé, il faut le reconnaître.

Deux mois et demi, de la prise de fonction, il a cru bon faire appel à la classe politique malienne. Nous pensons aujourd’hui que les défis auxquels le pays est confronté sont énormes. Aucun homme à lui seul, aucun regroupement à lui seul, aucune force politique à elle seule ne peut trouver des solutions appropriées.

Il faut la conjugaison des efforts, il faut l’union sacrée de l’ensemble du peuple malien tant politique que société civile pour qu’ensemble nous mettions l’intérêt supérieur de la nation au dessus de nos propres intérêts. Le FDR reste toujours disponible à toute solution qui peut aider le pays à retrouver sa dignité. Depuis plus deux mois, les deux tiers du pays sont sous occupation. Depuis trois mois, nos sœurs sont violées nos parents sont soumis à des contraintes, nos mausolées sont profanés et depuis trois mois le Mali est à la une mais malheureusement ce n’est pas une très bonne image.

Il ya aussi la tentative d’agression du président de la république, toute chose qui n’honore pas l’image du pays, qui n’est pas en réalité le vrai visage du Mali. Voilà pourquoi nous nous sommes réjouis de cette rencontre. Mais nous pensons apporter notre contribution et nous avons promis au premier ministre que nous avons pris bonne note de ces propositions et nous allons transmettre aussi par écrit nos préoccupations et nos propositions de sortie de crise. Parce que nous demeurons convaincus que le nord ne peut trouver une solution que lorsqu’ici les acteurs politiques s’impliquent.

L’ordre du jour était la proposition du premier ministre qui est la mise en place d’un organe consultatif, il ne nous a pas donné tous les détails. Ce sera un organe qui appuiera le gouvernement, qui sera un organe de suivi et d’évaluation par rapport à la feuille de route du gouvernement.

Nous nous rendons compte que pour une transition qui doit durer douze mois, en deux mois déjà le gouvernement tarde à décoller. En deux mois, les Maliens du sud souffrent et les Maliens au nord sont dans les conditions désastreuses. Il n’y a aucune initiative et ce sont les autres qui parlent au nom du Mali. Ce sont les autres qui font la médiation au nom du Mali,  qui se soucient plus du Mali que nous les Maliens mêmes.

Pourtant, nous avons des expertises, des compétences, il suffit seulement de se mettre autour de la table pour que chacun se donne la main. En nous donnant la main et ayant un gouvernement représentatif qui connaît les réalités du pays.

Des gens qui ont vécu ces trente dernières années et qui ont partagé les préoccupations du peuple malien, ce sont eux aujourd’hui qui peuvent, à ma connaissance, trouver des solutions par rapport aux défis. Nous disons que nous sommes dans un pays où les vertus du dialogue et de la paix sont des valeurs ancestrales et nous pensons que cette initiative doit continuer pour que le débat ne se fasse pas dans la rue que l’ensemble des forces politiques et sociales se retrouve autour du premier ministre et du président de la transition. Qu’on échange pour le Mali, qu’on laisse les intérêts partisans de coté.

Propos recueillis par Aguibou Sogodogo

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Dr Modibo Soumaré, président de la Force pour la réconciliation, la démocratie et la paix (FRDP/Mali kô) / «Nous n’avons pas été conviés »

Nous n’avons pas été invités mais j’ai suivi ladite rencontre au journal télévisé du soir.  Ces genres de rencontres sont d’une importance capitale pour sortir du pays de l’impasse. Le premier responsable du gouvernement a tardé de venir vers la classe politique. Cette rencontre devrait avoir lieu en amont, elle devrait être la première réaction de M. Diarra avant la formulation de son gouvernement pour trancher les questions de différences.

Pour biaiser la classe politique ?

