Un mandat commencé par un discours d’investiture patriotique, nationaliste faisant la promesse de tenir compte pour la construction d’un Mali nouveau de s’appuyer sur l’expérience fabuleuse acquise dans la douleur, la patience et un courage certain du Président Dioncounda, avait donné espoir à tout le peuple malien un 4 septembre 2013. L’espoir fut grand dans le cœur des maliennes et des maliens lorsque le nouveau président, a dit qu’il faudra compter désormais avec un Mali assis sur un socle de légitimité avérée, en acier trempé qui devrait faire le départ du renouveau de notre pays dans tous les domaines.
Il a dit avoir compris le message des maliens qui est d’ailleurs allé jusqu’au fond de son âme et devant être traduit désormais pour l’honneur du Mali et pour le bonheur des maliens, car avant toute chose, il faut le Mali d’abord, même avant ses propres familles sociale et politique. Et d’insister que la vie du malien vaudra désormais son prix inestimable, que tous les aspects de la vie seront pris en compte, que nul ne sera au-dessus de la loi, que l’autorité de l’état sera restaurée, qu’une lutte impitoyable sera engagée contre la corruption. Qu’il y aura également la justice et l’équité sans lesquelles, il n’est pas d’avenir pour une nation. Qu’il bâtira avec le concours de tous un état fort, impartial. Qu’il ouvrera pour que les maliens retrouvent foi en l’avenir, qu’ils aient confiance dans leur futur et le futur du Mali. Pour cela, il est prêt à écrire une nouvelle page de l’histoire du Mali. Le 19 mai 2014, brusquement un autre discours est venu renforcer celui de l’investiture du 4 septembre 2013 comme si cela n’avait pas encore fait son effet.
Dans un message aussi déterminent que précis, le Président s’est exprimé en ces termes :
Vous avez suivi les développements tragiques que les mouvements armés ont tenu à donner à la visite du Premier ministre à Kidal, samedi 17 mai 2014 à Kidal, où il fût reçu sous des balles et des tirs à l’arme lourde par les groupes armés. Et ce n’est là, ni plus ni moins, qu’une déclaration objective de guerre à l’état du Mali, au moment où tout est mis en œuvre pour relancer les pourparlers devant conduire à une paix définitive au nord, à travers un dialogue inclusif.
Sous les balles de snipers qui n’hésitent pas, à leur manière lâche, à se servir de femmes et d’enfants comme chair à canon, comme bouclier humain placé entre deux feux.Des soldats de l’armée malienne ainsi que de paisibles citoyens, sont tombés. Et même dans l’esprit comme dans la lettre de l’accord préliminaire de Ouagadougou, il ne peut subsister aucun doute sur l’appartenance de Kidal à la République du Mali dans ses frontières internationalement reconnues. Je vous fais le serment que ces crimes odieux ne resteront pas impunis. Le Premier ministre, dont je salue le courage, le sang-froid, l’esprit patriotique et le sens élevé de l’état, ne posait aucun acte de provocation à travers cette visite à Kidal. Au contraire, suivant en cela mes instructions, et dans l’exercice de ses prérogatives, il s’y rendait pour écouter notre peuple, en prélude aux pourparlers dont les animateurs et les détails se mettaient en place autour de l’ancien Premier ministre Modibo KEITA, aîné de valeur et de mérite.
Oui, le développement harmonieux, intégré et intégral du pays !
De Diboli à Labezzanga, de Zégoua à Tinzawaten
Partout, le Mali utile ! Nulle part, un Mali moins utile ! Et jamais, un citoyen malien ne sera privilégié par rapport à un autre !
Tous les citoyens sur le même pied d’égalité, toutes les régions logées à la même enseigne !
Mais personne ne prendra le Mali en otage. Personne !
Je n’ai pas d’autre honneur que de remettre à mon successeur, demain, un Mali debout, uni et un.
Ce Mali debout, uni et un, ce Mali qui arrive à nourrir, soigner et scolariser ses enfants, ce Mali qui crée de l’emploi et prend en charge sa jeunesse, je m’y suis engagé et je ne faiblirai pas sur cette voie.
