Appel du premier ministre malien à la communauté internationale :Moussa Mara a raison, mais quid de l’effort personnel des Maliens ?

6
«Il n'y a pas de solution militaire dans le nord du Mali»
Le Premier ministre du Mali, Moussa Mara, à Bamako, le 18 mai 2014. (Photo Fabien Offner.AFP)

Alors que les soldats de la force onusienne déplorent encore la perte brutale de 9 d’entre eux, tous issus du contingent nigérien, à la suite d’une attaque terroriste, des obus de mortiers se sont à nouveau abattus sur ce même camp qui abrite les soldats de la MUNISMA, occasionnant cette fois-ci la mort d’un soldat sénégalais. Ainsi, la saga macabre des Djihadistes se poursuit à Kidal, leur ville de prédilection. Il n’y a pas longtemps, le Burkina Faso pleurait deux de ses fils, tombés sous les balles assassines des mêmes Djihadistes. Puis, tour à tour, des Tchadiens, des Nigériens, et maintenant un Sénégalais, sont tombés, tous, par devoir de solidarité envers le peuple malien.

 

Quand on vous lave le dos, il faut faire l’effort de vous laver le ventre

Face à cette remontée en puissance des actions djihadistes, tout porte à croire que les choses sont en train de retourner à la case départ et que les forces internationales sont en train de perdre du terrain. On a l’impression que les djihadistes ont mis à profit le temps de répit qui a suivi les frappes de Serval, pour se réorganiser et surtout se réarmer, pendant que du coté des forces internationales, on  semble plutôt se reposer sur ses lauriers. C’est dans ce contexte que le Premier ministre malien, Moussa Mara, a demandé à la communauté internationale de montrer plus de fermeté à l’endroit des groupes islamistes du Nord de son pays. Une sortie dont personne ne conteste la justesse, mais qui suscite des interrogations en ce qui concerne l’effort personnel des Maliens, dans cette guerre qui les concerne au premier chef. Pourquoi l’armée malienne est-elle invisible sur les champs de bataille ? Aurait-elle décidé de confier la défense du territoire malien aux troupes étrangères, pendant qu’elle- même se la coule douce à l’ombre des cailcédrats des casernes de Bamako ?  Moussa  Mara aurait été plus logique dans sa démarche s’il avait invité en premier lieu l’armée malienne à enfiler ses « rangers » et rejoindre ses frères d’armes de la MINUSMA. Quand on vous lave le dos, il faut faire l’effort de vous laver le ventre. A quoi servent ces chaussettes acquises à 10 000  F CFA la paire si c’est juste pour parader dans les rues de Bamako pendant que des soldats étrangers meurent chaque jour pour sécuriser le Mali ?

La bienséance voudrait que le gouvernement malien donne l’exemple de patriotisme

Il faut une gestion équitable des ressources humaines sur le terrain et les soldats maliens devraient être fiers d’ouvrir la marche des troupes dans la reconquête des territoires perdus du Nord. La bienséance voudrait en effet, que le gouvernement malien dont Moussa Mara est le premier responsable, donne l’exemple de patriotisme et de sacrifice. Mais au lieu de cela, le gouvernement Mara s’illustre par des scandales dans la gestion des ressources financières du pays.

Cela dit, le retour des forces islamistes  dans le nord du Mali ne peut être traité indépendamment de la lutte contre l’organisation de l’Etat islamique, qui semble mobiliser toutes les armées  occidentales en ce moment. Il ne faut pourtant pas oublier que des passerelles sont établies chaque jour entre ces forces du mal et qu’en renvoyant la question du Nord-Mali aux oubliettes, les Occidentaux se mettent sérieusement le doigt dans l’œil ; le terrorisme d’obédience islamiste est une pieuvre dont il faut combattre toutes les tentacules au même moment. Par ailleurs, Bamako devrait commencer à se poser des questions sur le silence du MNLA concernant les attaques islamistes contre le camp de la MINUSMA. Ce silence est-il la preuve de sa complicité avec les djihadistes ou signifie-t-il simplement qu’il approuve leur comportement ?

 

Dieudonné  MAKIENI

Lire cat article sur http://lepays.bf/

Commentaires via Facebook :

6 COMMENTAIRES

  1. Le Mali au bord d’un autre effondrement!

    En 2012, la stupéfaction était de taille quand le monde entier, découvrit avec quelle facilité déconcertante le régime ATT partait en lambeaux dans une république qui était considérée (à tort) comme étant l’une des plus stables en Afrique occidentale.