Cette première rencontre est une bonne initiative si l’objectif de la démarche n’est pas de biaiser  la classe politique. C’est-à-dire faire de la classe politique un instrument de travail pour s’en servir, là je dirais merci. Je ne ferais jamais la langue de bois s’il nous sollicite pour le dialogue. La formation politique que je représente est un front centriste qui souhaite une solution de sortie de crise pour laquelle tout le monde se lève comme un seul homme pour faire face à l’ennemi commun qui se trouve au nord du pays et non à Bamako. Nous avons envoyé  une lettre de félicitation au premier ministre, Cheick Modibo Diarra, après sa nomination et il nous a même répondu mais nous n’avons jamais formulé une demande pour le rencontrer sur quelque motif que se soit.

Le gouvernement a montré ses limites

Le présent gouvernement n’est pas à hauteur de mission. Les membres du gouvernement ne savent même pas sur quels pieds il faut danser. Cela à travers les actes qu’ils ne cessent de poser jour pour jour car le gouvernement semble tenir son avenir des mains président Burkinabè, Blaise Compaoré. Il faut la formation d’un gouvernement d’union nationale comme l’avait souhaité l’accord cadre. De telles rencontres doivent être multipliées pour que toutes les forces vives puissent parler le même langage.  Par exemple, une rencontre entre les membres des différents regroupements où le Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (FDR) et la Coordination des organisations patriotiques du Mali (COPAM) seront présents face à face pour trouver une issue favorable à la crise.

Propos recueillis par Moussa Dagnoko et Ousmane Dramé

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Nouhoum Sarr, responsable politique de l’Alliance des Démocrates Patriotes  pour la Sortie de crise (ADPS). / « Nous n’avons pas été invités selon les normes requises »

A l’ADPS, nous n’avons pas été invités selon les normes requises. Certains responsables de notre regroupement ont été invités de manière verbale pour rencontrer le premier ministre. Voilà pourquoi nous n’avons pas jugé nécessaire de participer à cette rencontre que le premier ministre a initiée avec les regroupements politiques.

Madiassa Diakité

Commentaires via Facebook :

38 COMMENTAIRES

  1. Soyons sérieux, il ya plus de 100 partis politiques au Mali, sans compter la société civile, quel type de gouvernement pourrait-on former pour satisfaire tout le monde.
    2 défis majeurs attendent le gouvernement
    -1- la reconquête des trois régions du nord, le gouvernement a besoin de tous les Maliens pour arrêter une option unanime dans l’intérêt du pays, ce n’est pas un gvt d’union nationale composé d’une trentaine de ministres qui peut être aussi représentatif comme pensent certains, mais plutôt un truc du genre organe consultatif où tout le monde est convié.
    -2- les élections démocratiques: les partis politiques feront mieux de s’organiser davantage en vu des prochaines élections. Pour assurer la transparence et l’égalité de chance pour tous les partis, il était normal qu’aucun parti politique ne soit représenté dans le gouvernement sachant qu’ils ne peuvent pas y rentrer.

  2. PM comprend que c’est le rôle des partis de gerer le pays dans les condititions normales.
    L’animation de la vie politique est du ressort des partis politiques. Ces leaders ont opté pour la conquête et l’exercice du pouvoir pour le biens être des populations.
    Un technocrate ne peut pas se substituer au politique.
    Leaders politiques, vous devez être des acteurs de decisions et non consultatifs. Le Mali n’appartient pas à une seule sensibilité et à un groupement.

    • Tu apprends à qui le rôle des partis politique au Mali? C’est seulement de piller l’économie du pays.

  3. 🙄 qui na pas pillée se pays dites nous il ne faut pas penser que ceux qui sont a l’extérieur ne savent pas ce qui se passe au mali nous somme mieux informer sur le mali que vous. nous savons qui fait quoi nous aimons ce pays plus que vous qui vivez nous somme plus inquiet et plus jaloux des autres pays que vous entre 50 et 60% DE NOS MAIGRES RESSOURCES SONT INVESTIT AU MALI quand vous aimé se pays comme nous qui sommes a l’extérieur vous n’aurez pas volé les biens publiques ce pays n’en serais pas la aujourd’hui nous nous construisons vous vous détruises c’est dans la stabilité q un pays se développe la démocratie malienne vous donne tous le droit et la liberté de revendiqué pacifiquement vos droits au civil et militaires mais hélas personne ne sen servais personne ne disait rien par ignorance ou quoi maintenant que le pays est occuper par des bandits et terroristes étrangers pour la plupart au vous continuer a bloquer encore ce n’et pas le moment au mali vous n’étiez même pas capable ne manifester pour la vie chère vous avez tous laisser ce pays agonisé sous vos yeux sans bouger avec cette mentalité des maliens nous n’allons jamais nous en sortir un pays c’est tous son peuple qui doit le construire en permanence ce n’est pas d’attendre qu’un cout d’état soit intervenue pour crier comme des enfants et détruire le peu qui est fait ou acheter maintenant il faut 10 ans minimum pour que nous retrouvons notre niveau d’avant le 22 mars 2012 🙄 😆

