Les forces
L’art de la rhétorique maitrisé, le rassemblement autour de sa personne lui est d’une facilité déconcertante. Il est sans nul doute celui qui mérite le titre de chef de file de l’opposition. Entre ses nombreuses interventions pour crier haut et fort le désarroi et la grosse désillusion du peuple malien sur son choix porté sur le candidat IBK devenu président et ses sorties poignantes pour indexer et fustiger les échecs du gouvernement IBK ,notamment dans sa tentative d’instauration de la paix au nord lors des pourparlers d’Alger, Soumaila Cissé est devenu le pourfendeur de IBK et le fidèle porte-parole d’un peuple malien qui, a postériori, regrette de n’avoir pas conduit le leader de l’URD à la tête du pays.
En effet, force est de constater que les conditions de vie des citoyens maliens ne se sont guère améliorées depuis la crise qui frappe le pays en 2012. Pire, elles s’aggravent de jour en jour avec la flambée inexorable des prix des denrées de première nécessité, la recrudescence du taux de chômage, en particulier chez les jeunes qui ne savent plus où donner de la tête etc. Bref, tant de promesses non tenues du président IBK et qui font de lui l’homme honni, celui sur qui tous les maux de la société retombent. Amertume, rancœur, aversion sont les ressentiments des Maliens vis-à-vis du président IBK. Tous disent qu’IBK président n’a pas tenu les engagements d’IBK candidat. La longue crise politico-alimentaire, qui n’en finit pas de finir, fait que les populations sont devenues teigneuses et, par conséquent, ne laissent la place à aucune forme de tolérance. Les réactions peuvent même être imprévisibles. Ainsi, des mèches de bombe à retardement sont allumées par le leader de l’URD qui conscientise le peuple malien lors de ces multiples interventions dont la dernière en date est celle du samedi 2 mai à la Maison de la Presse. Lors de cette prestation médiatique, Soumaila Cissé ne s’est pas fait prier pour utiliser son arme fatale : dénoncer sans ambigüité et dans la forme qui sied la mauvaise gouvernance et les difficultés des Maliens.
Pour mettre en relief les faiblesses et les lacunes d’un gouvernement qui poussent de potentiels électeurs (leaders d’opinions, chefs religieux) à rallier Soumi pour lui prêter main forte, il faut juste analyser les actes posés par le pouvoir en place qui, loin d’être à l’écoute des citoyens, se contente de prendre à la hâte des décisions qui irritent le peuple. Tel l’achat de l’avion présidentiel entaché d’irrégularités dont les effets dévastateurs sont loin d’être dissipés dans l’opinion nationale voire internationale. Des versions différentes livrées sur l’affaire ont fait pressentir à Soumaila Cissé qu’il y avait moyen de trouver un public rebelle et dégoûté par l’utilisation frauduleuse de l’argent public sous le règne de leur fraîchement élu IBK qui, au lieu de se préoccuper d’améliorer l’ordinaire des citoyens maliens, a cru bon s’offrir un avion à la dimension de sa seigneuriale personne.
Entre ses mauvais choix et l’indifférence superbe qu’il affiche, IBK est de plus en plus mal vu par le peuple. Une fois de plus, cet handicap constitue un second atout pour Soumaila Cissé qui ne trouvera personne pour contredire ses affirmations. Ce long silence de l’exécutif actuel qui reste de marbre face aux critiques acerbes voire aux attaques du leader de l’URD est en train de coûter cher à IBK. En revanche, il est tout bénéfice pour Soumi qui engrange les potentiels électeurs. Ces exemples montrent bien la force inéluctable que l’opposition acquiert contre IBK. Soumaila peut bien se frotter les mains et voleter sur des nuages, car l’aubaine lui a été offerte sur un plateau d’argent d’émettre des critiques justifiées à l’encontre d’IBK dès les premières années de gouvernance de ce dernier. Dans cette logique, on peut déduire que Soumaila Cissé, ainsi que la plupart de nos concitoyens, sont impatients d’être à la prochaine élection présidentielle.
Les faiblesses
Certes, son statut de chef de file de l’opposition est fort avantageux car, en tant que porte-parole de tous les partis politiques qui la composent, il reste l’homme sur qui il faudra compter pour réprimander le gouvernement en place chaque fois que l’occasion se présentera et ce n’est pas sûrement pas ce qui va manquer. Il sera ainsi confronté à un double rôle: celui d’artilleur et d’encaisseur. Donc un rôle à double tranchant. Tant qu’IBK ne répondra pas par une magistrale action qui pourrait faire changer les avis des uns et des autres sur sa personne, Soumaila n’aura à craindre aucun revers de fortune de la part du peuple. Bien au contraire.