Plus jamais, une délégation de l’état ne sera prise à partie à Kidal.
Je ne laisserai pas ces mouvements armés, certains qualifiés de terrorisme, d’autres désignés de manière commode comme rebelles, mais tous, réunis et solidaires à nouveau, comme ils le furent lorsqu’ils perpétraient, ensemble, l’horreur d’Aguelhoc, mais tous, de connivence avec le narcotrafic international, je ne les laisserai pas, disais-je, continuer à faire la loi, ni à Kidal, ni dans une autre partie de notre territoire.
Le Président que je suis, investi de la confiance des maliens et tenu par la constitution du Mali, assumera ses charges, toutes ses charges. Le gouvernement du Mali jouera pleinement son rôle. En particulier, les auteurs de ces prises d’otages et exécutions sommaires seront poursuivis devant les juridictions nationales et internationales.
La souveraineté du Mali sur toute l’étendue de son territoire n’étant pas négociable, nos forces de défense et de sécurité en reconstruction assumeront, totalement, les missions que la constitution malienne leur assigne et que les maliens attendent d’elles.
Un 15 mai, une grande cérémonie de portée internationale a réuni plus d’une dizaine de Chef d’Etat Africain et des représentants de la France, de l’Union Européenne, Africaine des Nations, et en l’absence des rebelles pour la signature d’un accord, pour lequel, les réserves du peuple malien toutes catégories confondues écrites sur 13 pages ont été jetées à la poubelle d’Alger.
Quel éloge n’a-t-on pas fait pour cet accord d’Alger pour la paix et la réconciliation ?
Quelle portée n’a-t-on pas donné à cet accord en pensant qu’il viendra régler tous les problèmes de la crise parce qu’il serait un accord équilibré ?
Il a fallu donc que les groupes armés Touaregs refusent d’être présents à la signature pour qu’on se rende compte que le vert est dans le fruit.
N’a-t-il pas dit par rapport à l’absence des groupes armés que les négociations étaient terminées ?
On ne me trimbalera pas. Les maliens ne sont pas des gueux, sont des termes qui ont comblé les maliens ce jour.
Trois ans après la prestation de serment et un an après la signature de l’Accord d’Alger le Mali se retrouve dans quelle situation ?
L’Accord d’Alger 2015 est le signe patent, de leur trahison du mali.
Un an après la signature du dit accord, toutes les vertus attribuées à cet accord n’ont pas été une réalité. Au lieu de conforter la République, il a divisé la République en deux territoires distincts avec deux types d’administrations deux armées différentes, deux types de citoyens. Les négociations d’Alger pour l’élaboration d’un accord ont été fatales à la forme Républicaine du Mali, à sa laïcité et à l’égalité de tous les citoyens devant la loi ; à la constitution du 25 février 1992.
L’acceptation dans l’Accord d’Alger de la mise en place des autorités transitoires a fini de livrer le Nord aux groupes armés. Nous constatons actuellement que l’Accord d’Alger a livré la zone de Taoudéni au Mouvement Arabe de l’AZAWAD, la région de Kidal au MNLA, et MENAKA à la Plateforme.
Non coutent de cela, la CMA exige encore qu’une nouvelle région soit créée, c’est-à-dire celle de Alata.
En lieu et place de l’Etat, ce sont les groupes armés qui décident du nombre de cercles, de communes à mettre en place.
L’opinion nationale ne doute plus de la faiblesse de l’Etat sous la gouvernance I.B.K. Dans la mise en œuvre de l’Accord, l’Etat est exclu du jeu. D’abord aucun administrateur de l’Etat n’existe dans les régions du Nord. Ensuite quant à l’installation des autorités transitoires l’état est complètement exclu du jeu.
La CMA et la Plateforme se partageront alternativement les conseils au niveau régional, cercle et communal partout au Nord selon une interprétation de la CMA et acceptée par le gouvernement.
Ce plan de morcellement, concernera toutes les autres régions du Nord excepté Kidal.