  4. qui na pas pillée se pays dites nous il ne faut pas penser que ceux qui sont a l’extérieur ne savent pas ce qui se passe au mali nous somme mieux informer sur le mali que vous. nous savons qui fait quoi nous aimons ce pays plus que vous qui vivez nous somme plus inquiet et plus jaloux des autres pays que vous entre 50 et 60% DE NOS MAIGRES RESSOURCES SONT INVESTIT AU MALI quand vous aimé se pays comme nous qui sommes a l’extérieur vous n’aurez pas volé les biens publiques ce pays n’en serais pas la aujourd’hui nous nous construisons vous vous détruises c’est dans la stabilité q un pays se développe la démocratie malienne vous donne tous le droit et la liberté de revendiqué pacifiquement vos droits au civil et militaires mais hélas personne ne sen servais personne ne disait rien par ignorance ou quoi maintenant que le pays est occuper par des bandits et terroristes étrangers pour la plupart au vous continuer a bloquer encore ce n’et pas le moment au mali vous n’étiez même pas capable ne manifester pour la vie chère vous avez tous laisser ce pays agonisé sous vos yeux sans bouger avec cette mentalité des maliens nous n’allons jamais nous en sortir un pays c’est tous son peuple qui doit le construire en permanence ce n’est pas d’attendre qu’un cout d’état soit intervenue pour crier comme des enfants et détruire le peu qui est fait ou acheter maintenant il faut 10 ans minimum pour que nous retrouvons notre niveau d’avant le 22 mars 2012 🙄 😆

  5. Mettre en place un organe consultatif c’est encore s’empetrer dans les méandres de la politique quand on sait que ce sont ces mauvais politiciens qui nous ont amené la ou nous sommes aujourd’hui.ces politiciens n’ont qu’à attendre les élections pour faire de la politique.on n’a vraiment pas besoin de discutions politiques pour trouver les solutions à nos problèmes (du mali).Il y a déja tous les organes ou institutions nécessaires pour se mettre au travail: il s’agit d’un Président, d’un Gouvernement, d’une Assemblée, et d’une administration qui quoique on puisse en dire est à la hauteur de sa mission.Peu importe leur qualité, ils doivent se mettre ensemble pour combattre l’énemi commun qu’est l’occupant; avec le soutien du peuple, tout le peuple malien sans considération politique, religieuse ou raciale. IL n’y a rien à créer encore, agissons dans l’union et dans la meme direction. C’est de ça que le Mali a besoin.

  6. Les politiciens doivent avoir honte de parler même s’il sont dignent et honnête car le tout s’estpassé devant et ils n’ont rien dit car ils étaient tous ensemble avec ATT pour mettre le Mali en genou et à feu. Qu’est-ce que ce ci peuvent dire ou faire de mieux? Qu’ils ferment leurs bouches en attendant les élections à venir. Je dis également au maliens de pas voter pour aucun ancien député ou politiciens de 20 dernières année car ils ne peuvent rien faire de bon encore et sont tous des apatries corrumpus si non ils allaient dire la vérité à ATT qui allait nous sauver de cette situation.