    En effet, tous les ingrédients d’une absence d’État étaient déjà réunis deux ans plutôt en 2010, alors que le pays s’efforçait, à célébrer les festivités d’un cinquantenaire avec fastes et arrogance.

    Un État coquille vide avec des institutions de la république, totalement à côté de leurs missions régaliennes et des fonctionnaires et autres agents de l’État plus orientés affaires personnelles et privées que services publics.

    La grande corruption, le laisser aller, le mensonge et le faire semblant étaient la règle acceptée par tous ou presque avant la catastrophe de 2012.

    Avec les élections de juillet et août 2013, l’espoir était de nouveau permis et la communauté internationale qui avait déjà promis 3,25 milliards d’euros d’aide au pays avait cru aux capacités du Mali à se réinventer.

    Mais une année plus tard, le malade Mali fait une rechute, et perd le peu de crédit que la transition du professeur Dioncounda Traoré avait pourtant pu colmater au prix de moult agitations et concessions y afférentes.

    IBK, le président élu, dans une piqûre mégalomaniaque digne du temps de Bokassa et de Mobutu, parvient tour à tour à gaspiller le capital de sympathie de la communauté internationale et des maliens placé en lui et à son régime.

    Fraudes à ciel ouvert de l’argent public, légalisation du mensonge d’État, légalisation du vol, légalisation des voleurs et normalisation de milieux mafieux et crapuleux au sommet de l’État deviennent les marques du fabrique du régime à bout de souffle de Ladji Avion.

    Après reniement/dénigrement des agents du FMI, le régime IBK, toute honte bue, finit à la corde de deux rapports d’audit (celui du vérificateur général et celui de la cour suprême) qui relevèrent l’ampleur du vol et de la cupidité des hommes de Koulouba version 2013 et 2014.

    Une année est passée et les maliens savent désormais que celui à qui ils ont porté leur espoir et leur confiance aux dernières élections présidentielles, est venu avec un autre agenda, celui du pillage systématique de l’État malien.

    Les parents pauvres de cette politique dévastatrice et ravageuse de l’argent public chez nous ce sont d’abord, l’autorité de l’état, l’école, la santé et l’investissement public dans les infrastructures économiques et sociales de bases (routes, barrages, électricités, télécommunications, eau potable, aménagements agricoles, hôpitaux, etc).

    L’armée dont tout le monde attendait la nécessaire restructuration, n’a jamais rien reçu du régime IBK à part frauder en son nom des marchés publics à coup des dizaines voire des centaines de milliards.

    Et quand les audits accablants tombent et nous révèlent le méga vol du régime IBK, on nous apprend, que les marchés publics (qui ont déjà fait l’objet de décaissements indus de l’argent public) sont “annulés” sans daigner nous dire quelles suites judiciaires tout cela a aboutit.

    Comment peut-on annuler une fraude massive qui a déjà coûté des milliards de nos maigres ressources publiques sans saisir la justice pour qu’elle châtie les malfaiteurs?

    À cause de cette fourberie qui consiste à détourner l’argent public tout en faisaient croire (par un exercice rodé de mensonge des ministres, premier ministre et conseillers de Koulouba) que ce sont des dépenses normales de fonctionnement de l’État, nous sommes restés faibles au niveau de la capacité opérationnelle de notre armée, aucune amélioration dans les conditions de vie et de combat de nos soldats au front nord de notre pays.

    Cette situation est bien exploitée par une coalition de bandits armés du nord de notre territoire qui n’hésitent plus à demander carrément le fédéralisme car ils ont su avant tout le monde qu’il n’y a plus d’État digne à Bamako.

    Les autres institutions de la république laissent faire Koulouba comme bon lui semble de l’argent public sans respect d’aucune loi et procédure.

    L’assemblée nationale reçoit dans ses murs, les mensonges de Moussa Mara, de Fily Bouaré et pleins d’autres ministres sur la gouvernance du pays, sans lever le petit doigt alors qu’elle a mandat du contrôle de l’action gouvernementale.

    La cour suprême ne diligente aucune mission de contrôle de l’utilisation des deniers publics, elle attend gentiment que le FMI coupe ses fonds au pays et que le premier ministre lui commande un audit comme on commande une pizza au coin de la rue.