Et comme les Touaregs sont une multitude d’Ethnies, chacune œuvrera à créer sa région, car aucune ethnie ne veut tomber sous la domination d’une autre, d’où la demande forte de création de la région d’Alata pour les chamanamasses. Le Ministres de la Décentralisation est sommé depuis janvier 2016 d’y arriver. Une grande commission forte d’une centaine de membres est mise en place à cet effet.
Les non-touaregs, qui ont été toujours fidèles à l’Etat central se trouvent floués désormais et à la merci des Touaregs encore.
Toutes ces faiblesses face aux Touaregs se font au détriment de la partie Sud du Mali, qui n’a même pas eu droit au moins à la nomination de leurs différents Gouverneurs dont, la loi a été votée en janvier 2012 par l’Assemblée Nationale sous ATT.
Où est donc la sincérité de nos dirigeants face aux Intérêts du peuple ?
La MINUSMA venue à notre secours avec un mandat robuste au départ a été empêchée par la France pour nous rendre le nord ; car elle voulait exploiter l’or de Tessalit. La MINUSMA est devenue au gré des résolutions le dindon de la farce avec un mandat qui l’empêche de se battre, mais l’autorise à surveiller une paix qui n’existe pas. La conséquence de ce double jeu a été qu’elle a perdu 101 casques bleus devenant ainsi la mission la plus meurtrière des Nations-Unies sans que Kidal n’accueille encore une seule autorité du Mali.
Face aux agissements de la communauté Internationale et de la France, la gouvernance d’I.B.K, n’a pas été un répondant. Elle se laisse trimbaler par la France, les Nations-Unies, la CMA. A chaque étape de la mise en œuvre de l’Accord, le régime d’IBK capitule.
A chaque confrontation, c’est le gouvernement qui capitule.
Badou.Com
La gloire de IBK est son mérite d’avoir grimper tous les échelons pour arriver à Koulouba . Une fois à Koulouba , il est toujours dans l’euphorie d’être le Président .Donc qu’on lui colle la paix en attendant qu’il finisse de savourer sa victoire et après on verra .
LE FAIT DE DIRIGER LE VAILLANT PEUPLE MALIEN, EST UNE GLOIRE EN ELLE MEME!!!
Vous qui pensez que le président de la république rentrera dans la mauvaise manière en ne tenant pas ses engagements concernant les accords de paix; vous serez désillusionné car ces engagements; il les remplira.
C’est déplorable que des journalistes passent leur temps en train de torpiller les autorités que de les accompagner dans leur quête de la paix pour ce pays.
Où est la gloire des personnes qui sont passées à la tête de ce pays pendant des décennies et qui n’ont pas pu résoudre ce problème?
L’accord de paix a connu des problèmes mais les acteurs se sont retrouvé dans le but de relancer les machines. La paix; le président IBK l’offrira au peuple Malien.
Aussi faut-il dire aux journaleux d’être un peu objectifs car chaque période à ces réalités et pour le moment jusqu’à preuve de contraire; c’est la paix qui est à l’ordre du jour.
Une paix obtenue au prix du sang des uns et des autres ne peut être durable et donc ne peut nous profiter. Je crois que c’est ce qui est à la base de l’attitude du gouvernement qui ne veut que toujours passer par le dialogue mais ces derniers pensent que c’est peut-être par peur. Nous avons fait la guerre et elle ne nous a emmené nul part. On doit donc aller à la paix par le dialogue pour que notre pays sorte de cette léthargie pour amorcer la voie du développement. Est ce que cela on peut arriver à la comprendre?
Le Mali ne sera jamais divisé. Que ceux qui manipulent les propres enfants de ce pays contre leur patrie sachent que leurs manigances n’est que peine perdue. C’est cette même communauté internationale qui est à la base de tous ça. Tant que des fils de nos pays africains continueront toujours de se laisser manipuler par ses toubabs; nous n’auront jamais la paix. Le seul blocage des accords de paix est la mauvaise foi de la CMA depuis leur refus de mettre en place les patrouilles mixtes prétendant qu’elle n’a pas les moyens. Mais tôt ou tard c’est sûr qu’elle se ravisera.