  7. Je ne vois aucun serieux de la part de ces groupes au Mali se disant acteurs politiques ou democrates. Ils ne parlent que de partage de postes de responsabilites et non de s’alligner derriere le premier ministre a conquerir les villes aux mains des rebels et faire face a la chose politique. Si la jeunesse Malienne laisse ces vautoirs intervenir a tout moment pour retarder le bon fonctionnement du pays et la sauvegarde de son integrite territoriale, elle aura une facture lourde sur sa main. Le Mali a besoin de tous les Maliens/nes de faire bloc derriere le premier ministre pour relever les defi. Le temps au Mali n’est pas a la lutte pour se positionner sur la scene politique mais a resoudre le probleme et de se rassurer que cette situation ne se repete plus dans l’avenir. Je pense aussi qu’il est temps que ces acteurs politiques cessent d’inviter les organisations sous regionales et internationales a prendre des sanctions contre le Mali. Ils doivent aussi cesser d’oeuvrer dans le sens oppose du gouvernement de la trensition. Le peuple Malien est trop fatigues et n’a plus besoin de ces luttes politiciennes.

  8. Le 1er sinistre vous a convier pour vous proposer de rentrer dans sa caisse de résonance qui est l’organe consultatif à faire diriger par Sanogo et les membres du CNRDE. Ce organe est dit “consultatif” pour tromper la communauté internationale acharnée contre Sanogo et le CNRDE. Le 1er traître du Mali Cheikh Diarra veut mettre tous ses alliés et tous ceux qui font du bruit dans cet organe qui sera composé de tous les genres d’opportunistes et de cupides pour diriger tranquillement et tenir tête à la communauté internationale pour s’éterniser au pouvoir.
    C’est sa façon sans honneur ni dignité de proposer aux agitateurs politiques un gouvernement partage de gâteau au lieu d’union natinale. Ce organe consultatif sera la soupe populaire pour les politiciens et agitateurs véreux qui ont la nostalgie de l’argent public à gaspiller. Les adhérents à cette soupe populaire (organe consultatif) serviront à légitimer l’enrôlement du CNRDE et à soutenir la chasse aux sorcières menée contre l’armée et les ennemis communs à Sanogo, le 1er sinistre et Moussa Traoré.

    Une fois cet organe cautionné et mis en place, le 1er sinistre et Sanogo peuvent se mettre au travail pour résoudre leur grands problèmes: Djoncounda qu’ils ont raté et l’intervention d’une force internationale qui sera un gâchis pour leur règne dans la mesure où elle songera à sécuriser les institutions et anéantira la complicité active entre le CNRDE et le gouvernement.

    Le pays est mal barré avec Sanogo. Le Mali a perdu son i avec Gonogo le 1er ministre fantoche.

    • Tu peux te clouer en France (i djou da yé) et tu peux traiter notre digne PREMIER MINISTRE de tous les noms que tu voudras. Cela ne nous empechera pas de le soutenir. Une Chose est claire, s’il partira sous pression des impoli-tiques, il y aura une autre rebellion à Bamako. Le peuple malien à accepté toutes les mesures prises par la cedeao et autres pour des simples raisons que nous connaissons tous… mais sachez que trop c’est trop. Ce gouvernement est le seul espoir qui nous reste. Si la classe politique respecte le peuple malien, qu’elle accepte de collaborer avec le gouvernement et de lui faire des propositions enfin d’apporter des solutions de sortie crise. UNIS, NOUS REUSSIRONS

      • aLe pays est mal barré avec Sanogo. Le Mali a perdu son i avec Cheick Diarra,c’est de toi dont je m’adresse,si jamais tu mets tes bâtards de pieds ici,tu pourras bien…..

  9. TOUS DES BANDES D’OPPORTUNISTES. LAISSER LE GOUVERNEMENT TRAVAILLER. PLUS D’OCCASION POUR PILLER LES DENIERS PUBLICS ET FINANCER VOS PROCHAINES CAMPAGNES. DEBROUILLEZ-VOUS AUTREMENT. VOUS CONTRIBUEREZ TOUT SIMPLEMENT A TITRE CONSULTATIF ET VOS AVIS SERONT TOUJOURS ANALYSER POUR SEPARER L’IVRAIE DU VRAI.