    Le plus grave est que les enquêteurs de la cour suprême se focalisent sur la régularité formelle des transactions objet de l’audit sans jamais regarder la réalité et la sincérité des prestations effectivement rendues à l’armée dans le cadre des marchés publics incriminés.

    C’est à dire quels sont les biens réellement livrés à nos forces armées par le régime IBK.

    Et quelle est la valeur réelle des biens livrés et le comparer aux sommes d’argent réellement décaissés au titre des marchés publics en question.

    Donc l’audit de la cour suprême a été fait à moitié:

    Constater les irrégularités juridiques pour masquer ensuite la vraie fraude au delà des surfacturations c’est à dire LA NON LIVRAISON AU COMPLET DE TOUS LES BIENS FAISANT L’OBJET DES MARCHÉS de GRÉ À GRÉ avec Sidy Mohamed Kagnassy.

    Comment pouvons nous nous défendre et défendre notre intégrité territoriale si les hommes que nous avons choisit pour diriger notre pays font tout pour que notre armée reste sous équipée pourvu qu’eux ils parviennent à nous voler?

    L’école est dans la même situation d’agonie que l’armée et idem pour la santé dans le pays.

    Les chômeurs voient leur rang augmenter chaque jour car le régime IBK n’a aucune intention de créer durablement de l’emploi au Mali.

    Les travailleurs croupissent dans l’inconfort total et sont obligés de faire des grèves générales par paliers de deux jours non travaillés rien que pour se faire entendre par un régime Boeing/Twitter.

    Pour faire diversion IBK revient de Chine pour annoncer qu’il a amené 5500 milliards!

    Une moquerie ou quoi?

    Quelqu’un qui amène 5500 milliards est quand même incapable de donner 17 milliards aux travailleurs de l’UNTM!

    En réalité le régime IBK assimile les promesses aux réalisations et prend ses rêves pour des réalités au moyen de grand renfort de mensonges à l’échelle industrielle.

    Le plus étonnant est qu’il y a un déphasage inquiétant entre ce qu’ils nous disent hier et aujourd’hui et ce qu’ils nous disent aujourd’hui et demain.

    Fily Bouaré, la très acrobate ministre des finances, est récemment apparue à la télévision nationale pour dire que nous allons serrer les ceintures car le budget d’État 2015 (en préparation dans son département) serait réduit faute d’aides extérieures conséquentes (à cause de leur gourmandise, je rappelle à tous que le FMI, la banque mondiale et l’union européenne avaient suspendu à l’unisson leurs apports d’argent frais au Mali).

    Mais expliquez-moi, quelqu’un qui a un budget d’État de 1500 milliards de dépenses annuelles en 2014 et qui obtient subitement, à midi pile, 5500 milliards de financement chinois en un seul voyage, comment peut-il avoir des difficultés budgétaires en 2015 parce que le FMI a juste fermé le robinet de l’argent pendant 4 mois pour voir clair dans l’utilisation de l’argent qu’il nous prête?

    C’est la tout le problème du régime d’échec IBK, des inconséquents et imprudents ministres et conseillers du mensonge grandiose d’État qui croient que tout le monde boit l’eau par les narines sous les tropiques.

    Cette nouvelle race de menteurs professionnels, friands du vol organisé, écume le sommet de notre État et a, à force de mythomanie approfondie, enlevé tout crédit à la parole malienne.

    Malgré leur échec à répétition, ils s’accrochent au pouvoir comme un bébé apeuré au dos de sa maman et continuent avec une suicidaire politique de la fuite en avant au détriment de l’avenir du Mali.

    Mais jusqu’où vont courir ces marathoniens de l’échec chez nous?

    Salute!

  2. Vraiment surprenant de la part du Burkina de Blaise Compaoré. 😯

    Quand on a tout fait pour bloquer l’avancée des soldats maliens à Anefis, je suppose que le Burkinabé était dans un coma profond! 😯

    Je me rappelle bien de la réaction du sénégalais Macky Sall, l’un des griots de la France, qui disait haut et fort que l’armée malienne doit stopper son avancée sur Kidal.

    Et maintenant que la Minusma a montré ses limites, vous voulez accuser les maliens ne n’avoir rien fait pour empêcher la mort des soldats burkinabé et sénégalais. Mais hélas! C’est à la France et à l’ONU qu’il faut vous adresser.

    Tant que certains chefs d’état africains continueront à faire les marionnettes des occidentaux, soyez-en sûr, le continent Africain restera toujours en marge du progrès et du développement!