Les efforts pour ramener Kidal dans le giron de la république sont perceptibles. Comme la loi sur les autorités intérimaires le stipule; les autorités intérimaires seront installées partout où le besoin se fera sentir. Cela sera un moyen d’abord de retour de l’administration dans les zones qui ne sont pas sous contrôle de l’administration régulière mais cela sera aussi un moyen de renforcer l’autorité de l’état ce qui est tout à fait différent de la partition du pays encore moins le signe du diktat de la CMA.
si après un ans de la signature des accords de paix et que rien n’a bougé, il faut reconnaître que les groupes armés avec les mauvaise foi et aussi la communauté internationale qui pillaient le nord n’étaient pas encore prêts pour la paix. mais aujourd’hui avec la volonté du président à avoir coûte que coûte cette paix, le gouvernement et les groupes armés sont parvenus à un accord.
Faire de ton ennemie ton ami afin de pouvoir le vaincre donc qu’on arrête de voir le mal partout. Nous devons apporter des solutions qui pourront nous aider à faciliter le retour de la paix et non poser des actes qui pourront empêcher le retour de cette paix.
je pense que nous devons penser à la réconciliation car sans collaboration nous ne pouvons connaitre ce que nous appelons ennemies. donc nous devons mettre de coté nos différents et regarder dans la direction de la paix et de la réconciliation.
Au nombre de ces reformes on retient (le chef de l’Etat les a d’ailleurs bien mentionnées dans son discours du 19 juin) la nomination et l’installation des gouverneurs des régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’Administration générale; la promulgation de la loi instituant les autorités intérimaires, puis l’adoption du décret fixant les modalités de mise en place desdites autorités; l’amorce du processus de révision de la Constitution
Au nombre de ces reformes on retient (le chef de l’Etat les a d’ailleurs bien mentionnées dans son discours du 19 juin) la nomination et l’installation des gouverneurs des régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’Administration générale; la promulgation de la loi instituant les autorités intérimaires, puis l’adoption du décret fixant les modalités de mise en place desdites autorités; l’amorce du processus de révision de la Constitution
ton problème est d’avoir la paix ou tu veux autre chose encore monsieur le journaleux. je pense que si tu es fâché tu peux venir prendre des armes et te rendre à Kidal pour le libérer idiot.
Le gouvernement ne va jamais accepter de partitionner le territoire mali au profil des groupes armés. L’adoption de cette loi est un préalable pour aboutir à la paix. Que l’opposition arrête de s’inciter la société civile à la révolte. Le pays n’a pas besoin d’une opposition sur l’application de l’accord dont elle a pris part à sa négociation
C’est la manipulation de l’opposition qui incite la société à associer à leur lutte qui n’arrange pas la situation. La paix demande des concessions et l’état malien s’est inscrit dans cette logique. Nous devons faire confiance au gouvernement actuel qui n’acceptera jamais de céder une seule portion de notre pays.
Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.
Monsieur tu ne t’es pas trompé, c’est nous qui avons voté IBK et nous soutenons encore jusqu’à la fin de ses mandats.Il n’a aucunement besoins de gloire venant de vous.
Les autorités intérimaires sont des prescriptions de l’accord d’Alger et le président doit le faire si nous voulons la paix dans le nord. Ces opposants nous disent ce que nous devons faire pour aller à la paix car on ne peut pas dire qu’un remède n’est pas bon et ne rien proposer.
Ces coups médiatiques n’emporteront plus personne dans ce pays. Chaque jour IBK ceci IBK cela pour se faire de l’argent seulement sans aucun objectif pour faire avancer le pays. Malgré tout nous croyons en lui toujours !
Nous nous connaissons IBK mieux que ces journalistes vendus et raison pour laquelle on l’a élu. Nous sommes au courant de tout ce qui se passe au Mali actuellement personne ne va nous dissuader avec des diffamations et autres.