  10. C’est honteux de critiquer un gouvernement qui n’a qu’à son deuxième mois de service. On a besoin du temps pour reparer les dommages causés depuis près de 20ans, par les gouvernements democratiques précédents. Ce que la classe politique doit comprendre, c’est que nous, le peuple malien qui ne veut plus d’eux. Qu’ils restent en marge de nos affaires. Il n’y a plus d’homme credible et digne au seins de cette classe dite politque. Des faineants qui ne peuvent pas servir leur pauvre pays en dehors du gouvernement, c’est honteux. C’est le moment pour eux de prouver leur amour et leur patriotisme pour ce MALI.
    Ce qui me gene, on entend jamais de cette classe impoli-tique des propositions allant dans le sens de l’amerioration des coditions de vie de nos militaires, de desinfectation de nos services publics pour y integrer des patriotes honnetes qui ont comme souci premier LE MALI. Chacun d’eux cherche seulement un poste juteux. Voilà des apatrides de politiciens qui critiquent tout mais ne proposent rien pour la sortie de crise. Alors qu’ils étaient tous là quand le pays criait au secours. Ce sont ces memes gens qui applaudissaient derrière ATT et sa femme. L’après coup d’état à former des aigris dans tous les domaines mais pour la classe impoli-tique et les journalistes opportunistes c’est encore pir. UNIS, NOUS REUSSIRONS

    • Je suis touit à fait d’accord avec toi, Kouli. En fait ces gens qui crient au_jourd’hui au scandale derrière le gouvernement, ce sont ceux-là mêmes qui pendant des années ont contribué à mettre le Mali à genou dans tous les secteurs. Curieusement, ils acquiescaient tout ce que faisait le regime précédent sans broncher. Et ce sont ces mêmes personnes aujourd’hui qui s’érigent en censeurs de la République. Curieux, non? Tout ce qui vous est démandé c’est de laisser le gouvernement travailler dans la serenité, seule gage d’efficacité. Le problème est que certains sont tellement assoifés de pouvoir qu’ils ont du mal à digerer leur mise à l’écart du gouvernement alors qu’ils ont dirigé ce pays avec le resultat que nous connaissons tous: gabégie, corruption, favoritisme. Bref, le Mali était devenu comme leur propre patrimoine personnel. Maintenant qu’ils n’ont plus cette possibilité, alors ils inventent toutes sortes de grief pour salir le travail gouvernemental et font oublier leurs propres forfaitures.

    • Merci Kouli, si tous les maliens pensaient comme vous le Mali s’en sortira GRANDI.
      Le Mali dabors Moi apres.
      Que le Bon DIEU aide le Malien a voir la Lumiere du Mali.

    • Ils reclament un gouvernement d’union nationale pourque chacun puisse avoir un poste pour ouvrir le robinet vers leur parti.Ils ont interet a laisser ce patriote jouer sa patition dans la construction de l’edifice national puisse qu’il n,a pas demander a etre premier ministre.tout le desastre du Mali vient de ces soit disant hommes politiques.Que Dieu sauve le Mali.

  11. Je prie le Bon DIEU de nous épargner des nullards comme Koîta et consorts.Parfois, je me pose la question où va mon Mali?Quand je constate que c’est des gens de rien,intellectuellement et moralement,qui essayent d’occuper le terrain politique du Grand MALI aujourd’hui,des lécheurs de bottes,des nullards comme Koïta…qui veulent devenir des acteurs incontournable de la sortie de crise que nous vivons après le départ de leur Maître,je n’en reviens pas !!!!Maliens et Maliennes,j’en appellent à vous,qui assistent passivement à cette nouvelle renaissance ( des anciens délinquants financiers,corrompus,opportunistes,affairistes,apatrides,injustes…)réveillez vous!!!Ne leur donnons pas cette seconde vie!!!!Qu’en dites vous BILL ?