Mais si, d’aventure, de l’exagération dans ses propos venait à se faire sentir, il serait tout simplement considéré comme quelqu’un qui parle trop pour ne finalement rien proposer. L’ennui d’entendre tous les jours les mêmes récriminations ou admonestations pourrait conduire le peuple électeur à se détourner de lui. Il serait alors perçu comme un pleurnicheur. Certes, le peuple malien attend son héros avec des propositions positives. Il doit savoir vendre son image en ne se servant pas que des frasques du pouvoir en place, mais en se proposant comme étant le produit politique adapté à tous les maux du pays. En un mot : la solution à nos problèmes.
Pour cela, il doit faire de la communication politique tout en étant à l’écoute du peuple. Qu’il devienne l’ami du peuple pour ensuite devenir son président bien-aimé. L’empathie du peuple à son égard pour s’être préoccupé de leur sort aura un impact positif sur l’image de Soumaila Cissé s’il décide de faire des œuvres humanitaires dans des zones bien ciblées à grande affluence. Les Maliens, aujourd’hui, n’ont que dalle des paroles mielleuses. Le peuple ne jurera que par le nom de celui qui posera des actes concrets par le biais des donations. Le peuple a besoin de refaire confiance en ses leaders politiques.
Mohamed HAIDARA
Bonjour Mohamed Haidara,
Peux-tu me contacter à : mlamines@yahoo.com.
Je suis à Montréal au Canada. J’ai un projet de journal en ligne. J’aimerais collaborer avec deux journalistes de la presse écrite au Mali.
Merci!
Avoir la langue mieleuse et être bon font deux.Ce sont les oiseaux de même plumage qui volent ensemble. Sachez pour la petite histoire que quand il s’agit de se partager les servitudes ” terrains”du fleuve djoliba à l’ouest du Palais de la Culture, Soumaila cisse en a eu autant que IBK. Ce dernier a vendu les siens à prix d’or à l’ambassade du SEnegal. Ce sont les mêmes , seulement l’un est malin l’autre est bête
Ce sont les mêmes. Quand, il s’agit du mariage de la fille de ATT, c’est la femme de IBK, qui fut la marraine et Ibk le ”den-fa”.
Nous avons tellement de regret qu’il soit absent à Koulouba pour nous faire vivre le véritable bonheur sans « Inchallah » mais plutôt avec un véritable projet de société.
Soumaila Cissé n’a guère commencé son expertise, sa séduction verbale maintenant.
Depuis qu’il est en France, il est un maitre de la rhétorique, un incontournable maitrisard de dossiers difficiles et un infatigable travailleur.
Nous pensons sincèrement que seul lui pourra nous reconstruire un Mali fort, responsable et prospère.
Nous remercions aussi le journaliste qui a fait un article assez formidable. Un petit critique constructif et qui pourra évidement permettre à notre champion national de prendre note si cela est nécessaire.
Ibk a échoué et sur tous les plans. S’il lui reste un peu de dignité, nous pensons que ce serait celle de sa démission du pouvoir. Le Mali s’enfonce de jour en jour et nous avons l’impression que le chef de l’Etat ne contrôle absolument rien.
Ajouté à tout cela, son état de santé est extrêmement critique. Il se pourrait qu’il soit atteins d’une prostate cancéreux. Une maladie qui détermine sa durée de vie. Et avec son âge, il est fort probable qu’il soit incapable très bientôt. Dieu sauve le Mali et bénisse le patriote Soumaila Cissé.
Nous avons tellement de regret qu’il soit absent à Koulouba pour nous faire vivre le véritable bonheur sans “Inchallah” mais plutôt avec un véritable projet de société.
Soumaila Cissé n’a guère commencé son expertise, sa séduction verbale maintenant.
Depuis qu’il est en France, il est un maitre de la rhétorique, un incontournable maitrisard de dossiers difficiles et un infatigable travailleur.
Nous pensons sincèrement que seul lui pourra nous reconstruire un Mali fort, responsable et prospère.
Nous remercions aussi le journaliste qui a fait un article assez formidable. Un petit critique constructif et qui pourra évidement permettre à notre champion national de prendre note si cela est nécessaire.
Ibk a échoué et sur tous les plans. S’il lui reste un peu de dignité, nous pensons que ce serait celle de sa démission du pouvoir. Le Mali s’enfonce de jour en jour et nous avons l’impression que le chef de l’Etat ne contrôle absolument rien.