” IBK où est donc ta gloire ?” ????? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 :lol SA GLOIRE? C’EST SON FAUTEUIL,LE RESTE N’EST PAS SON AFFAIRE.
Le président n’a pas oublié son discours tenu devant la nation et fera tout pour tenir à sa parole. La paix ne tient pas à lui seul et elle a pris du retard c’est la faute de cette opposition qui a boycotter l’adoption de la loi et a saisi la cour constitutionnelle. Tout ceci a contribué au retard accusé dans sa mise en place.
((((La souveraineté du Mali sur toute l’étendue de son territoire n’étant pas négociable, nos forces de défense et de sécurité en reconstruction assumeront, totalement, les missions que la constitution malienne leur assigne et que les maliens attendent d’elles.))))
Un passage du discours du président IBK.Les avertis comprendront.
Nous sommes en une période de réconciliation nationale monsieur le journaliste nous n’avons pas besoin des histoires maintenant ce dont nous avons besoin c est de restaurer la paix dans ce beau pays.
La mise en place de cette autorité intérimaire ne veut pas dire que ces groupes armes nous dictes leur loi.Cette autorité intérimaire est une phare incontournable dans l’application de ce processus de paix signé entre le gouvernement et les groupe armes.
Un calendrier a été ainsi dégagé pour sa mise en œuvre. Cela débutera le 15 juillet et prendra fin le 25 Août 2016. Pour assurer le fonctionnement de ces autorités intérimaires, les parties ont convenu de mobiliser des dotations spéciales, sous forme de subventions.
Nous devons féliciter le gouvernement malien et son président pour avoir trouver un accord sur la mise en place de cette autorité intérimaire car c est une grande avancée dans le processus de paix et de réconciliation nationale.
Ces autorités transitoires représentent une disposition de l’accord de paix. C’est pour dire qu’en aucun cas le gouvernement n’osera repartir cette nation. La création de nouvelles régions n’a rien de compromettant.
L’espoir fut grand et est toujours grand dans le cœur des maliennes.Avec IBK a la tétè de la gestion du pays nous sommes confiance que une solution sera trouver a la crise malienne.
IBK seule n’est pas à la gloire c’est tout le Mali qui est à la gloire de la signature de l’accord parce que 2012 n’est pas comme aujourd’hui, une chose est claire, les détracteurs qui veulent freiner la mise en application de cet accord vont s’humilier parce que cet accord sera mise en œuvre bon gré mal gré.
Une année après la signature de l’accord, IBK et son régime est à saluer, vu ce qu’ils ont fait pour que cet accord soit signé, des mois et des mois des semaines et des semaines de négociation, aujourd’hui, une entente a été trouvée entre le gouvernement et les groupes qui se refusaient pour la mise en place des autorités intérimaires.
Il faut être IBK pour pouvoir négocier avec ces gens, mais malgré tout l’accord est signé dans un climat de haut tension, jusqu’à une année de cela, bientôt le retour des services déconcentrés de l’Etat dans les régions du nord du Mali.
Les autorités intérimaires auront à remplacer les élus en place et lieu et assurer la présence de l’Etat dans certains cercles, communes et autres préfectures qui n’en ont pas. Je demande à ce journaliste de ne pas faire comme si la mise en place de ces autorités consacre la partition du pays. L’intégrité territoriale est sauvegardée par cette loi sur les autorités intérimaires. La gloire n’appartient pas à IBK seul mais au peuple malien qui s’est abstenu durant des années et des mois de crise.
La paix, c’est pour tout le monde, c’est une question d’intérêt national. Si cet Accord échoue, la gestion de la situation sécuritaire sera difficile pour le Mali. Notre souhait demeure la réussite de l’Accord, un acquis de 14 mois de négociations. Tous les maliens doivent œuvrer pour la bonne marche de cet accord.
les membres du comité se sont réjouit de l’adoption de la mesure qu’ils qualifient d’ « avancée significative dans le processus de paix », l’opposition malienne, des élus des régions nord du pays, la société civile malienne et bon nombre d’observateurs, estiment que cela constitue « un pas de plus » vers la partition du Mali.