    • …qui veulent devenir des acteurs incontournable de la sortie de crise que nous vivons après le départ de leur Maître,je n’en reviens pas !!!!Maliens et Maliennes,j’en appellent à vous,qui assistent passivement à cette nouvelle renaissance ( des anciens délinquants financiers,corrompus,opportunistes,affairistes,apatrides,injustes…)
      JE NE SAIS PAS A QUI TU DONNES TOUTES SES QUALIFICATIONS. MOIS JE PREFERE QU’EN MEME UN MILITAIRE AU POUVOIR QU’UN DEMONT-CRATE QUI VEND ET/OU QUI TRAHI UN PAYS QUI LUI VU NAITRE ET GRANDIR, DE MEME QU’UN SES COMPLICES QUI SONT LES PARTIS IMPOLI-TIQUE QUI LUI ONT AVEUGLEMENT ACCOMPAGNE. SI IL YA DES GENS QUI MERITENT TOUTES SES QUALIFICATIONS C’EST …. ET BILL N4EN DIRA PAS PLUS

  12. Je prie le Bon DIEU de nous épargner des nullards comme Koîta et consorts.Parfois, je me pose la question où va mon Mali?Quand je constate que c’est des gens de rien,intellectuellement et moralement,qui essayent d’occuper le terrain politique du Grand MALI aujourd’hui,des lécheurs de bottes,des nullards comme Koïta…qui veulent devenir des acteurs incontournable de la sortie de crise que nous vivons après le départ de leur Maître,je n’en reviens pas !!!!Maliens et Maliennes,j’en appellent à vous,qui assistent passivement à cette nouvelle renaissance ( des anciens délinquants financiers,corrompus,opportunistes,affairistes,apatrides,injustes…)réveillez vous!!!Ne leur donnons pas cette seconde vie!!!!

  13. ON VEUT PAS DES HOMMES D’EXPERIENCES QUI ONT PASSE TRENTE ANS A VOULE LE PAYS MAIS DES JEUNES COMPETENTS QUE LES VIEUX PARTENT EN RETRAITE IL EST TEMPS ET EN PLUS ILS SONT TOUS IMPLIQUES DANS NOS PROBLEMES DU JOUR.

  14. C’est maintenant que la classe politique réalise la necessité d’une convention et de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale!!! Que c’est trop tard pour eux. Ils ne serviront plus des deniers publics pour financer leurs campagnes. A chacun de vivre de ses propres ressources. Seul le Mali compte pour nous citoyen lambda. L’heure est à la stratégie de reconquête du nord. Bandes d’hypocrites.

  15. C’est maintenant que la classe politique réalise la necessité d’une convention et de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale!!! Que c’est trop tard pour eux. Ils ne serviront plus des deniers publics pour financer leurs campagnes. A chacun de vivre de ses propres ressources. Seul le Mali compte pour nous citoyen lambda. L’heure est à la stratégie de reconquête du nord.

  16. Plus opportuniste que KOITA ET SOUMARE, tu meurt. Le FDR et la COPAM ne songent jamais à ce peuple, mais à leurs poches simplement.
    Même la queue du chien vaut mieux que ceux jeunes qui veulent au prix de leur vie devenir Ministre.
    C’est Dieu qui donne (Ministre) par le destin, ils oublient cela et veulent forcé, une ambition demesurée.
    NB : la Ministre Dr KALAPO a été limogée par ATT et remplacée par une dame DANDARA qui n’a fait que 3 semaines seulement, le coup d’état est arrivé.
    Chers jeunes, ne forçons pas le bon Dieu, ils nous aiment tous et allons doucement.

  17. Amadou KOITA ce cireur des bottes d’ATT ,qui ne jurait que par ATT et SEMEGA veut nous donné des leçons.Qu’il aille se faire voir ailleurs.Il n’est pas différents de ce Modibo SOUMARE qui veut être ministre et par opportunisme a quitté le Mouvement citoyen pour créer un parti espérant être copte mais hélas .Au PM de faire attention a ces deux opportunistes.