  3. Quand le loup est pris, tous les chiens lui lardent les fesses 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Même au Burkina on se moque de nous maintenant.. 😆 😆 😆 . Ah le Mali est devenu la risée de tout le monde 😛 😛 😛 😛

  4. Mais c’est pas ce chef de gouvernement qui est PROPRIETAIRE du parti politique YELEMA qui veux dire CHANGEMENT.
    Mais desfois yelema peux etre belle et bien etre traduit par RENVERSER.
    Il est venu, il a vue, il a rectifie en bon CON DERRIERE LA TABLE et pour finalment tout REVERSE a L’ASSEMBLEE NAT.
    MISTER GRAND FOUGUEUX, “LE PAYS” EST DU BURKINA”.

  5. Qui veut blanchir les méga voleurs de la république?

    Sidy Mohamed Kagnassy, conseiller trouble d’un président mégalomane et voleur, au cœur d’un énorme scandale de surfacturations à coup de dizaines de milliards de FCFA de fournitures et matériels au nom de l’armée malienne dont personne ne sait qu’est-ce qui est RÉELLEMENT acheté et qu’est-ce qui est RÉELLEMENT LIVRÉ à l’armée malienne.

    Même la cour suprême qui a semble t-il pourtant audité les marchés publics douteux dont cet homme qui se dit “homme d’affaires” est empêtré avec le régime voleur d’IBK, ne nous dit pas qu’est-ce qui a été livré réellement à l’armée malienne et qu’elle est la valeur réelle des biens et matériels réellement livrés à l’armée malienne dans le cadre des contrats Kagnassy/IBK.

    La grosse arnaque, a déjà révélé ses irrégularités juridiques et ses aspects illégaux, ça on le sait grâce à la perspicacité du FMI et du rapport d’audit de la cour suprême qui en a suivi à force des choses.

    Mais ce que les maliens ne savent pas, c’est qu’est-ce qui finalement a été livré RÉELLEMENT à l’armée malienne.

    Puisque c’est de la CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE de l’armée malienne qui est en question, il est étonnant que l’audit conduit par la cour suprême du Mali ne s’est pas prononcé sur l’opportunité et l’effectivité des dépenses publiques et des prestations y afférentes liées aux contrats Kagnassy/IBK.

    Un conseiller à la président qui conseille donc pour avoir lui même un marché public de plus de 100 milliards de FCFA de gré à gré sans que personne ne puisse contrôler qu’est ce qui a été au finish réellement livré à l’armée malienne et qu’elle est la valeur réelle des biens livrés.

    Il est évident que c’est une affaire de vol organisé, mais diable pourquoi la justice malienne ne dit rien?

    Comment peut-on voler autant d’argent public étant employé de l’état et continuer à vaguer librement à ses occupations comme si rien était?

    En réalité les Kagnassy ne connaissent que le vol de l’argent public du Mali.

    Ça a commencé par le père, Cheickna Kagnassy, malfrat de grand chemin, qui s’exila en Suisse, avec l’argent volé dans le trésor public du Mali, par le Trinita du CMLN, j’ai nommé le délinquant Kissima Doucara.

    Ce vol a permis à Cheikna Kagnassy et ses apôtres du vol organisé, de créer l’entreprise “Aiglon SA” et de continuer de commercer et de faire le business en Afrique à travers ses suppôts et ses valets de la trame de Bakorè SYLLA.

    Si si celui-la même qui vous tympanise à Korofina nord, chaque vendredi, en faisant lire le coran par une horde d’imans et de marabouts de tout acabit à ses ordres, après avoir fait sa prière hebdomadaire du vendredi à Ségou, est un collabo et une seconde main de nos Al Capone des Kagnassy.

    C’est Bakoré Sylla qui leur permettait de blanchir leur argent volé au Mali car du temps de Moussa Traoré, les Kagnassy ne pouvant pas montrer publiquement leurs affaires au Mali depuis la disgrâce de Kissima Doucara et Tiècoro Bagayogo en 1978.

    Alors les Kagnassy en ont profité avec le pactole légué par Kissima Doucara, pour s’essayer dans le commerce du coton et autres babioles en Côte d’Ivoire et dans la sous région ouest africaine.