Ajouté à tout cela, son état de santé est extrêmement critique. Il se pourrait qu’il soit atteins d’une prostate cancéreux. Une maladie qui détermine sa durée de vie. Et avec son âge, il est fort probable qu’il soit incapable très bientôt. Dieu sauve le Mali et bénisse le patriote Soumaila Cissé.
Vu sur un commentaire du patriote : Kassin
Que voulait dire IBK aux travailleurs de l’UNTM lorsqu’ il affirme en ses termes: “Le pays a été mal géré”.
C’est dommage que le président de la république n’a pas précisé depuis quand “le pays a été mal géré”.
Mais si c’est pendant les régimes précédents d’Alpha Oumar Konaré et d’ATT dont il parle, il est important qu’il se rappel des évenements qui suivent :
I. La constitution du Mali, en vigueur aujourd’hui, dispose:
1. Dans son article 53:
“Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation et dispose de l’administration et de la force armée.”
2. Elle continue dans son article 54.
“Le Gouvernement est responsable devant l’Assemblée nationale dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 78 et 79.”
3. Et poursuit dans son article 55
“Le premier ministre est le chef du Gouvernement : à ce titre, il dirige et coordonne l’action gouvernementale.
Il assure l’exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l’article 46, il exerce le pouvoir réglementaire. Il est responsable de l’exécution de la politique de défense nationale.
Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.
Il supplée, le cas échéant, le président de la République à la présidence du Conseil et du Comité prévus à l’article 44.
Il le supplée pour la présidence du Conseil des ministres, en vertu d’une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.”
Ces articles ci-dessus de notre loi fondamentale, nous apprennent que c’est le gouvernement qui mène la politique de la nation et est responsable devant l’assemblée nationale du Mali.
Mieux, que c’est le premier ministre qui est chef du gouvernement et c’est lui qui dirige et coordonne ses actions.
Il se trouve justement que sous Alpha Oumar Konaré, un certain IBK qui ressemble comme deux goutes d’eau avec l’actuel IBK à Koulouba, était premier ministre du Mali entre 1994 et 2000.
Donc pendant 6 ans il a dirigé et coordonné les actions du gouvernement du Mali et a engagé sa responsabilité devant l’assemblée nationale du Mali.
4. Continuons de voir ce que dit notre constitution sur le gouvernement:
Article 56
“Les actes du premier ministre sont contresignés, le cas échéant, par les ministres chargés de leur exécution.”
Article 57
“Avant d’entrer en fonction le premier ministre et les ministres doivent remettre au président de la Cour suprême la déclaration écrite de leurs biens.
Cette déclaration fait l’objet d’une mise à jour annuelle.
Les dispositions de l’article 35 ci-dessus sont applicables aux membres du Gouvernement.”
Tiens, tiens, déclaration de biens, il serait intéressant que la cour suprême du Mali, nous publie la déclaration des biens qu’IBK lui a faite en 1994, quand il rentrait en fonction premier ministre pour qu’on puisse le comparer à ses biens d’aujourd’hui et analyser l’évolution et sa vraisemblance vis-àvis des revenus légaux de sa famille.
Cela nous édifierait tous sur l’honnêteté et la probité de celui qui pointe du doigt aujourd’hui la mauvaise gestion de l’état au Mali.
5. De 2002 à 2007, le même IBK était président de l’assemblée nationale du Mali et de 2007 à 2012, député dans cette même assemblée.
Donc à cette période, les gouvernements du Mali étaient responsables devant lui et il pouvait à tout moment leurs interpeller sur la gestion du pays.
Mais IBK a été à l’initiative de combien de motion de censure contre les gouvernements du Mali de 2002 à 2012?
La réponse est claire et nette: zéro, nada, que dalle!
Alors, j’ai une autre série de questions:
IBK ne savait-il pas que l’Etat était mal géré quand il fut premier ministre, président de l’assemblée nationale ou simple député élu à l’assemblée nationale du Mali?
S’il ne le savait pas étant aux affaires dans les hautes sphères de l’État, alors par quelle étrange magie il l’a su maintenant?
S’il le savait, pourquoi n’a t-il jamais rien fait de connu pour palier à cette mauvaise gestion du pays de part les pouvoirs constitutionnels qui lui étaient conférés?
II. Au cas où la mauvaise gestion évoquée par le chef de l’État date d’aujourd’hui, on lui rappelle, quand même, qu’il est président de la république du Mali investi de ces fonctions depuis le 4 septembre 2013.
Mais de cette date à maintenant on l’a vu nommer puis donner sa “totale confiance” à deux premiers ministres qui ont eu la charge de diriger sa politique de la nation conformément à la constitution du Mali.