  18. chers Maliens, pour ceux qui continuent à dire que ce gouvernement a atteint ses limites, je me demande réellement ce qu’ils ont dans la tête.
    CMD a commencé a travaillé il y a 2 mois et demi, vous pensez qu’il est rationnel d’évaluer un gouvernement en 2 mois, alors pour l’amour de dieu arrêter vos bêtises, nous ne voulons plus d’un autre gouvernement, sauf si vous voulez que le pays sombre dans le chaos.
    Le gouvernement de CMD est un gouvernement travailleur, intègre et le peuple a beaucoup de respect pour ce gouvernement.
    Si les politiciens avaient oubliés leurs idées d’intérêts personnels et s’aligner du coté de ce gouvernement depuis le début, maintenant allait trouver que nous avions avancé.
    Au lieu de faire cela, ceux qui foutu ce pays en l’air continuent de déconcentrer le PM sur ses priorités, malheureusement le Malien ne pense qu’à sa corruption, personne n’a l’amour du pays.
    Si chacun pensait un peu à dieu et reste convaincu que mon parti politique peu revenir après la transition, je suis sûr chacun viendra aider le CMD dans ses tâches difficiles.
    Que dieu sati tous ceux qui veulent trahir ce pays.
    Que dieu sauve le Mali un et indivisible

    • Il ne faut pas attendre que tout s’ecroule pour reagir. Ceux qui le critiquent sont ses meilleurs amis. Aimer un gouvernement c’est le critiquer. C’est comme cela que vous avez fait avec ATT en lui laissant seul.

  19. je crois qu’au Mali on fait trop d’amalgame. Des gens comme Amadou Goïta ne sont pas des politiciens, mais des opportunistes, des vendus.
    Qu’il aille se battre comme ses promotionnaires.

  20. Chacun campe subtilement sur sa position. Après leur convention nationale avortée, l’autre côté revient à la charge avec les mêmes arguties stéréotypées et irréalistes de conférence nationale bis. Ils y tiennent comme à la prunelle de leurs yeux. C’est devenu un baroud d’honneur. Qu’ils ne sont pas flexibles ces gens!
    Les autres pensent que la classe politique ne doit pas être un instrument de travail pour s’en servir. Ce qui suggère que tant qu’ils ne sont pas dans le gouvernement, on ne peut pas se servir d’ eux. Comme si on ne doit pas servir son pays en dehors du gouvernement. Si l’on ne vous utilise pas comme instrument comment voulez-vous contribuer à la sortie de crise? Rester à côté pour demander rien que la dissolution du gouvernement parce que vous n’y êtes pas? Quelle mauvaise foi? Le Mali est en réalité malade de ses fils.Une fois de plus l’heure n’est pas aujourd’hui aux calculs politiques, il faut d’abord sauver le Mali.
    En tout cas le gouvernement doit faire attention et ne pas tomber dans des concertations sur fond de chantage avec ces hommes politiques qui ne renonceront jamais à leurs ambitions sordides. Pour eux il n’y a que ces ambitions qui comptent. Le Mali, ils s’en moquent!

  21. CONSERVER LE GOUVERNEMENT DE TRANSITION M1IS NÉCESSITÉ D’EXTENSION DU COMITÉ ÉLARGI DE CONCERTATION SERVANT DE CADRE DE DIALOGUE PAR UNE APPROCHE GLOBALE PARTICIPATIVE VIA UNE CONFÉRENCE DE COMPROMIS INTÉGRANT TOUTES LES RÉGIONS ET TOUTES LES COMMUNAUTÉS DU MALI POUR UNE CONSULTATION PLUS LARGE ET DES BILANS PÉRIODIQUES REFLÉTANT LES AVIS DE TOUS LES MALIENS ET POUR ACCOMPAGNER EFFICACEMENT LA TRANSITION.

    Bonjour,

    Je pense qu’il convient de laisser le gouvernement de transition continuer mais l’épauler pour résoudre le problème du Mali. Pour ce faire, c’est une excellente idée de créer le comité élargi de concertation servant de cadre de dialogue.

    Mais, malgré le fait qu’il intègre la société civile, les dignitaires religions, les opérateurs économiques, les militaires et les acteurs politiques, n’est-il pas judicieux de créer un tel comité dans chaque région du Mali avec celui de Bamako centralisant les décisions en liaison avec le gouvernement de la transition.

    L’intérêt étant de préparer périodiquement une conférence de compromis à laquelle devront participer tous ces comités pour une consultation plus large et pour des bilans périodiques reflétant les avis de tous les Maliens.