    Bakorè Sylla ayant compris la cupidité des politiciens de l’Adema PASJ en pouvoir au Mali dans les années 90 et 2000 (Y COMPRIS IBK ET SOUMAILA CISSÉ) a vite compris qu’il faut financer cette mafia qu’est l’Adema PASJ pour profiter des exonérations fiscales et douanières dans son commerce douteux du riz et du sucre (dont il se montre fièrement dans ses boutiques et entrepôts de Nierela et Bozola à Bamako) et permettre aux Kagnassy de revenir haut la main au Mali après leur casse du trésor public du temps du CMLN.

    Bakorè Sylla devient donc l’un des principaux contributeurs de l’Adema PASJ (au même titre que d’autres voleurs comme Marimatia Diarra qui a dévalisé le projet Banque mondiale pour l’environnement, le PGRN, et Cheickina Mody Coulibaly, le dévaliseur de la douane qui voulait imposer Modibo Sidibé comme candidat de l’Adema PASJ en 2013).

    C’est ainsi que Bakorè Sylla parvient à présenter les Kagnassy comme des hommes saints et honnêtes au Mali alors qu’ils sont pire que les Dalton et c’est c’est ainsi qu’ils sont revenus au Mali du temps de Alpha Oumar Konaré.

    Voilà d’où viens Sidy Mohamed Kagnassy, celui-la même qui a été nommé fièrement CONSEILLER SPÉCIAL D’IBK à Koulouba.

    C’est un BÉBÉ DOC, bercé depuis la tendre enfance, dans l’argent volé au peuple malien principalement dans les années 70 et jamais remboursé par les Kagnassy aux maliens.

    C’est pour ça que Sidy Mohamed Kagnassy n’a pas hésité une seconde à facturer d’un seul coup plus de 100 milliards d’un marché public de gré à gré conclu en violation de toutes les procédures en la matière (UNE PREMIÈRE ET UN RECORD AU MALI).

    Pour se faire oublier, dans l’agitation généralisée du FMI et autre justice française qui commence à coffrer même les Boubeye Maïga qui ont pourtant des entrées faciles dans des palais et places du monde entier à commencer par Alger de Bouteflika, Sidy Mohamed Kagnassy, annonce donc une démission rocambolesque et trompe-l’œil de son poste fictif de conseiller Spécial à Koulouba.

    Mais comment peut-on voler indéfiniment de père en fils son pays et s’en aller toujours sans explication à la justice de ce même pays?

    Et pourquoi démissionne t-il et reste t-il dans les murs à Koulouba?

    Fait-il quoi exactement à Koulouba?

    Pourquoi IBK, le Mandé Zonkèba, complice attitré des voleurs et le voleur sans scrupule et sans vergogne de l’argent public au Mali depuis 1992, veut présenter ce même Sidy Mohamed Kagnassy comme étant quelqu’un qui aide son pays?

    Depuis quand Sidy Mohamed Kagnassy a t-il aidé le Mali et dans quel domaine précis?

    Et pourquoi après tant de malversations financières révélées dans le pays, il n’y a eu aucune poursuite judiciaire contre ces malfrats?

    Et comme si rien était et comme si cela ne suffisait pas, IBK fait venir à Koulouba Blaise “Mogotigui” Sangaré, le pape de la corruption et du vol de l’argent public, fondateur du parti politique CDS et enfant de Bougouni qui a déjà dévalisé avec succès pour lui et sa suite et amertume pour nous et les retraités du Mali la fameuse Caisse des retraités du Mali sise au quartier du fleuve à Bamako en son temps.

    Ce gueulard dévaliseur, s’est toujours vanté d’être le premier à pouvoir construire une maison en étage à N’tomikorobougou en commune III du district de Bamako pour pouvoir voir les pauvres habitants de ce quartier populaire de bamako faire leurs besoins dans leurs toilettes environnantes aux abords du marché du N’tomikorobougou.

    ARRÊTEZ DONC DE PRENDRE DES MALIENS COMME DES CONS ET RENDEZ-VOUS À LA JUSTICE DE CE PAYS CAR VOUS DEVREZ UNE EXPLICATION CLAIRE ET SINCÈRE AUX MALIENS SUR TOUT L’ARGENT VOLÉ EN SEULEMENT UN AN DE POUVOIR À KOULOUBA.

    CAR LA FUITE EN AVANT NE VA SERVIR À RIEN!

    Que Dieu Bénisse le Mali autant qu’il maudisse ceux qui dévalisent impunément l’argent public chez nous.

    Salute!

Comments are closed.