Donc je suis perplexe mes amis, comment peut-on donner une entière confiance à des premiers ministres dont la gestion publique serait mauvaise?
À moins que la mauvaise gestion dont parle IBK ne concerne pas son propre régime et date des régimes passés, ce qui nous renvoie aux questions déjà posées plus haut.
Qu’IBK nous donne donc plus de précisions sur comment le pays a été mal géré et comment son gouvernement actuel est incapable de satisfaire aux doléances des travailleurs de l’UNTM.
Nous attendons avec impatience les communiqués d’éclaircissement de Koulouba à l’endroit des maliens car nous n’avons pas compris.
Un grand merci à ce journaliste qui ne fait que « rendre à Cesar (Soumaila Cissé) ce qui l’appartient ».
Nous pensons très humblement qu’avec ce genre d’article nous nous rendons compte de l’efficacité et du professionnalisme de notre presse. L’information réelle et juste.
Aujourd’hui au Mali, personne ne peut douter de la pertinence des propos de l’honorable Soumaila Cissé face aux nombreuses dérives du régime d’IBK. Plus important, c’est la première fois au Mali nous assistons à une opposition qui critique sans avoir a incité les populations à la haine, ni demandé à prendre la rue comme nous l’avons vu en Cote d’Ivoire et dernièrement en Guinée Conakry. Cette attitude de responsabilité et de sagesse nous démontre le respect sans condition des urnes ainsi que de l’esprit patriotique, démocratique et républicain.
Nous sommes fière de ce qu’il fait et nous pensons qu’il est la personne idéale capable de faire sortir le Mali de tous ces problèmes.
Le pouvoir d’IBK nous a montrer ces limites, ces incapacités et ces incompétences face aux multiples situations économiques, éducatives, alimentaires, sécuritaires etc..
Il nous faut une alternance crédible, forte, responsable et capable de relever le Mali avec une équipe travailleuse et dynamique. Cette nouvelle équipe, est sans doute celle de Soumi champion avec son intelligence, son sens du travail bien fait et son dévouement.
Avec Soumi, l’alternance se confirme et rien ne l’arrêtera.
Un grand merci à ce journaliste qui ne fait que “rendre à Cesar (Soumaila Cissé) ce qui l’appartient”.
Nous pensons très humblement qu’avec ce genre d’article nous nous rendons compte de l’efficacité et du professionnalisme de notre presse. L’information réelle et juste.
Aujourd’hui au Mali, personne ne peut douter de la pertinence des propos de l’honorable Soumaila Cissé face aux nombreuses dérives du régime d’IBK. Plus important, c’est la première fois au Mali nous assistons à une opposition qui critique sans avoir a incité les populations à la haine, ni demandé à prendre la rue comme nous l’avons vu en Cote d’Ivoire et dernièrement en Guinée Conakry. Cette attitude de responsabilité et de sagesse nous démontre le respect sans condition des urnes ainsi que de l’esprit patriotique, démocratique et républicain.
Nous sommes fière de ce qu’il fait et nous pensons qu’il est la personne idéale capable de faire sortir le Mali de tous ces problèmes.
Le pouvoir d’IBK nous a montrer ces limites, ces incapacités et ces incompétences face aux multiples situations économiques, éducatives, alimentaires, sécuritaires etc..
Il nous faut une alternance crédible, forte, responsable et capable de relever le Mali avec une équipe travailleuse et dynamique. Cette nouvelle équipe, est sans doute celle de Soumi champion avec son intelligence, son sens du travail bien fait et son dévouement.
Avec Soumi, l’alternance se confirme et rien ne l’arrêtera.
Bougoubalini
Ce pas si tu ma bien lu mais je pense qu’on parle de la même chose mais bref .
Comme je te bien souligner l’opposition proposer doit proposer d’avantage que ce qui c fait pour une alternance plus crédible et acquérir la confiance du peuple c d’être sur le terrain ,il ne suffit pas de monter au créneau,car le programme électorale de l’opposition avait été rejetée par le
Peuple malien tu doit le savoir que c’est un
Manque de communication de plus de visibilité et surtout l’image de notre candidat n’a pas été bien traiter par le cabinet de communication en charge . Je pese me mot en disant que opposition doit pas solutionner me plutôt de proposer
Bougobalini une opposition qui préparèr l’alternance dans n’importe quelle démocratie propose même s’il sont pas au commande , car proposer ce montre au gouvernement que la solution peut c trouver ailleurs que tu veuilles ou non ce dans l’obligation que pour une visibilité durable il faut occuper le surface médiatique et cette occupation n’est c fait point ça proposition. Concret
Je ne dis pas le contraire mais je vous demande simplement de me donner un exemple ou c’est a l’opposition de donner des solutions au pouvoir dirigeant. Choisissez n’importe quel pays au monde, mais ne MENTEZ pas seulement. 🙄
Quand on veut gater le nom des gens, on peut le faire. Mais j’ai personnellement rarement vu une opposition faire des propositions comme le fait la notre. On peut ne pas aimer ce qu’elle dit, mais dire qu’elle n’a rien propose n’est tout simplement pas vrai.