    AINSI, AVEC CETTE APPROCHE GLOBALE PARTICIPATIVE, LA CONSULTATION SERA PLUS LARGE ET PLUS SIGNIFICATIVE POUR RÉSOUDRE EFFICACEMENT LES PROBLÈMES DU MALI EN GARANTISSANT L’UNITÉ NATIONALE ET LA RÉCONCILIATION ET AUSSI POUR ACCOMPAGNER EFFICACEMENT LA TRANSITION.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC et Gouvernance
    E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

    • Bonne proposition Dr. Je me demande quand les maliens comprendront que critiquer un gouvernement ne veut pas dire en vouloir a un gouvernement. Cela doit aider plutot.

  22. Sachez que ke PM ne peut recevoir tous les politiciens sur un même plateaux
    ceux qui n ont pas été invités qu’ils attendent leur tour

    les critiques on aura tout le temps pour ça
    maintenant ce l union et la reconquête qu’on en à besoin

  23. Il y a des moments dans la vie d’une nation personne n’a le droit de mettre ses intérêts personnels au dessus des intérêts de la Nation. Mars 1991 fut une date mémorable à jamais dans l’histoire du Mali. Les partisans de GMT ont tous fait pour saboter le coup d’état mais en fin comptes l’air de liberté et la soif de la démocratie plurielle prit racine et le temps faisant les partisans de GMT acceptèrent que l’époque du parti unique et de la dictature est enterre a JAMAIS.
    Exit Mars 1991, Bonjour Mars 2012. Des l’annonce du coup d’état la CDEAO a prit sur elle le dossier du Mali et a juste titre. Il a fallut plusieurs réunions et concertations entre la CDEAO et les putschistes pour confectionner un Accord Cadre de sortie de crise et installer un gouvernement de transition. Ensuite arrive le mois d’Avril et le conflit meurtrie entre frères d’armes surprend le Mali et la CDEAO et force l’organisation de prendre des décisions unilatérales qui par la suite heurtent l’autre parti de l’Accord Cadre et installent une psychose entre les Militaires, le Gouvernement, la CDEAO et les parti politiques.
    Cet incident portera un coup dur sur le retard la conception et confection d’une feuille de route. Ensuite arrive le mois de Mai et l’agression contre la personne du Président Dioncounda fait déborder la vase et tout le monde se cherche les maliens en premier. La CDEAO dégoutée brandit les menaces et durcit le ton en mettant le Mali tout entier dans le même sac d’irresponsabilité. Ce dernier acte ignoble réussit a produire le déclic de la conscience citoyenne de tous les maliens et c’est a partir de cet instant (Fin Mai) que tous les partis politiques décidèrent de se rencontrer faire leurs mea culpa et enfin reconnaître que l’heure est grave et que tous les politiques doivent enterrer la hache de guerre et se concentrer sur l’essentiel ; le Mali. Si les politiques ont pris 3 mois pour s’entendre comment voulez vous que le gouvernement qui a la coordination nationale et internationale du pays ne prenne pas plus de temps pour s’occuper de politique ? Vu tous les évènements rocambolesques qui se sont produits au pays de puis Mars 2012 comment voulez vous que le gouvernement s’occupe de politique?
    A chaque chose son temps donc allons tranquillement et sincèrement a la table de concertation et coordonner nos efforts pour venir en aide a nos parents du Nord ensuite organiser des élections libres et transparentes et que le meilleur Leadeur politique gagne. Le recherche de pouvoir politique dans le gouvernement de transition n’a pas de sens et compliquera et retardera encore plus le processus de transition avec toutes les querelles de positionnements que l’on connaît des politiques. La guerre de positionnement pour la présidence de l’Assemblée Nationale en est une parfaite illustration.
    Des lors les négociations pour confectionner une feuille de route nationale pour une sortie de crise doit être l’UNIQUE agenda sur la table du gouvernement.
    Je vous remercie.

  24. mr koita ton heure est arivé pour redresser le Mali comme tu voulais le faire lors des elections passés

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