Certes le gouvernement a trouvé un terrain d’entente avec les groupes rebelles ce qui ne vaut pas dire que le gouvernement n’a pas pris en compte les faveurs primordiales et de base de notre pays. Le gouvernement a fait de sorte de trouver un accord favorable pour tous et qui prime sur les valeurs du pays.
Ce sont que des autorités intérimaires, ils sont nommés pour un temps bien déterminé. Les populations malienne doit mettre un peu d’eau dans leur vain et comprendre, le gouvernement comprend leur amertume mais qu’il fasse confiance au gouvernement.
Déjà un an je dirai qu'IBK est vraiment à féliciter parce que cela est tout d'abord une gloire. L'entente ‘’Entente’’ pour les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat ainsi que l’installation, la mise en marche du D.D.R. et aussi la patrouille mixte déjà sur place. Alors je dirai qu’après 1 ans l'exploit est au rendez.
Le gouvernement malien est conscient de la lenteur ou même pour certain du blocage de l’accord issu du processus d’Alger. Le gouvernement ne reste point indifférent et ne fait pas aussi preuve d’incapacité au contraire, grâce à la détermination du gouvernement nous remarquons de plus en plus l’avancement lentement mais surement de l’accord.
Les cantonnements des groupes armés, les DDR, le redéploiement intégral de l’administration malienne dans toutes les régions du Nord du Mali ne sont point relayés au second plan. Le gouvernement raconte plusieurs difficultés dans la mise en œuvre de l’accord, l’accord n’avance pas comme prévu, mais le gouvernement avance d’une manière salutaire.
Finalement le gouvernement malien et les groupes armés, se sont mis d’accord sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires.
Merci Monsieur pour cette contribution de très belle facture qui contient toutes les contradictions d’un homme à qui notre peuple à confier son destin. IBK a détruit le peu qui restait du Mali!!!!
La mise en place des autorités transitoires est une obligation pour le gouvernement malien qui veut du retour de la paix et de réconciliation nationale et qui est fidèle à ses engagements contenus dans l’accord qu’il a signé avec les groupes armés. Ces autorités transitoires représentent une disposition de l’accord de paix. C’est pour dire qu’en aucun cas le gouvernement n’osera repartir cette nation. La création de nouvelles régions n’a rien de compromettant.
quel honte au journaliste qui ne voit pas de gloire dans l’accord de paix que tout les maliens aspiraient qu’un simple paparazzi vienne saboter
La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Le bilan d’un an de la signature de l’accord de paix n’est pas, certes, à la hauteur des attentes de toute la population malienne mais il est acceptable.
Les maliens doivent comprendre que les autorités intérimaires ne sont pas des autorités éternelles. Elles sont appelées à dissoudre après leur mission qui consiste à conduire le processus de paix et de réconciliation et d’organiser les élections dans les régions. On doit se réjouir plutôt de cette entente que d’en voir une manière de disloquer notre pays.
Les autorités intérimaires auront à remplacer les élus en place et lieu et assurer la présence de l’Etat dans certains cercles, communes et autres préfectures qui n’en ont pas. Je demande à ce journaliste de ne pas faire comme si la mise en place de ces autorités consacre la partition du pays. L’intégrité territoriale est sauvegardée par cette loi sur les autorités intérimaires.
la réalisation en octobre 2015 de la première patrouille mixte (forces armées maliennes et mouvements signataires) ainsi que la remise des listes partielles des ex-combattants des mouvements signataires de l’Accord
Vu les réalisations, les avancées, je crois bien que le processus de paix porte espoir d’un retour sans condition de la paix et de la réconciliation nationale. Soyons toujours optimiste pour la paix. Le bilan de l’accord de paix, après un an, est acceptable. Les populations civiles sont rarement victimes d’attaques. La gouvernance d’IBK est à la hauteur des atteintes de la population.
depuis la signature du document, les différentes parties signataires (Gouvernement, Plateforme et CMA) ont respecté de façon scrupuleuse le cessez-le-feu
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