MÉFIONS – NOUS DES CRITIQUES QUI NE PROPOSENT RIEN DE MIEUX EN CE TEMPS PRECIS OÙ TOUTES LES FORCES VIVES DOIVENT AGIR DE CONCERT POUR UNE REFONDATION GLOBALE, EN RAISON DE LA GRAVITE DE LA CRISE PERPETREE PAR DES FORCES INTERNES ET EXTERNES CONNUES. TOUT DECHIREMENT SERVIRAIT CES FORCES DU MAL. SOUMI A MARCHE VERS IBK AUX PREMIERES HEURES. IL DEVRA ENRICHIR CET ELAN EN LUI AJOUTANT SES COMPETENCES POUR L’ INTERET SUPERIEUR DU MALI.
M. le journaliste tu devrais analyser de bilan de soumi pendant qu’il etait au poste de commandement: Ministre, DG CMDT etc, cela vaut mieux que de critiquer un régime fragilisé par la France de n’imporquoi sur l’AFFAIRE TOMMY et Equipements Militaires, si vous ne saviez pas, nous savions quelques choses sur ce Mali là, avec ces politiciens corrompus comme soumi et autres, si Capitaine SANOGO n’allait pas intervenir, nous allons tous fuir au Mali par ce complot de diviser le Mali par M. SARKOZY, ceux qui ont le courage d’appeler la MINUSMA et mettre des sanctions contre le Mali sont la plupart responsables du maladresse du fonctionnement d’aujourd’hui pour bloquer IBK en lui rendant impopulaire, Moussa MARA doit se mefier de ce jeu de l’opposition car se sont eux qui ont poussé l’occident pourque IBK lui met à la porte, malgré son consentiment, nous sommes pas naif.
L’article en soi et bien dans le contexte mais dans l’aspect faiblesse j’appuierai sur l’aspect communication et surtout renforcer une visibilité croissante dans la zone en crise comme le nord .
Proposer car une opposition qui ne propose pas ne pourra jamais être crédible , notre crédibilité en dépend de notre force d’adaptation à la nouvelle méthode communication par le bille du réseaux sociaux du média etc.
Faut que l’opposition arrive à convaincre,ce faire aimer , donner une assurance au peuple , et reconquérir leurs confiance et surtout travailler l’image du candidat qui sera le porte étendard ,qu’il est l’alternance pour ça il faut que les peuples ces retrouvent dans leurs actions , mais pas une action spontanée mais des actions dans des durées concret e surtout visible pour la population , une fois tous ces ingrédients regrouper ont dira que l’opposition sera prêt pour gouverner
“…Proposer car une opposition qui ne propose pas ne pourra jamais être crédible , notre crédibilité en dépend de notre force d’adaptation à la nouvelle méthode communication par le bille du réseaux sociaux du média etc…” 😯 😯 😯 😯 Vous avez des exemples a nous donner des oppositions qui PROPOSENT sur une gouvernance ou que ce soit? 😯 😯 😯 😯
Honte à vous, Haidara. Je me demande si vous connaissez la déontologie du métier de journaliste. Un journaliste, ce n’est celui qui cède aux peaux de vins, ce n’est pas celui qui cède aux menaces mais c’est plutôt celui qui dit la vérité au péril de sa vie.
Après ces brèves critiques, je m’en vais vous dire que ce n’est en moins de trois ans que l’on peut construire ce qu’on a détruit pendant plus de 20 ans. Les promesses d’emploi qu’il a faites sont en cours d’exécution… Faites un tour dans la liste d’admis à la fonction publique de collectivités et de l’état. Vous verrez combien de jeunes sont mis out du chômage… Arrêtez de vous foutre de nous. Les maliens n’ont pas regretter leur choix. Ceux qui ont voté pour “Kankaletigui” sont des “Kankelen tigui” Je vous remercie….
Foutez nous la paix!
Il n y a qu´une farce d´opposition au Mali.
Soumaila et consores c´est la même bouillabaise qui , comme sarkosy n´attendent que lier improbable tour de bordel pour plonger le pays dans le chaos encore .
Chacun connait chacun dans Maliba
Quelle honte!
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